Cela fait de cela à peu près trois étés.
J’habite la Côte d’Azur et l’un de mes copains avait pris un snack en bord de mer à Port Grimaud, pour faire la saison.
Au début j’y allais pour lui rendre visite et au bout de quelques jours, très attiré par toutes ces belles femmes
au trois quarts dénudées, je m’y rendais tous les jours et toute la journée.
Je vais essayer de te raconter quelques aventures qui se sont passées au cours de cet été là.
Je n’ai pas le même talent que toi, aussi je te demande d’être indulgente.
Il nous arrivait souvent de rester le soir assez tard, au service des quelques derniers clients potentiels.
Un jour, il devait être environ dix sept heures, on voit arriver trois jeunes anglaises, très migonnes.
Elles s’arrêtent au bar et commandent une bière.
Je me charge du service et comme il n’y avait pas grand monde, je reste auprès d’elles et engage la conversation.
Au début ce n’était pas évident parce qu’elle parlait pour ainsi dire pas français et pour ma part, j’avais pas mal
oublié mon anglais. Mais enfin les choses allaient plutôt bien.
La première qui s’appelait Jenny avait tout juste dix huit ans. Blonde, les cheveux longs, les yeux bleus. Une
poitrine menue dont les pointes dardaient sous le haut de son maillot. Pour compléter la des description je dois
ajouter qu’elle avaient des jambes superbes que rehaussait un joli petit cul rebondi, un peu comme les femmes
africaines. Tout un fantasme à elle seule.
La seconde, Mary-Ann, 22 ans était plus grande. Elle avait les cheveux bruns et courts et des yeux noisette. Sa coupe
de cheveux lui donnait un petit air malicieux. D’autant qu’elle riait beaucoup. Elle avait des seins plus volumineux
que Jenny mais je le découvris par la suite d’une fermeté extraordinaire. Aussi élancée que Jenny, son cul était lui
aussi un véritable appel à l’amour. Quand à son maillot deux pièces il laissait découvrir le début de ses aréoles ce
qui eut sur moi un effet immédiat. Heureusement j’étais derrière le bar, parce que je sentais une érection montait que
mon slip de bain ne pouvait pas masquer.
En se retournant pour regarder les gens qui se baignaient, j’ai pu voir que le bas de son maillot avait lui aussi du
mal à contenir les trésors qu’il était sensé garder.
Pendant ce temps mon érection ne cessait d’augmenter.
C’est avec la troisième que je discutais le plus. Elle s’appelait Elys et avait 23 ans. Bien que d’un physique plus
« quelconque » que ses copines ( c’est souvent le cas quand les filles sortent à trois, il y en a toujours une moins
attirante, sans doute pour que les autres aient la vedette) ne réussit pas à faire régresser mon érection. Au contraire !
Parce que ce moment la conversation commençait à dévier un peu et mon vocabulaire s’enrichissait quand il s’est agit
de parler plus cru.
Il faut dire que nous en étions à la troisième bière. Je ne suis pas un rapide, je sais, mais surtout je ne savais pas
sur laquelle jeter mon dévolu.
Le fantasme ?
Les rondeurs appétissantes ?
La légèreté du langage ?
Il est vrai que Jenny me paraissait un peu jeune et je me dis que c’était peut-être un obstacle pour une conclusion rapide.
J’optais donc pour Mary-Ann et après avoir servi une autre tournée de bière, je leur proposais de nous asseoir sur
la plage.
En passant devant le bar, j’étais encore en érection et elles ne pouvaient pas ne pas le remarquer. A tel point que
toutes les trois, quasiment en même temps, ont baissé leur yeux sur l’objet qui ne demandait qu’ prendre l’air.
Je me suis arrangé pour m’asseoir à côté de Mary-Ann. Elys était à ma gauche et Jenny était près de Mary-Ann.
J’essayais de pousser plus loin la conversation dans le sens qu’elle avait pris et ce qui finalement amusait tout le
monde. Je me dis : Femme qui rit, est à demi conquise.
Jenny fut la première a retirer le haut de son maillot, suivie aussitôt par Mary-Ann.
Mes yeux étaient rivés sur leurs qui étaient comme je les avaient imaginés.
Elys se débarrassa de son haut à son tour et son regard croisa le mien alors que je la regardais faire. Puis elle
baissa son regard vers mon sexe près d’exploser.
Elle me demanda ce qui me mettait dans un état pareil.
Un peu embarrassé, mais désireux de pousser les choses plus loin, je décidais d’être direct et lui répondis que
c’était la vue de leur seins (ils avaient la marque du maillot, signe qu’elles n’avaient pas l’habitude de faire du
sein nu sur la plage).
Elle me dit alors : Regardes autour de toi, toutes les femmes ont les seins à l’air.
C’est vrai, dis-je, mais les vôtres sont à portée de main.
