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secrétaire…. mais pas queue (chapitre 3/3)

secrétaire…. mais pas queue (chapitre 3/3)



Pas le temps, ni l’envie, d’aller chez eux. On se trouve une petite ruelle sombre. Le premier sort tout de suite sa queue de son jean. Je m’accroupis devant lui et commence à le sucer. Quel plaisir, quel délice de sentir cette queue grossir dans ma bouche. Je lui fais de l’effet à ce petit cochon, il ne faut pas longtemps pour qu’il soit bien raide. Le second a entrepris de me chauffer en glissant ses doigts dans ma chatte. Après quelques minutes ainsi, je lui dis de sortir sa queue. Ils sont tous les deux debout devant moi et je suce frénétiquement leur bite. Je sens qu’il y a des personnes qui passent derrière moi dans la rue, mais il faut croire qu’on est suffisamment caché. Il faut faire vite, on risque de se faire surprendre. L’un deux s’allonge à même le sol et je m’assois sur sa tige. Elle glisse toute seule dans mon con et quand je trouve un rythme régulier, l’autre approche sa bite de ma bouche. Je la prends avec la main, crache dessus, la branle et suce le gland. Les deux commencent à souffler de plus en plus fort et moi je coule, je coule, je coule. Pour la deuxième fois aujourd’hui, je prends mon pied, c’est extraordinaire. En même pas 10 minutes, j’ai fait jouir deux inconnus. Celui qui avait sa bite dans ma chatte, m’att**** par le bassin pour la mettre le plus au fond possible. Je sens les soubresauts de sa queue et son sperme me remplir. Ma chatte déborde même. L’autre a fini par rendre les armes sur ma joue. Le contraste froid de l’air, chaud de son foutre me donnait des sensations étranges mais très excitantes. Ils se rhabillent en vitesse et moi je me rends compte que je n’ai rien pour m’essuyer… Ils n’ont pas de mouchoirs non plus… Merde comment je vais faire, j’ai du foutre plein la gueule et plein la chatte. Je ne prends même pas le temps de parler et je m’en vais.

Je rentre chez moi avec un mélange de satisfaction d’avoir répondu à un plaisir immédiat, impulsif, profond, bestial…bref d’avoir joui et la culpabilité d’avoir trompé mon mari. Mais est-ce que tirer un coup c’est tromper ? Ces mecs, je ne les connais pas, je ne les reverrais pas, et je ne les aime pas…enfin j’ai bien aimé leur bite.

Les rendez-vous de Stéphane se faisaient de plus en plus souvent. La dernière fois, il a eu le droit de me bouffer la chatte. J’étais allongée sur le bureau, les jambes bien écartées. J’ai pris sa tête pour la fourrer entre mes jambes, et il a léché. Il lèche bien ce con. Il lèche bien, ce con. J’ai appris que j’étais une femme fontaine et qu’en fait je n’avais jamais vraiment joui avec mon mari. Lui, c’était avec le cœur, avec mes deux petits chiens, c’était avec le ressenti de domination, avec mes deux jeunes, c’était avec la bite. Différent, mais je jouis vraiment avec de bonnes bites que je contrôle. Avec mon mari, il y avait de moins en moins de désirs sexuels, ou peut être était-ce moi qui en voulait de plus en plus, à force de découvrir de nouvelles choses. Mes deux petits chiens n’avaient jamais eu la permission de me baiser, et honnêtement, je n’avais aucune envie que ça arrive. Je prenais du plaisir à humilier ces 2 hommes, d’autant qu’ils sont bien de gros machos. Je jouis en me branlant devant eux, mais ils ne me baiseront pas, sinon je perdrais leur contrôle. Je pense qu’au travail, des bruits commençaient à circuler. La discrétion n’était pas mon fort et dans le bureau, il nous arrivait de crier pas mal. Mais c’est surtout les chuchotements qui m’ont fait comprendre. J’entendais des petits bouts de discussion avec des « salope », « putain », « trainée ». Etrangement ces discussions s’arrêtaient net quand on me voyait arriver.

