Marié depuis douze ans à Carole c’est dans un quartier bien connu de Paris que Franck venait de temps à autre chercher du plaisir tarifé. Depuis quelques temps un fantasme de soumission le tarodait au point de vouloir franchir le pas …. Chaque fois qu’il venait dans le quartier il avait repéré ces dames à l’allure sévère souvent bottées et vêtues de cuir . Une d’elle notamment, rue Blondel, petite mince, tout en cuir y compris la casquette, la paire de menotte coincée dans sa ceinture ne laissait aucun doute sur sa spécialité de dominatrice. Ce jour là il avait décidé de passer un moment avec cette Domina dont il ne connaissait pas le nom.
Arrivé sur place en début d’après-midi, Il ne vit pas la dame à son poste habituel… Soit elle était en repos soit elle était occupée. Ne connaissant pas son nom il n’osa pas questionner une des tapineuses de la rue pour en savoir plus sur sa présence ou non. Il décida donc de flaner dans le quartier bien décider de repasser sous peu. Il savait que certaines putes du coin, les plus sollicitées, ne descendaient plus sur le trottoir, les habitués faisaient la queue dans l’escalier. Il ne pensait pas que cette Domina en fasse partie, d’ailleurs souvent il la voyait debout attendre le client et par tous les temps …
Il partit déambuler dans les rues adjacentes. En croisant certains visages, des détails lui revenaient en mémoire; La couleur des sous-vêtements de celle-ci, le tatouage que celle-là avait sur une cheville, la position qu’une autre avait refusée, le tablier de sapeur de cette mature aux seins énormes ou au contraire la chatte épilée de cette grande blonde qu’il avait baisée debout en face du lavabo juste troussée culotte aux chevilles…. De retour rue Blondel, la Domina pour laquelle il s’était déplacé papottait avec blonde un peu ronde qu’il pensait être Sheila. Il s’approcha et lui adressa la parole. Il fut d’abord surpris d’entendre la femme lui demander s’il voulait du classique ou de la domination, il ne s’imaginait même pas qu’elle puisse proposer des prestations classiques….
_ Euh Domination s’il vous plait…
_ C’est 100 euros minimum et ça monte vite !
_ D’accord répondit-il .
Sans un mot elle s’engouffra dans l’entrée ouverte qui se trouvait à sa droite, il la suivit jusque devant un ascenseur. Elle appuya sur le deuxième étage…
_ Je te connais ?
_ Non c’est la première fois.
_ Ha je vois c’est une initiation…Le fantasme de la fessée, tu n’est pas le seul tu sais… C’est ça ?
_ Oui c’est ça Madame.
Au bout du couloir elle ouvrit une porte sur laquelle un écriteau indiquait Maîtresse Liliane.
Ils entrèrent dans une pièce sombre assez grande. Maîtresse Liliane alluma la lumière et retira son blouson qu’elle accrocha au porte-manteau qui se trouvait à la gauche de l’entrée ainsi que sa caquette. De petite taille malgré les hauts tallons de ses bottines, son corsage blanc à manches longues couvrait une poitrine menue, brune coiffée en queue de cheval elle devait avoir une petite cinquantaine. A droite se trouvait un grand lit, a coté une fenêtre occultée par un rideau de couleur crème qui ne laissait passer que peu de lumière du jour. Les murs comme le dessus de lit étaient bordeaux le sol était recouvert de moquette rase grise. Sur le mur du fond était installée une croix à coté du quel se trouvait un chevalet. Sur un autre mur pendaient tout un tas d’instruments, martinets, fouets, cravaches, badines, tapettes en tous genre mais aussi des harnais, des masques et d’autres instrument en cuir ou latex dont Franck ne connaissait pas l’usage. Dans un angle un parravent masquait un lavabo et un bidet. Sur une commode se trouvait une belle collection de plugs et godemichets de toutes les tailles et de toutes les couleurs, il y avait aussi un bock à lavements .
La Maitresse attrapa une feuille cartonnée qu’elle tendit à son client:
_ Voilà ce que je propose aux novices, il y a trois choix. Tu lis ça, tu choisis… et tu paies.
Les trois programmes étaient détaillés en temps prix et pratiques.
