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Mathilde 2

Mathilde 2



Chapitre 2
Résumé du chapitre 1 :
L’histoire commence par un dernier voyage d’un être cher que l’auteur accompagne à sa dernière demeure et à ce moment là, lui revient tout le déroulement de son amour avec sa belle mère. Après lui avoir fait sentir son intérêt lors d’une danse slow, comment ils en sont arrivés à coucher ensemble alors que la fiancée n’accordait que le minimum syndical. A la reprise des cours universitaires, l’auteur se trouve avec un dilemme du manque jusqu’à un téléphone de sa fiancée lui demandant d’héberger sa mère, laquelle devant passer chez un médecin au première du jour.

– C’est pour un examen médical. Son rendez-vous est tôt le matin. Est-ce que tu accepterais de l’héberger le mardi soir pour qu’elle soit à l’heure à son rendez-vous. Tu devras dormir sur le matelas pneumatique. Lui dit sa fiancée.
… Elle n’a pas osé te le demander, de peur de te déranger, ajoute-t-elle, c’est moi qui ait du la convaincre de cette solution.
– On en parlera tout à l’heure, mais c’est sans problème et je suis très content de lui rendre service.

Si Lucette était content, il faut dire que de mon côté, je l’étais tout au tant, mais vraiment pas pour les mêmes raisons.

Ce mardi soir, le train arrive en gare et je suis impatient de revoir l’amour de ma vie. Je sens dans mon slip, que je ne suis pas le seul d’être impatient. Enfin la voilà débarquant sur le quai, très élégante, avec une ombrelle sur la tête et une petite valise que je m’empresse de saisir après lui avoir souhaité la bien-venue de manière conventionnelle, on est en public et il ne faut pas tenter le diable, il est déjà assez présent quand on se retrouve entre quatre yeux.
Dans le bus, nous étions serré l’un contre l’autre, appréciant le contact mutuel et à ce moment, elle ne peut s’empêcher de m’avouer :

– Si tu savais comme j’ai du m’employer pour trouver un rendez-vous à la première heure et ensuite faire de sorte que ma fille me propose cette solution évidente sans qu’elle ne soupçonne quoique ce soit.

Je la serre encore plus fort pour lui faire sentir comme j’apprécie son effort pour qu’on se retrouve tranquillement.
Sitôt à l’appartement, je ne pus m’empêcher de la prendre dans mes bras de peloter ses seins que je sentais sous sa veste que je m’empressais de lui enlever.

– Soit donc un peu moins impatient, on a tout le soir et toute la nuit pour s’éclater. Excuse-moi, mais ton attention m’a ouvert l’appétit et pas seulement en dessous de la ceinture.
– Laisse-moi alléger ta tenue et moi je vais faire de même pour que je puisse admirer ton corps merveilleux pendant le repas.
– Grand fou, pourquoi pas, mais il faut le faire tout de suite, car demain, je dois être à jeun et on ne peut pas perdre trop de temps par des galipettes avant.

C’est ainsi que le souper fut vraiment vite envoyé et on se retrouva vite sur le lit. Dans une demi pénombre on s’échangeait des caresses.

– Dieu que j’admire ton corps, tes cheveux avec de petites touches de gris, ton front dégagé surmontant tes yeux dans les quelles j’aime me perdre, sans oublier tes longs cils légèrement teinté de mascarat. Ton nez fin et aquilin entourant des joues si douces réunies par ta bouche pourprines que j’aime tant baiser qui surplombe ton menton à fossette.
…Ensuite, j’aime tant ton coup élancé, dont la peau douce attire ma bouche pour les baisers et à la limite de tes cheveux, je sens ton odeur de femelle, plus bas, tes seins ayant connu les maternités qui ne les ont que bonifiés, leur forme en poire savoureuse surmontés d’une fraise que j’adore légèrement pincer entre mes doigts ou sucer avidement comme si il y avait encore du lait. Je sais que tu aimes ou même que tu adores que je le fasse et quand je mets la main entre tes cuisses, j’en sens les effets, ta toison est toute humide.
… Plus bas, ton ventre plat, pas marqué par les deux grossesses est d’une grande douceur, malgré la balafre de la césarienne que tu as subie au dernier, j’aime y promener mes lèvres, baisant ton nombril avant de passer plus bas à l’appel de tes phéromones qui réclament ma présence et mes baisers, voir l’application de ma langue sur ton petit bouton que j’aime aussi sucer jusqu’à ce qu’il sorte complètement de sa cachette, mais je sais que tu ne veux pas que je m’arrête à ton clitoris, ton urètre sécrète son nectar qui m’attire comme le papillon de nuit avec la lumière.
Les lèvres grasses et luisantes méritent le soin que ma langue leurs apporte, je sais que tu apprécies que je boive ton jus, tellement savoureux.

