On peut dire que je suis bi, oui, si on veut, mais bi soft. Je branle, je suce et j’aime qu’on me fasse la même chose mais pas de sodo ! Tant que j’ai été marié, je ne suis jamais allé voir ce qu’il y avait dans le pantalon des mecs mais, une fois divorcé, j’ai eu rapidement ma première expérience.
Divorcer encore en pleine force de l’âge, ce n’était pas facile, bien sûr, mais c’était aussi un soulagement : ma femme, qui était pourtant la prunelle de mes yeux, ne me regardait plus. Seuls ses enfants comptaient. Nous ne faisions pas lit à part mais elle montait me rejoindre une fois que j’étais endormi et quand, par hasard, j’étais encore réveillé et que je m’emparais de ses seins dès qu’elle s’allongeait, elle se refusait à moi, plus ou moins avec tact. Plutôt moins que plus, d’ailleurs…
Une fois « libre », j’eus la sagesse – bien conseillé par une amie dont j’avais toujours admiré et apprécié l’expertise en matière de psychologie – de ne pas me mettre immédiatement à chercher quelqu’un d’autre. Surtout, ne pas se laisser aller au syndrome de la « planche de salut » illusoire… Seulement, j’avais des besoins et je passais de longues heures, à poil chez moi, à m’astiquer le jonc frénétiquement. Je le faisais seul ou au téléphone, en compagnie d’un correspondant aussi excité que moi et que j’allais chercher sur le minitel rose.
Un matin, j’étais à poil dans ma chambre en train de me palucher devant un numéro de Penthouse quand on sonne. Un coup d’œil par la fenêtre et je vois un jeune homme en bleu de travail. L’envie me prend alors d’aller lui ouvrir à poil ! Je descends les escaliers et, après avoir respiré un bon coup, j’ouvre, la bite presque en érection. Interloqué, le jeune type – un blondinet de 20 ans tout au plus, mince et d’allure sympathique – reste sans voix. Il semble même vouloir faire un pas en arrière. Je lui dis :
– Non, n’ayez pas peur. Comprenez, je suis naturiste et je suis souvent comme ça. Mais entrez…
Je n’aurais pas aimé qu’un voisin me surprenne ainsi tout de même ! Ce gamin était artisan dans la Sarthe et il battait la campagne avec son père pour du travail. Il proposait de démousser les toits, d’élaguer les arbres, de tailler les haies et bien d’autres services encore. Et tout en me disant cela, il jetait de brefs coups d’œil à ma queue qui commençait à grandir. Il avait avec lui un « press-book » de ses travaux et, pendant que je le feuilletais, je surpris que son regard se faisait insistant. Finalement, je lui dis que, pour l’instant, je n’étais pas intéressé mais qu’il me laisse sa carte au cas où. Il me la tendit en précisant que son père et lui restaient dans le secteur encore quatre jours. Je lui répondis, en caressant ma bite qu’il serait toujours le bienvenu.
« Robert et Marc D., artisans » disait la carte de visite, avec numéro SIREN et tout. Je la rangeais, montais de finir de me branler dans ma chambre en compagnie de Pamela Anderson et oubliais presque ce jeune blondinet.
Le même jour, vers 21 heures, j’étais devant ma télévision, habillé, cette fois, d’un polo et d’un short, quand j’entendis trois petits coups frappés à ma porte. Je m’approchai du judas et vis que c’était… Marc ! En une demi-seconde, je compris : il venait pour ma bite, c’était évident ! Et, en effet, lorsque j’ouvris, je vis que son regard allait directement à l’endroit voulu. Je commençais aussitôt à devenir dur…
– Ah, euh, bonsoir. Vous êtes habillé ? Vous me reconnaissez ? Je suis venu ce matin pour…
– Oui, je sais. Entre.
Et je libérai le passage pour qu’il pénètre dans le vestibule. Tout en le guidant vers le séjour où trônait un grand canapé et éteignant le téléviseur, je lui dis :
– Oh, je ne suis pas tout le temps à poil, tu sais. Ça m’arrive de me couvrir un peu. Mais que viens-tu faire par ici ? Où est ton père ?
– Il est à l’hôtel. Il dort déjà. Moi, j’étais trop… excité pour ça, vous comprenez ?
– Je crois oui… Tu veux de la bite, quoi ?
– Oh oui, j’aime ça : branler, sucer et la vôtre m’a bien plu ce matin.
J’étais tout de même suffoqué par la franchise de ce gamin. Mais, lucide, je demandais :
– Tu as quel âge ?
– 20 ans !
– Certain ?
– Oui, oui. Je suis majeur
et il sortit sa carte d’identité où je pus vérifier ce qu’il avançait. Alors, rien ne s’opposait plus à ce que je lui donne ma bite à sucer ! En un clin d’œil, je fus à poil, bite tendue vers le plafond. Ses mains s’avancèrent toutes seules vers mon gland et s’en emparèrent.
