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PREMIERS EMOIS

PREMIERS EMOIS



*** Introduction ***

Inutile et présomptueux, c’est ce que j’aurais pensé de l’idée de parler de moi, voir pire, écrire un peu de mon histoire. Pourtant, si vous lisez ces lignes c’est que j’aurais franchi le pas.

Je ne fais parti ni des riches, ni des puissants, ni même de ceux qui ont eu la chance d’avoir une vie hors du commun.

Ma vie, n’a rien d’intéressant sauf par les amours diverses, les rencontres, les passions que j’ai connues. C’est mon champ d’aventure a moi, pas besoin d’aller dans la jungle, les steppes, je me suis aventuré dans les alcôves, les draps de soie ou parfois des couches bien plus sommaires. Je n’ai pas remporté de batailles ou de combats autres que celui de faire succomber de plaisir une ou un partenaire.

Je ne vais pas non plus narrer par le menu toutes mes conquêtes, ce serait fastidieux et pas très amusant. Ce n’est qu’en comptant sur ma mémoire que je vais retracer ces rencontres, parfois trop brèves, trop cruelles aussi. La guerre laisse des cicatrices, les miennes ne sont pas visibles. Pourtant plusieurs blessures ne sont pas guéries et ne guériront jamais. Ai-je envie de guérir, je n’en suis pas si sur.

Qui lira ces lignes? Personne peut être.. ou quelques privilégiés. Je ne sais même pas si j’irais au bout de ce récit. En aurais-je la force? En aurais-je envie? Je vais devoir faire remonter des choses parfois profondément enfouies, dans le non-dit, le déni parfois. C’est un strip-tease une mise a nu que je ne pourrais pas divulguer à ma famille c’est certain. Je vais livrer des choses que j’ose parfois a peine me raconter, alors les coucher sur le papier vais-je pouvoir le faire?

Certains pensent que l’amour et le sexe sont indissociables, c’est une hérésie. Point n’est besoin d’avoir de sentiments pour avoir une relation physique satisfaisante a tous points de vue. A l’inverse on peut aimer sans avoir de relation charnelle. Mais si l’on combine les deux, le mélange est explosif et corrosif, aimer l’âme et le corps de l’autre c’est à la fois le paradis et la damnation. J’ai presque toujours cloisonné mes relations, séparant l’amusement que peut être une relation physique et l’engagement qu’implique une relation plus complète avec un autre être. Les sentiments sont un piège qui nous enferme. Il faut juste accepter d’être prisonnier de ces sentiments. Je me suis livré pieds et poings liés à plusieurs reprises. J’en ai toujours souffert à un moment ou un autre. Mais cette souffrance est je crois le prix a payer pour les moments incomparables que l’on vit quand on est amoureux. Par fois le prix est exorbitant et on continue a payer toute sa vie. Parfois on ne peut pas le payer. A essayer de séparer les genres on se brule un peu, je ne nierais pas que parfois des relations qui ne devaient être que des amusettes, on faillit tourner en relations plus sérieuses. Dans ce cas pas de solution sinon la fuite. Impossible de raisonner les sentiments il faut soit s’y plier soit mettre loin de vous l’objet de ces sentiments.

En lisant ce qui suivra, peut être penserez vous que je ne fais parfois pas grand cas de l’autre. C’est faux, même si j’ai eu des aventures ou de comptait que la plastique plus ou moins parfaite de ma partenaire. Je les ai toujours regarder avec tendresse. Même si je n’aime pas la femme avec laquelle je fais l’amour j’ai toujours une tendresse particulière. On peut ne pas être fou d’amour pour celle qui nous laisse jouer avec son corps. Sans pour autant la reléguer au rang d’objet pour notre plaisir. Il faut arrêter de penser que seuls les hommes sont friands de ce genre d’aventures. J’ai connu plus d’une femme qui par ennui, par envie ou même par jeu tout simplement se donnait pour une heure, pour une jour parfois plus. On se quittait bons amis après, on se revoyait, parfois ou jamais. Seriez vous choqués si je vous disait que certaines de celles qui on partagé ces moments d’intimité avec moi ne m’ont jamais donné leur nom ni même leur prénom. Ce sont des ombres, des moments agréables qui ont peuplé un moment de mon existence. Pour simplement satisfaire nos sens, donner et recevoir du plaisir et puis partir.

