-J’adore quand tu t’asseilles sur moi, dis-je à ma rousse amante Marlène, que tu m’offres ton petit trou du cul tout rose à lécher, tout vois, je m’applique, je peux te lécher longtemps, consciencieusement, sagement, je suis un bon lécheur pour les dames, j’aime que ma langue soit à ton service comme si je n’étais qu’un jouet sexuel, j’aime te piner, mais cela me fait tellement jouir de parler de Brigitte. Je te redonne mes jouissances, je te les livres, tu les ressens quand je te baise.
-Mais moi aussi, cela me fait jouir, dit Marlène en se relevant, la raie du cul inondée par sa mouille et par le long balayage de ma langue. Je vois tellement les scènes, tu sais, je suis très visuelle. Je m’entendais bien avec Brigitte.Elle était toujours très aimable, très distinguée, légèrement excentrique avec son grand chignon, ses jupes assez courtes pour son âge, ses bas en couleur…un petit côté viennois, mais quand j’y pense, un je ne sais quoi de la vieille cochonne qui veut de la bite.
– Au début, lorsque nous nous croisions, j’avais remarqué la jolie courbe de ses fesses. Si on m’avait dit que la croupe de la dame me tirerait des litres de sperme pendant deux ans et demi, je ne l’aurait pas cru. Parce qu’il m’en a têté du foutre, son petit cul de vieille bourgeoise! Les oisillons ouvrent le bec pour se faire nourrir, et Brigitte écartait bien les fesses pour donner de la grosse saucisse à son trou du cul.
-Dans notre groupe de réunion, votre union alimentait toutes les conversations. C’était déjà spécial, de t’imaginer en train de la baiser…Mais à quatre pattes, devant le miroir, ou en train de te faire sucer le trou du cul, les jambes en l’air, ou de l’imaginer toute en cuir, se branlant et se lâchant sur toi au-dessus de la baignoire…Maintenant, quand je me caresse en pensant à ta queue, j’imagine que tu te vides les couilles sur les seins de Brigitte, j’imagine que tu la baises debout pendant que la femme de ménage passe l’aspirateur. Elle m’a bien fait jouir aussi, cette cochonne.
-Elle m’a permis de développer un fantasme qui ne m’a pas quitté, et qui me ronge comme un virus: je suis obsédé par les jolies femmes mûres et dignes habillées en cuir, comme des putains vicieuses. ça me rend dingue, je bande comme un âne à la recherche de photos de gentilles et jolies – je précise, jolies- grand mères au nichons de pute, mises en valeur par des bustiers de cuir, des dames au regard austère et respectable, mais en tenue sm.
…L’idéal, ce serait de baiser une petite jeune sur le même lit, pour alterner le service de léchage envers la vieille cochonne, et la fente toute fraîche à déguster.
… Le doux baiser l’étudiante aux seins fermes et ronds, pendant la pipe baveuse d’une Brigitte, d’une fidèle de tea-rooms dont les lèvres vaginales dépassent de sa culotte en cuir fendue, façon sado-maso…
…Se faire sucer par la jeunette qui veut rendre service dans une fellation discrète et soumise, pendant que je lèche à genoux la vieille salope, adossée contre un mur.
…Le foutre sur la langue de madame pute, ou la giclée nerveuse qui se répand sur ses seins, ses pommes bien rondes pour son âge, qu’elle masse doucement en me regardant me branler (Brigitte aimait me voir gicler, comme toi, Marlène…On faisait juste attention que ça ne gicle pas trop haut, avec sa masse imposante de cheveux blonds relevés en chignon, cela lui aurait donné un boulot infernal d’enlever le foutre de son jeune étalon avant de sortir en ville). Ou alors une jeune pute roumaine ou brésilienne, pleine de cellulite, une grosse pute, quoi…qui n’est là que pour me lécher les couilles, pour magnifier l’érection dont bénéficie la vielle dame qui ne pourrait plus vivre désormais sans se faire enfiler quotidiennement.
Un soir d’hiver, dans le même salon qui m’avait vu couché sur la grande table, les jambes en l’air comme une femme chez le gynécologue, pendant que Brigitte, assise comme pour un repas, me bouffait la raie à grands coups de langue, nous avions programmé une partie de baise devant la cheminée. Une baise à même le sol, sur le tapis, avec quelques coussins.
Marlène commence de se branler rêveusement. Aucune urgence. Elle se fait plaisir tranquillement, la soirée ne fait que commencer. Je lape sa fente en quelques coups de langue et je continue mon récit.