A t’écouter on penserait que tu as envie que tu as envie de les toucher.
Jenny qui venait de me répondre, se leva et vint s’asseoir entre mes jambes et en se penchant en avant, elle me prit
la main et la porta à l’un de ses seins.
Je commençais à la malaxer, tournant ma main doucement et pressant légèrement cette magnifique poire. Cela parut
lui plaire parce que je sentis son téton durcir dans ma paume et j’entendais son souffle changer.
Pendant ce temps Mary-Ann avait placé sa main sur mon genoux et remontait doucement vers mon sexe.
Je me tournais vers elle et l’embrassait goulûment. Nos langues s’entrecroisaient avec fougue au point que nos dents
se choquaient par moment.
Elys qui ne voulait pas être de reste était passé derrière moi et me massait minutieusement le dos avant de venir
plaquer sa poitrine sur mon dos pour un body-body d’enfer.
Mary-Ann avait atteint mon sexe qui avait encore pris du volume. Elle le sortit de sa prison et commençait à me masturber.
Tels que nous étions placés, les gens autour ne pouvait voir ce qui se passait et surtout, l’heure avançant, ils
désertaient les uns après les autres la plage.
Jenny s’est penché sur moi un peu plus et profitta que la main de Mary-Ann coulissait mes couilles, pour m’emboucher.
Sa bouche était chaude. Elle salivait beaucoup et sous l’effet de la sussions qu’elle exerçait, j’ai cru que j’allais
décharger.
Remarquant que les regards se tournaient vers nous, ceux qui n’avaient pas encore pris le chemin de leur tente, je
leur proposais d’aller nous baigner, tout en regrettant de faire cesser le traitement qui me donnait un plaisir immense.
Je me suis rapidement rajusté et nous avons plongé dans l’eau, qui à cette de la journée, était encore tiède.
On faisait les fous à s’éclabousser et à un moment Elys me dit : Regardes je vais faire le marsouin.
Elle avait baissé son maillot et en plongeant elle nous montra son cul qui disparut à son tour sous l’eau.
Malgré l’eau mon érection n’avait pas disparu et il me tardait que la nuit tombe pour continuer nos jeux amoureux.
Soudain je sentis qu’on tirait le devant de mon maillot pour en faire sortir mon sexe.
C’était Elys qui n’avait pas refait surface et qui aussitôt me prit en bouche.
Sa tête émergea de l’eau et elle éclata de rire.
Mary-Ann et Jenny lui demandèrent ce qui la faisait rire. Elle raconta alors ce qu’elle venait de faire.
Dès lors ce sont trois marsouins qui se sont mis à plonger autour de moi. Chacune le maillot baissé et le but était
ma queue qui n’en pouvait plus de ce supplice.
Sussions. Répit. Sussions…
Cela devait d’ailleurs se lire sur mon visage parce qu’en refaisant surface elle ont toutes les trois éclaté de rire
en me regardant.
Mary-Ann s’est approchée de moi, m’a enlacé et a commencé à m’embrasser sur tout le visage avant de remettre sa
langue délicieuse à la recherche de la mienne.
Pendu à mon cou, elle releva ses jambes sur mes hanches et après s’être légèrement relevée, elle se laissa glisser
sur ma queue qu’elle tenait d’une main. Tout doucement je sentis mon gland disparaître dans son nid d’amour. Je la
saisis sous les fesses et ne la laissais pas aller jusqu’au bout. Je la remontais doucement, pour la laisser redescendre.
Ses lèvres avaient quitté les miennes et sa tête reposait maintenant sur mon épaule. Elle me faisait des bisous dans
le cou, me mordillait l’oreille avant d’y introduire sa langue.
Un frisson me parcourut l’échine ce qui eut pour effet de la laisser glisser complètement sur mon sexe. Je touchais
le fond de son utérus, ce qui montait davantage mon plaisir. Je sentais bien que je n’allais plus tenir longtemps
mais je voulais profiter encore de ce nid douillet. Je sentais que Mary-Ann n’allait pas tarder à me rejoindre dans
la jouissance, alors je la collais à moi et l’empêchais de bouger.
Jenny s’était approchée, les seins contre mon bras. Elle cherchait ma bouche qu’elle trouva rapidement.
Elle semblait demander sa part. Elys quand à elle avait pris mes couilles en charge et les malaxait comme en faire
sortir tout le jus qu’elles contenaient.
Maryland repris ses mouvements d’ascenseur, d’abord lentement parce qu’elle avait compris que j’avais failli exploser,
puis au fur et à mesure son rythme s’accéléra. Ma queue venait buter au fond de son vagin à chaque assaut.
Jenny et Elys avaient dû s’écarter, à regret semble-t-il, parce que pris par notre frénésie nous ne tenions pas en
place.
