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rencontre avec mon maitre et merci maitre

rencontre avec mon maitre et merci maitre



Je m’appelle Salope M.M. . Depuis deux ans j’appartiens à un homme. maitre M, mon Maître. Il m’aime, me protège, et me soumet . J’ai tout appris de lui. il possède mon cœur, ma peau, mes trous de putes, jusqu’au plus infime de mes désirs. Je vis pour lui. Je ne pense qu’à lui. Je mets toute mon ardeur à le satisfaire, à mériter sa puissance. c est est un homme bon, mais aussi un vrai Mâle, viril, dominateur, vicieux.
Quand il a envie de moi, quand il désigne d’un geste sa braguette, encore plus lourde que d’habitude, la chaleur m’envahit, j’ai l’impression de me dissoudre et de perdre la raison.
Mon Maître alors sait que je ne suis plus en état de réfléchir, que l’excitation m’envahit des pieds à la tête, et qu’il peut faire ce qu’il veut de moi. Il ordonne et moi j’obéis, chienne docile et affamée.
J’ai besoin de sentir son emprise pour être heureuse. J’ai besoin de savoir qu’il est Tout, qu’il possède tout de moi, que je ne suis plus rien sinon l’objet de son plaisir. J’ai besoin d’être sa maison, ouverte en toute saison, un refuge brûlant pour sa queue de mâle.
J’ai tout de suite compris que depuis que je l ai rencontré la vie est belle,depuis qu il me dresse et qui a fait de  moi sa chienne soumise et sa putain maritale , me dresser mais aussi prendre ma vie en mains. J’ai eu beaucoup de chance !
Voici mon histoire. Une histoire vraie. Celle de ma soumission. Le récit de ma rencontre avec mon Maître.
J ai toujours adorer de jouer avec mes trous de putes de faire rentrer des objet ou de me faire baiser  J’étais à peu près le même qu’aujourd’hui. Les yeux marons, cheveux chatains bouclés, visage rieur et fin, lèvres bien dessinées. mignonne 1 mètre 50, 45 kilos, , corps mince, peau douce, et joli cul bombé.
Je ne me rendais pas compte, alors, que je pouvais plaire, et même, que j’étais belle. Mon cul (à présent, je l’aime) avait tendance à m’obséder. Je croyais, dès que je sortait, qu’on ne voyait que lui. J’étais timide (je le suis encore et, je l’avoue, j etait  très attiré par les hommes, de préférence virils et vicieux. Je fantasmais beaucoup sur le fait d etre attaché d etre traiter en esclave sexuel et me voyais passif (ce que je suis à 200%, j’en suis sûr aujourd’hui !).

J’étais gentille, plutôt candide, et passais ma vie à regarder des films de cul et des site de rencontre . . Je n’avais pas vraiment d’amis, ça ne me gênait pas tant que ça. J’étais trop occupé à ne rien montrer de mon attirance pour les machos.
quand d un seul coup un jour  j ai rencontre mon maitre sur internet et m a invite chez lui…j était habiller en mini jupe avec un string et un haut transparent c est mon maitre qui m avait ordonner de m habiller sexy et une pute soumise doit tous le temps s habiller de cette façon. Dans les escalier juste en bas de chiez lui il m a d abord ordonner de m asseoir dans les escalier et de lui montrer mes trou de pute qui était déjà bien humide j attendait qu une chose c est que mon maitre s amuse avec ,qu il me caresse.On a fait des photos d exhibe ,après je suis rentre j ai lui il m a doigte pour savoir comment je mouillait et je mouillait comme une pute? après il m a ordonner d enlever mon string de le sentir et de lui donner après
mon maitre  s’est assis près de moi. Je crus sentir son souffle contre ma nuque. Je n’osais rien faire, j’étais tétanisé. Vingt secondes, une minute, cinq minutes, j’ignore combien s’écoula de temps Mais il me dit, de sa voix douce :
– Tu es tres belle et ton corps est magnifique
J’ai relevé la tête. Il avait la trentaine ,. Il semblait musclé,,
Il se taisait à présent, l’œil rieur, de plus en plus confiant face à l’évidence de mon trouble. Quant à moi, je crus défaillir tant son visage me plut. Mâchoire carrée, bouche large, nez charnu, presque fort, grands yeux noirs surmontés de sourcils très denses. L’air irrésistible d’un HOMME, un vrai.
