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Rita 4

Rita 4



Monsieur le Baron

Avant d’aller présenter ses civilités à monsieur le Baron, on va cependant accompagner nos trois compagnons dans leurs dernières turpitudes.
Jean couché sur le dos, la pine engagée dans le puits d’amour de Janine qui lui fait face, vois son fils, flamberge au vent s’approcher de la crevasse de Gomorrhe, il est près d’en élargir l’accès pour que les caravanes puissent y avoir un accès plus aisé. Il a plongé lentement son alésoir dans la boite à caca et rudement se démène pour élargir la crevasse, il pioche comme un beau diable, sans crainte de voir la colère divine se déclencher dans le ciel de Gomorrhe.

– Ah putain que c’est bon de jouer de l’alésoir à trou du cul. C’est divin de se plonger dans ce boyau qui jadis fut étroit et qui maintenant s’appelle gros colon, car j’ai bien envie de le coloniser, comme j’ai colonisé le coté face du même cratère.
– C’est tout drôle quand je sens ton trépan chatouiller mon mandrin quand tu t’enfonces dans son cul. C’est très agréable comme sensation.
– Et moi, tu penses que je n’apprécie pas ce double hommage à mes trous, sont-ils à votre convenance. Jean, je vais un peu me reculer pour mieux sentir le contact de vos deux queues. Humm ! c’est encore meilleur comme cela, cela m’excite la paroi qui sépare le cul du con.
– Janine, si tu continues à m’arroser comme cela les pruneaux, ils vont finir par germer. Se plaint Jean qui a les roubignoles perdues dans un fleuve d’humeur féminine.
– Si il y a trop, on peut inverser les rôles et Julien peut passer dessous, si possible sans désemmancher.
– Je ressorts et je me remettrai une fois la gymnastique terminée. Cela va être du sport de rester embrochée pendant le changement de coté.
– T’inquiète, je vais serrer les muscles du cul, je ne le laisse pas partir.
– Arrête, tu vas me cisailler la bite, ça va pas la tête. À ce taux là, j’arrête, je ne tiens pas à me retrouver à l’hosto pour faire une piqûre pour désenfler la bite, dit Julien en ressortant de la turbine à caca.
– Excuse-moi, je ne pensais pas que cela ferait mal.
– Bon je me mets sur le dos et cette fois, pas de cisaillage, sinon, je t’éclate le cul.
– Jean, tu peux venir compléter et Julien, comme tu es sur le dos, tu peux occuper tes mains, maintenant tu n’en as plus besoin pour l’équilibre.

Sitôt dit, sitôt fait et Julien empoigne à pleine main les seins de la baronne et les pelote sans ménagement, presque avec brutalité en pinçant les tétons bien forts.

– Aïe, tu me fais mal, mais c’est trop bon. Continue. Encore Je viens dit-elle en se démenant comme une folle sur ce pieu qui lui transperce le gros colon, sans parler du plus petit qui lui fait bien du bien dans la nursery. Je pense que c’est meilleure comme cela, le piston est bien graissé à chaque mouvement, cela coulisse comme une mécanique bien huilée. Toute proportion gardée, cela ressemble au moteur d’un bateau à vapeur avec le piston qui fait avancer le navire. Pistonne bien mon trésor, ma culasse a besoin de ton piston qui rentre et qui sort régulièrement.
– Tut tut tut fait le cul de la baronne. Tu entends, c’est la preuve que ton piston pistonne bien. Hoquette-elle au bord de l’extase. Encore encore
– Encore et toujours sont les bons mots de l’amour pour les femmes dit Julien philosophe qui continue à pistonner en contrôlant bien la pression dans la machine à vapeur.
– Je sais, mais pour les hommes, c’est je pique et je nike. On fait un pique-nique. Mais cela, c’est pour les préliminaires, maintenant, on en est au plat principal. Bon Jean, tu te décides de m’arroser les ovaires, comme promis ! Je commence à fatiguer. Et toi Julien, quand c’est que tu me repeints les boyaux,
– Ça vient dit Julien, ne change pas de main.
– Moi aussi lui répond son père en écho
– Pour compléter moi aussi dit la baronne en partant dans un orgasme libératoire. Bien, c’était une vraie bonne baise comme j’en rêvais, J’ai eu grand plaisir de vous chevaucher. Merci mes étalons d’amour.
– Attends dit Jean, j’aimerai encore te nettoyer ton fondement, il doit y avoir de quoi à abreuver une tribu de bédouins assoiffés.