Je suis curieux peut être mais je suis comme çà et les circonstances et le hasard on fait que j’ai multiplié ces aventures. A ceux qui me connaissent je dirais que je n’ai jamais compris ce que mes conquêtes pouvaient bien me trouver.. Je ne suis ni athlétique, ni beau, ni riche… alors quoi? Je n’en sais rien sincèrement c’est un mystère. J’aime les femmes, j’aime rire, j’aime la vie je ne me prend pas la tête c’est peut être çà le secret et puis ne croyez pas que toutes on dit oui… J’ai essuyé nombre de refus, de déconvenues. Évincé la plupart du temps gentiment, mais parfois ce fut cuisant et humiliant. J’oubliais vite c’est sans doute la meilleur attitude. Mais malgré tout le nombre de oui m’a toujours sidéré.

J’ai toujours été doux par nature. J’ai toujours privilégié le plaisir de mes partenaire le faisant passer avant mon plaisir et mes propres désirs. Être violent n’est pas vraiment ma nature, pourtant dans ce qui suivra j’ai fait des choses que la majorité des gens réprouverait. Si je ne suis pas totalement en paix avec ces faits, je ne les renie pas, ni ne les regrette, ce que j’ai fait aussi dur et horrible que cela puisse paraître à toujours été fait en parfait accord avec mes partenaires, il n’y a jamais eu la moindre contrainte et tout a toujours été non seulement accepté mais voulu ardemment. Chacun peut me juger, me trouver cynique ou fou peu m’importe. Si dans ces jeux certains me hantent. Si je regrette d’avoir accédé a certains désirs troubles. J’assume parfaitement cette responsabilité c’est entre moi et ma conscience et croyez moi vous seriez sans doute plus indulgents que moi.

Je n’ai pas voulu faire un récit aseptisé et qui n’est pas dans le sujet, mes amours. Ce n’est pas seulement mes sentiments mais toutes mes sensations. Si on peut faire l’amour sans sentiment on ne peut pas raconter, a mon sens, une histoire d’amour et ce qu’elle engendre comme sensations sans passer par la description des jeux amoureux et de ce que l’on ressent a tel ou tel instant. Raconter une belle histoire d’amour entre deux êtres et faire abstraction du fait qu’ils ont des sexes, des seins des bouches et des mains qui sont les acteurs de leur amour c’est un peu comme raconter une histoire de gangsters sans parler des holdups..

Mes premiers émois sont bien loin, maintenant plus proche de la retraite que du collège ce sont de vieux souvenirs. Je les ravive parfois au détour d’une conversation avec celui que je peux appeler fils, ou frère plutôt. C’est rare que je fasse des confidences mais parfois on rencontre une personne avec laquelle on sent que l’on peut parler qu’il faut parler. Il se reconnaitra s’il lit ses lignes. Sans doute a t-il contribué au fait que je sois toujours là pour écrire. Dans les bons et les pires moments j’ai toujours eu cette oreille amie, cette compréhension des choses, sans jugement. C’est aussi la seule personne hormis mes diverses amoureuses, qui m’aie vu un jour pleurer. Je ne regrette rien je n’en ai aucune honte. A part mes amours c’est sans doute l’une des personne qui aura le plus compté dans ma vie. Vous avez sans doute compris que j’ai aussi quelque attirance pour les hommes, par jeu au début et pour ne pas mourir idiot. Par choix ensuite quand l’envie se faisait sentir ou que les circonstance y aidait. Cela dit je ne suis jamais tombé amoureux d’un garçon, mes relations sont toujours restées sue le plan physique et ludique. Je n’ai jamais conçus de sentiments amoureux que pour les femmes. Et encore je suis rarement tombés amoureux au sens plein du terme. J’ai eu des compagnes d’un moment j’avais bien sur des sentiments à leur égard mais rien qui ne tenait plus loin que la prochaine petite culotte affriolante que je convoitais. Je dois dire que j’ai pendant longtemps pris soin de trouver des partenaires qui ne s’accrocheraient pas à mes basques. Femmes mariées je vous adore, femmes infidèles vous avez été mes plus fidèles compagnes pendant de nombreuses années. Quelle sécurité de savoir que je n’avais que les moments de grâce et non les affres de la vie en commun.. Quel plaisir c’est d’arriver chez ces maitresses, attendu, choyé par celles qui voulaient de moi que le plaisir et les caresses. Avec une maitresse mariée, pas besoin de détours, on est là pour la coucher sur le lit et faire ce que son mari lui fait mal, ou pas du tout. Du moins elles pensent que c’est mieux avec un amant, je ne suis pas certain d’avoir été toujours bien plus empressé ou plus doué que leur mari, mais elle en étaient persuadées et c’est le principal.

