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Marie – Ch 5

Marie – Ch 5



« Pour soulager ce pauvre Marc, vous allez bien lui faire une fellation !! »

Finalement, dans ce vieil immeuble, réduite à l’état d’esclave sexuelle, le terme de fellation ne semble pas si anachronique que ça à Marie. Et puis elle s’est déjà caressée en imaginant prendre le sexe de Marc dans sa bouche, pour le faire jouir, lui donner du plaisir. Dans ses rêves il était un peu plus long, et surtout moins poilu, peut-être avait-elle rajeuni Marc de quelques années pour en profiter dans ses fantasmes.
Sans réfléchir davantage, elle a bien réalisé que cela ne servait plus à rien, elle s’approche de Marc, mais le Directeur la coupe dans son élan :

« Attendez, ce serait trop simple. Vous allez uniquement vous servir de votre bouche, je ne veux pas voir vos mains sur Marc, d’ailleurs vous les mettrez dans le dos. Et je ne veux pas que vous avaliez son sexe comme une actrice porno, non, je veux juste que vous lui suciez et léchiez le gland. Je vous laisse 10 minutes pour le faire jouir, et à mon avis, avec la préparation de Coralie c’est largement suffisant. Marc si vous tenez les 10 minutes sans éjaculer vous marquez des points, Marie si vous le faites jouir avant 10 minutes c’est vous qui en marquez. »

Marie n’a pas vraiment tout compris, elle sait juste qu’elle doit sucer Marc sans les mains et qu’elle a dix minutes pour ça. Comme si elle attendait encore une instruction, elle reste immobile.

« Top c’est parti, 10 minutes ! Que le meilleur ou la meilleure gagne ! »

Marie se met à genoux devant Marc et : « Les mains dans le dos !! ». Elle place ses mains dans le dos, se penche en avant, Marc est obligé d’écarter les jambes comme il peut avec ses pieds entravés dans ceux de la chaise pour la laisser atteindre son sexe.

L’odeur est forte et désagréable. Quand elle était avec son dernier copain, Marie aimait bien le sucer, elle adorait sentir le pouvoir qu’elle avait sur lui quand elle lui taillait une pipe, elle pouvait décider de faire durer le plaisir ou de le raccourcir, elle aimait prendre son temps, sucer, lécher et branler doucement. En revanche elle avait horreur d’avaler, elle n’aimait vraiment pas le goût quand son copain éjaculait sans la prévenir, son sexe encore au fond de la gorge.

Une fois elle l’a fait. Lors d’un mariage, elle regardait son copain danser un peu trop près d’une autre fille, elle lui avait alors proposé une gâterie dans la jardin, pour calmer ses ardeurs. Ils avaient réussi à trouver un coin tranquille entre trois grands arbres, c’était la première fois qu’ils faisaient ça dehors, et l’alcool aidant sans doute, Marie ne s’était jamais sentie été aussi excitée. Elle portait une robe légère, sans soutien gorges et pour chauffer son copain elle l’avait soulevée et fait lentement glisser son string avant de le donner à Antoine. Puis, accroupie, elle avait sorti le sexe déjà dressé et l’avait sucé comme jamais, comme elle l’avait vu dans les films pornos qu’elle avait pu regarder. Elle n’avait pas mis longtemps à le faire jouir et pour ajouter du piment elle avait tout gardé dans la bouche et tout avalé en regardant un Antoine incrédule dans les yeux. Elle croit se souvenir qu’elle en avait même aimé le goût tellement l’excitation était forte.

Mais la situation est bien différente. Les seins posés sur les cuisse de Marc et la tête à quelques centimètres de son sexe tendu, les mains dans le dos. Elle fait entrer complètement la bite de Marc dans sa bouche et commence un lent va et vient.

