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mon professeur est un amour

mon professeur est un amour



——Je suis écrivains mais pardonné mes fautes de français j’oublie mes règles de français avec l’âge!!
contenue d’un de mes livres érotique et aussi copyright! se texte a été écris quand j’étais sur le site masseures a présent il est sur lesenior et il reste ma propriété

Je suis au lycée et Des garçons se frottent à moi depuis quatre semaines déjà et il y en a un qui me regarde de loin comme de près : il me plaît énormément ! Cependant, une chose que je ne le savais pas, il est spécialiste en informatique. Attention, c’est un prof que je regarde ! je recherche sur internet et je crois qu’il n’y a pas de lois interdisant une relation avec un enseignant. Cependant, même s’il me plaît, je dois être prudente, car il ne fait pas bon s’afficher dans l’établissement avec un professeur, sinon ça peut très mal se passer. Je deviens femme, oui ce beau garçon me fait envie, mais je sens que ce n‘est juste que pour le plaisir du corps ! ma mère avait raison, quand j’étais plus petite un jour elle m’a dit : ton tour viendra, de ce côté je m’aperçois qu’elle n’avait pas tort.
— Il t’interresse ? Insiste avec tes yeux, mais laisse le faire en premier.
Fin de classe et presque tout le monde est dehors quand je me rends aux toilettes, celle des filles reste fermés, c’est un peu ennui eus pour moi qui est l’habitude de me masturber trois fois par jours ! je ne tiens pas à traverser toute la cour, j’entre discrètement dans les toilettes des garçons. Il y a trois filles devant les miroirs, bon ! Une fille reste une fille et je retire mon chemisier, pour frotter une tache qui est descendu sur le soutien gorge , et si je n’arrive pas à la retirer il est fichu ! Les autres regardent mon soutien-gorge avec un air surpris.
— Quoi ? vous n’avez jamais les dessous d’une femme ? Vous avez une trop petite poitrine et vous ne mettez pas de soutien-gorge ? Vous voulez voir la culotte avec ?
Elles sortent et un mec sort des toilettes et il s’arrête devans le spectacle que je lui donne!
— Moi je t’ai entendu j’ai jamais vu la chatte d’une fille en vrai tu veux bien me la montrer me demande-t-il timidement?
— D’accord j’ouvre un peu mon pantalon et je baisse mon slip!
— ouaaaa! je peu? et sans attendre la réponse il me caresse la chatte doucement! superbe! il tombe a genoux et il me lèche plusieurs fois vigoureusement!
— bon allez va -t-en jai peur que des gens arrive et il part!
Deux minutes plus tard, quelqu’un entre, je pousse un petit cri en cachant ma poitrine derrière ma veste.
— Eh mais qu’est-ce que vous faites ici ?
— Il me semble que ce sont les toilettes des hommes non ? veuillez m’excuser mademoiselle Bourache, je ne vous avais pas reconnu !
— Pardonner moi je n’arrive pas à retirer mon soutif vous voulez bien m’aider?
— avec plaisir!
Ca craque derrière et je me retrouve les nichons à l’air je n’aurais pas cru qu’il l’aurais fait avec une élève! il me caresse le bon des seins comme s’il ne faisais pas exprès!
Il est ressorti tout de suite, c’est le professeur : Monsieur Luc ! mon préféré ! Je l’ai regardé avec un petit sourire en coin, il faut que je tente un petit quelque chose en sortant peut-être que ? on ne sait jamais, maintenant qu’il a vu mon soutien-gorge et mes nichons, serait-il intéressé par le reste de ma personne ? mais quoi faire ou lui dire ?
Je sors, il est resté appuyer contre le mur à l’extérieur et je lui décoche un de mes sourires les plus charmeurs, mais cela ne suffira pas, il va lui en falloir plus.
— Ce qui vient de se passer reste entre nous, c’est un accident qui ne se divulgue pas dans le lycée n’est-ce pas mademoiselle Bourache ? Je n’ai pas voulu vous toucher mais vous savez l’homme est faible!
— Certainement monsieur, des choses comme celle-ci ne se raconte pas, vous pouvez compter sur moi ! À demain monsieur Luc.