Le vendredi 21 octobre 2016, un rendez-vous est noté pour 18h30. Mais je finis mon boulot à 16h30, peut être vont-ils vraiment travailler ce coup-ci ? Ah non, Maître Bertrand me dit qu’il a besoin de mes « talents » et que je serais rémunéré en heure supp bien évidemment. A 18h30, l’immeuble est déjà vide et je me surprends à sourire en pensant que je ne suis plus secrétaire mais dominatrice. La séance n’a pas encore commencé, pourtant j’ai l’impression que mes pas dans les couloirs sont plus assurés, que je gonfle ma poitrine, que ma tête est légèrement plus haute… Je suis déjà dans le personnage et j’aime ça. Depuis les débuts de cette histoire, Maitre Bertrand a acheté pas mal d’accessoires : vêtements en latex, fouet, gods… Un véritable donjon SM.

La séance commence. J’ai deux cuissardes noires, un string fendu qui dévoile plus qu’il ne cache, un bustier en latex qui laisse transparaître chaque petit détail de mes seins tellement il me serre. Je me suis maquillée avec un rouge à lèvres vif, un peu de fond de teint et du far à paupières noir. J’ai aussi des gants en latex qui arrivent jusqu’à la moitié de mes bras. Stéphane est nu avec un masque de cochon. J’ai choisi ce masque parce que la couleur correspondait à celle de sa peau, ce qui créait vraiment l’illusion. Maître Bertrand avait un masque de chat, parce qu’il faisait son dur devant les clients mais en fait il avait un gentil fond. Je commence par les insulter, je crache sur leur masque, les gifle violemment le visage et les fesses. Ils en redemandent et j’aime les faire couiner. J’ordonne à mon petit chat de se mettre dans un coin du bureau, debout sans bouger. Pendant ce temps, mon petit cochon est à 4 pattes au milieu de la pièce. Je m’assois sur son dos et je joue au cheval avec lui, quelques coups en plus. J’ai envie de me faire baiser, mais par lequel ? aucun d’eux en fait. Oh oui, il y a des gods énormes ! il y en a un gros, noir, 25 cm au moins, bien sculpté, un véritable rambone, avec une ventouse au bout. Je veux qu’ils me matent en train de me le taper. Je leur ordonne de se mettre debout devant moi. Je prends une chaise et colle la ventouse du rambone. En les regardant, je commence à lécher cette bite énorme. Le goût est étrange, pas dégueu mais je préfère une vraie bite. Je monte et descends plus fois avec ma langue pour bien mettre de la salive partout. Mon chat et mon cochon se branlent déjà. Des bruits de succion, des bruits de branlettes, l’odeur de ma salive, la vue de ce god, oooooohh je mouille terriblement. J’ai envie de m’assoir dessus, mais est-ce ma petite chatte va l’accepter ? C’est moi qui décide de toute façon. Je me mets à califourchon au-dessus du god et je descends lentement. Je m’y reprends à plusieurs fois et cette bite noire entre de plus en plus en moi. ça n’en finit pas ! Je suis pleine ! ah non je peux encore descendre. Mes animaux soufflent de plus en plus fort : « stop ! Il est trop tôt pour décharger ». Ben oui, je viens de commencer moi. Je suis en chaleur, je veux me faire empaler.