Sans transition, il lui ripoline la turbine à caca qui laisse couler régulièrement un peu de crème couleur légèrement chocolat. Il faut dire que le Jean, il aime les goûts et odeurs très relevés, là il est servi comme un prince.
Après une nuit peu agitée, la petite troupe charge le demi sanglier dans le coffre de la Nissan, passe à la maison pour le mettre dans la chambre froide et repartent, malgré la grimace de Rita qui voit à nouveau ses mâles se disperser ailleurs que chez elle.

– Maman, il faut qu’on rentre, Madame la Baronne et Monsieur le Baron nous invite pour le lunch. (il faut bien que j’étale un peu mes maigres connaissances de la langue de Cheik Spear) Je te promets que ce soir, je te tiendrai compagnie.

– Bon, bonne journée et revenez bientôt, je compte sur vous pour le souper.
– Oui Maman promis.
– Mais finalement, Rita, pourquoi ne viendriez-vous pas avec nous, cela vous distrairait.
– Oui, pourquoi pas, il faut juste que j’avise Madame Dupont pour venir pour ma belle-mère.

Les voilà les 4 embarqués dans la Nissan en direction du château, les conversations vont bon train, Jean lui annonce qu’il a un fils très courageux qui n’a pas hésité à attaquer une truie de sanglier au couteau. Mais il passe sous silence évidement les turpitudes de la nuit avec la baronne. C’est la baronne qui met les pieds dans le plat.

– Vous savez, Rita, je crois que Julien m’a mise en cloque, cela va faire des heureux au château, on est vraiment à la recherche d’un héritier et je sens que c’est un garçon.
– Humm, il est un peu jeune il me semble pour se lancer dans une famille.
– Il n’en est pas question, il m’a juste inséminé, rien de plus, tout le reste sera une affaire entre le baron et moi.
– Humm si j’ai un fils, j’aimerai quand même bien être son parrain à défaut d’être son père officiel.
– Ah ! Oui, c’est une bonne idée.

Le quatuor arrive au château ou les domestiques déchargent une partie de la chasse, la part de la baronne et vont l’apporter au saloir. L’un derrière l’autre, ils pénètrent dans le château.

– Chéri, devine qui j’ai invité pour toi ? Crie la baronne pour faire venir son mari pour les accueillir.
– Ah ! Je vois, Jean et…
– C’est son fils et sa mère, j’ai une excellente nouvelle pour toi, je crois que j’ai un héritier dans le tiroir.
– C’est pas vrai, ah ! Merci mon dieu, je ne pensais plus que ce soit possible, on dit que les voix du Seigneur sont impénétrables, mais heureusement que les tiennes le sont et qui est l’heureux géniteur.
– C’est Julien, que j’aimerai te présenter plus en détail, je suis sûr que tu apprécierais, il est monté mieux qu’un étalon.

– Et là ! On pourrait peut-être me demander mon avis, je ne fais pas partie du club des cougnes pets du dimanche, Ni du choeur des hommes de Sodome. Les femmes oui, les hommes non !
– Cela me rappelle une réclame où Bourville, complètement givré chantait :
« l’eau ferrugineuse oui, l’alcool non » ricane Janine Il ne faut jamais dire :
« fontaine je ne boirai pas de ton eau » Objectivement quand tu me ramonais les intestins, tu ne t’es pas plaint au syndicat des branleurs anonymes. Cela ne fait pas de différence.
– Oui, mais je n’ai pas envie de devoir ni le sucer, ni de me faire enculer.
– Mais il n’en a jamais été question, j’aimerai juste que tu réalèses le troufion de mon époux, je suis sûr qu’il appréciera ton outil.

Rita :

– Je croyais qu’on venait ici pour souper, mais il me semble que cela parle plus de cul que de gibelottes.
– Mais tu as raison Rita, excuse-moi, je déviais complètement du sujet, merci de me ramener à mes devoirs de maîtresse de maison. Je vais aller donner des ordres pour le souper. Octave (le baron) occupe-toi de nos invités. Fais leurs visiter le château.