–  Tu te remets ? « 
Soudain, je sentis sa cuisse droite, lourde, chaude, peser contre ma cuisse gauche. J’en eus des frissons partout, comme si je recevais une décharge électrique. Il s’en aperçut.
– Sensible, dis donc ! A ce point ? « 
– …Oui  » répondis-je tant bien que mal.
– Parfait. C’est un bon départ ! « 
Nous avons parlé de mille choses,
– Tu es charmante, mignonne, réservé, tout ce que j’aime ! Mais pas seulement… Je vais être honnête, l un putain de beau petit cul ! Vois, rien que d’en parler, je bande ! « 
En effet, le renflement de son jean semblait des plus épais. J’étais hypnotisé, la bouche ouverte, l’air idiotte.
– Ca te fout l’eau à la bouche, hein ? « 
– Euh… oui… « 
– Bien. Tu es franc, j’apprécie !… Donc, t’es mimi et tout et tout, mais moi, j’ai besoin d’une salope… enfin pas seulement, mais surtout !… Ces derniers temps, j’ai sacrément besoin d’une salope, et à haute dose… Ca te choque ? « 
– … Non. « 
– Ca t’excite ? « 
– Oui, mais… « 
– Quoi, « 
– J’ai aucune expérience… « 
– Je t’apprendrai ! et tu m a montrer en webcam la pute que tu es? Tu demandes pas mieux, non ? Plus je dis le mot ‘salope’ et plus ça te fout la trique… Hein, ma salope, ma pute, ma jolie salope »
Soudain, la peur m’envahit. C’était trop pour moi ! Trop beau, trop dingue, trop étrange. mon maitre le sentit, qui me prit les mains dans les siennes (immenses !) et murmura :
– N’aie pas peur, , je m’emporte, là, parce que tu me plais vraiment ! J’ai le flair pour ces choses, crois-moi ! Mais si tu aimes mieux, parlons des chose que t aime. « 
– Non, c’est bon… je… Vous me plaisez vraiment, vous aussi, je le jure !… Et… « 
– Oui ? « 
– A vrai dire, j’ai bien envie d’être une salope ! « 
Il rit aux éclats.
– MA salope ? « 
– Ben… oui. « 
– Dis-le ! « 
– J’ai envie d’être une salope… Votre salope. « 
– T’en meurs d’envie ? « 
– Oui. « 
– Dis-le. « 
– J’en meurs d’envie ! « 
J’avais failli crier. La honte me submergea.
tendrement,  il se pencha vers moi. Il murmura à mon oreille :

– Chut, bébé, chut… Je suis là, tout va bien… Ton mec est là pour te protéger… Oui, ton mec, bébé, car tu vas devenir ma pute, et tu le sais !… A propos, j’ai une énorme queue ! « 
littéralement mes mains dans les siennes. Et je ne pus m’empêcher, la gorge sèche, de rêver à ces mots magiques…  » une énorme queue « … « une énorme queue »… Je sentis une bouffée de chaleur à l’intérieur de moi. Puis l’envie, folle, incontrôlable, de me faire défoncer par mon maitre, d’avoir le cul rempli par son énorme queue, me foudroya par surprise.

Cet homme abuserait de moi comme il le souhaiterait, ferait de moi son esclave. En vérité, même si, d’une certaine manière, je n etais pas a l aise je ne voulais plus partir. je suis toute de suite tombe amoureuse de mon maitre, mâle dominateur et sexy.dans les escalier de son immeuble.
, il se frotta contre mon cul, me forçant à me cambrer pour mieux sentir sa braguette enflée. Tandis que ses bras entouraient ma nuque, il susurra :
– Tu m’appartiens, , tu as trouvé ton maître ! »
Puis, il me traita, dans le creux de l’oreille, de sac à foutre, d’ordure, de chienne en chaleurs, de garage à bite, et me demanda si j’aimais ces noms.
– Oui.  » lui répondis-je, ému.
– Ca tombe bien, parce que c’est toi, ma chéri, c’est ce que tu es ! « 
Dans l’entrée de son appartement, il me plaqua contre le mur, m’écrasa du poids de son corps, et me roula une pelle d’enfer. D’abord, je ne sus que faire, puis, vite, la pression de ses lèvres,  la mobilité de sa langue, l’humidité du contact se firent contagieux. Avec fougue, je lui rendis son baiser. J’eus l’impression de fondre. C’était un échange bouleversant, long, très sensuel.
