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Entrainement de suceuse

Entrainement de suceuse



‘ai toujours aimé sucer. Je te l’ai assez vite dit. Je suce gentiment, jamais trop
profondément (je crains les hauts le cœur que ça me provoque), je lèche, je lape,
j’embrasse, je prends juste en bouche le gland, je caresse les couilles en branlant en
même temps le sexe dont je m’occupe, sans jamais avaler, je ne supporte pas qu’on me
tienne la tête, qu’on m’impose un rythme ou une profondeur trop importante.

Mais tu n’attends pas ça de ta soumise. Pas une simple fellation, tu veux une chienne
qui te bouffera la queue, une bouche à baiser, une gorge qui te massera le gland.
Quatre compétences à développer …

Quatre compétences à développer pour devenir ta parfaite salope pompeuse de queue.
Voilà ce que tu exiges de moi.

Te bouffer la queue sans y mettre une dent, jeux de langue parfait, aspirer ta queue
et gorge profonde. Tu m’as promis des heures d´entrainement, et des punitions à la
clef si je ne suis pas à la hauteur.

Et, tu m’as aussi promis des litres de foutre à boire pour passer au delà de mon
aversion à avaler ton sperme alors que ça me répugne, que ça me dégoûte. Flatter un
ego de mâle qui veut que je me rabaisse à boire son foutre alors que je ne veux pas,
très peux pour moi, je n’avale pas, je n’aime pas, je ne veux pas, je ne peux pas. Je
ne le fais pas. L’odeur désagréable, liquide acide à la texture épaisse et collante
qui gicle brusquement dans ma gorge, tout me déplaît, me répugne, m’écœure, dans mon
esprit, c’est presque sale, dégradant, humiliant. Pourtant, tu me feras bouffer du
sperme jusqu’à devenir ton avaleuse de foutre dévouée, jusqu’à aimer, jusqu’à en
réclamer.

Mon cœur semblait vouloir sortir de ma poitrine quand j’ai fermé la voiture et que
j’ai lu les instructions qui me mèneraient à l’appartement. J’avais peur. Les mains
moites et tremblantes, la voix chevrotante, la gorge serrée, le corps crispé et tendu.
Inlassablement, les mêmes questions tournent dans ma tête. Je
me demande ce que je fais la, pourquoi je suis venue, pourquoi je suis déjà si
excitée malgré tout.
J’ai sursauté quand tu as posé ta main sur moi pour la première fois. Tu conduits ma
main sur ta queue, pour que je te branle, tu m’embrasses, doucement ou presque
durement, en me mordant les lèvres. Tu me dis « vas me pomper ». J’ai alors, senti ta
main appuyer fermement sur ma nuque, je me laisse faire, sans résistance, c’est ma
bouche que tu amènes à ta queue.
Je découvre ta queue, elle me plait. J’ai très envie de te sucer, d’approcher ma
langue de ta queue. Hésitante, pas très sur de moi, je te lèche, de bas en haut, mes
doigts toujours autour de ta queue, je prends ton gland dans ma bouche. Mes lèvres
serrées autour de ta queue, je sens que tu me regardes, ta main sur ma tête tour à
tour me caresse comme une chienne, ou me contraint à travailler plus en profondeur. Tu
me fais comprendre d’arrêter, de me redresser, à genou à coté de toi, tu me regardes,
baisses mon débardeur et vois mes grosses loches marquées. Tu alternes morsures et
caresse, pincement et baiser avant de m’att****r par les cheveux pour me plaquer la
bouche sur ta queue que ma main n’à cessé de branler. Ta queue à nouveau dans ma
bouche, je m’applique de tout mon possible. Je commence à perdre pied quand tu fais
courir tes doigts sur moi, jusque ma chatte, et bientôt mon anus. J’alterne, je fais
tourner ma langue autour de ta queue, la lèche, te prend dans ma bouche, je la lâche
parfois, pour lécher ou prendre entre mes lèvres tes couilles, avant de reprendre le
va-et-vient entre mes lèvres, je suis de plus en plus excitée, je redoute que tu ne
finisses jamais, ça me dire dans la nuque, mes mâchoires deviennent douloureuses.
C’est ce moment que tu as choisi pour me retourner, j’ai la chatte trempée, le cul
ouvert par tes doigts. Rapidement tu me pénètres, avant de m’enculer, c’est la que tu
te videras les couilles pour la premières fois, avant de revenir dans ma bouche, me
faire nettoyer ta queue, vaguement honteuse et écœurée, je m’exécute pourtant sans
rien dire, les larmes aux yeux. Je devrais en prendre l’habitude désormais, car c’est
à chaque fois que tu m’enculeras que je devrais ensuite nettoyer la queue que j’aurai
souillée.
Première pipe qui sera suivie de nombreuses autres. Tu me troubles, tu es partout en
même temps, assénant ordres et consignes, distribuant partout sur mon corps caresses
et claques, baiser et morsures. Excitée, trempée, les idées confuses, l’esprit
embrouillé, je perds peu à peu le contrôle, je ne suis plus uniquement moi mais aussi
chienne à ton service, perturbée, je me démène pour avaler ta queue, je me rate, je ne
perds pied et me rate, t’infligeant à de nombreuses reprises coups de dents. Coup de
dents qui me vaudront l’obligation de devoir m’entrainer longuement et régulièrement
avant ma prochaine visite pour te vider les couilles.