La visite commence par le donjon,

– C’est du haut de cette tour que mon ancêtre a tué le comte de Gribouilli qui l’attaquait, il lui a envoyé son pot de chambre plein sur la tête, il est mort sur le coup. Ce qui du coup à mis fin à la guerre qui les opposait. La veuve de Gribouilli demandant réparation et l’obtenant, car mon ancêtre était un galant homme et la réparation devant se passer dans le lit, il s’en acquitta vaillamment. Même si vaillamment que la veuve de Gribouilli a eu enfin un héritier.
Ici les caves, où sont remisés les meilleures crus de la région, on vient de loin pour pouvoir commander nos vins, voici le maître de chai qui va vous faire déguster un bon vin d’apéritif.

La visite se poursuit ensuite dans les appartements seigneuriaux.

– Voila ma chambre et là mon bureau, ici la salle de réception privée où nous allons dîner.
… Cette chambres est celle de la baronne et celles-ci sont réservées aux invités ou amis qui passent la nuit.
– Autour du château, il y a les murailles, mais elles présentent peu d’intérêt de nos jours. Juste pour l’esthétique. Voila, je crois qu’on peut passer à table. Janine, je te laisse placer nos invités.
– C’est assez simple, nous sommes 2 femmes et trois hommes, tu te mets en tête de table comme maître du lieu, je me mets à ta droite et Rita à ta gauche et je prendrai Julien de l’autre coté et Rita aura son mari de l’autre et l’autre tête de table restera vide.
– Parfait.

Le repas simple, mais très délicieux, relevé d’un vin du cru se déroule, les conversations vont bon train et souvent la main de la baronne s’égare sous la table pour relever le niveau de la conversation de Julien. Rita le remarque bien et par esprit de vengeance, elle essaye de faire de même avec le maître de maison, mais elle ne sait pas que l’homme en question a plutôt un penchant pour les jeunes garçons. Mais très dignement, il laisse la main de Rita s’égarer sur son bas ventre, mais elle est un peu déçue du manque de répondant à sa sollicitation.

– Excusez-moi très chère, lui murmure-t-il discrètement, mais j’ai un très fort penchant pour les jeunes éphèbes et peu d’intérêt pour la gente féminine. Voyez ma femme est obligée de se rabattre sur des jeunes gens que parfois nous partageons.
– Vous n’allez pas me dire que vous allez partager Julien !
– Pourquoi pas ! Si vous voulez exceptionnellement vous pourriez participer, je sais que votre mari vous délaisse et nous pourrions lui trouver une occupation avec la cuisinière qui l’aime bien.
– Ouf j’ai le souffle coupé. Je ne m’attendais pas à cela.
– Ah ! Parfois la vie réserve des surprises.

Une fois le dessert avalé, le café bu et le pousse café poussé, nos compères se retrouve dans la chambre du baron qui propose à Jean d’aider la cuisinière à faire la vaisselle et connaissant les goûts de Jean :

– Je crois que cela fait bientôt une semaine qu’elle n’a pas pris le bain hebdomadaire. Profite.
– Mais c’est dégouttant, proteste Ritta,
– Laisse le donc à son plaisir lui intime Julien, je t’expliquerai plus tard.

Un fois Jean parti pour aller déguster sa cuisinière, les quatre restants sont dans la chambre et le Baron propose que l’on prenne un bain en commun avant de continuer.
– Tu as pris le karcher, lui demande son épouse, Jean est occupé ailleurs, il serait bon aussi de prendre un peu de vaseline à l’infirmerie avant de se promener tout nu dans le château, ce qui donnerait de drôle d’idée au personnel.
– Tu as raison, chérie, je fais le nécessaire et je viens vous rejoindre.

Les trois autres vont dans la salle de bain où il y a un grand jacuzzi.