Marlène, une copine m’a donné un pantalon blanc quatre fesses ! Les appellations « quatre fesses » pour un pantalon de fille, ce sont nos formes des fesses, avec en plus le dessin des doublures du slip qui ressort quand le froc est bien serré. Simplement pour allumer les mecs ou leur faire deviner quel genre de culotte, on porte. Tissus unis, dentelle, j’ai mieux imprimé en couleur, comme moi aujourd’hui !
Ses yeux doivent me suivre car je n’ai pas entendu la porte se refermer. Son regard doit escorter mon cul que je fais rouler un peu plus tel un top-modèle dans un défilé de mode. C’est jolie mon canard ? Gauche-droite ! Gauche-droite ! Gauche-droite, cela doit lui plaire. Une belle couleur noir au travers le blanc, il doit regarder le fin morceau qui me rentre dans le cul! Je peux dire que lui aussi m’a allumé un pétard au derrière, et demain, j’attendrais de le voir passer, quand il viendra pour son cours.
J’en ai rêvé la nuit ! Je n’ai pas pu résisté et je me suis réveillée pour me balancer le sexe toy dans la chatte! et je mouille à mort! un orgasme! le deuxième suis et je fais une tache de cyprine grosse comme une assiette sur mes draps! je pousse une gueulante terrible tellement c’est bon et ma mère dans la chambre à côté me dit: tu ne pourrais pas faire cela plus discrètement non?
le lendemain! le voilà qui arrive au bout du couloir, il va passer juste à côté de moi ! Je vais lui dire bonjour Monsieur Luc ? Lui donner rendez-vous à la fin d’un cours comme dans un film pour lui faire une proposition discrète ? Je deviens folle !
— Bonjour Anouche Rose !
Il m’a appelé Anouche Rose ? Habituellement c’est toujours mademoiselle Leblan ! Je rêve ou quoi ?Il stationne derrière moi contre le mur et tente de me toucher la chatte oui j’ai bien senti sa main caresser le bas de mon dos et il insiste sur ma jupe je le bloc contre le mur derrière moi et je sens sa mains qui entre dans mon slip, le plus long de ses doigt qui entre dans ma chatte et j’écarte les cuisses attendant le reste! il entre et ressort en continus et mon coeur bas! j’ai une de mes cuisses toutes mouillés! malheureusement la sonnerie d’appel en cours retentis
— excuse moi je men vais!
Le cours passe, et il donne les explications sur les paramètres des ordinateurs. Il se promène entre nous, devant nos écrans et soudain : il s’arrête à mes côtés pour me demander d’une voix douce !
— Aucun problème mademoiselle Leblan ?
Il repart sans attendre ma réponse, et moi je regarde le petit morceau de papier qu’il vient de me glisser discrètement dans la main, je suis un peu surprise, je ne parviens pas à l’ouvrir avant 10 minutes au moins. Il est prudent, il a écrit avec son ordinateur : si tu veux avoir une relation avec moi, c’est à la sortie du lycée, au bord de la Moselle sur le parking des campeurs. Tu connais ma voiture : j’ai une berline compacte gris métal avec une petite flamme rouge sur les côtés. Discrétion obligée et demandée, sinon c’est inutile, je ne tiens pas à perdre mon emploi. Tu me réponds quand, je repasse si tu le désires.
Il s’appuie de nouveau sur ma table pour ramasser la réponse que je lui ai laissée : oui, mais simple discussion pour l’instant monsieur, je suis discrète, prudente, mais pas la Marie cochonne du quartier !
Deuxième billet de sa part : tu es mineure, il faut pour moi que tu sois consentante, même pour monter cinq minutes dans ma bagnole. Je n’ai pas envie d’avoir des problèmes avec ton père pour tentative de viol. Tu n’as pas l’intention de me jouer un mauvais tour de ce genre ? Tu penses savoir ce que tu désires réellement ?
Ma réponse : je n’ai plus de pères depuis longtemps. À la maison, c’est moi qui dirige presque tout, maman a eu une grosse maladie. Je prends soin de mon corps, et j’en suis la seule responsable. Pas de problème avec moi, l’amour, c’est pour celui à qui je dis oui. Vous par exemple ! Pas comme un taureau en rut : soyer délicat je vous prie. J’ai eu des problèmes avec les hommes !
