Par le biais d’un site de trav et de chat, j’ai rencontré il y a un an, une charmante personne. Nous avons fait connaissance à travers le dial du net, quelques photos sans plus et beaucoup d’envies et de désirs à partager. Elle est de mon coin mais avec son boulot et moi mes obligations, la possibilité de se rencontrer semblait dure à réaliser. Nous avons continuée à parler à travers l’écran de temps en temps. Des fois lui sur un autre continent et moi dans le sud de l’Europe. On se croise mais nos vies familiales restent encore un frein à aller plus loin. Nous continuons à nous apprivoiser, à nous découvrir et même à nous chauffer, des fois de façon torride, ou parfois plus platonique mais toujours passionnante. Le lien se construit, les rencontres virtuelles sont de plus en plus présentes. Il doit revenir d’une mission lointaine et moi je dois redescendre vers des contrées plus chaudes. On a envies d’aller plus loin et de découvrir ce feu que nous alimentons depuis des mois. Nous passons des soirées à fantasmer sur ce moment que nous espérons, nos esprit s’échauffe et bout au fur et à mesure du temps.
Il voulait découvrir le travestissement, je voulais lui apprendre mes modestes connaissances. Où ? Comment ? Quand ? Faire les boutiques en mec ? Etre en fille dessous ? Aller dans un sex-shop connu du coin sorte de planète inconnue comme un X sur la carte. Tant de questions, d’envie et surtout trouver le moment où nos aiguilles seront en phases. Ou alors on se réserve une chambre dans un hôtel du coin pour s’envoyer en l’air en étant deux belles petites coquines. Tout cela nous torture en plus de la distance et de la disponibilité. Et soudain la lumière enfin surgit au milieu de nos écrits à travers la toile. Il rentre vendredi et moi je pars le mercredi qui suit. A force de se courir après on arrivera bien à se croiser. Il est en France, pu trop loin de moi et moi j’organise mon prochain départ. Le dial par le net nous suffit pu, je lui donne mon tel portable pour échanger en texto dans un premier temps. Cela ne suffit pu non plu, on s’appelle, je mets une voix sur un speudo puis un prénom féminin : Camille est dispo et veut rencontrer Aline. C’est demain ou jamais (enfin plus tard une fois de plus). Malgré les rencontres du mois j’ai trop envie de connaitre les émois que nous imaginons depuis des mois. Elle me propose dimanche matin tôt, ce n’est pas fréquent mais j’accepte. De plus chez elle, ce qui change de l’hôtel. Je passe l’après-midi à préparer mon sac de fille, mon maquillage, mes perruques, j essayes mes tenues, mes hauts talons …rasage du corps, masque, crème, mon personnage érotique s’empare de moi doucement un peu plus. On passe la soirée à tirer des plans sur la comète : les tenues, le maquillage, les caresses…
il me donne son adresse, on convient de l’heure. Comment doit-il me recevoir nu ou en mec et moi serais-je fille ? Non je ne traverse pas toute ma ville même à une heure matinale en fille ni même maquillée, je n’assume pas de sortir encore ainsi. En discutant il s’aperçoit que je vais taper à sa porte en Aline donc il décide d’être nu. Il est 3 heures du matin et on diale toujours mi par le net mi par texto, mon sang est bouillant. Aller dodo, il faut être d’attaque pour demain.
6 heures le réveil sonne, ça pique un peu mais le jeu en vaut la chandelle. Je suis excitée comme une jeune fille qui va à son premier bal. Rasage de la barbe, nettoyage du conduit anal (2 fois), toilette. Et j’enfile ma tenue : bas noirs voilés, dessous en dentelle blanche avec slip, soutif et pj, une mini-jupe simili cuir et daim noire, haut en dentelle noire avec manche, collier de perles et dans un sac mes hauts talons, ma perruque mon rouge à lèvres et des lunettes de soleil de starlette. Petit dej rapide et je charge la voiture de mon sac avec mes affaires de nana dans la pénombre de la nuit. Texto pour annoncer mon départ. Je roule calmement et traverse la ville déserte et encore endormie. Mes bas frôlent mon bleu de travail à zip que j’ai par-dessus ma tenue de petite femelle. Je me sens un peu femme au fond de moi et évite de trop penser pour me consacrer sur la route à suivre. Texto en sortant de l’autoroute. La réponse suit m indiquant que le portail et ouvert et que je peux me garer le long de la maison. Belle propriété, coin calme, il y a de la lumière et une ombre derrière la fenêtre. Je stoppe le moteur, enlève mon bleu, mes chaussures et complète ma tenue de femme légère. J arrange ma chevelure, enfile mes hauts talons et pose mes lunettes fumées sur mon nez. Je peaufine avec du rouge à lèvres pour assurer ma position de petite gonzesse. Le jour commence à se lever et la porte s’ouvre.