– Suce- la
Lui soupirai-je.
J’étais debout. Il s’agenouilla devant moi et pris ma bite en bouche. Je n’en revenais pas : il y a dix minutes, je regardais un film soporifique à la télé et, là, j’avais un gamin à mes pieds en train de sucer – et très, très bien – mon zob ! Inespéré !
Ah ça, il savait pomper, le petit salaud ! Dans de lents va-et-vient sur ma bite, sa bouche avalait toute la longueur de la hampe – soit un bon 18 centimètres ! – et revenait mourir sur le gland. Mais il restait habillé. Un reste de timidité sans doute.
– Mets toi à poil ! Montre un peu ta bite !
Sans lâcher ma queue une seconde, il déboutonna sa chemise après son blouson, fit glisser son pantalon et son boxer qu’il envoya balader d’un vif mouvement de la jambe. Sa bite, énorme, avait jailli du boxer comme un diable de sa broîte ! C’était trop ! Jee lâchai tout, dans un râle formidable ! Mais, lui, ne se démonta pas : il continua à sucer et vous savez, les mecs, comme ça exacerbe le plaisir. On croit mourir !
Quand il libéra enfin ma queue, cette dernière était absolument propre : il avalait tout avalé ! C’est un spécimen que j’avais là. Je lui dis :
– A mon tour ! Montre-moi ça !
Je lui demandais de s’asseoir sur le canapé et m’agenouillai entre ses jambes pour sucer sa bite. Un beau 21 ou 22 cm et épaisse en plus ! Je n’avais vu ce genre d’engin que sur un Noir au lycée, en Terminale, un mec un peu « jeté » qui montrait sa queue à tout le monde – même aux filles – pendant les séances de sport. J’ai appris par la suite qu’il faisait une carrière d’artiste porno…
Celle de Marc était dans ma bouche, à présent, et j’aimais cette sensation d’une tige dure dans ma gorge, ce goût particulier. Contrairement à la mienne, la bite de Marc était bien droite. Il se leva et, debout, il se mit à baiser ma bouche, si vous voyez ce que je veux dire : il faisait un va-et-vient sensuel tandis que je le pompais. Je veux dire : je ne faisais pas comme la plupart des femmes que j’ai pu connaître et qui se contentaient d’avaler la bite, point final. Je pompais réellement. Je ne me contentais pas de lui serrer la hampe comme le fait le minou d’une femme.
– Tu suces bien, mon salaud !
Dit-il au bout d’un moment. Je tenais à pleine main cette bite monstrueuse. Je la retirai de ma bouche :
– Elle est super belle, ta queue, tu sais ?
– Oui, je sais. Mon oncle a été le premier à le dire ?
Je m’arrêtai de le pomper :
– Ton oncle ?
– Ouais, c’est lui qui m’a appris ce que je sais. A 16 ans, j’avais une bien plus grosse bite que la sienne et il avait 45 ans !
– Il t’a violé ?
– Ah non, pas du tout. Tout était accepté d’avance. J’aime la queue depuis tout petit. Les fentes ne me disent rien… Eh, mais n’arrête pas de me sucer, toi !
Je repris ma besogne. Son mouvement de va-et-vient s’intensifia. Ses couilles battaient contre mon menton et je sortis sa bite de ma bouche juste pour être copieusement arrosé par sa jute d’une blancheur incroyable !
Quelle expérience ! Devant une bière, il continua à me confier ses différentes expériences homo. Je lui demandai :
– Et avec les filles ?
– Non, jamais rien. J’ai essayé. Les seins, ça me plait bien. Il y en a qui me font bander mais le reste, la foufoune, tout ça, non, très peu pour moi…
– Et la sodomie ?
– Oui, ça m’arrive de temps à autre mais pas plus que ça. Etre défoncé ou défoncer ne m’excite pas particulièrement. Mais sentir, comme ce soir, une autre main que la mienne me branler et une bouche me sucer, ça oui ! Et j’aime le faire aussi.
– Ton père sait tout ça ?
– Pas pour mon oncle, non mais il sait que je suis homo. On n’en a jamais parlé longtemps.
Lorsqu’il franchit la porte, il me demanda la permission de revenir me voir. Ce que j’acceptais. Il revint le lendemain, en effet. Ce fut très chaud et je pris des photos de lui en train de se branler et de me sucer.
Je garde un souvenir un peu ému de ce garçon que je n’ai jamais revu… Mais, à présent, je savais ce que c’était de sucer une bite et de se faire sucer par un mec. C’est précisément quelques semaines plus tard que, un jour de pluie, alors que je courais en forêt, je rencontrai mon chasseur d’escargot…
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