Alexandre a déménagé avec sa femme depuis trois mois. Je ne l’ai plus vu depuis notre dernière rencontre.
Etant toujours avec ma copine, je reste le plus discret possible et je ne cumule par les plans. Mais depuis quelques semaines, je suis en manque de bite. J’ai très envie de sucer et je profite de cette soirée de samedi soir où je suis seul pour essayer de trouver un mec.
Voilà quelques temps que je parle avec un homme de trente cinq ans, Stéphane. Nous décidons de nous rencontrer ce soir. Il veut d’abord se faire sucer avant d’aller plus loin (sorte de test). Je trouve l’idée sympa et excitante. Nous nous donnons rendez-vous à 21H30 non loin de chez moi, dans le centre-ville.
Comme d’habitude, une fois sur la route pour aller à sa rencontre, je ne peux pas m’empêcher de stresser. Mon rythme cardiaque s’accélère quand j’imagine ma main autour de son sexe. Je ne connais pas encore cet homme. Je sais seulement qu’il est architecte, qu’il est adepte du SM et qu’il est bien membré, selon ses dires. Dans quelques minutes, j’en saurais plus sur ce sujet.
Il est garé au loin. Je vois sa voiture et je reconnais son visage par rapport à sa photo de profil sur « messenger ». Je monte dans sa voiture, le cœur battant plus vite que jamais.
– Salut ! Comment vas-tu ? me dit-il.
Je réponds, la voix tremblante quelque peu.
– Ca va merci. Tu connais un endroit ?
Il me répond qu’il aime se mettre sur le parking près du golf. La nuit, il n’y a personne ici.
Pendant le trajet, il me pose quelques questions :
– Alors, tu rencontres souvent des hommes en pleine nuit ?
– Non non. Ca fait longtemps justement…
– Et tu en manques c’est ça ?
Il me regarde en souriant. Je remarque qu’une de ses mains est posée sur son entre-jambe. Je me mords la lèvre inférieure.
– Oui, très en manque.
– Alors tu vas te régaler avec ma queue.
En disant ça, il vient chercher ma main et la pose sur ses couilles. Il est assez directif, j’adore ça.
– En tout cas, tu as une sacrée bouche. Une belle bouche de suceuse.
Je ne sais pas quoi répondre, alors je souris. Il vient mettre son index contre mes lèvres et rentre son doigt dans ma bouche.
– Montre moi ce que tu vas faire à ma queue.
J’att**** sa main et commence à sucer son doigt. Je lèche, salive dessus, puis l’enfonce profond jusqu’à me donner un haut le cœur.
– Hum… petite salope.
Nous arrivons sur le parking du golf. Personne à l’horizon. Stéphane recule son siège et me regarde. Il n’a pas le temps de dire un mot que je plonge mes deux mains sur son jean et défais sa braguette.
– Et bien ! Tu es pressé on dirait !
J’enlève son pantalon et aperçois son caleçon. Sa queue est déjà gonflée et remonte descend jusqu’à la cuisse. Je l’att**** par le caleçon et je viens lécher le tissu. Ma langue glisse jusqu’au gland et je la sens grossir un peu plus.
J’en peux plus, je lui retire son sous-vêtement. Sa queue se dresse aussitôt devant moi. Large, veineuse, gros gland, dure… elle doit bien faire 20 cm. Je ne peux m’empêcher de faire un « hummm » à la vue de cet engin.
– Alors, elle te plait ?
– J’en ai jamais vu une aussi grosse…
Je la prends dans a main et la branle doucement. Mon autre main glisse sur ses couilles et je les malaxe. Je laisse couler un filet de salive sur son gland et passe ma main dessus.
– Hum… aller, suce moi maintenant.
Je m’approche de son sexe bien dur, ouvre la bouche et enfonce son gland pour le déposer sur ma langue. Je referme mes lèvres dessus et je commence à faire des vas et viens, lentement pour commencer, puis de plus en plus rapide. Sa queue est grosse et prend de la place. J’ai du mal à l’enfoncer profondément.
Stéphane vient appuyer sur ma tête, je me dégage d’un mouvement rapide.
– Ta… ta queue est grosse ! Désolé, j’ai cru que j’allais vomir, lui dis-je.
Il me regarde en souriant et me reprend par la tête pour m’emmener jusqu’à sa queue.
– Pas grave. Continue à sucer.
Je m’applique du mieux possible. Je gagne centimètre par centimètre en profondeur. J’en profite pour cracher sur sa queue, la rendant le plus humide possible. Il a l’air d’adorer ça.
– Crache encore sur ma queue !
– Je n’ai plus salive…
– Ouvre ta bouche de salope alors !
J’ouvre la bouche devant lui, et il me crache dedans. Je lui demande de le refaire encore une fois. Sa salive m’atteint dans la bouche et sur le visage. Je m’en sers pour cracher sur sa queue et je baisse ma tête jusqu’à ses couilles que j’aspire. Je joue avec elles, les fais rouler dans ma bouche pendant que ma main branle sa grosse bite bien mouillée.
– Putain, tu suces à merveille.
Je remonte ma langue de ses couilles jusqu’à son gland et le suce de nouveau.