Il choisit celui d’une heure à 250 euros
Le 3 dit-il en cherchant son porte-feuille. Il lui tendit 5 billets de 50 euros.
Très bien dit elle en prenant l’argent, tu lis ça et surtout tu retiens bien ce que tu lis dit-elle en lui présentant un nouveau carton. Un fois que c’est fait tu te déshabilles, tu poseras tes vêtements sur cette chaise !
Il était écrit :
Règles élémentaires de soumission:
1.Le soumis doit une confiance absolut à sa Maîtresse, il lui obéit sans discuter et avec respect.
2.Le soumis ne prend aucune initiative, ne bouge que s’il en reçoit l’ordre.
3.Le tutoiement est formellement interdit. Le soumis ne s’adresse à sa Maîtresse que pour répondre à ses questions.
4.Le soumis termine toujours ses réponses par Maîtresse.
5. Aucune attitude sexuelle n’est tolérée, le soumis reste le regard baissé .
6. Le mot « Lavette » prononcé par le soumis met fin immédiatement à la séance. Dans aucun cas la reprise de la séance ne sera possible .
Pendant que Frank lisait les consignes, Liliane s’était saisit d’une cravache au manche assez court puis s’était assise sur le seul fauteuil présent dans la pièce. Frank posa le carton sur la commode puis commença à se dénuder comme avait ordonné la Maitresse.
_ Approche, plus près ! Il était à environ cinquante centimètres de sa dominante .
_ Ton nom, ton age.
_ J’ai 43 ans je m’appelle Pierre. Franck se faisait appeler Pierre avec toutes celles qu’il consommait dans ce quartier, il n’avait pas mentit sur son age.
Il reçut aussitôt un coup de cravache sur la cuisse gauche, coup qu’il jugea assez fort, cependant il grimaça à peine sans émettre aucun son …
_ Tu as déjà oublié la régle numéro 4 ? Toujours terminer les réponse par ….
_ Maîtresse…
Un nouveau coup de cravache sur le haut de la cuisse, plus puissant que le précédent, Franck laissa cette fois-ci échapper un gémissement.
_ Maîtresse, Maîtresse ! hurla la prostituée .
_ Donc écoute bien , ton nom, ton age !
_ J’ai 43 ans, je m’appelle Pierre Maîtresse .
_ C’est mieux… Pierre comme Saint Pierre, Ha ha ha ?
_ Non c’est trop sérieux ce nom….. Que dirais-tu de …Bambi, oui Bambi c’est joli tu ne trouves pas ? Ca te plait Bambi ?
_ Oui Maîtresse ça me plait …..Maîtresse ! Nouveau coup évité de justesse ….
_ Bien, tu sais ce qu’un soumis doit apprendre pour commencer ?
_ A lécher les bottes de sa Maîtresse…Alors tu vas te mettre à quattre pattes et me monter ce que tu sais faire avec ta langue !
Franck obéit aussitôt, sur les coudes et les genoux, son visage à quelques centimètres des pieds bottés de sa dominante. il reçu deux coups de cravache sur la fesse gauche…
_ Soigne ta cambrure Bambi ! Tu commences par écarter les genoux et tu creuses les reins…. Voilà c’est presque ça, encore, allez ! Voilà C’est ça !
Dans le miroir disposé dans l’angle opposé, la Maitresse avait une vue sur Frank dans la position du parfait soumis occupé à honorer les pieds de sa maîtresse, ses organes et sa rosette bien offerts.
Au bout d’un moment
_ Debout ordonna la femme. Aussitôt Franck se redressa
_ Approche….il devait maintenant être à 50 centimètres . Lilianne tendit le bras droit et attapa de sa main gantée les testicules rasées de son client qui n’en menait pas large d’autant plus que pour la première fois depuis le début de la séance il sentait une réaction naturelle se manifester, sa verge commencait à gonfler .
_ Je vois que ça te fait de l’effet dit-elle en lui tordant les bourses ce qui provoqua un tortillement disgarcieux accompagné d’un gémissement de douleur. Le début d’érection avait aussitôt cessé .