Evidemment, mon Maître menait les opérations. Sa langue, ses lèvres possédèrent peu à peu ma bouche.… Quand il fut clair qu’il m’avait terrassé, que je jouissais pleinement de sa domination, il décolla ses lèvres des miennes, me prit par la main, et dit :
– Tu embrasses bien, bébé, tout en restant à ta place. J’aime ça. « 
Dans le salon, il se laissa tomber sur un fauteuil, les jambes écartées, la queue plus que visible sous son jean. Il m’ordonna de me déshabiller, debout, face à lui. Un peu tremblantte, je m’exécutai.
– Waouh ! fit-il, admiratif. Une vrai salope vrai  comme j’aime !  Tu sais que t’es mignonne, , une salope de rêve ! « 
Il me caressa l’entrejambe, et rit de voir ma chatte couliner
– Toi, tu aimes la bite, ça crève les yeux ! Si tu me conviens, tu vas en bouffer, crois-moi ! Tu vas en bouffer tous les jours et par tous les trous ! Mais chaque chose en son temps… « 
Mon maître se leva, s’approcha de moi, commença de m’ausculter, comme si j’étais une jument qu’il voulait acquérir. Ma dentition lui sembla saine, mes tétons bons à développer, mon cou parfait pour un collier de chien, mon regard docile,, et mon cul vraiment sublime.
– Avec un cul pareil, ton destin de salope est tracé d’avance ! S’il est aussi bon qu’il en a l’air, j’y passerai ma vie, autant te prévenir ! Maintenant, à genoux, le cul en l’air, et bien cambré, la pute ! »
Il s’accroupit derrière moi, puis, après avoir joué, du bout des doigts, le long de ma rondelle, entreprit soudain de fourrer son visage contre mon cul, et d’y enfourner la langue, tout en râpant mes fesses avec ses joues. Insensiblement, je commençai de m’ouvrir, envahi de picotements plus délicieux les uns que les autres. Et je ne pus m’empêcher de gémir, surpris par l’étrangeté, la nouveauté d’une telle jouissance.

mon maitre finit par lever le nez de mon cul, puis me dit :
– Putain, quelle bonne chatte de femelle ! Je te dilate à peine les trous, tu couines déjà comme une chienne ! « 
Il me donna deux claques, une sur chaque fesse, bien appuyées, bien sonores, puis m’étendit sur le dos. Il me recouvrit alors de tout son corps, puissant, lourd, et planta ses yeux dans les miens. Subjugué, je finis par baisser le regard. Attendri, mon Maître me dit :
– , je veux ton bonheur, tu le sais. Je ne suis pas cruel. Mais j’ai besoin d’une pute pour mon équilibre. Une pute hyper docile et gentille, mais une pute dans l’âme. Je te protègerai, tu verras, je t’aimerai, mais je ferai de toi ma pute maritale, ma chienne perso. Je te ferai découvrir ce que tu es vraiment, je te cajolerai, je te bourrerai la chatte !… Une rencontre comme la nôtre, bébé, ça tient du miracle… Tu en as conscience ? Tu veux aller plus loin ? Vraiment ? « 
– Oui.  » répondis-je en un souffle.
il me sourit de toutes ses dents, un sourire ensorcelant, et m’embrassa tendrement, langoureusement. Puis, il cracha dans ma bouche, et me dit :
– Prends, salope, bouffe la salive de ton mec !  »
J’avalai sa salive, tiède, un peu salée. me serra dans ses bras, de telle sorte que je me sentis minuscule,  à la merci d’un géant. Sa tête dépassait la mienne, son torse, son bassin, ses jambes m’écrasaient, ses pieds dépassaient les miens. J’étais heureuse, je faillis pleurer.
J’eus la sensation, vertigineuse, d’être enfin à ma place, de me trouver à l’endroit précis qui me correspondait, d’y être avec l’homme de ma vie ! Ca semblait fou !
coller contre lui il me doigta ,mmm sentir son odeur, Je crus que j’allais jouir.
Mon Maître,
A trente centimètres de mon visage, sa braguette boursouflée se mit à m’obséder. Il la déboutonna, libérant une odeur . La plus savoureuse odeur du monde. Le parfum de sa bite.
