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Ma rencontre avec des strip-teaseuses (partie 3 fi

Ma rencontre avec des strip-teaseuses (partie 3 fi



Partie 1 :  
Partie 2 :

Une semaine plus tard, je me retrouve à devoir m’occuper un week-end seul, sans ma femme. En prime Marine est en vacances, alors j’envoie un petit SMS à Malorie pour le samedi soir. Elle n’est pas libre, me dit-elle, car elle a promis de sortir avec la fameuse Hanaa. Qu’à cela ne tienne, moi je veux bien sortir avec les deux ! Je propose à Malorie de m’accompagner, avec son amie, à une soirée libertine qui a lieu ce soir-là et à laquelle je suis invité. Finalement, elle me répond un peu plus tard que le programme a changé et qu’elles sont obligées de bosser au club…

Qu’à cela ne tienne, j’irai seul à ma soirée libertine, il y aura bien assez de femmes là-bas. Et comme la soirée commence tard, j’irai auparavant dans mon club favori ! Au programme, donc, Malorie (elle ne m’avait pas menti), mais également Hanaa ! Je prends donc un petit salon, histoire de faire connaissance avec cette dernière. Celle-ci s’avère être absolument charmante, et avait visiblement aussi envie de faire connaissance avec moi. Alors que je lui fais part de sa ressemblance amusante avec une ancienne danseuse que j’adoré, elle me révèle qu’elle la connaît très bien, c’est une excellente copine, voire même sa copine !!!

Je savais déjà que cette ancienne danseuse était bisexuelle. J’apprends maintenant qu’à l’époque où elle dansait au club et où je la fréquentais, elle était en couple avec Hanaa ! Fascinant, non ? Hanaa m’indiqua qu’elle est elle même bisexuelle, fétichiste et libertine, et qu’elle fréquente des clubs échangistes. Voilà des informations fort intéressantes que j’espère bien pouvoir mettre à profit plus tard ! En attendant je me rends moi-même à ma propre soirée libertine, qui n’est pas l’objet de ce récit.

Deux semaines ont passé. Marine est rentrée de vacances, nous fixons un nouveau rendez-vous à l’hôtel l’après-midi. Ce n’est pas toujours évident, avec elle. Visiblement, elle a l’orgasme un peu lent et difficile, il faut que je la travaille vite, fort, et longtemps, et en plus elle manifeste peu son enthousiasme, ce qui fait que j’ai du mal à savoir quand elle jouit, si elle a vraiment joui, du coup dans le doute je continue à bourriner, jusqu’à ce que l’un de nous deux s’effondre d’épuisement. Elle m’oblige ainsi à des marathons incroyables comme je n’en ai jamais faits ! Après l’amour j’ai essayé de la brancher un peu sur ce qu’elle aime, ce qu’elle aimerait, ce que je pourrais améliorer, mais évidemment l’idée même d’un debriefing à mots ouverts la rebute, alors pas évident d’avoir du retour d’expérience !

Malgré cela, je commence à prendre mes marques avec elle. L’excitation de la nouveauté s’estompe, mais simultanément nous apprenons le plaisir de mieux nous connaître. Ainsi j’ai compris que, comme beaucoup de femmes, elle a besoin d’avoir le clitoris stimulé. Donc le missionnaire est la position par excellence. En levrette, ça marche si en plus je lui caresse le clito. Je lui ai suggéré de se caresser elle-même, elle a initialement trouvé la proposition saugrenue ou gênante, mais finalement elle a suivi mon conseil pour son plus grand bénéfice. Contrairement à d’autres femmes, elle aime que mon sexe bute au fond de son vagin. Elle adore se faire stimuler les seins, je m’efforce donc d’en avoir toujours au moins un en bouche ou en main… Et ainsi de suite.

De son côté, elle fait aussi quelques efforts, mais reste la plupart du temps passive. Les quelques fois où elle prend le dessus en cow-girl, elle n’arrive pas à tenir le rythme et la durée dont elle a besoin pour parvenir à l’orgasme, du coup nous terminons le marathon en missionnaire. Ma grande frustration reste qu’elle ne m’ait jamais prodigué de fellation, et que globalement elle ne se soit jamais trop intéressé à mon corps, à part quelques tentatives de branlette maladroite que j’ai fini par repousser.