Cela faisait cinq bonnes minutes que Frank subissait la fessée installé en travers des cuisses de la Domina. Au début les coups lui avaient semblé très acceptables mais plus le temps passait plus la force des claques sur ses fesses augmentait la fréquence était également plus soutenue et répétitive, une dizaine ou une douzaine de coups tombaient au même endroit avant que sa fesseuse ne change de cible. Son cul chauffait la douleur était diffuse mais de plus en plus intense. A un moment la Maîtresse saisit un objet noir ressemblant à une raquette de ping pong. C’était une tapette en cuir souple. Rapidement Frank compris que cet instrument serait difficile à supporter, la surface qui entrait en contact avec la peau déjà bien rouge était trois ou quatre fois suppérieure à celle de la main. Il serrait les dents sans bouger, seulement le bruit des impacts emplissait la pièce. A un moment il perçut des gémissements feminins provenant de la cloison face à lui. Probablement une prostituée collègue de Lilianne en train de simuler le plaisir pendant la pénétration.
_ Debout mains sur la tête !
Il allait pouvoir souffler un peu… Cette fois ci après le temps passé sur les cuisses gainées de cuir de la Maîtresse son sexe présentait une sérieuse érection. Tiré par l’oreille gauche il fut amené jusqu’à la croix de Saint André, installé de dos il dû attaper les chaines qui pendaient de chaque extrémités hautes et ne plus bouger comme avait ordonné sa nouvelle amie. Maîtresse Liliane revint aussitôt avec un petit objet tenu dans la main droite, il n’avait aucune idée de ce que cela pouvait être. Il compris vite quand sa maîtresse parcouru sur son flan d’abord, la roulette hérissée de pointes, elle fit plusieurs aller retour en appuyant sur le manche afin que les piques péntèrent son épiderme. Sans être très douloureux, la sensation était tout de même assez désagréable… Mais quand la roulette fut placée sur ses tétons là Frank grimaça, il avait mal…. C’est pourtant sur ces parties sensibles que Liliane avait décidé d’insister.
_ Bambi est sensible des tétons on dirait… Ironisa la maîtresse… Ca fait mal Bambi .
_ Oui Maîtresse, ça fait mal Maîtresse.
_ Efficace ma nouvelle roulette, tu es le premier à en profiter, tu as de la chance….
Après avoir piqué toute la zone des téton la roulette continuait ses circonvolutions sur d’autres parties de son corps, nottament sur les cuisses, il ne parvevenait plus à retenir ses gémissements et son souffle accélérait. La roulette était maintenant posée à la racine de sa verge dont l’érection était retombée. Arrivée sur la fine peau du prépuce Frank poussa un petit cri aigu qui amusa beaucoup sa tortionnaire. Elle avait levé l’objet qui n’était plus en contact de la peau, Frank espéra un instant que la torture allait cesser mais quand la maîtresse fit glisser la fine peau pour découvrir le gland il compris que le plus dur était à venir. Elle posa le membre décalotté sur sa paume gauche et approcha l’objet avec son autre main jusqu’à ce que les pointes touchent la surface hyper sensible de la couronne à l’endroit exact où la peau retroussée formait un bourrelet. Frank retint son souffle, la désagréable sensation était encore supportable jusqu’à ce que la roulette se déplace sur le gland, il poussa un cri n’empêchant pas la prostituée d’accentuer la pression jusqu’à en devenir insupportable, quand les piques roulèrent sur le frein du prépuce le soumis eu un reflex de recul … Maîtresse Liliane n’insista pas, Frank sentait la sueur couler sous ses aisselles.
Toujours debout dos à la croix, Frank observait la femme déplacer le chevalet et en déplier quelques appendices.
_ Vient ici Bambi ! Il approcha.
_ Aller monte…. Non dans l’autre sens !
Frank fit ce qu’on lui demandait. Le chevalet n’était pas très haut, à peine la hauteur d’une table, le haut de son corps reposait sur une étroite bande moussée couverte de simili cuir, les coudes posés sur les supports placés assez bas et les genoux sur d’autres supports plus hauts, il se vit dans un miroir et pu constater que cette humiliante position offrait les fesses à toutes sortes de perversions.
La Maîtresse régla un support sur lequel il posa le menton, immobilisa les quatre membres au moyen de sangles munies de scratch et boucla une autre sangle qui passait sous le support central et plaquait son corps sur celui-ci. L’immobilisation était parfaite.