C’est au cinéma que je boirai pour la première fois ton sperme. Je ne m’y attendais
pas, pour moi, ce n’était pas prévu au programme. Tu m’as d’abords fait te branler en
t’embrassant, j’étais déjà gênée, j essayais d’être le plus discrète possible, le
moins visible aussi. Puis, tu m’as la tête sur ta queue. Ton gland dépasse le fond de
ma gorge, je n’ai jamais fait ça, ta queue me remplissais la bouche. Je suffoque,
j’étouffe en même temps que je panique a l’idée d’être entendue, d’autant plus que je
devienne que je suis observée. Je me force, je continue, je suce, je lèche, j’aspire,
j’essaie d’oublier où je suis. Tu sais que je ne veux pas avaler. Après un moment, je
cherche à me redresser, croise ton regard, doucement tu me demandes si tu m’as
autorisé à arrêter. Je me remets a l’ouvrage, je ne discute pas tes ordres, même si
j’ai compris ce que ça implique. Mais la gêne se dissipe, laissant place a l
excitation brute, même si j’appréhende toujours la fin J’ai les larmes aux yeux, des
hauts le cœur quand butte dans ma gorge. Brusquement, je sens d’abord un fort
changement de goût, salé, âcre, acide, avant de sentir ton sperme épais, tiède envahir
ma gorge, remonter sous ma langue. Tes mains sur ma tête me force à te garder dans ma
bouche, tu y reste le temps de te vider. Avec difficultés, je ne pouvais qu’avaler.
Avaler encore, je déglutie avec peine, ton sperme visqueux s’écoule dans ma gorge
alors que j ai toujours ma gueule de chienne collée contre toi. Enfin, je peux
respirer. Tu m’embrasses, nous nous levons et quittons la salle sous le regard de
notre voisin, qui, tu me l’apprendras après, ne nous aura pas lâché des yeux. Je n’ai
plus qu’une envie, que tu me prennes des que nous rentrerons…

En bonne soumise que tu me fais devenir, de moi-même je viendrais à ton coucher et ton
réveil te pomper la queue, en bon vide couille que je veux devenir, je mets à ton
service, je deviens utile, heureuse de te servir, c’est de ça que naît mon excitation,
te servir, te vider, te satisfaire.

Je ne suis pas encore la bouffeuse de queue que tu attends d’une salope. Tu m’imposes
un entraînement de pompeuse. Tu décides alors que je devrais m’astreindre à un
entraînement quotidien, je suis contrainte de sucer un concombre, de te le prouver par
photo. Honteuse, un peu humiliée je mettrais du temps à m’exécuter. Je me retrouve,
chez moi, un concombre dans la bouche pour habituer ma gorge à recevoir une queue sans
difficulté, pour contrôler mes dents de tout dérapage. Je me baise la bouche chez moi
avec un concombre, je le fais contrainte, juste parce que je veux te satisfaire,
espérant simplement que ces efforts porteront leur fruit.

