HISTOIRE DU NET:Porte ouverte
Je m\’appelle Guillaume, j\’ai 30 ans et ça fait bientôt 15 ans que je fantasme sur ma tante Chantal qui a presque 25 ans de plus que moi. Encore plus depuis le jour où, vers 17 ans je crois, je l\’ai observée à travers le trou de la serrure de sa chambre, alors qu\’elle venait de sortir de la douche. Je l\’ai vue distinctement entièrement nue pendant quelques secondes avant qu\’elle ne s\’habille. Elle ne l\’a jamais su mais depuis, chaque fois que l\’occasion se représente, je retente le coup avec plus ou moins de succès. Je ne la vois malheureusement pas assez souvent car elle habite en province et moi à côté de Paris, mais on se croise souvent en vacances. A Noël dernier, nous avons discuté ensemble et elle m\’a dit qu\’elle devait passer une semaine à Paris pour une formation mise en place à son boulot. Évidemment, je savais bien que l\’hôtel serait payé par la boîte, mais je lui ai tout de même proposé de venir chez moi. Elle a cordialement refusé, mais je pense que c\’était par politesse : elle devait probablement penser que je lui proposais également par pure courtoisie et que cela ne m\’enchantait guère. J\’ai tout de même insisté un peu, en lui proposant de venir au moins dîner le premier soir, et qu\’elle pourrait rester dormir dans le clic-clac du salon car cela ne me dérangeait pas du tout. Elle a accepté, en me disant tout de même qu\’elle suivrait peut-être ses collègues s\’ils voulaient dîner ensemble, puis j\’ai insisté pour dire qu\’elle pouvait s\’installer chez moi toute la semaine si elle le désirait.
Nous nous sommes recontactés quelques jours avant son passage pour confirmer que nous pourrions nous voir et nous avons eu à peu près la même conversation. Elle m\’a dit qu\’elle m\’appellerait le jour même pour me dire si elle venait me voir.
Le jour en question, elle m\’a appelé pour me dire qu\’elle passerait la soirée avec ses collègues mais qu\’elle serait ravie de venir chez moi le lendemain soir. Nous nous sommes donc donnés rendez-vous chez moi.
Le lendemain, Chantal est donc venue dîner chez moi avec quelques affaires pour passer la nuit. Nous avons dîné en discutant de nombreuses choses, et le repas s\’est terminé en grosse rigolade : on blaguait, et j\’ai fait quelques allusions coquines en plaisantant qui nous ont bien fait rire. Quand nous sommes partis nous coucher, j\’ai attendu qu\’elle ferme la porte du salon, où elle allait dormir, pour tenter une nouvelle fois de la mater à travers la serrure. Elle s\’est entièrement déshabillée pour se changer mais elle me tournait le dos et je n\’ai malheureusement pas pu voir grand chose. Je me suis quand même tapé une bonne branlette en pensant à elle avant de me mettre au lit. Le lendemain matin quand mon réveil a sonné, j\’ai fait attention à ne pas faire de bruit et je suis allé directement à la salle de bains. Quand j\’ai ouvert la porte, ma tante sortait tout juste de la douche et était donc complètement à poil devant moi. Elle s\’est retournée immédiatement en me voyant et j\’ai dit « Oh ! Pardon ! », puis je suis sorti en refermant. J\’étais à la fois gêné et excité : c\’était la première fois que je la voyais aussi distinctement et d\’aussi près, même si ça avait été très furtif.
Quand elle est sortie de la salle de bains, je me suis excusé une nouvelle fois :
– Je suis désolé pour tout à l\’heure, je ne savais pas que tu étais dedans.
– Non, c\’est moi, j\’aurais du fermer le verrou… Ça m\’apprendra.
– Non, j\’aurais du frapper : si tu dors ici, je dois prévenir avant de rentrer dans une pièce.
J\’avais peur que Chantal pense que j\’avais fait exprès de rentrer à cet instant précis, mais ça n\’était apparemment pas le cas. Elle a dû comprendre que j\’étais embarrassé, et elle a continué en plaisantant :
– C\’est vrai, c\’est de ta faute : quand je suis chez toi, je devrais pouvoir me promener toute nue les portes ouvertes sans que tu aies l\’audace de poser les yeux sur moi !