Il est nu, il sourit son sexe est légèrement gonflé… je suis rassuré je lui plais une peu donc. Son regard est intimide mais brillant de désir. Quelques mots banals pour casser la glace. Je m’approche et nous nous embrassons sur la bouche après un léger bonjour. Il me mange la bouche, m’étreint, m’enlace. De mon côté je touche sa peau, le caresse et me colle contre lui. Je sens son sexe qui a encore gonflé contre le mien plus sage pour l’instant sans doute à cause de mes vêtements. Nous reprenons notre souffle. Je rentre mon sac rempli de mes petites affaires. Il me demande son cadeau demandé la veille : un collier et une laisse. Ce n’est pas mon délire mais il m’avait supplié. J’avais pris ça la veille chez GIFI au rayon animaux, tout rose à paillettes.je lui met autour du cou. Je dois le tenir en laisse. Bizarrement il bande plus fort. Il se met à genoux, soulève ma jupette y glisse sa tête et écarte ma petite culotte. Et il prend mon sexe dans sa bouche. Il suce divinement, c’est un régal. Je tire sur la laisse quand le plaisir devient trop fort car je ne veux pas précipiter les choses. Je tire plus fort pour qu’il se lève. Nous discutons en nous dirigeant vers le salon, et il m’invite à m’asseoir sur le canapé et lui reste à mes pieds par terre. Je suis pas habituée mais ne fait pas cas. Il me caresse les jambes gainées de mes bas, les embrasse et fait de même avec mes escarpins vernis. Il les lèche, ça me fait sourire mais il y met tout son cœur et prend du plaisir. Pour le calmer je lui demande un café, il se lève et je le suis en le tenant toujours comme un bonbon toutou. Dans la cuisine, je me colle contre son petit cul tout lisse et me frotte malgré ma jupette. Je touche devant son sexe aussi car je n’avais pas encore posé ma main dessus. Il est lisse, ma main l’enveloppe et je fais quel va et vient en tirant sur son prépuce pour dégager le gland. Le café est prêt j’arrête et nous retournons au salon. J avale le breuvage car nous devons passer à des choses plus sérieuses. Je récupère mon sac pour prendre un joujou. Je dois l’équiper d’un plug avant de me maquiller. Il se met à 4 pattes sur le canapé, cul en arrière. J’inspecte déjà ses fesses qui sont ouvertes devant moi, très jolie vue avec le service trois pièces dessous, j’adore ! Je colle mon nez, ça sent comme j’aime… puis je fais un petit bisou histoire de me régaler un peu plus. Je caresse avec mon index le devant de son petit trou qui frissonne. Ça résiste, alors je mets ma langue dessus. Le gout est agréable la douceur aussi et ça s’ouvre comme pas possible. Je lui mange son orifice anal et essayes d’aller au plus profond avec ma langue chercheuse. Elle couine la petite cochonne et tortille son croupion de salope. Maintenant que c’est humidifié, je rentre mon index et doigte, puis fouille un peu plus cette cavité. Je décide de lui mettre mon plug préféré mais son trou est trop serré et malgré le gel cela ne rentre pas. Je m’oriente sur un calibre plus petit. Ça rentre tout seul mais ça ne tient pas, dommage. Pour la soulager un peu, je me décide enfin à gouter sa bite qui ne cesse de gonfler au gré de la matinée. Elle coule comme j’aime. Des bisous pour commencer dessus, le long de la tige, puis décalotter pour en faire sur le gland. Et finalement le gober et le téter. Et le sucer comme une gourmande qui a faim de bite. Mais il faut encore continuer notre projet.