Soudain, quelqu’un essaie d’ouvrir la porte. Heureusement, elle est fermée de l’intérieur. « Sandrine ! sors de là, je t’ai entendu. Ouvre cette foutue porte ! ». Merde, c’est Emmanuel !!! Je ne peux plus me cacher. J’ouvre la porte. La première chose qu’il voit, c’est moi, avec mes bottines, et mon string fendu, j’ai la chatte dégoulinante. Il a un mouvement de recul, puis entre en me poussant violemment. Il voit ensuite la chaise avec le god planté et finalement mes petits animaux. Il est entré dans une colère folle. Il se précipite sur mon chat (je ne suis pas sûr qu’il ait reconnu mon boss). Je me place entre eux :
– « Ecoute mon chéri ! Ils n’y sont pour rien. »
– « Comment ça ? »
– « C’est moi qui ait voulu cette situation. Ils ne me baisent pas, ils ne font que me mâter. »
Il s’est arrêté un instant. Puis a dit avec un ton tout à fait calme et posé, ce qui était d’autant plus inquiétant.
– « Vous voulez mater ? alors mater ça ! »
Il me prend par le bras assez brusquement. C’est la première fois que je le vois ainsi. Je ne sais pas s’il y a de la colère ou de la tristesse ou du mépris ou … Il m’empale sur le god. Il m’a fait mal d’ailleurs. En me tenant par la taille, il m’obligeait à m’assoir sur ce god. Il sort son sexe de son jean, se pousse pour être bien vu par mes animaux et l’enfonce dans ma gorge.
-« Suce et regarde-les se branler ». Bon il est en colère, mais qu’est-ce qu’il mijote?. Sentir le god et sa bite en moi ne m’a pas déplu.

Une fois bien raide, il vire tout ce qu’il y avait sur le bureau et me demande de m’installer à 4 patte, le cul vers mes animaux. Il s’installe derrière moi pour une bonne levrette. Je mouillais encore plus à l’idée de me faire bien baiser devant eux. Mais…mais…mais, que fais-tu mon chéri ? Aïe. Il m’encule le salaud ! Il ne m’avait jamais fait ça. On n’avait déjà abordé le sujet, mais je n’étais pas franchement pour, trop peur certainement. Au bout de quelques minutes, Je commençais à avoir moins mal et même à y prendre du plaisir. C’est vraiment un ressenti tout à fait nouveau, et loin d’être déplaisant. Je ne pensais pas pouvoir jouir uniquement de l’anus. Avoir cette bite dans le cul qui me ramone avec force, la chatte ouverte et dégoulinante, je me disais que j’étais une belle salope quand même. Mais j’ai passé tellement d’années de ma vie sans connaître ces plaisirs, tellement d’années de gâchis. Je pensais que le sexe c’était avec le cœur, non ! le sexe c’est avant tout une bonne grosse pénétration !

– « Venez les mecs, faîtes-lui payer ses conneries. Il y a de la place ». Je me suis rappelée que ma réponse était exactement la même avec mes petits jeunes. Ça m’a fait un peu rigoler.
On s’installe par terre. Stéphane est allongé sur le dos. Je m’assois sur sa queue, vraiment petite au passage, je ne sentais rien après le passage du god. Emmanuel s’est octroyé mon anus, et mon boss a glissé sa queue dans ma bouche. J’ai eu beaucoup de mal à coordonner mes mouvements. Mais avec un peu d’habitude… ce que j’ai joui, bon sang ce que j’ai joui, désolé pour la femme de ménage mais elle va avoir beaucoup plus de boulot. Ils m’ont besogné pendant de longues minutes. Se sentir ainsi pleine, au centre des attentions, ramonée de toute part…Il faut que je conseille ça à mes amies ! Emmanuel a été le premier à gicler. Il a inondé mes fesses et la bite de Stéphane qui continuait de me baiser. Mon boss est venu ensuite dans ma figure et ma bouche. En recrachant j’en ai envoyé dans le visage de Stéphane… Le pauvre n’a pas joui. Il n’a pas pu me baiser comme il faut, vraiment une petite bite. Après ce mini gang-bang, on s’est lavé un peu dans les toilettes, et j’ai pris le temps de tout expliqué à mon mari, toute cette dégringolade. Il n’a pas compris, il n’a pas voulu entendre.

Aujourd’hui, nous sommes séparés. J’ai démissionné et changé de ville. Malgré tout, quand j’ai chaud à l’entrejambe la nuit, il m’arrive encore de me promener, avec juste un manteau sur ma nuisette, prête à me faire bourrer par le premier venu. Messieurs, peut-être m’avez-vous déjà croisé, peut-être serez-vous le prochain à me démonter le cul. Alors ouvrez l’œil, et baladez-vous avec quelques amis, surtout s’ils ont de belles grosses queues !

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