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PREMIERS EMOIS

Pour ma décharge, (certains diront déjà…) j’ai fait mes premières armes sur le champ de bataille de l’amour à l’age d’un peu plus de 15 ans.. Je n’en conçois aucune fierté,

j’avoue que c’est pas vraiment moi qui l’ai voulu mais plutôt elle qui c’est servie. Je n’y ai rien trouvé à redire et somme toute, ce début m’a sans doute donné de bonnes bases pour la suite et le goût des femmes plus âgées que moi également.

J’avais bien sur commencé depuis un moment à ressentir l’appel du sexe, et je ne loupais pas une occasion de mater une culotte, un bout de sein ou autre bonne aubaine. On est tous commeçà a cet âge et on a tous facilement la main dans le slip. La masturbation a toujours été naturelle chez moi depuis longtemps et cette habitude a perduré jusqu’à maintenant. Même alors que j’avais une partenaire j’ai toujours eu des moments solitaires, mon imaginaire faisait le reste. J’aime cette sensation d’être maitre de son plaisir, de le moduler , le laisser venir a discrétion. Sans doute un besoin de domination, et quel plaisir c’est d’avoir la même emprise sur le plaisir de l’autre.

Revenons a ma première amante. J’avais 15 ans elle 30 je crois du moins c’est ce dont je me souviens. Pas besoin d’aller bien loin c’était la mère d’un camarade de classe et aussi une voisine de notre immeuble, ajoutons que c’était aussi une amie de ma mère et qu’elle ne sait toujours pas ce qui c’est passé entre nous. Le plus amusant étant qu’il y a quelques années, j’ai eu le plaisir en visitant mes parents de revoir ma première maitresse. Inutile de dire que la surprise fut égale des deux côtés et la gêne également. Mais revenons donc à mes 15 ans.

A cet âge n’importe quel jupon était tentant et suffisait pour nous mettre dans tous nos états. Inutile de dire que cet après midi d’aout ou j’ai connu ma première femme, est resté quasi intact dans ma mémoire. Ce fut donc par un bel après midi que allant naïvement chercher mon copain je suis tombé sur sa mère, seule a la maison, légèrement vêtue, une blouse légère et rien dessous . Il faut dire que chaque fois que j’allais chez ce pote, je ne pouvais m’empêcher de mater sa mère. Il faut bien dire elle avait toujours des tenues très sexy. C’était une très jolie femme, rousse flamboyante, une peau laiteuse constellée de taches de rousseur. Elle avait une bouche toujours bien maquillée qui me faisait rêver et de très beaux yeux gris pâle. Je ne loupais pas la moindre miette du peu de spectacle qu’elle offrait en croisant les jambes ou en se penchant en avant. Mon regard croisait le sien parfois mais je pensais en gamin qu’elle ne pouvait pas avoir la moindre idée de ce que j’avais dans la tête. En fait j’ai su après qu’elle avait bien compris que j’avais envie d’en voir plus d’elle.. Et elle allait m’en montrer bien plus, plus que je n’aurais jamais pu rêver plus que beaucoup de femmes n’en montre a leur mari.

