À peine quelques jours après cette « mésaventure » en boîte où j’avais été la victime consentante d’une tournante en banlieue, j’ai la surprise de recevoir un appel sur mon portable avec un fort accent de racaille de banlieue.
« Alors la Pute, tu te souviens de moi ? »
Cette voix produit un effet glaçant. Comment avait-il mon 06 ? Je reconnais aussitôt la voix de Mohammed, l’Arabe qui m’avait si copieusement baisé dans les toilettes de la boite.
D’une voix tremblante d’émotion, lje m’entends lui répondre :
« Heu… Oui bien sûr ! »
« Alors, la petite bourge, t’as encore envie de se faire défoncer par de vrais mecs ? »
Je ne sais trop quoi lui répondre. Puis j’ai comme une étincelle. Si je proposais à Marina ou à Katia de participer ?
« Oui j’ai trop ta queue. Mais puis-je inviter des amies ? »
« Ouai si elles sont aussi salopes que toi ! »
« Si tu peux réunir une vingtaine de mecs. Mes amis seront ravies ! »
« T’en fais pas, on va venir en force ! Vous pourrez plus vous asseoir ! »
Aussitôt, toute excitée, je téléphone à mes copines qui sautent de joie.
Le soir prévu, une dizaine de voitures entrent en trombe dans la cour. Une vingtaine de mecs bondissent des véhicules et se ruent aussitôt sur nous. Je suis immédiatement entourée par plusieurs mecs qui entreprennent de me malaxer les seins et fouiller ma chatte. Je ne peux m’empêcher de glousser de plaisir à la sensation de ces mains viriles parcourant mon corps. Mes cris sont vite étouffés par des langues forçant mes lèvres. Mes copines ne sont pas en reste et se font déjà culbuter et paillent de bonheur de se faire assaillir de la sorte.
Marina empoignée par un jeune est forcée à s’agenouiller pour faire une fellation pendant qu’un autre lui burine l’abricot.
Katia est aux prise avec quatre racailles à l’air patibulaire, trois arabes et un noir. Ce dernier lui lance :
« On va te faire monter aux rideaux connasse ! »
Il lui enfonce sa bite d’un coup dans le cul et commença à la ramoner puissamment. Un verge se présente devant sa bouche. Elle l’enfourne aussitôt. Elle empoigne la bite du troisième pour le branler pendant que le dernier voyou tente de s’introduire dans sa chatte.
« On va t’montrer putain comment on les nique, nous, les bourges ! »
Ils ne peuvent se retenir longtemps et éjaculent sur elle. Pendant ce temps, je ne sais plus où donner de la tête avec toutes ces bites qui se relaye pour me baiser. Katia elle aussi prend sont pied aux cris quelle pousse. L’orgie bat son plein et nous ne sommes plus que des réservoirs à sperme, des garages à bites. Peut-être parce que j’étais en quelque sorte l’instigatrice de cette méga partouze, je suis le centre d’intérêt. Allongée sur un divan, chacun de mes orifices sont occupés. Je branle, et me fais baiser et enculer à tour de rôle. Le foutre déborde de tous mes trous. Les flashs des appareils photos crépitent. Chacun veut immortaliser le moment pour le diffuser sur le net.
La partouze infernale se terminer au petit matin quand tous sont vidés et ne peuvent plus bander. Nous sommes toutes les trois dans un état pitoyable à demi comateuses d’avoir pris aussi cher et d’avoir eu tant d’orgasmes.
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