« Je vous ai dit uniquement le gland Marie !! »

Marie ressort le sexe de Marc et commence alors à lécher et sucer doucement le gland. Marc sait qu’il ne va pas tenir longtemps, la « préparation » de Coralie qui l’avait plusieurs fois « redressé » et lui avait glissé ce petit plug vibrant dans l’anus, en dehors, ou peut-être en plus de l’humiliation, l’avait mis dans un état proche de l’orgasme. Et puis se faire sucer par Marie, même dans ses espoirs les plus interdits, il n’aurait jamais imaginé cela possible dans la vrai vie.
Marie alterne tout doucement ses succions et coups de langue, et au bout d’une minute à peine elle sent arriver contre ses dents le premier jet de sperme chaud et gluant.
Elle a un mouvement de recul :

« Stop, arrêtez Marie, il faut qu’il en garde un peu pour la suite !! Je me doutais bien qu’il ne tiendrait pas longtemps. »

Marc vient d’éjaculer comme sans doute il ne l’a jamais fait. Après avoir tenté quelques secondes de se retenir, il a senti cette explosion incontrôlable sortir de son sexe dans un premier jet, puis un second et d’autres moins puissants. Marie ayant cessé ses caresses il voit son sexe cracher ses derniers jets et le sperme s’étaler sur sa chemise. Tout cela est presque mécanique mais il a une terrible envie de se caresser pour faire sortir cette tension qui reste encore entre ses jambes.

Marie s’est relevée en s’appuyant sur les genoux de Marc et sans le regarder, elle s’est rapidement tournée vers le Directeur.

« Bien ! » ce « bien » commence à la faire sourire, c’est comme un tic verbal qui ajoute une pointe de ridicule au rôle de salop que tient le Directeur en ce moment. Elle ne sait pas à quoi s’attendre pour la suite, elle imagine que Marc étant fini, elle va devoir sucer le Directeur ou se faire baiser par cet homme répugnant. Et ensuite alors peut-être elle pourra rentrer chez elle.

« Vous gagnez la première manche Marie. Mais le jeu ne fait que commencer, nous avons bien le temps d’inverser la tendance. Tournez-vous un peu vers moi, que j’admire votre corps sublime. Vous portez quoi sous cette jupe ? »

« Une culotte » Marie se sent de nouveau très mal à l’aise, observée par le Directeur. Elle préférait quand elle lui tournait le dos, même si elle était en train de sucer Marc.

« Mmmm, pouvez-vous soulever votre jupe et nous montrer ça ? »

Marie regrette vraiment d’avoir changé de tenue avant de venir, elle n’avait pas d’autre solution mais elle sait que si elle relève sa jupe, le mince tissu qui est dessous dévoilera tout de son anatomie, et plus encore, il la dessinera et en fera ressortir les intimes replis. Elle plaque ses mains sur les côtés de sa jupe et la remonte en deux ou trois fois jusqu’à ce qu’elle soit complètement repliée au niveau de sa taille. Le spectacle qui s’offre au Directeur renforce son érection, le string de Marie est complétement transparent, on voit ses grandes lèvres bien dessinées et la bande étroite de poils courts juste au-dessus.

« Superbe ! Tournez-vous. »

Marie pivote et le Directeur ne peut s’empêcher de remettre son sexe en place à travers son pantalon, il commence à lui faire mal tellement il bande dur dans ce vêtement. Les quelques marques de cellulite n’enlèvent rien au sublime cul de Marie qui est toujours bien rebondi et le string posé sur ces hanches ajoute à la pornographie de la scène.

Marc de son côté a profité du même spectacle et il commence à penser que si la punition se poursuit dans ce sens il ne va sans doute pas en souffrir beaucoup. Ou peut-être souffrira-t-il seulement de ne pas vivre cette situation dans d’autres circonstances et de devoir partager sa Marie avec cet homme immonde. Marie est là, nue devant lui, ou presque, sa tenue est encore plus excitante que si elle était complètement nue, sa jupe retroussée, son string transparent, il est même un peu surpris que cette femme aussi sage en apparence, rarement habillée autrement qu’en jean et tee-shirt ou chemise, mette des sous-vêtements aussi sexy. Dans ses rêves masturbatoires, il imagine Marie en sous-vêtements plus classiques, avec de la dentelle parfois mais pas ce string qui fait ressortir ses lèvres et caresse chaque repli de son sexe. Il vient d’éjaculer il y a quelques minutes et pourtant il sent déjà son sexe pulser à nouveau, il reste encore mou sur sa chemise et dans son jus mais il n’est pas impossible qu’il se redresse assez vite. Le spectacle sous ses yeux est d’un érotisme incroyable, et, par instinct de survie ou peut-être sans raison, son cerveau arrive par moment à faire abstraction des circonstances pour ne profiter que du corps de Marie.

« Je pense que nous allons bien nous entendre. Et n’oubliez pas tous les deux, dans six mois vous retrouverez votre vie d’avant. Ou pas…
Bien, si on poursuivait un peu. »

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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