Alain était mon copain d’enfance. On était toujours ensemble. On a grandi a la meme adresse, on habitait sur le meme étage. Il avait deux soeurs, plus jeune que nous, mais je les trouvais mignonnes, surtout Marlene, on jouait ensemble et je faisais expres pour passer ma main sur leurs fesses ou leurs poitrines. A l’adolescence, ses parents ont déménagé a Pointe-aux-Trembles, mais on a gardé contact. On se voyait moins souvent mais a l’occasion, j’allais paser des fins de semaine chez eux. Je me souviens, un soir on regardait un film, nous étions étendus sur le tapis, sa soeur a coté de moi et j’ai commencé a l’embrasser a la caresser, elle se laissait faire. Je passais ma main entre ses jambes, elle portait une robe, je caressais sa petite chatte a travers sa petite culotte. Je placais sa main sur ma queue, je lui demandais de me branler a travers mon short. Je glissais ma main sous culotte et lui effleurais la chatte, elle écarta les jambes un peu, elle gémissait, je bandais fort. Je me sors la bite, elle se met de coté pour regarder mon sexe. Doucement, elle se penche et commence a me sucer, oh la salope, elle sait tres bien comment faire. Oh Alain, tu profites de ta soeur mon cochon. Il me regarde avec le sourire, on n’a pas besoin de se parler. La petite pute me suce de facon magistrale, elle prend toute ma bite dans sa bouche, moi je mouille un doigt pour le glisser dans sa chatte. je lui fouille l’interieur. Je sens la seve qui monte, l’érable va couler, oh c’est bon, putain de connasse elle se sort la queue de la bouche, mon sperme coule sur son bas-ventre. Je continue mon doigtage, elle gémit de plaisir, je sens du jus couler de sa chatte. Je me mets a genoux pour lui baisser la culotte et coller ma face a son minou pour lecher sa jouissance. Apres cet instant merveilleux on ajuste nos vetements et on va se coucher, les filles dans leurs chambres et moi avec Alain. On met nos pyjamas, mais comme il fait chaud, moi je me fous a poil, Alain me regarde nu
– Dominique, tu as une belle queue
– ah oui, merci, montre-moi la tienne
Il retire le drap et baisse son pantalon
– toi aussi, ta bite est belle et je pense que tu est en train de bander, mon cochon, c’est moi qui te fais cet effet la ?
– un peu
Je m’approche de son lit et lui touche le sexe. Il devient raide, je referme ma main sur sa queue et commence a la masturber. En meme temps je colle la mienne a sa bouche, il la regarde et ouvre la bouche, je la glisse et commence a me sucer. il me dit
– je vais jouir
Je me penche, le suce pour avaler son sperme, ne pas faire de dégat sur son lit,
– Alain, je viens aussi
Il garde ma queue dans sa bouche et j’explose, il avale tout aussi
– merci, bon dodo, a demain
– a demain
Le lendemain, on décide, Alain, sa soeur et moi, d’aller se promener sur la rue Notre-Dame, pres de la voie de chemin de fer, il y avait une usine désaffectée. On rentre dans la batisse, dans une piece un bureau. Je prends la main de Marlene et l’assieds sur le meuble, je me place entre ses jambes. Je commence a l’embrasser en lui massant sa petite poitrine
– hey les amis, et si je vous sucais a tour de roles ?
Alain et moi, on se regarde avec un sourire, on baisse nos shorts, on s’accote au bureau. Marlene se met a genoux entre nous et commence a passer sa bouche d’une bite a l’autre. Quel beau moment,
– Dominique, je pense qu’elle aimerait se faire mettre, ma soeur
– oui, j’ai besoin d’une queue dans mon minou
elle se releve, remonte sa robe, baisse sa culotte, elle place ses mains sur le meuble, recule les jambes et les écartes. Je me mouille deux doigts et commence a lui caresser le sexe, je pousse mes doigts a l’interieur pour qu’elle mouille bien comme il faut,
– aller Dominique, donne-moi ta queue, baise-moi
Je place ma queue a l’entrée et pousse, je baisse cette belle Marlene, la soeur de mon meilleur ami, que j’aime ca. Alain, lui s’occupe de ses seins et lui offre sa bite, qu’elle accepte de sucer. Je me cramponne a ses hanches et laisse couler mon sperme en elle, Alain lui vient dans la bouche. On se rhabille et retourne a la maison, ma mere m’attend. J’ai hate de revenir.
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