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L’iris pourpre – Partie 5

L’iris pourpre – Partie 5



Partie 1 :
Partie 2 :
Partie 3 :
Partie 4 :

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Si vous dislikez, ça serait cool de mettre un commentaire constructif qui m’explique ce qui vous a déplus pour que je puisse améliorer la suite 😉
Par ailleurs, un commentaire et un like font toujours plaisir 😉
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Le vent frais de l’automne faisait virevolter mes cheveux châtains. Je me hâtais de rentrer chez moi. J’avais une envie folle de me masturber.

Je claquais ma porte d’entrée et débutais en vitesse ma séance de plaisir quotidienne. J’essayais de reproduire ce qui s’était passé dans les toilettes. Je n’avais jamais réussi à me fister, et encore moins à gicler comme je l’avais fait. Je ne savais même pas que j’avais le potentiel pour être une femme fontaine. Après de longues minutes, je remontais ma culotte, énervée. Je m’étais concentrée sur la giclette sans succès, et je n’avais tirée aucun plaisir de mon vagin. J’en avais marre de me tripoter, mais j’avais encore envie de jouir. Je me sentais complètement frustrée.

Pour varier un peu, je décidais de prendre quelques clichés avec mon gode pour poster sur mon site porno. Une fois fait, je me retrouvais vite seule, et sans occupation. La masturbation me lassait complètement. J’avais besoin d’une grosse queue. Hésitante, je pris mon téléphone et recomposa le numéro d’Evan qui était resté en mémoire quand il m’avait appelé pour me sauter.

« -Allo ?
-Evan…
-Oui ?
-Ça te tente d’aller à l’iris pourpre ?
-Carrément ouai. Y aura même une surprise pour toi !
-Ok. A tout de suite. »

Après être passée à la douche afin de me laver et surtout de me tailler un joli ticket de métro, ne sachant pas quoi choisir comme sous-vêtements, je décidais d’y aller nue sous mon manteau. Je me hâtais vers notre chambre qui devenait habituelle en me demandant quelle surprise il m’avait préparé. Je frappais à la porte. Lorsque celle-ci s’ouvrit, je laissai tomber mon manteau à mes pieds, laissant apparaitre ma poitrine et ma fente. C’est alors que je remarquai qu’il y avait trois mecs dans la chambre. Ma gorge se resserra.

« -Salut Juliette ! Entre ! »

Je m’exécutais. Alors qu’Evan se tenait devant moi et me parlais, les deux autres types, déjà torse nu me tournait autour en tâtant légèrement mes cuisses et mes seins.

« Voilà ta surprise ma belle ! J’ai remarqué que t’étais une sacrée cochonne ! Je te garantit que ce soir ça va être ta fête ! Ça te plait ? »

La façon dont les deux garçons me tournaient autour en me touchant comme une marchandise ne me déplaisait pas. J’étais bizarrement excitée par leur manège, mais d’un côté, j’étais mal à l’aise. Comme je ne savais pas quoi dire et que j’avais tout de suite envie de passer à l’acte, je me blottie contre Evan en l’embrassant langoureusement.

Je sentis alors mes fesses s’écarter fortement. Un des deux mecs s’était accroupis et commençais à bouffer ma chatte qui s’humidifiais fortement, et devenais de plus en plus chaude. Evan s’assis sur le lit et se dessapa. Je me mis au travail en prenant goulument sa bite dans ma bouche, pendant que l’autre gars continuait de me lécher la moule. Le troisième type donnait de légères claques sur mes seins en se masturbant.

Afin de satisfaire tout le monde, nous changions vite de positions.
Evan s’allongea sur le dos. Je lui grimpais dessus en empalant mon vagin sur sa queue. Un autre mec passa derrière moi et commença à bourrer violement mon cul. Le troisième se mis debout à côté de moi et me présenta son sexe. Je pris ce dernier à pleine main et le mis dans ma bouche. Les va et viens dans ma bouche, ma chatte et mon cul se faisait de plus en plus frénétiques. Je n’avais rien à faire, aucun mouvement à effectuer, les mecs se chargeaient de tout. J’avais les orifices bouillants et trempés. Je hurlais de plaisir pendant que les mecs grognaient nerveusement.

Je sentis qu’un jet chaud inondait mon cul, et sans avoir le temps de réagir, ma bouche déborda également d’un liquide doux et blanc.
Ma bouche et mon cul se libéraient en restant béants. Puis Evan, ne pouvant plus se retenir, lâcha la sauce. Exténuée, je me blottie contre son torse. Il referma ses bras sur moi.

A côté, les deux gars se rhabillèrent.

« Bon Evan, on te laisse avec ta poule. Juliette, c’était super, tu nous as fait jouir comme jamais ! »

La porte de la chambre claquée, nous restions seuls, immobiles. La queue chaude et encore dure d’Evan occupait toujours mon intimité.
Confortablement installée sur mon partenaire, je fermais les yeux, et, ne pensant plus à rien, je m’endormie.

A suivre.

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