– Voila mettez vous à votre aise dit la baronne en se déshabillant complètement et en s’installant dans le jacuzzi
– Mais je n’ai pas pris de costume de bain se plaint Rita.
– Maman ne me fait pas honte, dans un jacuzzi on ne met pas de costume de bain, cela empêche les bulles de faire le travail.
– Ah bon ! Alors il faut se mettre toute nue, j’ai pas trop l’habitude. Mais je vois mon fils que tu es bien excité et ton dard dard! C’est d’avoir 2 femmes avec toi qui fait cet effet.
– Oui, il y a du vrai, tu sais que je t’aime plus que tout et que je ferai n’importe quoi pour toi.
– Comme c’est touchant ricane la baronne.
– Mais c’est vrai, ma mère est mon unique amour. Les autres choses ne sont que sexuelles, sans sentiment profond. Avec ma mère, j’ai un sentiment absolu.
– Par curiosité, vous couchez ensemble ?
– Cela arrive !
– Julien, ne dévoile pas tous nos secrets stp.
– Mais maman, Janine est aussi une amie très chère et j’aimerai bien qu’elle soit aussi ton amie. Elle est très douce et connaisseuse des choses de l’amour, tu pourras toujours faire appel à elle je suis sûr si le besoin se fait sentir. Ce n’est pas gênant si elle sait nos secrets car elle va y participer.
– Comment cela ?
– Hé bien après le bain, d’après ce que j’imagine, je vais devoir tisonner le cul du baron, donc vous pendant ce temps, vous ferez plus ample connaissance.
– Tu veux que je devienne lesbienne ?
– Non, seulement bi, c’est très excitant.
– Je veux bien essayer pour te faire plaisir et peut-être j’y trouverai mon plaisir, mais je suis ignorante dans ce genre de pratique.
– Ne t’en fais pas, Janine saura bien t’instruire. C’est une experte dans ce domaine.

Enfin le baron revient avec le matériel, le broc à lavement avec la canule et la vaseline. Il se plonge une fois dans l’eau et on peut constater que sa pine n’a rien de noble, comme un enfant. Rita en est toute émoustillée de voir ce joli macaroni elle s’imagine déjà comme si c’était un petit enfant et rêve de le prendre en bouche, si il se laisse faire. Janine remplit le broc d’eau tiède et dit à son mari :

– Place-toi à quatre pattes que je t’introduise la canule. Attention, j’ouvre les eaux pour nettoyer. Garde un moment l’eau pour bien diluer tout ce qui peut traîner à l’intérieur.
– Mais je n’arrive pas à tenir
– Alors vas sur les toilettes, mais coquin, je vois que tu bandes, que t’arrive-t-il ?
– Je ne sais pas, peut-être le lavement ou peut-être c’est Rita qui me regarde avec des yeux de mère regardant son enfant. Peut-être un genre de complexe d’oedipe qui ressort. Dit-il en expurgeant l’eau avec les restes de merde qui encombraient son gros colon. Qui va me préparer la rondelle si Julien y rebute.
– Moi, dit Rita, j’aimerai bien te tripatouiller un peu, tu m’inspires, si mon fils me fait grimper aux rideaux, ton petit sexe me fait fondre. Viens vers moi avec le tube de vaseline.

Le duc, ce cul encore dégoulinant d’un peu d’eau vient sur son lit et Rita le prend dans ses bras, comme on prend un enfant et lui lutine un peu sa quiquette, c’est assez surprenant, de voir cet homme assez fort, avec son petit sexe et cette mami qui s’y intéresse.
– J’ai envie de le sucer, tu me permets, dit Rita avec des yeux implorants.

Julien qui se doute que sa mère est fortement excitée par cette découverte lui passe la main entre les fesses, il ressort ses doigts tout trempes de cyprine.

– Mère, j’ai l’impression que la situation te plaît fortement. Cela m’excite de te voir si excitée par monsieur le baron.
– Janine, j’aimerai tremper mon biscôme, j’ai besoin de libérer ma tension. Ajoute-t-il.
– Tu n’aimerais pas plutôt forer le cul de mon époux, une fois que ta mère l’aura préparé. Je crois qu’il attend que tu lui agrandisses le cercle de ses connaissances.
– Alors liche moi pour aussi préparer de mon coté.