– Pas touche ! dit-il. Profite, admire ! »
Comme par magie, sa bite surgit du jean. Elle me stupéfia. Sa largeur, extraordinaire, me fit peur tout en m’alléchant. J’eus l’impression de me trouver  face à un bloc de puissance qui me faisait défaut. Je pris conscience de ma faiblesse, et du vide en moi, de ce d’Homme qu’il me fallait combler.
Je sus dans l’instant que cette queue, ce morceau de chair énorme, impérieux, veiné, deviendrait le centre de mon existence, et que je ne pourrais plus vivre sans le vouloir en moi, sans être rempli, de toutes les façons possibles, par lui !
Je déglutis.
alors elle te plait dit il
Trop ému, trop excité pour pouvoir répondre,
Mon Maître, sourire en coin, avança le bassin, puis frappa mon visage avec sa queue. D’abord avec tendresse puis avec sauvagerie. C’était comme s’il me baptisait, comme s’il me gratifiait de sa bénédiction. J’étais au paradis, totalement soumisse, totalement heureuse! Ma langue frétillait à l’intérieur de ma bouche. Elle rêvait de frôler, de toucher, de lécher la queue . Mais il se redressa, remballant sa marchandise, et me tendit la main.
Je me relevai.
– souleve ta mini jupe , femelle ! « 
Nerveuse,
J’obéis.

– Vois, dit-il, ton corps de salope et mon corps de mec. On dirait deux pièces d’un puzzle, faites pour s’emboîter ! « 
Il m’ordonna de lui caresser le torse. . J’avais la chance folle de toucher un mâle, de sentir sa chair, ferme et virile !
mon maitre  s’assit sur un fauteuil. Il me posa sur lui, le dos contre son torse, le cul bien calé sur sa braguette. Il m’enserra de ses bras, mordilla ma nuque. Il me parla, tripotant mes tétons, ma bouche, les boucles de mes cheveux, l’orifice de mon cul…
Il évoqua notre vie à deux, comme s’il était évident que nous allions vivre ensemble. Il fut tendre et bon, curieux de mes centres d’intérêt, de mes envies. Auprès de lui, je n’aurais plus à me soucier de rien, puisqu’il prendrait toutes les décisions, lui, l’HOMME, le Maître, seul à savoir trancher dans le vif.
Mon unique problème serait d’apprendre à gérer l’intensité de mon désir pour lui. Du reste, il me protègerait, m’aimerait tendrement, prendrait soin de moi, galant homme, amoureux, complice, mais aussi me baiserait si fort que j’en serais chancelant des heures durant. Il choisirait les  vêtements, déciderait de ma coupe de cheveux, soucieux d’avoir une jeune pute à ses pieds, décorative et bandante.
Je ne devais d’ailleurs pas m’inquiéter, il ne serait pas du genre à me déguiser. Le changement majeur qu’il m’imposerait serait de porter des robes moulant mon cul. Tous mes robe, sans exception, quels que soient leurs styles, seraient bientôt repris par son tailleur afin de mettre en valeur mon  » putain de cul de salope  » ! Disant cela, il se mit à bander fortement, puis, caressant mes lèvres, il murmura :
– T’es vraiment bonne ! « 
Sans un mot, il posa ses mains sur mes épaules, et me fit glisser vers le sol. A présent, j’étais à genoux, le souffle court, entre ses jambes. La bosse de son jean semblait une montagne devant mes yeux.
– Tu vas me pomper, je vais t’apprendre ! « 
Il ressortit sa queue, décidément énorme, et d’une bonne longueur. . Je me demandais comment elle pourrait tenir dans ma gorge, mais j’étais surtout fou d’excitation. ses couilles , bien rondes, bien velues, me donnaient également faim.
Mon Maître, alors, fit preuve de délicatesse. Il ne força pas ma bouche comme il le ferait, par la suite, des centaines de fois. Il n’usa pas de moi comme on use d’un trou, comme aujourd’hui, j’aime être utilisé. .
Il m’apprit à laper son gland, sa bite, à donner de légers coups de langue, à faire de mes lèvres une sorte d’aspirateur, à baver pour améliorer la succion, à titiller son prépuce, à lécher ses couilles, bref, à lui procurer du plaisir de mille façons, douces, humides, et dignes d’une bonne salope.
Néanmoins, pour me donner une idée de ce qui m’attendrait, plus tard, quand je serais devenu un pompeuse de choc, mon Maître poussa, trois fois, sa bite au fond de ma gorge, m’obligeant à ouvrir grand la bouche, et m’étouffant presque. A vrai dire, je ne demandais pas mieux ! L’emprise de mon maitre était déjà totale sur moi. Je ressentais pour lui de la vénération, une soumission profonde, ainsi qu’un désir irrépressible.