De ce cinquième rendez-vous avec Marine à l’hôtel, je retiendrai avant tout ceci, ne jamais planifier mon sport hebdomadaire après une après-midi avec elle ! En revanche, le petit café crapuleux du lendemain matin fut à nouveau délicieux !

Les semaines passèrent. Je n’ai pas totalement perdu espoir avec Malorie, mais j’ai l’impression que tant que je serais avec Marine ça lui fera trop de nœuds au cerveau. J’ai donc espacé les messages et les salons avec elle. Puis un jour de visite au club, comme ça, c’était elle qui me tentait le plus, je la reprends en salon, et là, surprise ! Elle se jette littéralement sur moi, m’embrasse à pleine bouche (sans y mettre la langue toutefois), et finit même par placer ma main entre ses fesses ! Je lui doigte le cul pendant que je me branle, c’est une nouveauté pour moi et ça ne fait d’ailleurs pas partie des figures autorisées en salon.

Quelle mouche l’a piquée ce jour là, je ne le saurais jamais. Deux semaines plus tard, je viens au club exprès pour elle, car c’est son anniversaire et tout le monde lui fait la fête, les danseuses comme les quelques clients dans la confidence. Je lui offre un cadeau, elle est très touchée. Puis je prends un salon avec elle pour compléter le cadeau, mais il s’avèrera tout à fait quelconque.

Pendant ce temps, avec Marine, nous planifions une petite escapade en amoureux au bord de la mer…
A part une pièce de théatre et un resto, nous avons passé quasiment tout notre temps libre à faire l’amour ! Avec de très bons moments à la clé, notamment le soir en rentrant du resto à 2 heures du mat un peu bourrés. Autre évènement marquant, une tentative de fellation vraiment pas terrible… j’ai mieux compris pourquoi elle ne s’était pas lancée plus tôt, ce n’est vraiment pas son truc.
Après notre retour, nous reprenons le rythme de nos après-midi langoureux et débuts de matinée crapuleux.

Puisque je ne prends plus de salons avec Marine, et que je ralentis le régime avec Malorie, avec qui donc est-ce que je passe de bons moments au club ? Avec Hanaa ! Nous nous retrouvons toujours avec plaisir, et nous parlons souvent musique, théâtre… Elle m’avoue être fascinée par le monde de l’érotisme, de la pornographie, et apprécie vraiment ce qu’elle fait au club, c’est pour elle une expérience complémentaire.
Près de deux mois après notre premier contact, je prends un nouveau salon avec elle. Les câlins se font un peu plus chaleureux, et nous échangeons des petits baisers un peu timides sur le coin de la bouche.

Au troisième salon, les baisers se précisent, mais elle me refuse de les prolonger ou d’ouvrir la bouche. Elle est visiblement anxieuse de ne pas enfreindre les règles de la maison, sous l’œil inquisiteur de la caméra de surveillance. Je ne vais pas lui dire que certaines de ces camarades n’hésitent pas à m’embrasser en salon, j’ai peur qu’elle le prenne mal. Nous évoquons à nouveau sa bisexualité, elle m’avoue avoir une préférence pour les femmes. Elle aime bien les hommes aussi, mais c’est plutôt en appoint. En gros, il lui faut un mec une fois par mois. Cette révélation me fait bien rire. Elle me dit en passant que je pourrais très bien un jour être son mec du mois. Je souris de cette grosse perche bien tendue, et je lui propose d’en reparler autour d’un verre le soir même. Non, ce ne sera pas pour ce soir. Mais elle reste ouverte à un rendez-vous, une autre fois.

