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Sous le Soleil de Madrid (ou pas) P2

Sous le Soleil de Madrid (ou pas) P2



Après tout ces efforts, nous discutons un peu, plus ouvertement que les dernières fois, mais bien vite nous commencons à mourir de faim. Et surtout de soif.

Je prends alors sur moi, éméché et encore un peu shooté d’endorphines, de sortir me mettre en quête d’un supermarché à la nuit tombé dans un pays étranger.

20 minutes et quelques différents linguistique plus tard; (Quieres una bolsa? Yes a bag, please. Una bolsa? Yes por favor! Una Bolsa? Bordel, oui donne moi un sac connasse!)
Je reviens pour préparer à manger.

Et alors que je prenais un malin plaisir à me moquer de ma brunette, en lui montrant comment je lui mettais des claques sur le cul;(En me servant du poulet acheté pour l’occasion que je badigeonnais d’huile d’olive à la main.)

Celle-ci toujours nue, viens se coller a moi et en profite pour se mettre a genoux et sortir mon sexe encore recouvert d’un peu de sperme, et s’applique à le suçer une fois de plus.

Dur de résister à une telle vue…
Mes mains déjà occupées, je ne peux que baisser le regard sur sa chevelure qui ondule sous le mouvement, alors que je sens sa bouche qui se referme de nouveau sur mon sexe.

Il ne me faut que peu de temps avant de bander une fois de plus, et je l’att**** par les fesses pour l’asseoir sur le plan de la cuisine. Je prends un malin plaisir à essuyer mes mains pleines d’huiles sur ses seins, ce qui l’excite encore plus. Le temps d’aller chercher la capote réglementaire et j’aggrippe de nouveau ses fesses, refroidies par le plan de travail, avant de la pénétrer de nouveau, beaucoup moins prudemment cette fois.
Elle enroule ses bras autour de mon cou, alors que les vas et viens d’enchainent. Je goute à ses seins et je trouve qu’ils ont un petit gout d’olive.

Mais la position fini par devenir désagréable pour nous deux et elle descends pour poser ses mains un peu plus loin sur la table du salon en me tendant son cul. Une nouvelle petite claque qui retenti alors, et j’empoigne ses fesses de mes mains pour les écarter et la prendre en levrette. Le silence de la pièce n’est interrompu que par le claquement de mes hanches sur ses fesses et par ses gémissements…
Nouvel orgasme (pour moi du moins) et elle part s’effondrer sur le canapé.

A ce stade, nous sommes a poil tout les deux, et personne ne semble s’en soucier. Nous reprenons un verre et grignotons alors que je finis d’enfourner le diner.

Mais alors que je la rejoins dans le canapé pour regarder sa série, je sens au bout d’une dizaine de minutes sa main qui recommence à se balader sur ma cuisse…
Je la regarde étonné en lui disant juste: »Vraiment? Encore? »
Et elle me répondis d’un sourire contrit et coupable, comme une petite fille fautive »

Personnellement à ce stade, je me sentais rassasié ou presque, mais je me disais aussi qu’il y avais peu de chance que je la revoie une fois rentré.

Je l’embrassais alors, et l’allongeais une fois de plus sur le canapé, les préliminaires se réduisant au strict minimum. Et me revoila entre ses cuisses, la pénétrant plus profondément que la dernière fois.
Je commençais alors a donner des coups secs, et je la sentais gémir de plus en plus fort.

Je remonte alors ses cuisses contre son torse pour pouvoir plonger plus profondément encore, et je me sens arriver tout au fond. Elle gémis alors un « Oui! Encore! » Et je m’applique à lui donner les plus grands coups de reins dont je suis capable.

A chaque coup de reins je me sens taper tout au fond de sa petite chatte, mon gland pressé à l’intérieur.
Et dans les moments ou je reprends mon souffle, elle attrappe mes fesses de ses mains à plusieurs reprises pour me plaquer et forcer encore plus. Comme si elle voulais que je la transperce de part en part. Je sens ma verge se tordre sous l’effort et la pression et je repars de plus belle alors que ses gémissements se transforment en cris.

Elle tremble une fois de plus, et je jouis pour la troisième fois avant de m’effondrer sur elle, étourdis par cette overdose de baise, tout deux haletants.

Elle s’endormis alors paisiblement dans mes bras, têtant sa langue dans une mimique que je trouvais absolument adorable. Je la regardais de temps à autres, attendri par son air de belle au bois dormant, tout en essayant de me repasser les détails de cette soirée en tête, un sourire satisfait sur le visage.

Une légère odeur de poulet brulé envahi alors soudainement la pièce…

Fin

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