-Je suis prêt avant elle. Cela m’excite de l’attendre nu sur le tapis, dont la texture râpeuse accentue le côté inhabituel de la situation.
j’entends le bruit sec des chaussures à haut talon de Brigitte qui sort de la salle de bain. Merveille, elle a pris le temps de se faire bien salope. Tout y est, les brassards en cuir, bien noués sur les avant-bras, le maquillage prononcé, les seins blancs de la distinguée vieille dame qui dépassent outrageusement du bustier noir et luisant, la culotte fendue, laissant bailler la chatte rasée, fente de vieille petite fille, pourrait-on dire, et les bas résille complètent le tableau de la vieille salope qui, malgré son grand âge, va consacrer sa soirée à se faire enfiler et gicler dessus.
non, le tableau n’est pas complet. Le petit détail qui tue: elle tient un petit pot de vaseline. Quoi de plus naturel, quand on est une dame de 73 ans qui a pris l’habitude de se faire enculer presque jours? Ce pot de vaseline est un incontournable. C’est plutôt son absence qui ferait une drôle d’impression. Aussi bizarre que si elle m’avait dit: -Aujourd’hui, tout ce que tu veux, mais pas dans le cul.
Alors que justement, la normale, la culmination, la conclusion habituelle pour la vieille dame, c’est la bite dans le cul. Ma bite ravie de se sentir cracher son huile dans cette vieille lampe.
Autre détail dont je me souviens: l’ordinateur ouvert, et prêt à actionner des vidéos pornos concernant les femmes mûres.
Brigitte portait un jugement sévère et dégoûté envers le porno, comme envers bien d’autres choses. A force de faire la pute qui suce le cul, de se costumer en grand-mère Sado Maso, et après une année d’enculade, elle a fini par assumer sa curiosité pour le sexe. Un peu amusée, cachant mal son enthousiasme, son plaisir de se sentir rajeunie en faisant des cochonneries que l’on image mal de la part d’une dame de son âge, je lui avait montré quelques échantillons de vidéos pornos. Certaines provoquaient son étonnement amusé, sous couvert de ne pas mourir idiote.
Les scènes lesbiennes ne l’intéressaient pas du tout, ni les scènes de groupes. Par contre, certains physiques masculins ne la laissaient pas indifférente.
Ce soir là, nous avons regardé plusieurs scènes de femmes très mûres, comme elle, suçant des petits jeunes. Elle devait se sentir comprise, moins marginalisée dans son goût inavoué pour la pipe baveuse, pour les feuilles de rose, pour la sodomie.
Elle s’est ensuite levée pour remettre une bûche dans le feu. En se penchant, j’admirais les globes jumeaux et blancs de ses fesses de bourgeoise enculée, son petit anus toujours prêt à avaler la bite de son nouveau fils.
Comme d’habitude, elle a fini par se saisir du pot de vaseline, après tout un prélude de coups de langues salaces de part et d’autres. une fois que j’avais bien chevauché son visage, j’avais les couilles à la fois humides et toutes brûlantes du désir de l’enculer.
Je me rappelle que l’enculade a été longue, presque méditative. Nous étions couchés sur le côté. Avec la tranquillité et l’aisance dues à l’habitude, comme un artisan qui connaît bien son métier, j’enfilais très lentement mon gland dans l’anus de la jolie vieille salope. je crois que c’est ce soir là que nous avons définitivement établi notre marche à suivre préférée: sortir entièrement le gland pour que l’anus se referme. Tout cela très lentement, très doucement. Comme une lente respiration.
Le gland se pose sur l’anus de la vieille dame.
Il entre.
C’est serré, c’est bon.
Brigitte soupire.
Je me retire
Lentement
Brigitte soupire pendant l’entrée de la bite, et aussi quand elle sort
Petit cul entrebâillé, qui se referme.
Vieille salope, allez, encore un coup
Je me branle dans ton cul
Anus de vieille pute,
Fais moi jouir
ça monte dans mes couilles, mais je garde un mouvement assez lent.
Ne pas juter quand je suis sorti, attendre le tout dernier moment pour rester à l’intérieur
Quand ça vient, je lui lime le cul à l’intérieur
L’anneau me serre toujours bien. Les giclées sont légèrement interrompu.
entre le moment où la giclée devient pressante, inévitable, et celui où mes couilles se sont vides, je jouis longtemps
bien au chaud, bien serré
Il me semble que le sperme gicle très loin
Putain, c’est trop bon d’enculer une jolie dame de 73 ans
Je pense à tous ces gens qui nous connaissent, qui baisent peut-être mollement en ce moment-même, tandis que la vieille dame austère me tourne le dos, que je regarde la courbe douce de son épaule ronde, de ses jambes galbées, de ses fesses affamées de bite, quand je regarde sa chevelure digne d’un conte de fée, et que je me répand dans un long cri de jouissance dans le trou du cul de Brigitte
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