Au début de l’été, je profite d’un nouveau déplacement professionnel, pour emmener Marine y passer un jour et une nuit avec moi. Notre TGV arrive à l’heure du déjeuner. Nous nous posons à l’hôtel, descendons manger un morceau, puis remontons. Je passe dans la salle de bain. En en ressortant, je la retrouve me tournant le dos, accoudée à la fenêtre, avec sa petite jupette qui ne demande qu’à être soulevée. Mon sang ne fait qu’un tour. Avant qu’elle n’ait le temps de se retourner, je me précipite derrière elle pour l’enlacer, l’embrasser, puis je descends, soulève sa jupe, baisse sa culotte, et commence à dévorer ses ravissantes fesses. Je lui écarte les jambes, passe un grande coup de langue sur sa fente déjà humide, je remonte dans sa raie et je lui léchouille son anus qui n’attendait que ça.
« J’ai tellement envie que tu m’encules avec ta bite » me dit-elle crûment. C’était la première qu’elle me parlait ainsi.

Entendant cela, je descendis ma main le long de sa cuisse jusqu’à la lisière de ses bas puis encore plus bas. Rien ne freina ma progression, son sexe était gonflé et humide.
Après un temps d’attente pour bien profiter de ce moment, je commençais à m’introduire petit à petit écartelant son anneau comme jamais. Dès le début de mon entrée, Marine se mit à gémir ce qui ne fit que décupler mon envie de lui remplir le cul. Je lui tirais violemment les cheveux en arrière ce qui eut pour effet d’avancer son cul vers mon sexe. Je pouvais apercevoir ses yeux fermés et sa bouche grande ouverte pendant que je m’enfonçais. C’était incroyable, elle acceptait que je m’enfonce entièrement sans qu’elle ne me montre la moindre douleur ou la moindre hésitation.
J’étais arrivé au bout, elle avait avalé d’une traite mon sexe. Je me retirais presque complètement et sans qu’elle s’y attende, je fourrais à nouveau, mais cette fois ci plus rapidement, mon sexe dans son magnifique cul. Elle réagit en cherchant ma bite avec son cul ! Puis je commençais des va et vient profonds et à chaque fois plus violent.

Ensuite, nous passons sur le lit où je commençais à lui dévorer le clitoris, tout en lui enfonçant, un, deux, puis trois doigts dans le vagin. Elle me guida subtilement vers les bons endroits et le bon rythme, pour que je puisse lui donner un magnifique orgasme. Après quoi elle me gratifiera d’une fellation, timide au début, puis de plus en plus entreprenante, et pour la première fois je l’encourage à continuer jusqu’au bout, ce qu’elle fera sans rechigner, en pompant bien jusqu’à la dernière goutte… avant d’aller tout recracher à la salle de bains ! Il y a du progrès tout de même. Après quoi nous nous lancerons dans un second round qui me verra terminer en sueur, épuisé…

Le lendemain matin, Marine me posera une petite question, comme ça, en passant, l’air de rien : « Et au fait, Hanaa, est-ce que tu as déjà essayé de sortir avec elle ? ». Mais comment fait-elle ? C’est beau l’intuition féminine. Fidèle à moi même, je ne lui mens pas, je lui réponds qu’effectivement avec Hanaa nous avons abordé le sujet, mais que nous ne sommes pas allés plus loin. J’espère néanmoins que Marine ne va pas d’une manière ou d’une autre compromettre mes chances avec Hanaa, comme elle semble l’avoir fait avec Malorie…

Je finis par me laisser tenter à reprendre un salon avec Malorie, que je n’avais pas vue depuis longtemps. J’ai cette fois droit à un excellent accueil, avec de nombreuses caresses et baisers. Alors que nous nous dévorons les lèvres, mais qu’elle me refuse sa langue, elle me sent bien un peu étonné, et finit par m’expliquer qu’elle n’embrasse jamais avec la langue, et que même avec son ex-mari elle ne le faisait jamais ! Les mœurs de Malorie me laissent décidément de plus en plus perplexe.

La semaine suivante, je demande un salon avec Hanaa. Juste à ce moment là, Marine sortit de la loge pour aller faire son show ! Léger moment de gêne. Cela ne nous empêchera pas de passer un excellent moment avec Hanaa. J’ai l’impression qu’elle se retient moins dans les baisers. Cette fois je ne lui propose pas de rendez-vous, car je suis sur le point de partir en vacances. Je lui demande ses plans pour l’été, elle va emménager et s’installer avec sa copine ! Nous nous donnons rendez-vous pour un rendez-vous après mes vacances. A la sortie du salon, je croise à nouveau Marine. Je lui bafouille une banalité quelconque et je m’en vais.