Je dois me maquiller pour finir mon personnage féminin. Il m’emmène dans la salle de bain ou j’arrive avec ma trousse de maquillage toujours en le tenant en laisse et en matant son petit cul de pédale. Le rituel est habituel et je le fait rapidement sous son regard. Une fois complètement « trans formée », je dois préparer Camille à devenir une femme. Elle est sage debout à côté de moi, à me regarder nu avec son collier de petite chienne. Je m’agenouille devant lui. Sa queue mis molle me fait envie alors je tire sur la peau pour dégager le glande et je fais un bisou dessus et le suce un peu pour raidir ce joli membre qui coule. Une bonne petite pipe mais je ne vais pas jusqu’à l’ultime phase car il reste du boulot. J’arrête mon tetage de bite et tire sur sa laisse pour la conduire vers la chambre. Je sors des dessous et des fripes de nana et les étales sur le lit, et la prie de choisir. Elle choisit des bas dim up noirs voilés auto fixant, et des dessous en dentelle noirs (culotte et soutif). Puis elle enfile un haut en vinyl noir et une jupette en skaï noir et pour finir les hauts talons vernis. Je vérifie si son petite Q est bien couvert en le caressant et si son sexe mi mou rentre bien dans la petite culotte, c’est bon il est lisse et humide. Elle fait très pute. Retour à la salle de bain ou je commence son maquillage : Fard à paupières, faux cils mascara, fond de teint, rouge à lèvres. Mise en place de la perruque et des boucles d’oreille et voilà Camille devant moi, elle est très belle et la récompense d’un baiser langoureux et affamé avec des caresses sous sa jupe et sur ses bas. On se calme une fois de plus car nous devons faire des photos. Je lui apprends déjà à se déplacer en hauts talons et à prendre la pose comme une fille. Toujours quelques bisous et caresses mutuels pour ne pas faire baisser la pression.
Et enfin retour vers la chambre où elle s’allonge sur le lit me laissant voir le haut de ses bas et un morceau de tissu de sa petite culotte déformée par son engin qui laisse deviner du désir. Je me mets contre elle pour la toucher, la caresser, l’embrasser dans le coup, les épaules. Nos mains se frôlent, nos bouches aussi. Des petits baisers suivis de plus long plus appuyés avec nos langues qui se mélangent. Je monte sur elle, me frotte sur ses cuisses, nos 2 queues sont durs et se rencontrent au grès de nos mouvements. Elle décide de descendre sous ma jupe. La soulève, écarte ma petite culotte et gobe ma bite dans sa petite bouche de suceuse. C’est un délice, elle fait ça comme une bonne femelle. Je me régale de ses sucions, bisous, aspirations gourmandes. Moi aussi je veux bouffer sa queue et nous attaquons un 69 moi dessous pour profiter aussi de son petit trou serré. Un régal, il est trop bon. Il veut me rendre la pareil et me fait mettre à 4 pattes. Petit bisous de début, doigtage pour vérifier comment cela s’ouvre et langue qui rentre dedans. C‘est abominablement bon. Elle fait ça comme une bonne lécheuse de cul. Je veux sa queue mais elle préfère ma bouche. Je la pompe comme une salope car je veux sa crème. Et après un bon moment de suçage intense, elle lâche son jus au fond de mes gorges que je garde un peu sur ma langue puis avale tout. Je continue à la sucer pour avoir les dernières gouttes en bonne gourmande. Elle veut me voir me branler. Je m’exécute mais il doit me goder car mon cul a faim aussi. Elle me bourre mon conduit anal comme une petite folle et je couine comme un enculée. Je finis par exploser en un long râle autant par la jouissance de ma bite que de mon cul de salope. Et apres avoir joui, nous finissons par un câlin l’une contre l’autre en se touchant et s’embrassant.
La matinée touche à sa fin. Nous devons nous changer et nous démaquiller, tout en se touchant et se bécotant. Un petit café en mec pour faire retomber la pression. Je lui laisse ma perruque et quelles effets dont des talons pour quelle puisse faire la belle. Je repars la tête dans les nuages en espérant un autre rendez-vous avec ma belle Camille.
Nous sommes recroisé dans des boutiques érotiques pour la conseiller dans les tenues et accessoires mais en restant sage mais en souhaitant se revoir bientôt aux grès de nos voyages.
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