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Des bons moments (La suite)

Des bons moments (La suite)



Pendant 1 mois, je n’ai pas osé y retourner. Pourquoi ? Je crois que j’avais peur qu’elle m’envoie promener.
Pendant 1 mois, je me suis astiqué le manche en pensant à elle ; j’essayais de me remémorer dans le détail son corps de rêve. Je râlais aussi de ne pas lui avoir sauter dessus pour la baiser et j’y remédiais en pensée. Je me branlais en m’imaginant lui faire des trucs chaque fois de plus en plus hard et ça m’excitait encore plus.
J’ai finalement pris mon courage à 2 mains.
Je rentre dans la librairie … Elle me regarde, pas un mot et pas le sourire habituel …
Je me plante devant les magazines, je stresse, me dit « Pars » mais finalement j’attends d’être seul avec elle. C’est long.
Je peux enfin m’approcher et elle me dit :
« Je pensais que tu ne viendrais plus! Je suis contente de te voir ».
Soulagé, je balbutie un truc du genre :
« Moi aussi j’ai bcp pensé à vous ».
Elle rigole, me regarde et me dit « Ca, je n’en doute pas une minute ».
Son sourire irradie enfin son visage.
Elle me dit : « J’ai encore un peu de boulot, attend-moi à l’arrière, je fais vite ».
Me voilà ainsi dans l’arrière boutique à l’endroit de mon dernier « exploit ».
Je ne sais pas quoi faire. Je suis assis sur un fauteuil. J’essaye de rester calme mais je suis surexcité. Je bande aussi comme un ours en me promettant de ne pas laisser passer l’occasion de la baiser, si elle se présente, tout en stressant aussi d’être à la hauteur.
J’entends qu’elle ferme la librairie …
Elle arrive, s’assied à coté de moi. Elle est encore plus « bonne » que dans tout mes souvenirs.
Elle me dit moqueuse : « Je suppose que tu t’es un peu moins branlé sur tes playmates ? »
Et avec son grand sourire, elle poursuit : « Je veux que tu me racontes en détail tout ce que tu as imaginé me faire en te masturbant depuis la dernière fois » …
J’hésite, un peu gêné, et elle me dit juste fermement : « TOUT »
Et me voilà à énumérer un véritable catalogue : fellations, cunnis, branlettes espagnoles, pénétrations dans une multitudes de positions, éjacs faciales, sur ses loches, sur sa chatte, sur son cul …
Elle, elle m’écoute juste avec attention me regardant dans les yeux.
Une fois terminé, il y a un très long silence.
Je coupe celui-ci en lui disant que j’avais aussi adoré sentir sa langue quand elle m’a embrassé et je poursuis :  » Tu sais, ton sourire, ta bouche, c’est peut-être paradoxalement ce qui m’excite le plus ».
Elle me répond : « J’ai beaucoup aimé te regarder te branler sur moi »
« Et j’ai adoré sentir ton foutre chaud sur mon visage ».

Elle poursuit : « Tu aimes ma bouche alors ? ». Tout en approchant celle-ci de la mienne, toujours le regard droit dans mes yeux, je sens sa main ouvrir mon pantalon … Ma bite bien dure apparaît d’un coup et je sens qu’elle la prend en main, commençant à me branler doucement. Sa bouche pendant ce temps là est presque posée sur la mienne. Je soupire de plaisir, par à-coups. Elle se déplace lentement toujours ma bite dans sa main, se met à genou devant moi et me dit :
« Je vais te sucer encore mieux que dans tes plus beaux fantasmes »
Elle est commence à me pomper.
J’avais un peu d’expérience avec mes copines, mais une femme, une vrai, non!
Son regard pendant qu’elle me suce, divin.
Elle ouvre son chemisier … Elle n’a pas de soutien et ses loches apparaissent
Elle remonte sa jupe … Elle n’a pas de culotte et j’aperçois sa superbe chatte.
Parfois elle s’arrête, maitrisant son sujet, pour éviter que je gicle trop vite!
C’est un pied de dingue.
Elle s’arrête à nouveau et me dit :
« J’ai aussi envie que tu me baises bien fort mais on va prendre son temps »
« Je veux que tu sois à l’aise et sûr de toi »
« Tu viendras tout les jeudis à la fermeture et je te sucerai »!
« Tu me gicleras dessus où tu veux ».
« Et un jour, je saurai que tu es prêt à me démonter »

Elle sourit, reprend sa fellation plus fort et plus vite et au moment où elle sent que je vais jouir, elle me dit en ouvrant la bouche « Je veux ton foutre sur mes lèvres ».
Aaaaaahhhhhh
Les giclées sont tellement fortes qu’elle en a sur tout le visage, sur ses cheveux mais le but est atteint : elle se mouille les lèves avec mon sperme! Elle se délecte. Son regard brille. J’adore.

Pendant des semaines, j’ai eu droit à ma pipe du jeudi.
Elle était chaque fois meilleure.
Elle était chaque fois plus agrémentée : j’ai commencé à pouvoir la toucher, ses seins, passer ma main sur sa chatte, sentir ses poils et lui mettre un doigt.
J’avais droit aussi à une branlette espagnole.
Parfois elle était à poil, parfois habillée, parfois elle était pressée et elle me pompait plus vite mais jamais elle ne m’a dit qu’elle n’avait pas le temps.
Parfois à genou, parfois allongé à coté de moi, …
La seule chose inexacte dans ce qu’elle m’avait promis, c’est que c’est elle qui décidait où je lui giclais dessus.
C’était souvent dans sa bouche.
Parfois, sur son visage.
Parfois juste sur ou entre ses seins.
Un jour, j’ai pu lui bouffer la chatte. C’est moi qui était à genou devant elle ; je la léchais, lui fourrais ma langue … Elle me guidait. C’est la première fois que je l’ai entendu jouir! J’étais fier.
Les yeux brillants, elle m’a dit : jouis sur ma chatte.
Je me branlais à 5 cm de son orifice et je n’avais qu’une envie, c’est de la pénétrer.
Mais j’avais compris que ce n’est pas encore ce qu’elle voulait.
Et j’ai couvert son bas ventre et ses poils de mon foutre!
En partant, elle m’a dit au revoir et m’a glissé à l’oreille : « Sois en forme jeudi prochain »