Pendant ce temps là, Rita s’active sur la pine du baron tout en lui embardouflant la rondelle de Sodome. Elle y met un doigt, qui est aspiré sans problème, deux doigts, de même, trois doigts rentrent facilement, alors pourquoi pas 4 pendant qu’on y est et elle tourne et retourne la main dans le fondement. L’ardillon du Baron se développe de plus en plus, emplissant la bouche de Rita, très contente de lui faire cet effet.

– Mon chéri, lui dit-elle, je sens que tu es bientôt prêt à te faire embrocher par Julien. Il est impatient de te recrépir les intestins. Mets-toi à quatre pattes pour qu’il puisse procéder à l’introduction de son mandrin. Là, c’est bien, Julien, c’est prêt, quand tu veux.

Julien, désengageant sa pine de la bouche de la baronne s’approche du baron et se met à genoux derrière lui, commence à placer son gland sur la rondelle, vraiment bien tartinée, il pousse doucement, ça résiste un peu.

– Je peux continuer ? Dit-il, pris d’un doute que le baron va trop souffrir.
– Je t’en prie, depuis le temps que j’attends un calibre qui me fasse tressauter. Vas-y carrément, je sais qu’au début, c’est un peu pénible, mais après, ce n’est que bonheur.

Rita, profitant de la position du baron se met sur le dos et lui att**** la nouille pour continuer à la sucer, mais elle ne se rend pas compte que ce faisant, elle offre sa corolle à la baronne qui ne se le fait pas dire deux fois, comme un oiseau de proie, elle plonge sur le petit moineau de Rita, la langue en avant.
Julien qui se doute que sa mère est fortement excitée par cette découverte lui passe la main entre les fesses, il ressort ses doigts tout trempes de cyprine.

– Mère, j’ai l’impression que la situation te plaît fortement. Cela m’excite de te voir si excitée par monsieur le baron.
– Janine, j’aimerai tremper mon biscôme, j’ai besoin de libérer ma tension. Ajoute-t-il.
– Tu n’aimerais pas plutôt forer le cul de mon époux, une fois que ta mère l’aura préparé. Je crois qu’il attend que tu lui agrandisses le cercle de ses connaissances.
– Alors liche moi pour aussi préparer de mon coté.

Pendant ce temps là, Rita s’active sur la pine du baron tout en lui embardouflant la rondelle de Sodome. Elle y met un doigt, qui est aspiré sans problème, deux doigts, de même, trois doigts rentrent facilement, alors pourquoi pas 4 pendant qu’on y est et elle tourne et retourne la main dans le fondement. L’ardillon du Baron se développe de plus en plus, emplissant la bouche de Rita, très contente de lui faire cet effet.

– Mon chéri, lui dit-elle, je sens que tu es bientôt prêt à te faire embrocher par Julien. Il est impatient de te recrépir les intestins. Mets-toi à quatre pattes pour qu’il puisse procéder à l’introduction de son mandrin. Là, c’est bien, Julien, c’est prêt, quand tu veux.

Julien, désengageant sa pine de la bouche de la baronne s’approche du baron et se met à genoux derrière lui, commence à placer son gland sur la rondelle, vraiment bien tartinée, il pousse doucement, ça résiste un peu.

– Je peux continuer ? Dit-il, pris d’un doute que le baron va trop souffrir.
– Je t’en prie, depuis le temps que j’attends un calibre qui me fasse tressauter. Vas-y carrément, je sais qu’au début, c’est un peu pénible, mais après, ce n’est que bonheur.

Rita, profitant de la position du baron se met sur le dos et lui att**** la nouille pour continuer à la sucer, mais elle ne se rend pas compte que ce faisant, elle offre sa corolle à la baronne qui ne se le fait pas dire deux fois, comme un oiseau de proie, elle plonge sur le petit moineau de Rita, la langue en avant, ce qui réenclenche une deuxième jouissance d’Octave.

– Rita, maintenant que tu as eu le jus de biscôme d’Octave, tu ne me rendrais pas la pareille en me lichant un peu la chatte. Elle s’ennuie et personne s’y intéresse.
– Excuse-moi, Janine, mais prise par mon désir de sucer la nouille de ton mari, je t’ai un peu oubliée et je dois dire que pour moi, c’est la première fois avec une femme.
– C’est pas grave, c’est d’autant plus excitant, viens entre mes jambes goûter mon jus de figue, tu m’en diras des nouvelles, surtout qu’il est tout frais, j’ai bien ripoliné ma moule avant de venir, sachant que Jean ne sera pas présent et que j’avais bien envie que tu t’occupes de moi. On va se mettre en 69 et se faire plaisir mutuellement en attendant que nos mâles soient remis de leurs émotions.