Le premier coup tomba sans que Frank s’y attendre. Il lachât un petit cri de surprise. Dans le miroir il voyait sa Domina tenir un martinet qu’il avait repéré en entrant dans la pièce. Parmi les accessoires pour la plupart en cuir noir, celui-ci avait un manche noir et une vingtaine de lanières roses. Liliane fouettait sans relache les fesses offertes aux cinglées parfois les lanières heurtaient ses couilles… Son cul déjà endolori faisit souffrir Frank cependant il serrait les dents et il s’efforçait de rester muet, il endurait comme un soumis obéissant qu’il devenait… Les coups étaient portés avec force. Son fessier devenait écarlate. A côté des gémissements avaient repris ….
Malgré son petit gabarit Liliane frappait fort, elle savait que pour fidéliser la plupart des masos qui lui rendaient visite il n’était pas question de faire dans la demie mesure ils payaient pour en chier, eh bien ils en chiaient et puis de toutes façon ils avaient le pouvoir de tout arrêter en un seul mot, depuis ses nombreuses années d’activité cela était arrivé que très rarement… Beaucoup regrettaient d’être là à subir la douleur pendant la séance, pourtant tous ou presque revenaient….
C’était maintenant une cravache qui tavaillait Frank, ses cuisses subissait la fureur de sa tourmenteuse . Un programme 3 était assez complet et en fonction du comportement de son soumis elle le finissait généralement à la cravache. Son Bambi du moment supportait plutôt courageusement les sévices auquel il était soumis. Il n’avait montré qu’une franche réticence à la roulette, ça pouvait arriver … Elle était à peu près certaine de le revoir. L’arrière des cuisses est une zone très sensible qui rougit bien plus vite que les fesses, la cravache appliquée à cette endoit est vite insupportable. Frank garderait quelques jours les marques de sa correction et cette nuit il dormira probablement sur le ventre, s’il arrive à trouver le sommeil. L’heure tirait à sa fin… Le client de la pièce d’à côté venait de jouir bruyament mettant un arrêt définitif aux gémissements émis par la dame qu’il limait depuis un moment.
_ Certains adorent d’autres détestent, mais tous y passent, avait lancé la prostituée pendant qu’elle ajustait son gode ceinture.
Une sangle passée par l’entre-cuisses elle ajustait la ceinture qui retenait un gode de calibre respectable recouvert d’une capote, Frank sentit sa gorge se nouer…. Un liquide froid déposé sur le haut de sa raie culière glissait vers son anus puis le pouce droit de Liliane dilata sans effort son fondement. Elle ajusta le godemichet sur le sphincter puis poussa. Sous la pression peu à peu la rosette se dilata laissant entrer le sextoy dans le boyau du soumis. La hauteur du chevalet était idéale pour une sodomie facile. Frank sentit le strapon s’enfoncer inéluctablement dans ses entrailles… Puis la Maîtresse commença une sodomie peu énergique mais profonde… Elle décula assez rapidement en se moquant de son trou qui prennait un peu de temps à se refermer … En appercevant la Maîtresse encore équipée Frank n’en revenait d’avoir pris un tel engin aussi facilement ….
Détaché, Frank fut invité à se rhabiller. Bisous au revoir à la prochaine .
En descendant les escaliers Frank croisa Lola une grande antillaise, sa forte poitrine toujours mise en valeur dans des hauts sexy bien moulants. Trois marches derrière elle un jeune homme la suivait le regard rivé sur son cul de sportive. Le garçon aura sûrement la chance de pouvoir ôter les sous-vêtements de la belle, la seule du quartier à proposer ceci à ses clients au début de la presta. Lola avait un coprs magnifique et en plus réglo, Frank était toujours sorti satisfait de chez elle .
Peu de temps après Frank se soulagait dans la bouche d’Odile une des prostituées les plus agées du quartier mais très douée pour la fellation qu’elle pratiquait toute habillée et protégée, pour une somme modique. A 65 ans bien sonnés elle ne proposait plus que cette activité à des messieurs, parfois aussi agés qu’elle, qui se contentaient d’éjaculer en bouche.
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