J’étais amoureuse !
Mon Maître me donna l’ordre de lui ôter chaussures, chaussettes, pantalon, caleçon. J’obéis, découvrant ses très longs pieds, ses fines chevilles, et ses cuisses massives, absolument renversantes. Il me fit lécher ses doigts de pieds, face contre le sol, cul en l’air, bien cambré. Il en profita pour me fesser, pour bien me rougir le cul, pour me le chauffer.

Mon Maître, à présent debout, me souleva comme si je ne pesais rien, me porta dans ses bras, m’emmena dans sa chambre. Il me jeta sur son vaste lit, puis me retourna, de sorte que mon cul s’offrit à lui, tout frémissant.
il s’allongea sur moi, me couvrit de son corps puissant. Je sentis sa bite contre mon cul, contre la raie de mon cul, je sentis sa pression, sa vigueur irrésistible. Ses mouvements prirent de l’ampleur. Il allait me défoncer ! Moi, je mouillait, j’étais brûlantte.
Tout en accentuant sa pression, mon Maître me dit :
– C’est le moment, salope ! Tu vas t’en prendre plein le cul ! Je vais t’exploser la chatte, je vais te faire un bien fou ! « 
il tendit le bras sous le sommier, y prit la vaselie,,  d’user avec moi. Il mit une noisette de crème au bout de son index, et fit pénétrer l’index dans mon cul.
Avec douceur, il tapissa de crème l’intérieur de mon trou, le malaxa, puis retira le doigt. Il se frotta contre moi, tout en mordillant ma nuque. Ses mains se saisirent de mes tétons, les palpèrent, les triturèrent, jusqu’à les faire devenir tout durs. Je m’entendis pousser deux cris, sans reconnaître ma voix.
– Putain, quelle salope !  » fit
Soudain, par surprise, des milliers de picotements prirent mon cul d’assaut. J’eus l’impression de spasmes, de vagues minuscules, mais brûlantes ! C’était si bon, si nouveau que j’en frissonnai. Mon Maître sut que j’étais prêtte, que la crème avait rempli sa fonction, démultipliant l’excitation de ma chatte. Alors, je compris, pour la première fois de ma vie, ce qu’être en chaleurs signifiait vraiment.
Il me fallait, de toute urgence, me faire sauter, rien d’autre ne comptait pour moi! Dieu merci, , par poussées successives, m’ouvrait à présent le cul, faisait pénétrer, centimètre par centimètre, son énorme engin, si large qu’il prenait, d’office, tout l’espace libre.
J’eus mal, oui, je l’avoue, mais mon désir était si fort, mon excitation si folle,  (incroyable !) fut vite au fond, tout entier dans mon cul.
Durant de longs instants, pour m’aider à me remettre, il resta immobile à l’intérieur de moi, immobile mais ô combien présent, tellement dur et massif que j’en perdis le souffle.
– Calme-toi, bébé, respire, me dit-il à l’oreille… Bah, c’est normal, tu te prends du XXL ! Mais tu es fait pour ça… « 
Quand je fus à nouveau calme, il commença de remuer la queue, latéralement, pour mieux me dilater. Puis fit deux va-et-vient, lents, douloureux, mais pas tant que ça. Du reste, je mouillais toujours. Ses allées, ses venues devinrent alors plus fortes, et légèrement plus rapides. J’aimais sa bite, j’aimais ce qu’elle me faisait.
– Ca te plaît, , hein ? Je le sens ! »
Je ne pus répondre. Je n’étais plus en état de parler, foudroyé par la montée du plaisir. Les coups de bite, insensiblement, devinrent coups de boutoir. Après chaque secousse, la queue de mon maitre sortait presque de ma chatte, et m’emplissait le cul, me défonçait avec une rage,  exceptionnelles.
Je ne pouvais faire autrement que gémir, et de plus en plus fort, ce qui décupla sa rage. Il me bourra longtemps, me traitant de pute, de sacré bon trou, de femelle à casser. Il était endurant. Je découvris que je l’étais aussi. Je découvris, également, cette chose étonnante, et qui changea ma vie : tandis que mon Maître me limait, je profitais, naturellement, de sa bite et de sa domination, mais j’étais ébloui, surtout, par mon plaisir, par toutes les sensations qui irradiaient mon cul. Je n’étais qu’un trou, ce trou me faisait jouir.