Elle se mis sur le dos en remontant les jambes en plaquant ses cuisses sur ses seins, m’offrant une vue imprenable sur son sexe et même son petit trou qu’elle m’avait déclaré inaccessible.
Je continue à la boire, mais régulièrement je déborde un peu vers le bas pour aussi lécher son périnée insistant sur son raphé, comme elle manque singulièrement de réaction négative, je pousse un peu plus loin et commence un pétale de rose, je la sens se crisper, mais pas de geste négatif, je remonte gentiment à la source de tout plaisir lentement en continuant le léchage appliqué replonge ma langue en coin dans sa petite tirelire où elle annonce son plaisir de plus en plus clairement. Par curiosité, je replonge vers le bas, pour voir si elle se décrispe quand je lui bouffe le cul. Surprise, il semble qu’elle commence à apprécier mon traitement et je vois sa pastille s’entrouvrir à l’appel de ma langue et son cul apprécie de plus en plus mon initiative. Mais pour aujourd’hui, je ne veux pas forcer de premier abord le coté sodomite.
Je remonte tranquillement, tendu comme un archet et je présente mes attributs à l’entrée de sa grotte mais je ne fais que passer de long en large sur ses lèvres inférieures quémandeuses. D’un coup de rein, elle s’emboite sur ma pine et redescend ses jambes sur ma taille pour m’attirer au plus profond d’elle.

– Salaud, je t’avais interdit l’accès de mon cul, mais tu as fait fi de mon interdit, mais je ne me plains pas, c’était délicieusement le refus de l’interdit. J’ai failli partir pendant que tu me bouffais ma pastille. Cela m’a donné l’envie de lever partiellement l’interdit, mais c’est pas pour tout de suite que tu pourras planter ton d****au dans mon cul.
– Je n’en demande pas autant, mais j’aime juste que tu aies le maximum de plaisir sans à priori.
– Pour le moment, je lève l’interdit pour la langue. Me dit-elle en se retournant et en saisissant ma bite pour l’avaler, sentant que l’arrivée du tsunami était évidente. Laisse-moi goûter mon dessert, par la suite, il ne faudra pas que je charge trop mon estomac pour demain.
– Je t’en prie, sers toi, moi je continue à apprécier les délices que tu mets à ma discrétion, je réponds en sentant que les remontées de jute étaient à deux doigts de sortir, puis je ne pus me retenir et arrosait son palais de toutes les réserves de foutre qui s’étaient accumulées depuis trop longtemps.
– Humm j’ai l’impression qu’il était temps que je purge ta prostate, tu avais de la réserve et elle se retourne à nouveau me privant à nouveau des délices de son entre-cuisse.

Elle me tends ses lèvres et nous partageons nos humeurs, j’aime tant ses lèvres et sa bouche, même si elle est encore encombrée du jus de mes couilles.

– Je m’excuse d’être venu dans ta bouche, je pensais que tu n’aimais pas si.
– Je sais, mais tu me fais faire des folies, je suis folle de toi.
– Moi aussi je suis fou de toi et ce n’est pas seulement la force de l’interdit, je ne me l’explique pas. J’adore le jus qui coule de ton sexe, mais si tu n’aimes pas je ne veux pas que tu t’y force.
– C’est vrai que je n’aime pas trop, mais je le fais parce que je sais que tu l’aimes et que peut-être qu’avec l’habitude, j’apprendrai à l’apprécier.

Après un long baiser, elle prend mon sexe dans son poing et commence à le caresser lentement pour lui redonner un semblant de forme, visiblement, Matilde n’en a pas assez et moi non plus. Rapidement, je reprends forme pour la suite des opérations.
Elle me bascula sur le dos pour monter sur moi et diriger les opérations, mais après quelques aller et retour, je lui propose de me tourner le dos pour que je puisse bien la caresser en même temps, elle change de position en se dépitonnant puis se renfilant mon mandrin. C’était super, je pouvais jouer plus facilement avec sa poitrine et même mettre mes doigts sur son bouton qui n’en demandait pas plus quand voulant se rapprocher elle se penche vers mon torse, frottant avec mon sexe la fine paroi séparant son colon avec l’utérus, ce qui la fait partir sans autre dans un violent orgasme. Mais moi, je ne partageais pas son orgasme et continuait à la limer régulièrement, ce qui eut comme résultat de la faire repartir à nouveau, malgré l’âge et de recommencer a monter et redescendre sur ma bite, mais cette fois en étant penchée vers mes pieds, m’offrant une magnifique vue de son cul qui palpitait comme un fou. Délicatement, je lui passais le doigt sur le pourtour du trou du cul bien oint de ma salive. Elle repartit à nouveau dans une cavalcade folle, cette fois avec le bout de ma queue, probablement appuyé contre le célèbre point G.
Je voyais de plus en plus son cul qui palpitait sous mes caresses de mes doigts qui massaient de plus en plus franchement son postérieur.

– Finalement, j’aime bien quand tu me caresses le cul, tu peux essayer de me mettre un doigt, mais pas plus dans le cul.
– Je vais encore le mouiller à l’étage supérieur.

Doucement je continue d’un doigt, de plus en plus fort de lui masser la rondelle, appuyant de plus en plus fort, jusqu’à ce que d’un coup de rein, ce soit elle qui l’avale pour voir comment cela fait. Du coup je ne me prive pas et je l’envoie mon doigt en le remuant doucement. L’effet ne se fait pas attendre sous cette double pénétration et elle repart dans un orgasme très violent.

Reposés sur le dos, un peu sonnés, nous caressant tendrement ce qui venait de nous offrir un très grand plaisir.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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