il m est arrivé une aventure il y a quelque temps qui me trouble toujours autant quand j y repense.
Alors que je retrai chez moi, sachant que en milieu de cet apres midi là, il ne devait avoir personne, je me suis retrouvé dans une situation exquise.
Ma fille de 19 ans accueillait une correpondante allemande du même age. normalment tout le monde devait être parti faire les boutiques.
Lorsque je rentre je fais toujours le tour de la maison pour savoir si qulqu’un est là, il y a beaucoup de va et viens. Lorsque j’arrivais devant la porte de Lola, ma fille, j’entends que quelqu’un s’y trouve, la porte est entre ouverte. Je frappe par principe et j’entre doucement et là je vois Birgit un baillon boule sur la bouche, les genoux attachés par une corde blanche savament disposés. les mains dans le dos en jupe courte, pieds nus, un tee shirt lui moulant le buste fort joliment, d’ailleur. Ele semblait au moins aussi surprise que moi et ses joues virairent du blanc au rouges en un eclair.
J’avançais rapidement vers elle et lui détacha le baillon, puis je lui demandais:
_que t est il arrivé? C’est Lola qui t a fait cela?
alors que je lui, enlevais le baillon j’aperçu que ses mains étaient attachées dans le dos avec des menottes.
revenant face à elle:
tu sais ou est la clé?
Birgitt se contorsionna pour me montrer ses mains fermées, puis celle de gauche s’entrouva pour laisser apparaitre une petite clé qui ressemblait étrangement à des clés de menottes. La description du rouge de ses joues ne figure sur aucun nuancier, elle dégageait une température proche de fusion nucléaire. Je me penchai pour att****r la clé et vis qu’une autre corde disparaissait sous la jupette.
Je pris un air compatissant.
-Ce n’est pas Lola? n’est ce pas
la voix de birgtt n’essaya même pas de s extraire de la gorge comme si le baillon boule était toujours présent, elle se contenta de faire un signe négatif de la tete. le regard honteux.
– tu l’a fait toute seule, un selfbondage?
de l a même façon mais de manière postive elle me répondit.
Je comprend lui dis alors et je mis la clé dans ma poche.
Je repris le baillon boule posé par terre et en la regardant droit dans les yeux je lui représentait devant a bouche.
Ses yeux exprimait toutes ses sensations, c’était un vrai bonheur. Ses tétons tentaient désespérement de traverser le tee shirt.
Elle entouvrit la bouche en signe d’acceptation en se mettant à rougir de plus belle. Je sentais son exitation immense et j’avais beaucoup de mal à contenir la miene. Puis ses joues sont devenues blèmes en un instant. le baillon posé, j’ai lu dans son regard l’angoise et l’envie se baitailler. la peur du viol, etl’envie d’être forcée, Jekil et Hide, pile et face les deux cotés de la même piece.
toujours en la fixant et sans rien dire de plus, je remontait doucement sa jupe laissant découvrir ce que je présentais: une double corde posées en « string », encore du très classique. je pris quelques centimetres de recul. JE repositonnais correctement les cordes pour qu’elles compriment bien les grosses levres et qu’elles enserrent les petites.
Birgitt commençait à etre prise de petits soubressauts et des gémissement tentaient de passerle baillon. je pris la clé dans ma poche et passa le coté arrondi le long de ses levres dépassantes malgré les jambe serrées. une goutte perlait sur la clé et je la déposait juste au dessus du baillon sur le haut de la levre. Son corps entier etait en train d’entrer en vibration.
Je vérouillais la jupe dansla corde pour qu’elle reste aisni, à vue. Je posais mes mains sur ses hanches, mon exitation était telle également que leur température étaient largement supérier à la sienne compte tenue aussi de sa transpiration qui commençait à se voir. Apres quelques secondes dans cette position je remontait mes mains sur les coté de son corp entrainant avec moi le tee shirt. le passage de la poitrine fut plus long que le reste , je continuait à la regarder droit dans les yeux, elle n’arrivait plus à soutenir le regard, la chaleur et l’exitation lui faisait perler les paupieres. lorsque le tee shirt passa les tetons elle poussa un hurlement deriere le baillon. Je stabilisais le tee shirt au dessus de sa magnifique poitrine.
avec ms ongles de petits doigts, et sans autre attouchement, je me promenais sur les aréoles,gonflées et prètes à expluser tout le desir intense qu’elles ne pouvait qu’à peine contenir.
JE pris alors la clé dont le bout arrondi et évidé frmait un anneau et semblait parfaitement coresspondre à un diametre legerement inférier à ses tetons.Avec une grande douceur je pincais le tetons droit pour le faire entrer dans cette anneau inspéré. Le résultat fut encore plus saisissant. Alors que je relachais la pression une fois l’anneau clé passé, le teton se pris à glonfler un peu plus enpechantla clé de s’échapper. la pression alors exercée la fit hurler et Birgitt m’expulsa quelques gouttes de bonheur sur les pieds. Elle était à bout, tremblante de tout son corps, et chaque tremblement agitait maintenant la clé, provoquant ainsi de nouvelles secousses.
JE pris sa tete entre mes mains et lui dit avec le même ton compatissant:
tu n’a plus qu’une heure avant que tout le monde ne revienne.
je tournai les talons et je repartis, sans fermer la porte.
Nous n’en avons jamais reparler.
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