Malgré mon âge, je continue à avoir des besoins sexuels qui se sont toujours tournés vers les femmes. Mais n’ayant plus que ma main pour me satisfaire, je me suis tourné également vers les plaisirs entre hommes limités jusqu’à ce jour à celui de temps à autre de sucer et branler des bites en sex-shop.
Dernièrement, je m’étais arrêté sur une aire d’autoroute pour me fumer une clope. Elle était déserte. Seule une voiture isolée était arrêtée.
Après avoir allumé ma clope, je suis passé près de la voiture. Un homme de mon âge voire plus était au volant et nos regards se sont croisés un bref instant.
Alors que je m’étais rapproché des toilettes, je me suis aperçu que de sa voiture à une quinzaine de mètres de là où j’étais, il tournait la tête régulièrement vers moi.
Au début, sans l’interpréter, l’image du sex-shop où je vais de temps en temps m’est alors revenue et j’ai moi-même plusieurs fois tourné la tête vers lui.
A la fin de ma clope, je me suis dirigé vers les WC hommes et il a fallu attendre très peu de temps pour que, de l’intérieur, j’entende le claquement de la portière et le bruit des fermetures automatiques.
J’étais debout en face de l’urinoir, la bite sortie quand il est entré. Sans réfléchir, j’ai reculé un peu et me suis tourné légèrement vers lui ma bite à la main.
Je pensais encore à ce moment qu’on allait seulement se mater chacun de son côté. Il se rapprocha tout de suite et me dit : « tu veux que je te masturbe ? ». Pour seule réponse je lui dis : « Tu sais, je me suis branlé ce matin, je ne pense pas que j’aurai envie de nouveau » (et c’était vrai, enfin … encore vrai à ce moment).
A ce moment je sentis sa main fraiche se saisir de ma bite en disant : « c’est dommage, j’aurais pu te faire jouir ».
– Mais moi je peux te branler si tu en as envie » lui dis-je.
Tout en me branlant, il me répondit : « je ne bande plus depuis que j’ai été opéré »
Moi : « mais juste pour le plaisir, tu ne veux pas ? »
Lui en mettant de la salive sur mon gland : « non, ce n’est pas la peine »
Et là je me suis laissé faire et, miracle, je commençai à bander !
Il me branla vigoureusement, remettant de la salive pour faire mieux glisser sa main sur mon gland et ma bite entière.
Il lui a fallu peu de temps pour me mettre en érection.
« Tu vas me faire jouir, je crois ! »
Il sourit en changeant de main pour se mettre légèrement de côté et en arrière pour me branler de sa main gauche comme si c’était la mienne.
– « Je vais jouir »
On s’approcha ensemble face à l’urinal, moi tenant ma veste relevée, lui légèrement penché à regarder le résultat qui ne se fit plus attendre.
Il continua encore un peu à me branler après que j’ai eu éjaculé avec du sperme plein la main jusqu’à mes derniers spasmes.
Une fois fini, il se prit du papier qu’il avait dans la poche pour s’essuyer les mains pendant que j’essuyais moi-même ma bite avant de me rhabiller.
Pendant qu’il se lavait les mains au robinet :
– J’aime bien faire plaisir depuis que je ne peux plus moi-même.
– C’est la première fois qu’on me fait ça, ce n’est vraiment pas désagréable.
Nous sommes sortis ensemble des WC et avons fumé une clope en échangeant sur nos vies respectives.
Une voiture est arrivée à ce moment…. La vie sociale reprenait la main !
On s’est quitté l’un et l’autre en se disant au revoir. Et j’avoue que j’aimerais le revenir au même endroit et à la même heure une autre fois !
Question !
Pourquoi est-ce si simple entre hommes et si difficile entre hommes et femmes ?
« J’aime bien faire plaisir » Sa phrase m’a touché !
C’est vrai que moi-même, cela m’excite de faire plaisir en branlant des hommes ; mais lui n’avait même plus la réaction physique que j’ai.
Il l’a réellement fait que pour ça.
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