Cette réponse n’a pas l’air de le satisfaire, il ne m’a pas l’air trop chaud, et je le sens reculer, je n’aurais pas dû lui dire cela. Il va falloir que je l’allume un peu, mon cœur claque fort dans ma poitrine, comme si j’avais chaud  » ce qui est le cas subitement  » j’ouvre mon chemisier, et je le laisse contempler la 80 pour cent de mon soutien-gorge quand il passe ! et je sort un seins complètement! chaque fois qu’il s’arrête à côté de moi, je remonte ma jupe au plus haut sur le devant, pour qu’il puisse bien regarder mon slip, il n’y a que lui qui peut voir cela car je suis contre le mur, et il stationne plusieurs minutes près de ma table. Je vois qu’il tripote sa queue au travers de son pantalon et je baisse un grand coup mon slip pendant 10 secondes! il s’approche pour se pencher vers moi et je lui malaxe le tube au travers sa poche, il est dure comme un bout de béton! il a un trous dans sa poche et il me sort le bout de sa bite que je caresse 15 seconde il ne peu résister je comprend cela car il devient tout pale : il a éjaculer dans son froc et jen ai plein la mains ! La classe est finie, je dois à présent chercher, et monter dans sa voiture, je ne me suis pas habillée sexy comme je l’aurais désiré : alors ce soir cela n’ira pas loin. Je dois lui laisser tâter un peu le terrain. Vite au rendez-vous j’en mouille déjà !
— Ici, Anouche Rose, tu montes ?
Dans sa voiture, je me suis assise à ses côtés, et nous nous regardons sans parler, jusqu’à ce qu’il me pose la main sur la cuisse. Il remonte doucement ma jupe pour regarder mon tatouage, et comme il continue je lui bloque la main.
— Je vous avais prévenu monsieur : discussion au départ. C’est vrai que je ressens quelque chose pour vous, mais nous allons jusqu’où ? je suis une jeune fille un peu craintive ! je suis obligée de vous poser cette question, une fois j’ai eu un dealer, et ensuite un manipulateur, un malade sexuel, collectionneur de dessous féminin ! je vous laisse imaginer le reste ! Vous n’êtes pas de ce genre-là ?
— Non je suis tranquille ! Tu peux m’appeler Alexandre tant que nous sommes ensemble ! j’ai eu de simple relation avec des filles jeunes, cela n’a pas duré longtemps. Tu vas me dire que tu n’as que dix sept ans, mais je ressens que tu es déjà une femme mûre et intelligente. Tu es méfiantes et tu veux me révéler que tu as tes problèmes du mois, cela si tu ne veux pas commencer ?
— Non ! vous avez de la chance ! c’est terminé depuis deux jours ! avez-vous un logement, il nous faudra prendre nos dispositions, je n’aime pas faire cela en voiture, je n’y suis pas à mon aise, et je suis une crieuse en amour ! Je ne suis pas lavé ni changé depuis ce matin, alors vous comprenez pour une fille, quand c’est la première fois avec un autre homme !
Exprès je m’apprête à descendre de la voiture et je le sens déçu. Il est vrai que je l’ai allumé et que j’aurais dû faire attention, moi-même je suis en feu ! Il me fait une proposition que je trouve d’abord bizarre, et puis je me prête au jeu. Il est beau se mec et je flippe !
— Tu as déjà joué à papier-pierre, et ciseau quand tu étais jeune ? Nous allons le faire et si je gagne, tu devras au moins m’embrasser ? Allez ! je vois que tu as perdu !
Je referme la porte pour le dévisager, je détache mes pinces à cheveux et je l’embrasse sur la bouche ! Un délicieux baiser !
— Bon ! Je reste continuons ! j’ai perdu, je te propose cela?
Mon corps tout entier s’enflamme d’un coup, et appelle à une fébrilité irraisonnée.Toute excitée je lui dis dans l’oreille : un petit flirt chaud avec les mains mais pas trop quand même, je ne suis pas propre ! oui, cela lui convient, et nous y arrivons ! ma mini-jupe à carreaux rouge et noir, style étudiante semble le gêner un peu !
— Continuons pour entrouvrir nos vêtements ok ? tu ouvres d’abord ta petite jupe ! si je gagne, elle tombe ! si tu gagnes, elle reste ?
— 15 secondes après : tu as perdu mon grand ! je la garde, mais je t’accorde un bonus, tu peux la soulever pour voir mes dessous et glisser un peu ta main, comme un gentleman !