Cet après midi là alors que son fils n’était pas là elle me fit quand même entrer dans l’appartement. Je n’étais pas dépaysé, ni trop intimidé ayant eu maintes fois l’occasion de m’y trouver. Elle me demanda si je voulais boire quelque chose de frais, il faisait une chaleur étouffante, un temps orageux. Elle nous servit un verre glacé de coca chacun. Et elle me fit assoir sur le fauteuil, prenant place dans le canapé. J’ai réalisé après que le piège se mettait en place. Quand elle s’assit, je vis qu’elle n’avait rien sous sa blouse, déjà quand elle se pencha vers moi, dans échancrure j’aperçus ses seins libres et lourds, et quand elle s’assit et croisant lentement les jambes je vis la balafre rose de sa chatte et la toison rousse. Inutile de dire que en une seule seconde je senti mon sexe gonfler, le rouge me monter au joues. Je ne savais plus ou me mettre. Mais d’un autre côté je bénissait le ciel ou le dieu des mateurs d’avoir autant de chance. En souriant elle décroise ses jambes, et les écartes largement, cette fois je crois que mon sexe va exploser, je me sent drôlement à l’étroit, face a ce sexe offert. Je n’oublierais jamais cette image, l’instant ou je vis ce sexe qui s’entrouvrait, couronné d’une toison rousse plutôt fournie, ce n’était pas l’époque de l’épilation maillot et cet aspect nature avait son charme. Et moi j’étais sous le charme, incapable de prononcer un mot, incapable de quitter des yeux ce qui m’était offert. J’ai l’impression que ce moment durait de longues minutes alors qu’au fond il a du être assez bref. Mais dans ma mémoire ca reste un long moment. Il fallait bien que cela arrive, appelons là Mireille, ouvrit la bouche.

*

Dis moi on dirait que tu aimes beaucoup ce que je te montre.

Je fus naturellement incapable d’aligner deux mots mais je réussit quand même a faire comprendre à ma charmante hôtesse que j’appréciais largement le spectacle.

*

Oui je crois que tu aimes çà, avec la bosse que tu as dans ton pantalon .. On dirait que ca te fait de l’effet.

Dire çà a un môme de 15 ans qui n’a vu que des chattes sur papier glacé et que d’un seul coup on lui en sert une magnifique sur un plateau c’est un peu du pousse au crime. Ah ca oui je bandais. Et pas qu’un peu. J’avais une folle envie de poser ma main sur ma queue, mais j’étais paralysé.

Plus jamais après je ne fut impressionné de cette manière, même si a chaque fois j’ai toujours le cœur qui bat un peu plus vite quand je vois la peau nue de ma partenaire.

Mireille se repaissait du spectacle et elle s’amusait beaucoup, avec le recul j’ai toujours pensé que je n’étais pas le premier, ni le dernier, j’avoue a ma grande honte que je me suis toujours demandé si elle n’avait pas eu les mêmes attitudes avec son fils. Je ne le saurais jamais.

En attendant serré dans mon slip ma queue palpitait. Mireille avait les jambes toujours écartées à quelques dizaines de centimètres de moi. Lentement elle dégrafait la blouse laissant s’échapper deux seins lourds aux larges aréoles toutes roses. Une superbe paire de seins, charmants, laiteux a souhait et constellés de taches de rousseur. La peau était si blanche que de fines veines bleues soulignaient cette blancheur. Je suis surpris de me souvenir si précisément de ces instants mais ils m’ont tellement marqués. Je sent encore son parfum, je vois cette fine ligne de sueur qui coule entre ses seins, ses yeux gris qui pétillent et sa bouche rouge entrouverte avec ce petit bout de langue qui passe et repasse sans cesse. Une mine ne chatte devant une assiette de crème.. C’est moi la crème.. et a cet instant je n’aurais donné ma place pour rien au monde.

*

Viens prés de moi me dit Mireille en tapotant le canapé prés d’elle.

Toujours in capable de dire un mot, je reste là figé comme si je n’avais rien entendu.

*

Allez viens tu n’a pas peur quand même?
*

Tu te doute bien que je ne veux pas te faire du mal… tu n’est pas idiot tu sais ce que je veux. Tu l’a déjà fait?
*

Non c’est a peu prés ce que je réussi a bredouiller en me levant du fauteuil

Je me lève mais je reste là sans bouger. Mireille se penche, me prend la main et m’attire prés d’elle. Je suis comme un zombie, partagé entre la stupeur, la crainte, le bonheur d’être là je crois que je vais me réveiller mais non.. Une femme est là a quelques centimètres de moi, nue et elle a l’air décidée à aller plus loin.