Elles font comme dit et Rita, pour la première fois de sa vie, se trouve devant la chatte d’une femme avec l’envie d’y goûter, elle prend la petite bite qui l’orne entre ses lèvres et commence à la lécher.

– C’est bon, je fais juste demande-t-elle entre deux coups de langue.
– Oui, c’est très bon, le tien appelle aussi la sucette, j’en ai rarement vu de si beaux chez une femme, bien développé, on dirait une petite bite. Cela dit, il ne faut pas te priver d’aller faire une petite visite un peu plus bas, selon mes partenaires, c’est là que se trouve le meilleur.
– Je ne cherche pas le meilleur, mais ce qui te fait le plus plaisir.
– Mon plaisir vient du plaisir des autres et vu ta production de cyprine, j’en déduis que tu as beaucoup de plaisir à me bouffer la motte.
– C’est vrai, je ne connaissais pas ce plaisir, il a aussi un petit goût de reviens-y.
– Janine, pousse-toi un peu dit le baron, je veux aussi goûter la motte de ma nouvelle maman.
– Tu me surprends Octave, moi qui pensais que tu étais définitivement perdu pour la gente féminine. Dit Janine.
– Moi aussi je me surprends, j’en reviens pas de mon sentiment pour Rita. Elle représente peut-être la maman que j’aurai voulu avoir et que je n’ai pas eu.
– Octave, je sens que je vais bien m’occuper de toi murmure Rita, les yeux bordés de bonheur, que de chemins parcourus depuis que le curé m’a ouvert aux plaisirs du monde, ce n’est que du bonheur. D’avoir un petit poussin pour l’ouvrir aux joies de ce monde, mon rêve depuis toujours.

Julien n’est pas à proprement parlé un petit poussin avec son démonte pneu, même si j’aime aussi me faire ramoner par quelque chose de conséquent, mais là, c’est tout différent. C’est comme un jouet neuf à cajoler. Le nounou chéri que je n’ai pas eu pendant mon enfance.

– Je suis tout à ton service, j’aime la façon dont tu t’occupes de moi, si je pouvais encore avoir un petit désir, j’aimerai goûter tes seins. Chose qui m’a aussi manqué dans mon enfance. Mère voulait trop garder sa poitrine dressée sans tâche de lait éventuelle.
– Quelle erreur elle a fait, j’ai laissé Julien s’amuser avec mes seins jusqu’à l’age de deux ans. Quel plaisir j’ai eu de le nourrir. Bien sur que tu peux en profiter, je n’osais pas te le demander.
– Bon je vois ce qu’il me reste à faire dans 9 mois minaude Janine, toujours installée entre les cuisses de Rita, la langue peu active, il faut le dire, juste une petite lampée pour ne pas laisser le feu s’éteindre. Dis Rita, à voir la réaction, j’ai l’impression que tu es repartie pour un tour.
– C’est tellement bon de se sentir désirée que je fonds littéralement. Viens mon fils que je te nettoie ta queue qui a bien rempli son office, le karcher a bien fonctionné, il n’y a pas de trace de chocolat, juste le goût un peu plus accentué que d’habitude. Octave, tu ne veux pas goûter le pain d’épices de mon fils, il a meilleur goût que celui de son père qui a une hygiène un peu déplorable.
– Je n’osais pas le lui proposer, mais je pense que si tu le demandes, il ne va pas oser te refuser et là, il verra qu’une pipe faite par un homme est encore meilleure que faite par une femme.
– Vas-y que je voie, dit Julien, au point où on en est, on ne va pas faire les fines bouches.

Le baron se saisit du glaive de Julien et commence à l’astiquer avec application. Creusant le petit trou qui est au sommet du gland, passant et repassant sous le repli du gland.
– Tu a un queue agréable à sucer, heureusement que tu n’as pas été circoncis, quand c’est le cas, la peau perd de sa douceur et on a l’impression de mâchouiller un morceau de cuir à moitié pourri !
– Je dois reconnaître que tu connais bien ton affaire, la façon que tu as de t’occuper de ma bite me remplit de plaisir.