Nous progressons de cette façon, il est comme un adulte qui retombe en enfance ! Il a l’air ravi de voir, et de toucher ma mini-culotte rouge flottante, ce n’est pas ce que j’aurais voulu mettre pour la première fois, mais il aime ! Il tente de la retirer en tirant délicatement dessus, non je le retiens, suis-je trop complexé ?
— Culotte et talonnettes ? ciseau, bien j’ai gagné, tu dois retirer !
— Tu dois fermer les yeux, sinon rien !
Cela me bloque un peu, lentement, je descends mon tissu rouge, je fais semblant de ne pas voir et je lui laisse le temps d’entrouvrir les yeux ! il me regarde, et je jette brusquement mes talonnettes sur le sol.
— Tu n’avais pas encore le droit de regarder, mais tu l’a fais ! Çe sera mon bonus : je te permets de me toucher mais avec les yeux fermés !
Je garde mes mains sur ses yeux et je sens ses doigts qui passent lentement sur mon ventre, il caresse ma fourrure de chaton entre les cuisses et il se met à me frotter férocement, je sens ses doigts qui entre dans ma chatte et comme je suis un peu fontaine je ne résiste pas et sa coule plein, il en est content car il met les mains dans sa bouche 4 fois de suite!
— tu sens bon la chatte! tu es un peu acide me dit-il!
je me redresse et je ferme les yeux, je saisis ses bras que je serre avec force, tandis qu’un long choc électrique parcourt mon corps du haut de ma tête jusqu’au bout de mes pieds ! j’appuie fortement mon visage sur son torse et je laisse échapper un long soupir de plaisir ! Vraiment ! nous sommes comme deux enfants à la recherche d’un trésor et accélérée le rythme ! je me sens un peu coincée, les fesses à l’air : pas trop propre depuis se matin, je ne suis pas comme je l’aurais voulu ! mais la combustion de mes hormones a commencé et je ne peux plus retenir mon corps !
— écarte me dit-il et il entre ses doigts dans mon cul!
Cette salope maintient mes yeux fermés tandis que ma main de jeune homme a pénétré plusieurs fois sur son doux duvet de jeune fille, je caresse un peu cette robe douce, tel le poil délicat d’une hermine. J’ai senti sa respiration s’accélérer et elle se redresse lentement! c’est un délice pour elle comme pour moi ! C’est un bijou de fille qui sent bon la rose et la lavande, sa peau est lisse comme celle d’un nouveau-né.
— Belle demoiselle, j’ai pensé toucher un morceau de tissu, mais non : je dirais que c’est du velours soigné ! Avec une jolie couleur ! tes lèvres deviennes toute violette tu es spéciale! et tu mouille comme un fleuve!
— Petit coquin! Tu as quand même regardé ? cette fois je te prête mon corps si tu gagnes, sinon je m’arrête là par obligation, c’est la fin du jeu ! et comme je ne l’ai jamais fait dans une voiture. Voyons cela !
— Tu as perdu Anouche Rose ! Tu dois respecter le jeu !
— Non ! Et puis oui ! dis-moi je dois faire ?
— Déplit tes jambes et tu te mets assise sur moi, comme cela, oui, face à face, tel un petit bébé devant sa maman ! si tu le désire seulement ! ne le fais pas si tu n’es pas sûr de toi !
Mes yeux se ferment pratiquement pour le regarder et il est surpris quand je m’installe rapidement sur lui. J’ai peur, je tremble, mais je flambe depuis plusieurs mois, cela me pousse ! un préservatif, inutile! il a une bite de 20! centimètre au moins
Mes mains de mâle caressent doucement sont postérieur, elle en veut plus, Elle prend délicatement mes cheveux pour pencher mon visage vers l’avant, cela pour que mes yeux puissent avoir accès à tout le bas de son corps. Elle respire fort !
— Plus de papier ni de ciseau ! Laisse ta protection de côté, je prends la pilule et mon test VIH est daté de 2 mois ! Je ne bois pas, je ne fume pas ! Aucune drogue ni médicament.