Mary-Ann s’enfonça jusqu’à la garde sur mon sexe et pour ne pas crier, plaqua sa bouche sur mon épaule. Elle était
en train de jouir. Je sentais son sexe emprisonner le mien, ses contraction déclenchèrent mon plaisir et je dus la
soulever pour laisser mon sperme exploser dans sa chatte. Je ne sais combien de temps cela a duré, mais j’avais
l’impression que mes couilles n’arrêtaient pas de se vider. Je la soulevais puis la laissais retomber pour jouir
encore de ce sexe si chaud, mais à bout de force je la laissais finalement glisser complètement et mon sexe se
libéra de cette prison de plaisir.
La plage était maintenant déserte. Jenny et Alys étaient assises sur les serviettes et s’embrassaient à pleine bouche.
Nous les rejoignîmes et aussitôt Elys se jeta sur le sexe de Maryland qu’elle se mit à lécher. Elle léchait sa
chatte de tout son long, y introduisant sa langue, sans doute à la recherche du sperme que je venais d’y laisser.
Sa technique sûrement très efficace, déclencha un nouvel orgasme chez Maryland.
Jenny quand à elle, s’était approchée de moi et tentait de redonner de la vigueur à mon sexe.
Sur ces entrefaites mon copain qui avait terminé de bosser nous a rejoint. Après des présentations rapides il se
dirigea sur le couple Mary-Ann et Elys et entreprit de lécher le minou de cette dernière.
Jenny était arrivé à ses fins et me repoussant sur le dos, elle vint s’empaler sur ma queue en me faisant face. Je
l’attirais à moi pour l’embrasser et lui lécher les seins. J’adorais aspirer ses bouts qui devenaient extraordinairement
proéminents.
Mon copain prenait Elys en levrette et Mary-Ann qui s’était glissé sous elle recevait en alternance le sexe de mon
pote.
Jenny avait déjà pris son pied deux fois et je n’étais pas prêt de me lâcher. Je la plaçais sur le côté et sans sortir
d’elle, j’entrepris de la mettre sur le ventre pour la prendre en levrette. Le cul bien relevé je la prenais à fond
coulissant lentement dans son vagin qu’elle avait plus étroit que Maryland. Pendant que je la ramonais j’entrepris
de lui caresser doucement la rosette pour finalement lui introduire mon majeur. Elle se contracta devant cette nouvelle
intrusion et se montrait réticente en me signalant qu’elle était vierge de ce côté là.
Je laissais mon doigt en place sans le bouger et je repris son vagin d’assaut. Très lentement je la pénétrais pour en
ressortir complètement. L’effet de cette pratique ne fut pas long et déclencha un nouvel orgasme. J’en profitais pour
faire jouer mon doigt dans anus ce qui prolongea son orgasme. Je continuais d’aller et venir en elle et de temps en
temps je laissais mon gland glisser vers son petit trou. Elle ne montrait plus aucun signe de réprobation et j’en
profitais pour parfois tenter de m’introduire.
Je la cambrais davantage et après avoir bien badigeonner son orifice de sa mouille, je me plaçais pour la pénétrer
vraiment.
Sachant ce que je voulais faire, elle me demanda de faire doucement, qu’elle supporterait pas d’avoir mal.
C’est donc avec d’infinies précaution que je poussais mon sexe en elle et quand mon gland fut absorbé, je marquais
une pause pour lui demander si tout allait bien. Après un petit yes timide elle poussa son cul en direction de mon
sexe.
Je repris mon intromission et après plusieurs va et viens je parvins à la posséder entièrement.
Elle agitait doucement son cul adorable, me poussant à activer mes mouvements. Le plaisir qu’elle prenait était
évident. Plus serré encore que dans sa chaque mon sexe pris encore du volume mais coulissait sans faillir dans le
petit gouffre de Jenny.
Je n’en pouvais plus tellement c’était bon.
Inutile de vous dire que j’avais oublié le trio. Mais après un bref regard je remarquais mon copain sur le dos qui
se faisait pomper par Mary-Ann et Elys.
Je m’activais dans Jenny et je la sentais plus accueillante et aux quelques sursauts qui précédèrent son plaisir,
j’éjaculais en elle déclenchant un orgasme qui la poussa vers moi comme s’empaler davantage. Elle ne put se retenir
de crier son plaisir tandis que je continuais de me déverser en elle avant que l’on s’écroule tous les deux.
Je ne pensais pas que la petite Jenny allait se montrer aussi ouverte (sans jeu de mot) et je réaalisais du même coup
mon fantasme.
Nous sommes retournés au snack boire une bière ou deux avant qu’elles ne nous demandent de les raccompagner à leur
camping. Elles étaient sans voiture.
Nous avons passé la nuit avec elle et Jenny s’est endormie dans mes bras.
Le lendemain après une heure ou deux de sommeil mon et moi sommes repartis pour le snack.
Nous ne les avons plus revues.
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