C’était l’étape que j’attendais le plus, tout en étant celle que je craignais le plus. Voir un autre homme s’enfoncer en Aurelie le sexe nu. Le voir se contracter et gicler son sperme en elle.
Évidemment, pas question de prendre le moindre risque. Jules étant désormais son amant le plus fidèle, nous avons développé une vraie confiance avec lui. Pas question de passer cette étape avec un autre. Nous nous connaissons depuis plusieurs mois et avons pu juger de son sérieux. C’est sans problème qu’il accepte de venir avec nous passer une prise de sang. Les résultats tombent vite. Tout va bien. Rendez-vous est donné le vendredi soir suivant.
Retour à une configuration un peu similaire à celle de nos premières soirées. Aurélie s’est faite belle. Bas, talons et rouge à lèvre. Je suis plus stressé que d’habitude. Elle ? On ne dirait pas.
Il sonne, elle ouvre, il l’embrasse et entre. On se serre la main, échange de politesses. Comme d’habitude, la table est dressée pour un petit apéro. Mais le programme change immédiatement.
À peine m’a-t-il dit bonjour qu’il revient près d’Aurélie. Il lui caresse l’épaule et me regarde.
« Si ça ne te dérange pas, je crois que je passerais bien tout de suite au dessert », me lance-t-il.
Aurélie ne dit rien mais le suit lorsqu’il prend sa main et l’emmène vers la chambre. À peine a-t-il passé la porte qu’il la pousse sur le lit. Il relève sa jupe et commence à lui dévorer la chatte. C’est la scène que j’observe alors que je passe la porte.
« – Hey le cocu, regarde mes doigts dans la chatte de ta femme. Et c’est que le début.
Alors comme ça tu veux sentir ma queue petite salope ?
– Oui, je veux te sentir jouir en moi. »
Il se relève et retire sa chemise, puis son pantalon. Jamais ils ne sont allés aussi vite. Je suis debout à côté d’eux et je vois sa queue déjà raide. Il monte sur le lit et se place devant Aurélie en missionnaire. Je me déplace pour avoir un angle de vue idéal. J’ai le ventre noué. Il pose son gland sur les petites lèvres et frotte doucement.
« Oh putain ce qu’elle est douce. Écarte tes lèvres pour moi ma belle. »
Je vois ma femme ouvrir sa chatte avec ses deux mains. Son gland se fait désormais pressant. Il n’a donc pas de capote. Ses lèvres sont ouvertes. Ca y est, il s’enfonce doucement.
« Hmmmm »
C’est elle qui prend son pied mais j’ai tout autant l’impression de décoller. Mon sexe est dur comme jamais. Il la baise sans capote. Il fait des petits va-et-viens pour s’enfoncer de plus en plus profondément en elle. Elle prend son pied.
« Qu’est ce qu’elle est douce sa chatte. Et tellement serrée. Je sais pas si tu va la revoir de sitôt, parce que je compte bien en profiter souvent. »
Après quelques minutes il est à fond. Il la prend de plus en plus fort. Il a remonté ses jambes et va bien au fond. L’inévitable se produit : elle est traversée par un bel orgasme.
Aussitôt, Jules se retire et s’allonge à côté d’elle.
« Viens goûter ta mouille sur ma bite », lui lance-t-elle.
Comme d’habitude maintenant, elle suit ses ordres. À quatre pattes sur le lit, elle fait remonter sa langue le long de son membre, puis prend son gland dans sa bouche. Il l’encourage, puis lui ordonne :
« Viens t’empaler sur moi maintenant. »
Elle grimpe sur lui et l’embrasse à pleine bouche, je me place derrière eux pour voir sa main à elle qui saisit sa queue et la place à l’entrée de sa chatte.
C’est elle qui appuie pour le faire entrer. Mais il lui saisit les fesses pour la bloquer, et se met à la limer comme un fou.
« Alors le cocu, ça te plait ?! »
Il se retire parfois un peu pour me montrer le sexe béant de ma femme. Puis il se remet en elle d’un coup pour quelques aller et venu rapide. Et ainsi de suite.
Je suis hypnotisé. Jamais elle n’a pas été possédée par un autre à ce point devant moi. Entre l’excitation et une pointe de jalousie, accentuée par ses cris à chaque accélération, j’ai l’impression que mes jambes vont flancher et que je vais m’écrouler.
Et cela ne va pas s’arranger.
« Baise moi la bite maintenant. Remue comme tu sais le faire », ordonne Jules.
Je vois alors les fesses d’Aurélie s’agiter sur lui. C’est quasiment du twerk ! Je vois le sexe de Jules bien serré en elle apparaître et disparaître.
« Oh oui, oh oui continues tu vas me faire jouir petite salope !
– Vas-y, je veux te sentir jouir », répond ma femme.
– Oh oui, ouiii !! »
Jules saisit les hanches d’Aurélie et les appuies contre lui en criant de plaisir. Je le vois relever les fesses en se contractant pour aller au plus profond. Une fois, deux fois, trois fois. Il jouit en elle comme un fou, puis se relâche.
Elle s’écroule sur son torse et l’embrasse à nouveau. Sa queue est toujours en elle. Puis Aurélie se retire et s’allonge à côté de lui. Je ne peux m’empêcher fixer sa chatte du regard. Elle est luisante, mais pas de sperme qui coule. Je suis presque déçu. Et il le voit.
« T’inquiète pas le cocu. Je lui en foutrais partout la prochaine fois. »
Une promesse qu’il va largement tenir.
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