Pendant mes vacances, j’ai un jour la surprise de recevoir un SMS de… Malorie ! Me demandant si ça va bien. Je me dis tiens, elle pense à moi, peut-être qu’elle avait envie de me voir. Finalement toutes mes chances ne sont peut-être pas perdues avec elle. On verra bien après les vacances.

A mon retour au mois d’août, je signale mon retour à Malorie ainsi qu’à Marine, et je propose des rendez-vous à l’une et à l’autre. Au cours d’un échange d’emails avec Malorie, elle se plaint que le mois d’août est creux, et qu’elle n’a plus aucun salon. Je lui demande si elle comptait sur moi pour remonter ses statistiques, et je lui confie que justement je n’avais plus trop l’intention de prendre de salons avec elle, car trop courts et trop frustrants. D’un point de vue sexuel, je n’en pouvais plus d’en rester là avec elle, et d’un point de vue purement amical, un salon ne nous donnait pas assez de temps pour discuter vraiment. Alors à quoi bon ? Si elle tient à moi qu’elle m’accorde un peu de temps en dehors du club. La réponse ne se fit pas attendre :

« Je n’ai pas eu le temps de te répondre ou peut être que si, pour être honnête j’en avais pas forcément l’envie car je suis assez déçu des hommes… Vous venez tous au club dans le simple but de nous prendre en salon pour nous voir à l’extérieur et tenter de coucher avec nous. Et même si la plupart disent vouloir être amis je suis désolée on ne recherche pas des amies dans un club de strip. Franchement je t’apprécie beaucoup mais la dernière fois que tu es venu j’étais assez déçue. Tu ne me prends plus en salon car tu préfères me voir à l’extérieur car ça coûte moins cher mais je vous trouve très égoïste toi et les autres. Vous n’arrivez pas à vous mettre en tête que le théâtre c’est notre travail et que malheureusement vous voir à l’extérieur ce n’est pas bon pour les affaires et pour notre réputation. Pourquoi ne pas se contenter de voir nos spectacles, de nous parler et de vivre des bons moments en salon ? Nous sommes capables aussi d’avoir de la discussion ! Ca doit te paraître injuste mais moi aussi ça me parait très injuste et égoïste de réagir ainsi. C’est mon taf et j’y gagne ma vie. Si tu ne veux plus me reprendre en salon parce que je ne t’intéresse plus je l’accepterai car c’est le jeu, mais si tu refuses car tu préfères me voir en dehors et avoir une relation…GRATOS et bien ce n’est pas possible. Bref ! Je te souhaite de trouver une autre danseuse qui acceptera ! Bisous. »

Le lendemain je me fends d’un long message à Malorie qui sans doute ne la fera pas changer d’avis, mais qui au moins fait valoir mon point de vue. Puis je vais déjeuner avec Marine pour nos retrouvailles. Une fois n’est pas coutume, elle a râlé lorsque j’ai évoqué dans un message la réservation d’un hôtel pour l’après-midi, ce qui fait que je n’ai rien réservé, attendant de prendre la température d’abord. Au cours du déjeuner elle me demande si j’ai progressé avec Hanaa ! Je ne l’ai pas revue depuis mon retour de vacances, l’honneur est sauf. 

Nous discutons la question de l’hôtel, elle me reproche mon manque de tact, « on est pas des robots », comme si l’objet de nos rencontres était soudain devenu quelque chose de honteux qu’il ne faudrait pas évoquer ouvertement. De toute façon, elle a rendez-vous à 16h avec une amie, donc c’est râpé pour l’après-midi. A l’issue du déjeuner, nous trouverons tout de même un coin tranquille dans lequel nous pourrons nous enlacer et nous embrasser à l’abri des regards indiscrets. Je lui explique que ça me rend fou de ne la voir que dans un lieu public sans pouvoir la toucher. Le lendemain, je lui envoie un SMS lui expliquant de manière plus détaillée le fond de ma pensée. SMS écrit un peu comme un coup de gueule, à chaud, et que j’envoie tel quel parce que j’en ai envie, quelles qu’en soient les conséquences.