Puis, soudain, le bonheur d’être plein, la joie de sentir en moi cette énorme queue, firent qu’ELLE SEULE, , eut de l’importance. Je sus, dorénavant, que je n’aurais de consistance, de présence réelle, qu’à l’instant où la bite de mon Maître envahirait mon cul, à l’instant où mon esprit ne penserait qu’à elle, la BITE, la BITE, la BITE !
Après qu’il eut joui, il finit par se retirer, puis, toujours étendu sur moi, dit :
– Ca y est, tu m’appartiens. Je t’ai fécondée, salope ! « 
Il me retourna, vit que je mouillais encore, me fit ouvrir la bouche.
– J’ai du foutre sur la queue. Nettoie, , et bois ma pisse ! « 
Il mit sa queue devant mes lèvres, m’observa la nettoyer. Puis, la glissant dans ma bouche, il m’abreuva de pisse, chaude et salée. Ce ne fut pas abondant, pas cette première fois, mais j’étais si fier !
Il me tapota les joues, quitta ma bouche, et m’ordonna de me caresser , ce qui prit deux secondes. Il me suffit d’une infime pression de la main pour jouir.
Bien sûr, j’ai un peu reconstruit ma rencontre avec lui. Même si je me souviens précisément de tout, décrire les faits revient à les mettre en scène, à les revivre avec un regard neuf, celui que j’ai acquis après deux ans de soumission. deux ans d’amour et de joie.
deux ans de tension sexuelle, toujours aussi forte en ce qui me concerne. Je suis né le jour où mon maitre m’a choisi. Je n’appartiens qu’à Lui, totalement, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, à chaque instant de ma vie. Une telle appartenance est possible car il est tendre, , tendre et drôle, sensible et cultivé. Je lui appartiens car nos échanges sont riches de mille autres choses que notre passion charnelle.
Je lui appartiens car il me laisse il peut faire de moi tous ce qui veut. Je lui appartiens car il me protège, et fait montre à mon endroit d’attentions délicates, invisibles croit-il, mais qui me bouleversent. C’est une joie immense, d’être la propriété d’un homme aussi bon, macho de surcroît, bête de sexe, et si profondément dominateur. A vrai dire, je lui appartiens au sens premier du terme.
Il me possède comme une exclave sexuel créé pour lui donner entière satisfaction. Je suis un objet chaud, recouvert de peau, tout vibrant de désir, un objet séduisantte mais incomplette sans LUI, mon Maître. Je n’ai de réalité qu’en sa présence, je ne suis tout à fait moi que s’il pose une main sur ma nuque, s’il m’injurie, s’il me pelote le cul, s’il me fait boire sa pisse, sa salive, son foutre, s’il me tient en laisse, si je porte les vêtements qu’il a choisis pour moi, s’il me doigte mes  trous devant, s’il me traite en pute soumise et amoureuse.
Il me connaît par cœur, il devine tout de mes états d’âme. Il possède le remède magique, celui qui, chez moi, tue l’angoisse. Quand je suis trop stressé (parfois, cela m’arrive, sans raison particulière), il sait me recentrer, me remettre les idées en place.
Alors, il arrache mes vetement, me plaque contre un mur, et, sans précaution, me défonce. La douleur me ramène à la raison, me signifie combien j’aime la bite, combien j’ai besoin qu’on me remplisse, encore et toujours, combien j’ai besoin d’être explosé par mon Maître. Le plaisir ne tarde jamais à venir (d’une certaine manière, je jouis vraiment du cul), et l’angoisse meurt. A nouveau, je sais pourquoi j’existe : pour subir la Loi, implacable, de sa queue .
Voilà, j’ai écrit le récit ma rencontre avec lui. J’ai fait, le plus honnêtement du monde, ce qu’il m’a ordonné de faire.
Une dernière chose, néanmoins. Mon Maître, parfois, voudrait me partager avec ses potes. Il m’assure que j’aurai du plaisir à ramper devant des mâles, à leur offrir mes trous, gourmands et humides.
Quoi qu’il advienne, quoi que décide , ce sera parfait. Ses désirs sont sacrés. Mon Maître exige et moi j’obéis. Je n’y peux rien, c’est ma nature. Je suis une salope, dressée à coups de bite. Un objet

salopeM.M

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