Elle n\’était donc visiblement pas fâchée alors j\’ai continué la plaisanterie :
– Oui, j\’ai commis une infraction. Je vais aller me dénoncer aux flics, j\’appelle mon avocat !
– Il a intérêt à être bon, si tu ne veux pas finir aux travaux forcés !
– Et si je te proposais un arrangement ?
– Dis toujours…
– Je vais prendre ma douche et je laisse le verrou ouvert.
– OK. Ça me paraît juste.
Je suis donc rentré dans la salle de bains et je suis allé me doucher. Dès que j\’ai eu fini, je suis sorti en faisant du bruit avec la porte de la douche en espérant que ma tante jouerait le jeu et comprendrait que c\’était le moment de rentrer. Et elle a ouvert à ce moment là, pour se retrouver en face de moi à poil sortant de la douche. Je n\’ai pas eu le réflexe de me retourner et elle a dit : « Oh ! Pardon ! » Puis elle est sortie en refermant. Je me suis séché, tout excité par ce petit jeu, avant de sortir avec la serviette autour de la taille pour aller dans ma chambre. Je me suis déshabillé pour me changer quand la porte s\’est ouverte brusquement : Chantal était à la porte et, avec un grand sourire, a dit : « Oh pardon … » Puis elle est ressortie en refermant. J\’étais ravi de la situation : manifestement, elle appréciait également ce manège. De plus, je prenais cela comme un encouragement à la \ »surprendre\ » à nouveau à poil, puisqu\’elle l\’avait fait deux fois avec moi. Je me suis donc dépêché de m\’habiller pour aller la rejoindre. Elle était à la cuisine et avait préparé le petit déjeuner. J\’ai tout de suite entamé la conversation, en souriant pour ne pas la mettre mal à l\’aise :
– La salle de bains, ça faisait partie de l\’arrangement, mais pas la chambre.
Elle a souri et a dit :
– Je suis désolée. Tu vas appeler les flics ou on peut quand même trouver un arrangement ?
– On ne va pas embêter les flics avec ça… On peut s\’arranger, si tu as une proposition correcte.
– Ce que je peux te proposer, c\’est le même arrangement que ce matin… Si je peux revenir dans la semaine…
– La proposition me convient parfaitement ! D\’ailleurs, je t\’avais bien dit que tu étais invitée toute la semaine, que ça ne me dérangeait pas… Et c\’est encore plus vrai maintenant, puisque tu me dois réparation !
– Alors, c\’est vendu !
Évidemment, toute la journée au boulot je n\’ai pensé qu\’à ça : J\’avais l\’accord de ma tante pour la voir à poil ce soir chez moi.
Une fois rentré chez moi, j\’ai préparé un dîner rapide en attendant Chantal. Elle est rentrée puis a dit, en insistant un peu :
– Je vais me mettre un peu plus à l\’aise pour le dîner…
– Je t\’en prie, fais comme chez toi.
Elle a fermé la porte du séjour et je suis allé coller un œil à la serrure. Je l\’ai vue se déshabiller rapidement, puis elle s\’est mise face à la porte en faisant semblant de se coiffer. Je me suis donc redressé et j\’ai ouvert la porte pour voir le spectacle que j\’espérais depuis presque 15 ans : ma tante Chantal entièrement nue devant moi, sans se cacher. Et comme elle avait vraiment l\’air d\’avoir envie de jouer à ça, je comptais bien en profiter plus que 2 secondes ! Je suis donc resté à la porte, ouverte, en disant :
– Oh… Pardon… Excuse-moi… Je suis désolé… Je ne savais pas…
Chantal continuait à se toucher les cheveux face à moi pendant que je la matais avec envie. Et comme elle ne faisait rien pour se cacher, cela m\’encourageait à prendre mon temps. Après quelques instants, elle a dit :
– Je pense que tu as largement dépassé le temps prévu par notre arrangement. Tu risques gros !