Maintenant debout prés du canapé, je sent son parfum, elle lâche ma main, puis en me regardant dans les yeux elle pose ses doigts sur ma cuisse et approche lentement de la bosse que je ne peux cacher tant elle est grosse, j’avoue que je n’ai nullement envie de la cacher. Ses doigts touchent mon sexe au travers du tissu et se referme sur ma queue. A cet instant j’ai cru que j’allais jouir. Mon cœur c’est mis a battre, c’est incroyable comment ce contact m’a propulsé dans un nouveau monde.. celui des grands en fait.. J’ai poussé un petit cri qui l’a follement amusée. Elle reprend ma main délaissant mon sexe et me guide vers ses seins.

*

Tu veux bien me caresser je pense, ca ta fait envie?
*

Oui.. je m’enhardis je retrouve la parole, mais c’est primaire comme toutes les sensations que je ressent a cet instant.

Ses seins son doux et chauds, ils palpitent sous ma main, je caresse leur courbe descendant vers le mamelon que je fini par heurter et là c’est le déclic. Je vois quand je frôle la pointe de son sein qu’elle entrouvre les lèvres et laisse échapper un petit soupir. Je recommence ce petit jeu, je caresse et je termine sur la point du sein qui se met a durcir et a se dresser. Mireille semble apprécier le jeu.

*

Tu a les mains douces caresse moi encore tu le fais bien, prend moi le bout entre tes doigts

J’obéis et je prend le petit bout de chair entre mon pouce et mon index doucement. Mireille a les yeux mi-clos et elle apprécie. L’instinct sans doute ou la symétrie je lance mon autre main à l’assaut de l’autre sein, lui prodiguant les mêmes caresses. Pendant ce temps elle a lancé a nouveau sa main entre mes cuisses cette fois me massant les couilles et la queue. Elle serre parfois mes couilles, c’est nouveau pour moi mais cette manipulation fait son effet et je bande de plus en plus si c’est possible.. Mireille passe son autre main derrière mon cou et attire mon visage prés du sien, de plus en plus prés je sent son souffle sur mes lèvres. Je me laisse aller nos lèvres se touchent, sa bouche s’entrouvre, sa langue touche mes lèvres, les dessine. L’instinct mes lèvres s’entrouvrent et ma langue cherche la sienne. C’est vraiment dingue cette sensation un vrai baiser .. j’avais bien bécoté quelques copines de mon age mais rien de comparable. Ce premier baiser restera peut être comme l’un des meilleurs de toute mon existence. C’est a ce moment que je me suis « dégelé » je crois, j’étais trop estomaqué pour réagis mais a cet instant j’ai une peu repris le contrôle. Je n’étais plus passif mais actif. Ma langue pourchassais la sienne, la repoussant dans sa bouche. Un baiser qui dura longtemps et qui surpris Mireille, elle me le dira plus tard. En attendant je deviens plus fougueux pétrissant ses seins pinçant les tétons. Pendant ce temps elle caresse mon sexe. Je suis maintenant presque couché sur elle. Brusquement elle se dégage, dans ma tête je me dis c’est fini j’ai fait une connerie, je passe à la porte. Voyant ma mine déconfite, Mireille me sourit, et me prenant par la main elle me dit d’une voix douce « Viens , gros bêta» et elle m’entraine dans la chambre.

