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Moi Louise / L’annonce

Moi Louise / L’annonce



Avec toutes ces aventures extra conjugales, j’étais à l’époque dans une excitation permanente. Nous ne faisions plus l’amour avec mon mari et ceci a duré plusieurs mois avant que notre sexualité ne redevienne petit à petit normale. Je ne voulais plus qu’il me touche. Mes escapades me comblaient : j’y assouvissais mon désir de vengeance et mes pulsions.

Un matin je me suis réveillée trempée de désir. Je ne manquais pas d’opportunités, je savais bien que je n’aurais pas de mal à trouver de la chair fraiche, en nombre et en qualité.
J’ai en fait passé la matinée à interroger mes envies, du genre « qu’est-ce que j’aimerais manger à midi ? »
Je me suis caressée un bon moment devant des revues (à l’époque il n’y avait pas internet…) pour activer mes fantasmes et j’ai eu un premier orgasme en lisant l’histoire d’une bourgeoise nymphomane qui se prostituait pour se divertir et se donner des frissons.

Je m’imaginais déjà habillée en pute, avec un maquillage outrancier, les talons, le sac à mains, dans la rue à aguicher mes probables clients, à répondre à leurs questions « c’est combien pour une pipe ? » « Tu fais la sodomie ? » …
Deux choses étaient pourtant impossibles : le faire de jour, car j’aurais pu croiser une connaissance, et prendre la place d’une vraie prostituée car à l’époque c’était un réseau bien contrôlé par la mafia locale et ça ne me disait rien de me faire taper dessus !

J’eu alors l’idée bien excitante de passer une annonce, de me proposer en call girl, de luxe tant qu’à faire, ça arrondira mes fins de mois en plus.
J’ai donc passé une annonce dans la revue d’échangisme « Union », avec une photo de moi en lingerie.

« Jeune bourgeoise malicieuse propose à Bordeaux et ses environs un moment de détente à homme (s) généreux. Etudie toute proposition sérieuse. Contactez le journal qui fera suivre »

J’ouvre une boite postale dont je donne l’adresse au magazine et puis je laisse passer le temps, continuant à fréquenter le quartier rouge de Bordeaux parfois, mais sans grande stimulation. J’attendais beaucoup de mon nouveau projet qui me mettait dans une folle excitation.
Je me contentais de multiples masturbations, lisant mes revues, utilisant mes meilleurs concombres (je passais beaucoup de temps à les sélectionner!) pour me remplir les orifices.

Le lundi suivant je me rendis la poste pour ouvrir cette fameuse boite postale et je découvris stupéfaite qu’il y avait déjà pas mal de courrier. De retour chez moi, j’ai donc passé la matinée à éplucher toutes les propositions que l’on me faisait et j’en ai finalement retenu une qui me paraissait la plus intéressante et qui de plus était très bien rémunérée.

Il s’agissait d’une femme qui voulait faire une surprise à son mari pour son anniversaire et lui offrir un cadeau original. Elle expliquait que mon profil et surtout ma photo étaient tout à fait dans les goûts de son homme, elle étant une femme andalouse très brune et assez petite.
Mon corps en cadeau, l’idée me plaisait beaucoup, flattait mon égo bien développé.

Elle me donnait rendez-vous dans un quartier chic de Bordeaux le samedi suivant pour la fameuse soirée, à 22h.
J’ai dit je ne sais plus quel bobard à mon mari qui commence à être habitué à mes virées nocturnes et qui ne la ramène pas. Il sait bien que c’est de sa faute si je suis devenue la plus grosse salope de Bordeaux, fallait pas me chercher !

L’adresse était une maison bourgeoise de belle taille et la femme, Solange, m’accueillit chaleureusement.
« La soirée a déjà commencé « me dit-elle, « suivez-moi, nous allons nous préparer ».
En guise de préparatifs elle me demanda  de me déshabiller et me tendit des porte jarretelles, sans culotte, un corset de maison close et un bandeau. Elle me montra du doigt également une poire à lavement et m’indiqua la salle de bains avec wc pour que me lave l’anus avec de l’eau tiède. La sensation de l’eau remplissant mon ventre était tellement agréable qu’elle me procura une intense montée de désir et je m’amusais déjà à faire aller et venir la petite poire dans mon anus en le remplissant de liquide.
Une fois la toilette terminée, je la rejoignis.