J’ouvre lentement la porte de son jardin secret, ma chatte s’ouvre telle une porte et je saisis doucement sa bite de mâle, c’est un délicat trajet pour remonter le long de sa virilité qui reste cachée par des buissons ardents ,chaque fois, je le pince un grand coup de mes deux doigts, comme un randonneur sur sa branche, je serre délicieusement, il pousse un profond « ou » de délectation, je n’hésite plus, je prends ce morceaux de boit dans ma main pour la porter en direction de mon corps! Je sens cette robustesse qui durcit quand je me glisse sur lui, je le glisse dans mon vagin et je me laisse retomber un grand coup! et bientôt, je ne fais plus qu’un avec un volcan force huit qui se déchaînent, une puissance qui se contracte dans mon intérieur et je ne peux résister ! je ne bouge plus, je le laisse regarder au loin mon tsunami qui se déclenche, j’ai une éjaculation de femme et mouille son pantalon et le bas de nos deux corps, comme des vagues , pleine de cyprine je gesticule, je danse sur lui, rien ne peu résister au déferlement de cette mer de mon jus transparent qui se déverse sur lui, Les troncs d’arbres arrachés que sont devenus mes ongles griffent le haut de sa carrure, jen tire sur ses poils et il cris, mais c’est un bonheur que j’avais oublié, je travaille comme une vraie femme ! Je chante tout mon plaisir de femme tel une sirène, et lui comme Ulysse au mât de son bateau, il s’accroche à moi pour bien écouter et je sens ses lèvres s’attarder sur les deux phares arrachés, mais toujours sous le tissus que sont devenu mes seins ! mon dos souffre de cette tempête tel un rocher renversé !
— Stop ! j’ai mal les fesses, papier ciseau ! sinon je me retire.
— J’ai gagné lui dit Alexandre ! tu vas faire comme je te dis !
J’écoute mon professeur d’amour et cette fois cela démarre bien.
—Prends une position assise plus basse et ensuite plus haute ! Tu lances de petits coups de reins en prenant appui sur tes talons ! Pas trop vite ! non doucement s’il te plaît !
Mais le plaisir remonte en une minute, mieux stabilisée dans cette position, je lui imprime à présent le rythme rapide d’un cheval lancé au galop. Anouche Rose se met à haleter, elle est essoufflée, les yeux révulsés, elle s’écroule sur lui 3 minutes plus tard ! Elle sent la chaleur de l’homme partir dans les chairs de son ventre, il n’a pas résisté ! son sperme descend lentement et je regarde avec un grand sourire! je prends les deux dans ma main: le sperme et mon jus et je m’empresse de bouffer le tout ! délicieux! un peu salé mais délicieux
Cela a été trop vite pour moi ! je lui ai pourtant dit  » doucement  » mais elle ne m’a pas écouté ! elle est enragée !
Il ouvre mon chemisier et tente de faire sauter les agrafes de mon soutien-gorge. Il caresse délicatement le tissu des bonnets en me dévisageant et je fais de même. Les yeux dans les yeux.
— Hummm ! vu les formes, il doit avoir un véritable trésor à découvrir là-dessous ! Et dans un si bel emballage ! Je fais une erreur ?
— Papier ciseaux ? Si tu perds cela reste dans l’emballage ! oups ! Tu as gagné, tu dégrafes et tu regardes, pas plus ! Petit tricheur !
— Mais non ! tu es superbe, tu as une poitrine magnifique me dit-il ! Comme de jolies poires suspendues à un arbre et cela me surprend !
Il effleure le bout de mes seins bien large avec envie et il les regarde changer de couleurs.
— Eh ! Ou va-tu par là ! Tu dois me dire se que tu cherches !
Je fantasme dans ma tête, lui posant une question  » c’est beau mec, superbe non, tu as déjà vu cela ailleurs mon gars « , je suis certaine que non, tu en penses-quoi ? presse doucement le bout, oh oui, encore c’est bon ! je vois que tu adores cela, je me trompe petit garçon ? non ! Alors, tu dois me dire que je suis la plus belle ? Anouche Rose se perd dans un rêve sexuelle fantaisiste : allez goûtes moi cela mon gamin, c’est gratuit, je t’offre le tout, fait toi plaisir et à moi aussi en même temps, car cela te plaît non ? je réagis alors, comme une fille célibataire qui entre dans la vie de l’amour, je gonfle un grand coup mes poumons, et je fais bondir fièrement ma poitrine de jeune femme pour la porter vers son visage ! un bonus gratuit !