Soudain, il me repousse contre le siège et me bascule la tête en arrière. Il vient se placer au-dessus de moi et m’enfonce sa queue dans la bouche. Alors que sa bite vient s’enfoncer de plus en plus loin dans ma gorge, je sens une de ses mains venir sous ma queue et un doigt glisse dans mon cul.
– hum… cul bien serré et bien lisse… Je vais te baiser la bouche et la prochaine fois, je me ferais ton petit cul de pute.
Je ne peux pas réagir à ça car sa queue est en train de m’étouffer. Je me débats, le repousse, mais il reste enfoncé en moi. Après quelques secondes, il sort enfin son sexe et me laisse respirer. J’ouvre la bouche pour happer de l’air et reçoit sa salive en plein visage puis son gland se faufile de nouveau dans ma bouche. Il vient poser ses deux mains sur ma tête et me bloque totalement contre le siège. Ses coups de bassin sont de plus en plus violent et sa bite, plus dure que jamais, est pratiquement entièrement rentrée dans ma bouche. Des larmes coulent de mes yeux, je salive sur mon visage, mais j’aime ça. Je veux qu’il soit encore plus violent avec moi, plus directif. Je veux être son meilleur plan suce qu’il ait pu avoir.
Il retire sa queue et me regarde en souriant. Ma bouche est ouverte, j’ai de la salive qui coule sur moi, je suis essoufflé.
– Alors, tu aimes ça ?
– J’adore… baise moi la bouche encore s’il te plait.
Je lui parle en le regardant dans les yeux d’un air « petite fille gentille ». Je tiens sa queue dans mes mains et le branle doucement.
– Je veux sentir ta grosse queue dans ma bouche. Je veux que tu sois méchant avec moi…
A ces mots, il me bouscule de nouveau contre le siège et vient placer ma tête dans le vide. Ses couilles se trouvent au-dessus de moi et je viens les mettre dans ma bouche. Je sens sa main venir entre mes jambes et caresser mon petit trou tout lisse.
– Ouvre la bouche salope et prépare toi.
Son gland passe contre mes lèvres et s’enfonce au fond de ma gorge. Pa reflexe, je tente de le repousser mais il bloque mes deux mains avec jambes. Je cambre le dos un maximum pour tenter de me dégager, mais ça ne marche pas. Sa queue s’enfonce encore, je sens que je vais vomir. Mais rien ne vient. Seulement la sensation. Je pleure et laisse sortir un filet de salive de ma bouche qui vient s’étaler sur le haut de mon visage et coule dans mes cheveux. Sa bite ressort de ma bouche et rentre de nouveau. Puis il commence à ses vas et viens. Je me laisse faire…
Je me laisse baiser la bouche par ce mec que je ne connais pas. Sa grosse queue de 20 cm entre entièrement en moi, j’ai mal à la mâchoire, j’ai les yeux fermés et je sens en même temps ses doigts entrer et sortir de mon cul. Il a du en mettre un deuxième ou un troisième, mais je ne m’en rends pas trop compte. Il abuse de moi, se sert de moi tel un objet sexuel.
Je ne sais pas combien de temps je suis resté comme ça, mais ça m’a paru long.
– Tiens toi prête ma salope !
J’entends à peine ce qu’il dit que je sens un liquide chaud se déverser dans ma gorge.
Il jouit. Je n’ai pas d’autre choix que d’avaler. Je m’étouffe presque avec son sperme qui semble ne jamais s’arrêter de gicler.
Il sort sa queue et quelques goûtes viennent m’arroser le visage. Je suis trempé. Ma salive, la sienne, son sperme. Mon visage est mouillé intégralement. Je me redresse et prend sa queue en main pour venir la lécher et essuyer les dernières goûtes de jus.
– Putain, quelle salope ! C’était trop bon. L’un des meilleurs plans que j’ai eu.
Je souris. J’ai adoré ça et j’ai hâte de redevenir son objet sexuel. Alors que je m’apprête à remettre mon caleçon, il me choppe par la nuque et me renverse sur ses genoux, le cul en l’air.
Ses mains viennent écarter mes fesses et je l’entends cracher sur mon cul. Sa salive tombe sur mon trou puis deux de ses doigts viennent me pénétrer. Je lâche un râle de plaisir. Je ne comprends pas. Il vient de me baiser la bouche pendant 30 minutes, il giclé comme un cheval dans ma bouche et veut encore jouer avec mon cul.
Je suis toujours allongé sur ses genoux, la tête non loin de la portière et j’ai une vue sur sa queue qui est toujours aussi dure. Ses doigts sortent de mon cul et il se penche vers le côté de passager. J’entends un bruit, un claquement puis il se redresse sur son siège. Et là je le vois. Il le pose devant moi. Mes yeux sont grand ouverts et mon cœur se met à battre à toute vitesse.
– Tu m’as bien sucé ma salope. Je peux pas attendre la prochaine fois pour m’occuper de ton cul. Tu vas être ma pute jusqu’au bout ce soir.
Pendant qu’il me parle, je ne peux pas lâcher du regard le gros gode qu’il a posé près de moi. Un gode noir, large et tout aussi gros que sa bite.
Ajouter un commentaire