A ce moment, là, Janine râle :

– Octave, depuis que tu ne lui suces plus les seins, Rita est en train de sécher sa moule. J’ai plus rien à boire, Je vais me servir un whisky ou un cognac plutôt.
– Apporte donc la bouteille, on va encore un peu s’amuser j’aime bien le goût de la mouille ou du sexe mouillé au cognac. J’espère que je ferai des adeptes.

Janine se dirige vers le bar et prend 4 verres, dont un relativement important, en vue du bain de pine à Julien.

– Tiens commence par toi, j’aimerai bien voir le goût qu’a ta pine bonifiée au cognac, je ne me souviens pas d’un souvenir brillant à ce sujet.

Le baron trempe son ustensile dans un verre à cognac normal et le présente à sa femme :

– Tiens goûte si c’est meilleur. Ensuite ce sera le tour de Rita et pourquoi pas celui de Julien qui n’a jamais eu cette expérience, si il le désire.

Rita pendant ce temps là, a saisi le grand verre, l’a rempli d’un tiers de cognac et a plongé la pine de son fils dedans. Sitôt ressorti, elle saisit l’objet de son désir et l’engouffre dans sa bouche.

– Mmmm c’est bon avec cet arrière goût de cognac mélangé avec des petits restes de sperme.
– Retrempe le et donne le moi que je voie la différence dit Octave. Vraiment, cela vaut la peine de l’humidifier de cette façon, surtout que je vois qu’il y prend plaisir en nous envoyant les éclaireurs à déguster.
– Et moi Et moi gémit Janine qui avait délaissé le bijou Rita, je veux aussi.
– Mais oui ma grande, il y en a pour tout le monde dit Octave qui à son tour retrempe son outil dans le cognac. Tiens Rita, maintenant tu as le sexe de ton petit garçon à sucer. J’aimerai bien aussi de donner de ma crème pour te prouver que je t’apprécie beaucoup.
– J’aimerai bien aussi, ne te retiens pas, laisse couler. Voila je sens que tes gonades sont en plein travail. Si je te mets un doigt dans le cul, tu penses que cela va être encore meilleur ?
– Je ne sais si c’est permis de le faire à son petit garçon ? Mais je pense que ce sera très bon. Oui, je le sens bien ton doigt, même si j’ai le cul encore très dilaté, mets en deux, ce sera parfait. Oui, comme cela, chatouille cette grosse glande que tu sens dans mon colon. Je dégorge. STP avale mon offrande.
– Mais oui, j’y compte bien, c’est la première fois que j’avale de la semence noble, une occasion à ne pas manquer.
– Bon maintenant, au tour de Julien.
– Tu ne veux pas attendre que tu aies récupéré, ta nouille est toute flasque prévint Janine

Elle aimerait que Julien ne se disperse pas trop dans l’immédiat et qu’il lui réserve sa prochaine saillie.

– Viens Julien, j’aimerai bien sentir ton ramonage dans ma connasse, viens dire bonjour à ton
future fils.
– Si tu me prends par les sentiments, il ne me reste plus qu’à obéir. Et sur ces bonnes paroles, il embroche Janine toute contente de sentir à nouveau cette grosse mantule lui labourer les ovaires.
– Bonjour fiston, tu ne te sens pas trop à l’étroit quand je viens te rendre visite chez ta mère dit Julien d’un air narquois. Dis-moi si je dérange.
– Je crois que je peux répondre pour lui, il aime beaucoup tes visites et tu ne le déranges pas.
– Arrêtez de déconner vous deux. Enfin je fais un abus de langage, Julien il déconne pas, il enconne dur. Dis le baron qui commence à reprendre son souffle après la merveilleuse pipe que lui a faite Rita.
– Dis-moi Octave, je vois que ton haricot reprend de la vigueur, tu ne veux pas venir le cacher chez maman. Elle attend aussi sa visite.