– A moins que tu n\’acceptes encore qu\’on négocie un arrangement…
On a souri tous les deux, puis elle a posé ses mains sur ses hanches et a dit :
– Tu as intérêt à avoir une proposition correcte !
– Merde, je vais avoir des ennuis.
– Pourquoi ?
– J\’avais bien une proposition, mais elle n\’est pas correcte du tout !
– Ah ? Excuse-moi, j\’ai dû faire un lapsus. Je voulais dire : tu as intérêt à avoir une proposition pas correcte !
Je me suis avancé vers elle jusqu\’à me retrouver à quelques centimètres, et je lui ai répondu en souriant :
– J\’en ai une pas correcte du tout !
Elle a fait un pas en avant pour venir se coller à moi et elle a enchaîné :
– J\’espère qu\’elle est très incorrecte parce que, plus tu restes ici, plus tu aggraves ton cas !
J\’ai donc avancé doucement pour l\’obliger à reculer vers le canapé, en disant :
– Je te rassure, c\’est extrêmement incorrect !
– Extrêmement ?
– Terriblement !
J\’ai alors posé mes mains sur ses épaules pour la pousser lentement vers le clic-clac, où je l\’ai faite asseoir en continuant :
– Exagérément…
Puis je l\’ai allongée, et je me suis baissé pour me mettre à genoux en poursuivant :
– Délicieusement…
Je lui ai écarté les jambes et je me suis penché vers son pubis pour l\’embrasser. Je l\’ai caressée en embrassant son clito et j\’ai sorti ma langue pour lui lécher la fente tout en enfonçant deux doigts dans son vagin. Tandis que je lui bouffais la chatte avec avidité, ma tante poussait des petits cris de plaisir et elle a murmuré :
– Mmmhh !… Extrêmement incorrect… Continue…
Elle me caressait les cheveux tandis que j\’avais une main qui lui pelotait les seins et l\’autre occupée avec sa vulve. Depuis le temps que j\’attendais ce moment !… J\’ai continué de longues minutes à savourer la cramouille de ma propre tante jusqu\’à ce qu\’elle m\’att**** doucement la tête pour m\’inciter à arrêter. Elle s\’est redressée pour me retirer ma chemise tandis que je défaisais ma ceinture de pantalon. Je me suis relevé et je n\’avais pas encore fini de retirer mon futal qu\’elle a baissé mon caleçon pour att****r ma bite et la branler doucement. Elle m\’a fait asseoir au bout du canapé puis s\’est baissée pour gober mon gland tout en continuant à m\’astiquer le manche. Cette fois, c\’est moi qui ai dit :
– Mmmhh !… C\’est très très incorrect… Mais qu\’est-ce que c\’est bon !
Elle s\’est mise à quatre pattes sur le canapé pour continuer à me sucer, ce qui m\’a permis de lui caresser les fesses, puis de lui mettre un doigt dans le cul et l\’autre dans le vagin, tout en me faisant pomper. Après un bon moment, elle a relevé la tête pour me regarder et nous nous sommes souris tout en continuant à nous tripoter mutuellement. Je me suis levé en l\’incitant à rester dans cette position, puis je me suis mis à genoux derrière elle. Chantal a écarté les jambes et j\’ai enfoncé ma bite dans sa chatte bien mouillée. J\’étais dans un état d\’excitation énorme et j\’ai baisé ma tante en levrette jusqu\’à ce que j\’éjacule en elle.
Quelques minutes après, nous étions toujours à poil sur le canapé à nous caresser en silence, quand j\’ai fini par demander :
– C\’était suffisamment incorrect ?
– C\’était magnifiquement incorrect !
– Alors cette proposition d\’arrangement te convient ?
– Ah, parce que ça n\’était qu\’une proposition ?
– Oui… Je te propose de remettre ça après le dîner ! Dans ma chambre !
– Ça me va ! Quand est-ce qu\’on mange ?
Après le dîner, j\’ai encore baisé ma tante Chantal, qui a passé la nuit dans mon lit. Le lendemain, elle a rendu sa chambre d\’hôtel pour finir la semaine chez moi où nous avons niqué tous les soirs (et deux matins) jusqu\’à ce qu\’elle rentre chez elle.
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