Puis, un jour, tu me siffles pour que je vienne. A peine arrivée, tu me mets à genoux,
sors ta queue. J’ai le cœur qui palpite. J’embrasse et te caresse la queue comme une
chienne au retour de son maitre. Tes mains qui me bloquent la tête, de plus en plus
pressantes, j’ai du mal à respirer, je te repousse pour reprendre mon souffle. Tu
m’empoignes la tête pour me baiser la bouche, provoquant des reflexe de recul, mais tu
ne me lâches pas. J’ai les mains sur tes cuisses, je me retiens à toi pour ne pas
perdre l’équilibre. Tu t’enfonces de plus en plus profondément en moi, j’ai le cœur
qui bat très fort, les yeux humides, je suffoque, m’étrangle quand ton gland touche le
fond de mon palais. Ma bouche pleine de toi et de salive, je cherche à te repousser
pour reprendre mon souffle, tu te retires quelques secondes et reprends aussitôt, tu
forces ma gorge. Je suis prise de haut le cœur. Tu oscilles entre mes lèvres et le
fond de ma gorge. Pas une fois je ne t’ai entendu me reprocher le contacte de mes
dents sur ta queue. Je m’applique du mieux que je peux, alternant rapide va et vient
et caresse avec la langue. Je suis autant heureuse qu’excitée de te servir de vide
couille. Je n’en peux plus, j’aimerai que tu me prennes, là sur le champ, mais tu
maintiens ta queue au fond de ma gorge pendant quelques secondes, avant de te vider,
je sens ton jus au fond de ma gorge, n’ayant pas d’autre choix, je me force à tout
avaler, ne rien laisser.

Je poursuivrai mon entrainement, que ce soit avec le concombre, l’homme ou mes visites
pour te vider les couilles, j’apprendrais à aimer le gout de ton foutre au fond de ma
gorge.

Plus tard, je reviens. Le rituel s’installe. Je suis à genou devant toi, dans
l’entrée. Tu es plus brutal, plus bestial presque. Je m’agrippe à ton jean alors que
tu me tiens par les cheveux pour aller au plus profond de moi. Je parviens enfin à
mieux me contrôler, ta queue passe plus facilement, toujours cette sensation
désagréable, mais je ne suffoque plus autant, je réprime toujours des réactions de
rejets. Tes aller et venus sont plus brusques, tu m’imposes un rythme presque
insoutenable, je pleure, je bave, ma bouche et ta queue pleine de ma salive, mais je
savoure l’idée d’être prise, pleine de toi, utilisée.

Apres ce qui doit être quelque minute, j’ai l’impression que ça fait une éternité, tu
m’att****s par les épaule, me relèves. Tu félicites mes progrès en caressant la gueule
de ta chienne, tu joues avec mes tétons déjà durcis, les pinces, les étires, tendue,
trempée, tes doigts qui me branlent le clitoris alors que j’ai toujours le Plug dans
le cul. Furieuse envie que tu me prennes. Je sens que je vais explosée, c’est le
moment que tu choisis pour arrêter, presque douloureux pour moi cette frustration,
plus besoin que tu me dises suces, je m’agenouille devant toi et ouvre la bouche. Tu
ne tardes pas à te vider, je prends soin de tout avaler, je sais qu’il te plaira de me
voire ne pas en perdre une goutte.
Mes progrès son remarqués, et seront récompensés quand enfin tu me libères du Plug
pour m’allonger sur le ventre, ma chatte est trempée, mon cul bien ouvert, je suis
chienne, je veux être enculée. Tu me prends brusquement. Enfin, j’espère pouvoir
exploser, enfin jouir. Mais tu décides que ce n’est pas encore le moment.

Assis sur le canapé, je suis à quatre pattes a coté de toi, a nouveau ta queue dans la
bouche. J’ai l’impression que ça fait une éternité, je fatigue, j’ai mal a la nuque,
des crampes dans la mâchoire, je lutte pour continuer, je peine, je n’en peux plus,
mais je poursuis encore, j’ai presque hâte de sentir ma bouche se remplir de ton
foutre. Mes gestes sont désordonnés, je te branle dans ma main, avec juste mes lèvres
enserrant ton gland pour me reposer les mâchoires. Mais, je veux faire de mon mieux,
car je veux ton plaisir, masser ton gland dans ma gorge sans que tes mains m’y
contraignent, me faire de plus en plus salope pour sucer, pomper, aspirer, boire, te
satisfaire et te faire cracher. Epuisée, je suis plutôt fière de moi quand, enfin, je
sens arriver deux ou trois jets saccadés me remplir la bouche, soulagée, j’avale.

De plus en plus chienne, de plus en plus salope, je ne suce plus, je me fais baiser la
bouche, défoncée la gorge, je bois ton foutre sans rien dire. Bientôt, tu te serviras
de ma bouche comme d’un vide couilles, sans plus aucune retenue.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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