Mon cœur bat à tout rompre, déjà passablement excité en fait totalement largué je sais maintenant que ma belle amie m’entraine vers son lit que l’aventure ne fait que commencer. Mireille ôte sa blouse et je la vois totalement nue. Pour moi à cet instant il ne peut y avoir de plus belle femme. Ses hanches sont larges, ses cuisses pleines, ses seins lourds mais pourtant fermes, ses aréoles sont larges comme des sous-tasse, rosés les pointes son petites mais tendues. Mes caresses ont atteint leur but il semble. Elle s’approche de moi et m’enlève ma chemise, en caressant mes épaules. Puis elle dégrafe mon pantalon le laissant tomber a mes pieds. Elle pose doucement ses lèvres sur ma bouche, et se laisse glisser couvrant ma poitrine de baisers, la parcourant du bout de la langue. Elle s’attarde sur mes tétons qu’elle suçote doucement me faisant ressentir des sensations étranges qui me parcourent le ventre et se concentrent dans mon sexe qui gonfle un peu plus encore. Elle glisse lentement son haline chaude me parcours le ventre. Elle fait glisser mon slip laissant échapper mon sexe gonflé. A cet instant je ne sais plus ou je suis, mes joues sont brulantes, la tête me tourne un peu. Je ne suis plus qu’une bite dure, gonflée prête a exploser. Mireille était experte, a cet instant je crois que si elle n’avais pas eu autant de doigté j’aurais giclé comme un fou. Le contact de ses doigts sur ma verge me fit l’effet d’un coup de fouet.. Je sentais mon sperme bouillonner prêt a gicler. Elle serra la base de ma verge très fort, ce fut presque douloureux, je senti un frémissement a cet instant je ne sus pas ce qui arrivait (elle me montra après) mais je laissai échapper une grosse perle transparente que Mireille récupéra du bout de la langue. Avant de laisser glisser sa bouche sur mon sexe tendu. Quelle merveille, sentir les lèvres vous gober lentement le gland, puis descendre alors que la langue cajole, s’enroule autour du gland hyper sensible. Je sentais ma queue tressauter dans ce fourreau humide et chaud. Je crus encore une fois que j’allais éjaculer, non elle réussit encore une fois à stopper la montée. Je ne tenais plus sur mes jambes.. j’avais la tremblotte, j’étais en sueur. Tout en me gardant dans sa bouche elle me fit tourner et me poussa doucement sur le lit. Je me laissais aller. Elle cessa sa fellation, me regardant d’un regard langoureux elle me dit « C’est bon? tu aime çà? » Que voulez vous répondre? Je hochais bêtement la tête, incapable de dire un mot ou de prendre la moindre initiative bien sur… qui aurais pu?

Je me laissais guider, elle m’expliquais sans un mot. Ma queue était tendue a cet âge, je pouvais bander des heures cela à un peu changé quand même j’avoue.. quoique..

Sur le dos, la queue dressée, avec une femme que le trouvais la plus belle qui soit, j’étais vraiment chanceux j’avais du mal à croire à ma chance. Et pourtant elle était là prés de moi Mireille venait de s’allonger et elle me guidais vers son sexe, mes mains dans les siennes elle me guidait vers son sexe, rapidement je me mis a genoux sur le lit, premier mouvement que n’avais pas suscité ma maitresse. Je laissais mes mains caresser cette fente qui m’attirait comme un aimant, elle était chaude humide, les poils roux rehaussait la blancheur de sa peau la balafre rose baillait quand elle mouvait ses cuisses. Elle guida mes doigts et me montra comment écarteler sa fleur de chair. Doucement je voyais enfin de mes yeux ce sexe de femme ouvert. Les photos que j’avais vu ne rendaient pas grâce à la beauté de ce joyaux et je n’ai pas changé depuis ce jour j’ai une admiration sans borne pour la beauté du sexe de la femme. C’est pour moi un spectacle toujours renouvelé. Pour avoir gouté, usé et abusé de ce miracle de la nature je peux assurer que pas deux fois je n’ai trouvé la même chose, saveur, odeur, texture chaleur tout est renouvelé, le sexe de la femme est unique. Je ne me lasse pas de l’admirer. Même aujourd’hui je peux passer de longs moments a cajoler une chatte, a la faire pleurer palpiter, je la mange, la suce, la pénètre avec délice. Mes partenaires sont souvent surprises du soin que je peu mettre, du temps que je peu passer a jouer avec ce joyaux, et pas une jusqu’à maintenant n’a été déçue, pas une seule de mes partenaires n’a manqué de jouir sous ma langue. C’est là le plus gros de mon ego mais n’y voyez aucune vantardise, ce n’est pas moi qui le dit, ce sont elles.. Et croyez moi aussi prés de leur sexe et avec un peu de pratique pas question de simuler un orgasme. Je n’ai peut être pas fait jouir mes partenaires a chaque fois en les prenant. Mais elle ont pris leur plaisir sous ma langue..