« Mon mari est un peu fétichiste » m’avoua t’elle

Une fois parée et nettoyée, elle me mit le bandeau sur les yeux et me prit par la main pour me guider.
Quelle sensation divine ! Ce bandeau me faisait beaucoup d’effet…je me sentais prête à tout, les quatre autres sens en éveil, mon sexe commençait à se lubrifier abondamment. Cette situation m’excitait au plus au point, ce qui ne m’était pas arrivé depuis un bon moment déjà.

Nous entrons dans une salle bruyante. Le silence se fait. La pièce sent déjà le sexe et la débauche, j’ai l’impression d’arriver au beau milieu d’une partouze géante. Rien d’étonnant car je suis bien au courant que les notables de Bordeaux affectionnent tout particulièrement ce genre de soirées d’amour libre. Sauf que c’est bien la première fois que j’y participe.

Déjà des mains commencent à me frôler, me caresser. Des petits sifflets d’admiration se font entendre. Je me sens belle, tellement désirable et désirée ! Ma chatte est trempée, je sens son humidité.

La main de Solange me reprend et m’invite à m’assoir  sur ce que j’imagine être un tabouret de bar. Je suis exhibée à l’assistance, je devine qu’on me regarde avec envie, les femmes comme les hommes.
Ils s’approchent encore.
Je sens des mains se balader partout sur mon corps, caresser mes seins, mes fesses déjà bien offertes par la position que m’oblige le tabouret haut. Un doigt s’immisce dans mon sexe.

« Ne la faites pas attendre, elle est tout à fait prête !! » Dit un homme en riant fort

« Nous allons donc pouvoir effectuer le tirage au sort ! » Annonce Solange aux convives.
Quelle drôle de soirée….
Le tirage commence par le tintement d’une clochette.
« Pour les préliminaires, le premier couple est….Marie et Pierre ! »

Applaudissements. Rires. Félicitations en tout genre.

On m’installe en position plus offerte encore, en me faisant baisser la tête, on m’attache les chevilles et les mains au tabouret et je sens une langue venir goûter mon intimité, parcourir ma raie, aller du cul à la chatte avec envie. Mon dieu que c’est bon ! Je devine que c’est la femme quand soudain un sexe gonflé se présente dans ma bouche. Je suce avec bonheur cette queue inconnue pendant que ma lécheuse s’active divinement sur mon clito, me laissant au bord de l’orgasme. Elle le sent, arrête sa succion, retourne vers mon petit trou qu’elle visite de sa langue, comme pour me préparer, joue avec mon plaisir sans me faire jouir pendant que la queue de son compagnon s’active toujours dans ma bouche, délivrant quelques gouttes de jus délicieux.
Je boue, je suis en fusion, ma chatte dégouline de mouille, je me sens la reine de la soirée, exhibée, attachée, livrée au vice de cette assistance débauchée.

-ding ding !
« Tirage au sort de la catégorie pénétration : Jean-Paul ! »
« Ohhhhhh…. » fait l’assistance

Je ne peux pas bouger, mes trous sont offerts, à bonne hauteur de sexe, je n’ai plus qu’à attendre docilement. Le silence se fait dans la pièce.
Je n’attends pas longtemps.
Deux mains puissantes se posent sur mes hanches et un sexe à priori énorme m’introduit analement sans aucune précaution, avec v******e, me faisant crier de surprise et de douleur sous les encouragements de la foule. L’homme se déchaine en moi, me pilonne le cul comme un malade, je me détends comme je peux, m’accroche à mes liens pendant qu’il dévaste mon petit trou. La douleur passe un peu alors qu’il me sodomise bruyamment, mon anus est presque anesthésié maintenant et son traitement dure encore quelques minutes avant qu’il ne jouisse dans mon cul, dans un grand râle et sous les applaudissements nourris des convives.

-ding ding !

« Catégorie nettoyage…Chantal ! »
Une langue se pose alors sur mon petit trou endolori et entreprend de le manger, me fouille, me pénètre, et je sens le sperme de mon enculeur qui coule de mon ventre, se libère, pour nourrir la bouche de cette femme que je n’ai jamais vue. La douceur de sa langue et de ses lèvres est incroyable, si au moins elle pouvait me faire un cunni aussi, je jouirais sans attendre. Mais non, elle continue de vider mon anus de tout le jus, consciencieusement, méthodiquement, comme lui a imposé le tirage au sort.

Tintement de clochette.