Octave sur ces bonnes paroles, ne peut objectivement pas refuser sous peine de perdre toutes les chances pour le futur, il se dandine à genoux entre les jambes de Rita et présente sa nouille à l’entrée du puits d’amour et brusquement l’enfile le plus profond possible.

– Voila mon grand, tu es chez maman, comment te sens-tu, j’aime bien sentir ta petite zigounette qui me chatouille l’entrée du temple de l’amour. C’est doux et caressant. Viens, commence à faire des allez et retour pour que tu puisses me donner ta crème.
– Attends Rita, même si la purée d’Octave est de très mauvaise qualité, mets quand même une capote, on ne sait jamais.
– Comment cela ? rugit Octave, si j’ai un fils de mes couilles, j’en serai fier et je le prendrai sous mon aile.
– Et le guignol que j’ai dans le tiroir pour te faire plaisir, il devient quoi dans l’affaire ?
– Tout d’abord, on ne sait le quel sera un garçon, cela peut être deux filles, deux garçons ou un garçon et une fille, rien ne dit comment cela sera. Mieux vaut assurer. Si c’est deux garçons, le premier à venir sera l’aîné, voilà et je suis trop bien. C’est la première fois que j’apprécie une connasse, tu ne vas pas m’enlever ce plaisir.

Il continue avec bonheur à limer avec plaisir, pour la première fois une femme en espérant que sa semence prendra, mais rien n’est moins sûr, Rita n’est pas toute jeune et lui n’a pas un sperme de premier choix selon le sexologue qui émettait de sérieux doutes quand à ses capacités de père. Mais il est dit que contrairement aux femmes, les voix de Dieu sont impénétrables et quelques 9 mois plus tard, à la maternité, on retrouve les deux
pères anxieux, n’ayant pas voulu faire des tests de sexe sur les enfants qui attendent le verdict de la salle d’accouchement. Que vont donner tant Rita que Janine ?
Au sortir du dilemme, le médecin arrive confus, (il avait été payé par Octave pour le faire) :

– Messieurs, un horrible drame !
– Quoi halète Julien. Il n’y a pas de mort ?
– Non de coté pas de soucis, mais on a mélangé les étiquettes et on ne sait quel bébé est à quelle mère.
– C’est pas un problème, déclare Octave, enchanté de ne pas devoir dire quel enfant est à qui. Mais encore dites nous, c’est des filles ou des garçons ?
– Les deux déclare le médecin, le choix des rois.
– C’est bien comme cela, vu que ma femme l’a conçu en dehors du mariage et que moi aussi, de cette façon, ce seront nos enfants aux 4 et le garçon héritera du titre.
– Oui, mais pour l’État civil ? On déclare quoi ?
– Déclarez les les deux de ma femme, comme si c’était des jumeaux.
– J’espère que l’autre mère ne fera pas de problème.
– Non, j’en fais mon affaire.

Julien très heureux de cette fin :

– Alors, tout est bien qui fini bien. On peut voir les enfants ?
– Mais bien sur, mais derrière la glace de la nurseries.
– Nous aimerions aussi féliciter les mères et les embrasser.
– Ça, pas de problème et éventuellement si elles donnent le sein, vous pouvez voir les bébés de tout près.
– Bonjour nos chéries disent en entrant les deux pères avec un grand sourire.
– Vos enfants sont là, mais il y a eu un petit problème de savoir le quel est à qui il semble déclare Janine avec un sourire en coin.
– Pas de problème, officiellement, avec Janine, je prends la paternité des deux enfants. Comme cela pas de jaloux, ni d’obligation gênante et Salomon peut aller se rhabiller et officieusement pour l’amour à leurs apporter, on est deux pères et deux mères de deux enfants sans distinction.

Janine :

– c’est un peu moins drôle pour la cuisinière qui arrive aussi à terme engrossée par Jean, elle a peur de se faire renvoyer. Je te prie Octave, va la rassurer qu’elle n’a rien à craindre et que l’on va l’aider un maximum.
– Cela va de soit. Jean, il fait aussi un peu partie de la famille.

Voila une jolie conclusion de cette histoire qui est absolument inventée de toutes pièces et toutes ressemblances avec une situation semblable ou avec des personnes ayant existé, ou pas, ne serait qu’une chance extraordinaire.

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