Comme s’il me donnait une réponse, il ne peut s’empêcher de passer sa langue dessus amoureusement, et il suce avec force comme un bébé qui prend la tété avec sa mère! tandis que je pousse un râle de satisfaction ! et au moment où il ne s’y attend pas, emplis d’une nouvelle folie passionnée, je reprends ma course effrénée, voulant à mon tour monter sur le nuage de Cupidon. Énervé, je ne peux y parvenir et je m’arrête pour le dévisager avec mes yeux à demi fermés.
— Désolé, dans une voiture c’est difficile pour moi, j’ignore pourquoi! mais cela faisait trop longtemps et je n’ai pas pu résister !
— Eh bien ! si tu as aimé, ne t’excuse pas, moi aussi j’ai apprécié ! Demain, fais-moi plaisir, avec des collants ou des bas et puis…
— Une superbe lingerie, c’est ce que tu aimes ? mon nouveau chéri, tu auras tout cela chaque fois que tu m’emmèneras dans tes draps. Là, j’ai été prise trop rapidement par mon feu intérieur : cela faisait trop longtemps et j’ai craqué, je ne voulais même pas dans cette voiture !
— laisse moi te sucer sais la première fois et je prends son machin tout dure dans ma bouche pour pomper sans m’arrêter! je lui mort doucement le bout de la bite avec plaisir!
— ou! ou! ou! ouuuuuuuu! j’écoute ses cris mais il aime!
Je me sens vraiment bien avec toi, il va falloir que je continue, contre toi dans un bon lit bien chaud ! Maintenant, tu es prisonnier de mon ventre, si tu veux en sortir : papier ciseaux ! tu as gagné, mais j’ai un bonus et tu restes dans mes entrailles pour la nuit ! je m’occupe de toi !
J’ouvre sa chemise pour regarder ses pectoraux, mes mains parcourent son torse viril et ma langue en dessine les contours. Je frotte mon visage entre ces seins, là-ou je devine des poils que j’appellerais plus tard : petite laine chaude ! mon lapin ne tente pas de truquer le jeu, je connais les règles ! et je regarde ses tablettes de chocolat, je tâte le devant de son ventre avec plaisir et ma main continue à fouiller dans ses petites laines chaudes ! Frank et François, non, ni l’un ou l’autre de ses garçons n’étaient construits de cette façon, il doit faire des abdos ! Je ne m’arrête pas là : je me charge de lécher et de bécoter tout le torse, il est trop beau, il sent bon l’homme ! il respire toute la puissance du masculin, un peu comme Frank ! mais il est encore plus doux, c’est comme un biscuit savoureux dans ma bouche, un délice pour l’amour d’une femme !
Mon téléphone sonne : c’est maman et j’impose le silence à mon prof en mettant un doigt sur ma bouche.
— Oui maman ? Non, je vais sortir, j’ai aidé un copain dans son devoir sur les ordinateurs, c’est compliqué des fois. Oui ! je rentre !
— Papier ciseau me demande-t-il ?
— Pour quoi faire ? Je suis étonné.
— Mets-toi sur mes genoux dans l’autre sens ! j’ai envie de voler ta jolie culotte rouge, je peux ?
Anouche fronce les sourcils : à non pas cela ! toi aussi, tu fantasmes sur les culottes des filles? Tu fais la collection ?
— Mais non, pas du tout ! Tu fais une erreur, c’est juste pour être sûr que tu reviendras la récupérer chez moi ! D’abord je te la mets, puis je la retire pour la mettre dans ma poche !
Ok pour moi, mais papier ciseau, il gagne et avec son aide, je me glisse dans ma culotte et mon soutien-gorge, je suis grande pourtant, mais il est costaud, je passe ma jupe appuyer par un gros baisé d’amour. Je comprends pourquoi il m’a demandé cela, il me fait gémir sous ses caresses d’amour pendant dix minutes, un bras me tient et l’autre parcours mon anatomie, le petit tissu rouge descend sur le sol. Il le ramasse prestement pour le faire disparaître avec des mots d’affections qui embaument mes oreilles
— Alexandre ! Si je ne la récupère pas ; c’est fini entre nous !
— Mais non, je te le jure ! Tu veux que je te raccompagne chez toi en voiture ? Cela nous donnera l’occasion de parler cinq minutes.
— Oui si tu veux ! Cela m’arrange, nous pouvons nous arrêter devant chez moi, comme ma mère est rentrée un peu tôt.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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