« Catégorie pénétrations multiples….Dimitri…Roger….et Marc ! »

Très vite, des mains me touchent, me fouillent, un premier sexe introduit ma bouche, sans un mot, un deuxième entre dans ma chatte bien humide pendant que des doigts s’immiscent dans mon petit trou. Les trois hommes vont se succéder sans relâche dans ma bouche, mon cul, ma chatte, me prenant en brochette, en sandwich, dans tous les sens, tournent autour de moi, je suis en libre service, les trous offerts à l’envie.
La situation me met en transe, je suis pénétrée de partout pendant que les autres fêtards tapent dans leurs mains pour rythmer la scène. Je sens monter un violent orgasme plusieurs fois mais ne peux le libérer, ça me rend folle, je me tortille sur le tabouret pendant que des flashes retentissent et que mes assaillants m’enfilent de partout et finissent par jouir, presque en même temps, comme dans une chorégraphie bien huilée,  dans mes trois orifices.

-Ding ding…
« Catégorie nettoyage….José…et Charlotte ! »
Une bouche charnue vient se poser sur la mienne. Sa douceur me fait fondre. Elle m’embrasse à pleines lèvres, partageant le foutre, léchant mes joues alors qu’une autre bouche s’est posée sur ma vulve, parcourant ma raie à grand coups de langue, faisant couler ma chatte et mon cul de la semence accumulée. Je sens la moustache de l’homme qui me nettoie en profondeur pendant que la femme joue avec nos langues, se régale du sperme des autres inconnus. C’est divin. Je suis encore une fois au bord de l’orgasme sans possibilité de jouir. Je mouille comme une fontaine dans la bouche de mon nettoyeur.

Clochette.

« Fin des imposés, séance libre pour tout le monde ! »

La foule s’exclame, crie des hourras, ça bouge dans tous les sens, la grande partouze peut commencer, l’excitation est à son comble. On me détache, sans enlever le bandeau qui m’empêche de voir les ébats et on me soulève pour me poser sur un matelas confortable où je sens bien vite des hommes et des femmes me rejoindre, m’embrasser, me caresser, me pénétrer, dans un sentiment de délivrance extrême. 
Quelqu’un me lèche avec gourmandise pendant qu’un sexe m’envahit la bouche, on malaxe mes seins et mes fesses, on me retourne, j’ai l’impression qu’ils sont tous autour de moi, la chair fraiche de la soirée, les hommes comme les femmes. Je ne compte plus les bouches, les mains et les sexes qui m’assaillent. J’ai l’impression d’une grande fête païenne, un soir de pleine lune où les sorcières et les faunes se jettent les uns sur les autres pour une nuit de sabbat. 
Les odeurs se font plus fortes, les gémissements retentissent comme autant de promesses charnelles, de jouissance. On me pénètre dans tous les sens, on me retourne, on me sodomise, on me donne à sucer des queues, des chattes dégoulinantes, des anus suintants, je me gave de toute cette chair amicale qui jouit avec moi, déverse ses fluides dans ma bouche, dans mon cul, sur mon corps. Des bouches s’activent pour récupérer les jus, me les font gouter en m’embrassant, me remplissent, je suis aux anges ! Une langue me fait jouir pendant qu’une queue me sodomise doucement et qu’une autre se soulage dans ma bouche avide de jouissance. J’ai l’impression d’une intense communion, de vivre le meilleur de la race humaine, où tout est dédié au plaisir, à la bestialité. Je finis mes orgasmes dans un bain de foutre et de langues, mélangés sur mon corps, fouillant mes muqueuses, faisant exploser mon ventre de bonheur.

On m’enlève le bandeau. Le calme est revenu, l’apaisement se lit sur les visages que je découvre. On me sourit, on m’aide à me lever en me prenant par la main et je me sens comme dans un conte, Louise au pays des merveilles, de la sensualité sans tabou.

Un homme âgé arrive en fauteuil roulant, poussé par Solange.

C’était lui le metteur en scène de la soirée, qui s’est régalé de ma soumission, un vieil homme impotent qui s’est offert son spectacle préféré. Son visage est radieux.

« Merci mademoiselle, votre ressemblance avec ma première femme était si troublante que je vous ai choisie pour célébrer l’anniversaire de sa mort. Elle doit être ravie, d’où elle est, d’avoir fait votre connaissance ! Solange va vous raccompagner »

On me paya grassement, comme prévu, et je suis rentrée.
Dans ma tête résonnait encore le tintement de la clochette.

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