Ma première expérience avec une dominatrice non vénale et avec son mec.
C’était il y a de nombreuses années, j’étais jeune. À l’époque, on draguait par minitel, et c’est comme cela que j’ai fait la connaissance d’une dominatrice et fixé un rendez-vous avec elle, chez moi. J’étais déjà une salope avec les hommes, à l’époque, mais je n’avais jamais été dominé par une femme non vénale.
La dominatrice était venue avec un mec. Au début, il n’a pas participé, il se contentait de jeter un coup d’œil de temps en temps, il était connecté sur le minitel pendant qu’elle me dominait.
Elle m’a ordonné de mettre à poil, puis 4 pattes. Elle m’a ordonné de me branler, sans jouir. Elle m’a fait lécher ses chaussures. Je l’ai fait, troublé d’être aussi excité. Oh, j’avais eu deux ou trois courtes séances de soumission avant… Par exemple, une fois, j’avais payé une prostituée pour qu’elle m’insulte et me fouette, pendant que je me branlais. Quand je suis arrivé à l’orgasme, elle a frappé encore plus fort, et j’ai crié à la fois de plaisir et de douleur, c’était intense !
Mais là, c’était la première fois que je me soumettais à une dominatrice non vénale, qui ne faisait cela que pour son propre plaisir, parce qu’elle aimait dominer les hommes. Elle a beaucoup aimé me faire nettoyer ses chaussures avec ma langue, à poil, à 4 pattes. Moi aussi, je bandais dur, c’était excitant d’être dans cette position… Elle m’a ordonné de lécher ses semelles, ce que j’ai fait, bandant encore plus dur. Elle a dit à son copain de regarder combien j’étais chienne…
Puis elle m’a ordonné de faire le beau, à genoux devant elle, avec les « pattes avant » en position comme un chien faisant le beau. Je l’ai fait, et du coup, j’ai lâché ma bite. Elle a regardé ma bite et elle m’a dit « Je ne t’ai pas dit d’arrêter ! ». J’ai recommencé, à me branler, à genoux, en faisant le beau.
D’un ton méprisant, elle m’a dit : « Plus vite ! ». Je me suis branlé plus vite, plus fort. C’était bon, je ressentais du plaisir, ma respiration devenait rapide. Elle me regardait dans les yeux. Elle pouvait voir le plaisir troubler mon regard, alors que j’étais à ses ordres, dans cette position humiliante. Elle m’a dit « Tu avais besoin d’une maîtresse, hein ? ». Je bandais dur, je me branlais rapidement, j’étais très troublé, par ma situation et ses beaux yeux fixant les miens… Elle me possédait, je n’avais envie que d’une chose : lui appartenir, lui faire plaisir en étant humilié par elle… je me sentais esclave. J’ai répondu « Oui, Maîtresse… ».
Je bande rien qu’en me rappelant cela. Puis elle s’est levée, elle est allée à la salle de bain, et elle est revenue avec un verre rempli d’urine, toute chaude. Elle me l’a tendu. Bien sûr, je continuais à me branler, sans avoir le droit de jouir. « Bois, sale chien ! ». Cela a attiré l’attention de son copain, qui a posé le minitel et m’a regardé. J’ai obéi. Son urine avait un goût âcre, j’ai eu un peu de mal, je n’avais pas l’habitude, à l’époque. Mais j’ai lentement bu le verre, en plusieurs gorgées. Je bandais tellement dur que j’ai été obligé de ralentir le rythme, sinon j’allais jouir. Son mec a sorti sa bite, plus grosse que la mienne, et a commencé à s’astiquer.
Elle m’a ordonné de le sucer. Je l’ai fait avec plaisir, j’étais déjà une salope expérimentée, j’adorais sucer. Elle m’insultait, du genre, « Suce, salope ! Chienne ! Pute ! ». Je me sentais vraiment salope soumise…
Elle s’est assise, cuisses écartées, et m’a ordonné de lui lécher le clito. Toujours à poil et à 4 pattes, j’ai promené ma langue experte sur son clito, elle a commencé à jouir. Elle a dit quelque chose que je n’ai pas compris, mais l’instant d’après, je sentais la grosse queue du mec appuyer sur mon anus. Il devait avoir lubrifié sa bite, c’est entré facilement, malgré sa taille. J’ai poussé un gémissement étouffé. Il m’a enculé de plus en plus fort, pendant que je léchais la dominatrice. Je ne pouvais plus me branler, sous ses coups de boutoir, je devais faire des efforts pour arriver à lécher le clito. Elle m’insultait et encourageait son mec à me féconder. Cela n’a pas duré très longtemps. Il a crié et s’est vidé de son sperme en moi. Alors que son sperme chaud coulait de mon cul de salope soumise, sous ma langue, la dominatrice s’est mise à crier et a joui.
Ils sont partis juste après, sans m’ordonner de jouir. J’étais frustré, je l’avoue. J’étais en chaleur… J’ai pris un peu de sperme entre mes fesses, sur mes doigts… Je les ai léchés en pensant au goût de l’urine de la maîtresse. J’ai repris la masturbation, j’ai joui presque de suite.
J’ai cherché à la revoir, mais elle avait quitté la région parisienne pour s’installer dans le sud.
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