Mais c’était la première fois , j’étais émerveillé et impressionné, mon sexe était toujours aussi tendu. J’écartelais ce sexe et lentement j’approchais ma bouche, je m’enivrai de cette odeur entêtante, mêlée de l’odeur acre de la sueur. J’avoue avoir eu quelques craintes en m’approchant, mais je ne regrettais pas, j’adorais cette odeur, je déposais un baiser sur les pétales humides, maintenant je sais pourquoi elle était aussi humide, j’ai toujours dans ma tête cette image de ce sexe que j’ouvrais en grand, avec ces filaments transparents qui tapissait l’ouverture de sa chatte, le gouffre palpitant m’hypnotisait. Je me rendis compte a ce moment que Mireille gémissais doucement, comme une chatte qui ronronne. Et puis j’osais, je voulais gouter, je dardais ma langue , récupérant un peu de ce qui tapissait les lèvres trempées du bout de ma langue, je gouttais pour la première fois la saveur d’une chatte humide. Je fus emballé et je m’enhardissais tirant quelques frissons et gémissements a Mireille qui m’encourageais. « Oui c’est bon , oui là continue, doucement » Elle me guidait et plus je la léchais plus son minou était trempé, ma salive certes ajoutais à l’inondation mais je ne bavais pas tant que çà. Et je n’étais pour rien dans l’apparition de ce liquide laiteux et épais qui commençait à s écouler du fond de son vagin palpitant. Je n’eus aucune hésitation a gouter ce nouveau nectar au goût fort, douçâtre, un peu salé difficile a trouver une comparaison. Mais j’adorais çà c’était certain.

Mireille m’attira vers elle, et me dit « Viens mon chéri, prend moi » Elle n’eut pas besoin d’expliquer je me coulais sur elle, mon sexe buta un instant à l’orée de sa chatte et je m’engloutissais en elle. Franchement je n’oublierais jamais cette sensation de douceur, de moiteur de chaleur. Aucune main aucune bouche ne peut reproduire cette sensation. Je sentais son sexe palpiter me serrer comme un étau se relâcher, puis me happer de nouveau. J’allais et venais lentement en elle, pas besoin de m’expliquer en plus ses jambes croisées sur mes reins imposait le rythme lent. Elle me caressait la poitrine, doucement et elle me redit fou quand ses pouces se mirent a effleurer mes tétons au début je fut surpris, je me laissais aller et cette caresse me fit un effet dingue, mais rien de comparable au moment ou elle prit les pointes entres ses doigts les faisant rouler. C’était fulgurant, je manquais d’air mon cœur battaient comme un fou, mon sang battais a mes tempes, je sentais palpiter mon sexe. Mes couilles étaient dures, je me contractait, je plongeais a fond en elle. Ses doigts pincèrent un peu plus fort mes tétons et je poussais un cri au moment ou je sentais le flot violent de mon sperme qui remontais dans mon sexe. Un éblouissement, une révélation l’extase.. je l’entendais a peine me dire « Oui viens jouis mon petit chéri, c’est bon, oui encore c’est bien » Je me laissai tomber contre elle, vidé anéanti de plaisir. Elle me prit dans ses bras, me bécotant le front, plus comme une mère que comme une amante. Je restais longtemps contre elle, jouissant de mon tout nouveau statut d’homme…. J’étais fier, comblé et heureux.

Ce fut ma première fois et quelle première fois!!

Durant le reste de l’été je passais au moins une bonne douzaine d’après midi avec Mireille. D’elle j’ai tout appris ou presque. Elle m’apprit à me servir intelligemment de ma langue et comment la faire jouir, comment faire durer le plaisir, elle me fit aussi connaître le plaisir de lécher un anus, et la sodomie. Et puis un jour a la fin de l’été elle me dit que c’était fini que je ne devais pas revenir, que maintenant j’allais me trouver des copines de mon âge. Elle me fit plus d’un compliments, et termina en me disant qu’elle avait beaucoup aimé, que je l’avais fait jouir plusieurs fois que j’étais doux et que je ferais beaucoup d’heureuses. Elle me donna un dernier baiser, je ne jurerais de rien mais j’ai toujours cru voir des larmes dans ses yeux. Les miennes de furent pas feintes j’en avais gros sur le cœur, j’étais un peu amoureux d’elle c’est certain. Mais j’étais assez lucide pour savoir que cela ne pouvais être qu’éphémère.

Jusqu’à mes derniers instants je ne pourrais jamais l’oublier. Elle nous a quitté il y a déjà quelques temps et quand je l’ai su je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer. Je crois que je lui dois beaucoup et toutes mes partenaires si elles ont pris du plaisir lui sont largement redevables. Si tous les hommes avaient la chance d’avoir une telle initiation, je reste persuadé que les femmes seraient moins déçues par les prestations de mes congénères.

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