Bon cette fois, c’est décidé, il faut que j’attaque Hanaa. Je me rends donc à mon club favori, après avoir appelé pour avoir le programme et être sûr qu’elle y soit. Malorie est là aussi. A l’issue du show je suis d’ailleurs très tenté par Malorie qui est venue se lover contre moi et ça m’a fait tout drôle. Je demande donc un salon avec Hanaa, ce qui, je le sais, aura le don d’énerver Malorie. Salon agréable avec Hanaa, petits bisous mais toujours sans se mouiller. Je lui caresse doucement les tétons. Elle rit, puis me les retire.
Elle me raconte aussi sa semaine de vacances au Cap d’Agde avec sa copine. Je lui dis que dans un tel endroit, elle a du atteindre son quota de mecs pour les 6 mois à venir ! Elle me répond que non, qu’elles n’ont pas vraiment trouvé de mecs à leur goût, et qu’elles ont plutôt chassé les femmes…

Nous parlons rendez-vous, elle n’est pas libre en début de semaine car elle emménage dans son nouvel appart’, mais propose de nous voir vendredi soir. Je propose de lui glisser discrètement ma carte de visite, pour qu’elle puisse me recontacter d’ici là et qu’on finalise les détails. Mais elle ne veut pas prendre la carte, elle a trop peur de se faire choper par la caméra ! Elle me propose plutôt de venir la relancer vendredi, on confirmera le rendez-vous le jour même. Evidemment ça ne m’arrange pas de devoir repayer un salon avec elle juste pour fixer un rendez-vous, mais un peu décontenancé par son refus de ma carte, je n’ose pas insister et j’accepte son plan.

Le vendredi en début d’après-midi, profitant d’un déjeuner dans le quartier, je me présente au club. Malorie est à l’accueil avec la caissière ! La caissière me demande « une entrée ? », je réponds « Non, je n’ai pas le temps aujourd’hui, juste un salon direct avec Hanaa. » Sur quoi Malorie tourne les talons et va s’enfermer dans la loge, visiblement pas très contente. En salon, je décide de rester en mode non sexuel, pour mieux discuter et finaliser le rendez-vous. Elle me propose samedi plutôt, mais je ne peux pas. Ce sera donc ce soir, mais pas très longtemps car elle a prévu d’aller au ciné après. Rendez-vous est pris devant un bar dans un autre quartier. J’insiste cette fois pour lui glisser ma carte dans le soutif pour qu’elle ait mon numéro au cas où.

A l’heure dite, j’arrive devant le bar indiqué, et j’attends un peu. Petit SMS pour m’indiquer qu’elle arrive dans 5 minutes, ça c’est sympa. Et la voila, presque pile à l’heure, au moins elle est ponctuelle, ça me change un peu ! Nous décidons d’aller plutôt dans un autre bar plus tranquille, nous nous posons et commençons à discuter. Ce moment avec elle est aux antipodes de ce que j’ai pu connaître avec Marine. Nous sommes avides d’en savoir plus l’un sur l’autre et nous avons beaucoup de choses à nous raconter, la conversation rebondit dans tous les sens. Cette jeune femme de 22 ans me sidère par les expériences rocambolesques qu’elle a déjà vécues dans sa courte vie et par les histoires incroyables qu’elle me raconte sur sa famille, ses ami(e)s. Je lui raconte aussi ma vie, qui par certains côtés doit paraître bien terne par comparaison, mais j’ai quand même quelques anecdotes croustillantes aussi. Bref, ce rendez-vous est une vraie réussite, nous sympathisons vraiment beaucoup. En revanche c’est un peu comme si ce passage en mode amical avait totalement mis en veilleuse les potentialités sexuelles que nous avions entrevues en salon.

Nous nous quittons le sourire aux lèvres et le bisou sur la joue. Suite à ce rendez-vous et à mes derniers échanges avec Malorie et Marine, j’en ai perdu l’envie d’avoir des relations sexuelles avec des strip-teaseuses. Je pense que cette période de ma vie dans les clubs de strip est terminé.

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