J’ai une envie folle de me caresser, de libérer cette frustration en moi.
Des semaines que j’attendais de pouvoir enfin voir son corps sans son habituel censure, sans ses filtres, elle qui ne m’a jamais donné accès à ses galeries mais qui aujourd’hui me donne tous les droits, sauf de voir son visage.
Son ultime barrière, son dernier tabou. Pour le reste, j’ai carte blanche et un objectif précis, une étape obligée dans notre jeu.
En attendant, j’ai envie de me caresser donc… Une folle envie d’arracher mes vêtements, de l’enfourcher et de frotter mon entre jambe sur sa cuisse, de coller mes seins sur sa bouche.
Mais non, je domine, je ne dois pas me laisser aller, pour une fois je ne suis ni soumise ni passive.
Cela dit, absorbée dans la pensée de cette ferme résolution, je ne me rends même pas compte que j’ai commencé à glisser une main sous mon décolleté et que mes doigts caressent déjà un téton lui-même déjà bien fermé.
Mon autre main glisse sous ma ceinture à la recherche de ma culotte, glisse sur le tissus jusque mes lèvres déjà chaudes. Je sens cette moiteur qui m’ennivre temps.
Je me rapproche dans son dos et ma tête vient se pencher dans son cou, son parfum m’ennivre pendant que mes doigts s’agitent… Je dois me reprendre et c’est dans un long soupir sur sa peau que malgré moi je m’arrache à mon plaisir naissant.
Je m’agenouille derrière elle, ses fesses me sont offertes dans cette position la cambre tant.
Son sexe est à ma portée débordant de l’assise, sagement emballé dans cette petite culotte blanche en fine dentelle.
Je pose la paume de ma main dessus pour ressentir sa chaleur et la fait doucement glisser pour y amener mes doigts.
Elle me semble palpiter à mon contact, comme un cœur qui bat, elle a l’air d’être déjà bien trempée…
Du bout des doigts, j’ecarte doucement le tissus, révélant sa moite intimité, un fil de liquide intime relie encore sa lingerie trempée à son fruit sucré. Une douce odeur me sort de ma torpeur, c’en est trop pour moi, mes mains empoignent ses douces et chaudes fesses et ma bouche se pose sur ses lèvres si longtemps désirées.
À son contact, je la sens tressaillir et elle laisse échapper un petit cri de surprise contenue suivi d’un long soupir.
Son goût est au delà de tout ce que j’ai pu imaginer, des chastes baisers, je passe à une danse endiablée entre ma langue et son sexe. Je la leche, je la fouille, j’ai envie d’entrer ainsi au plus profond d’elle, de la boire, de la posséder dans ma bouche, je la sens y couler, j’ai faim de tout son être.
Elle retient ses soupirs, se débat quelque peu mais ses liens remplissent leur rôle et la maintiennent fermement coller à la chaise, cuisses ouvertes, fesses bombées et sexe offert à moi.
Je m’arrête enfin mais ne suis pas rassasiée. Je sens mon visage souillé par sa mouille, je suis trempée… En bas aussi… Je me relève et glisse une main dans ma culotte. Je ne suis pas trempée… Je suis collante… Je me soulage quelques secondes, glissant mes doigts entre mes lèvres, puis les enfoncants au plus profond de moi…
Ils ressortent souillés par mon intimité, je les sens, mon odeur est plus âpre que la sienne, je les porte à sa bouche et elle s’empresse de les lecher… Cela fait monter la tension en moi d’un cran supplémentaire… J’aime ce jeu, j’aime la savoir à ma merci.
Pendant qu’elle me leche les doigts, je glisse mon autre main sur ses épaules et fait tomber ses bretelles, réveillant sa merveilleuse petite poitrine aux tetons fièrement dressés qu’elle n’a pas pris la peine de cacher sous de la lingerie.
Ma main glisse sur un sein et dessine le contour de son téton pendant que sa langue et ses lèvres s’affairent à nettoyer mes doigts.
Sans prévenir, mes doigts s’emparent du téton et le tordent fermement, lui arrachant un cri de surprise et de douleur.
Je connais moi même cette sensation, c’est un de mes grands plaisirs, mais je découvre alors celui d’infliger cette douce souffrance.
Mon cœur s’emballe, j’ai envie de jouir, je dois résister même si je n’ai qu’une envie, plaquer mon sexe sur sa bouche…
Mais je ne peux pas, je ne dois pas me delivrer.
Cette frustration, je vais la passer sur elle, je recommence à torturer son téton, mon autre main s’empare du deuxième et elles travaillent à l’unisson.
Je me nourris de ses râles, de ses soupirs, de ses cambrures sur la chaise, ce spectacle m’a sorbet totalement, je crois que je pourrai en jouir… Alors aussi soudainement que j’ai commencé, je stope.
Je me recule, fais le tour de ma supliciée sans bruit.
Je la sens aux aguets, sa respiration est rapide, sa poitrine se soulève fort et vite.
J’imagine qu’elle aimerait se laisser affaler sur la chaise mais la contrainte le lui interdit.
Je retourne dans son dos, m’agenouille à nouveau, elle n’est plus trempée, elle coule… Un long filé de mouille tente de rejoindre une petite tâche épaisse sur le sol. Ma salope, ma soumises, ses mots raisonnent étrangement dans ma tête.
Mon visage se penché vers le filet que j’att**** du bout de langue et remonte à son sexe pour le boire à nouveau.
Quand j’ai fini, je fais glisser un doigt sur ses lèvres, les ouvre et l’enfonce doucement mais jusqu’au bout.
Je la fouille en douceur, elle est trempée.
Je commence un lent mouvement de va et vient quelques secondes puis je ressors, pour revenir aussitôt avec deux doigts cette fois, et je recommence, puis un troisième, le son se joint aux sensations, ce bruit captivant, petit clapotis intime auquel elle joint les soupirs de son plaisir.
Ses fesses dansent sous mes doigts jusqu’à ce que je passe à quatre, toujours sans difficulté, elle semble ne se rendre compte de rien. Je les glisse doucement en écartant ses lèvres pour éviter cette douleur electrisante et ne rien forcer.
C’est maintenant que mon pouce se glisse sous mes autres doigts et qu’il va falloir être douce.
Mais je n’ai même pas le temps de reflaichir à une éventuelle dose de lubrifiant qu’elle a déjà avalé mes doigts, son sexe les a aspirés sans plus de formalité dans un grand soupir.
Ma surprise est telle que je sens pas venir l’orgasme qui monte en moi.
La vision de ma main en elle me fait exploser sourdement, je m’en mors les lèvres, prise de tremblements que je laisse envahir ma main. Elle soupire de plus belle.
De ma main libre, je libère une de ses mains que je fais descendre à mon poignet, et donc son sexe.
Elle n’avait donc pas compris que j’étais en elle la main entière jusqu’au début de l’avant bras, je sens son souffle se couper, la surprise qui submerge son corps et s’apprête à déclencher un tsunami de plaisir.
Je sens sa main incrédule carresser mon poignet et son sexe pour deviner la situation.
C’est à ce moment que je commence le va et vient de mon bras.
Je la possède totalement, elle est mienne, remplie, soumise, possédée.
Je commence à accélérer, ses soupirs se font plus profonds, plus rauques, plus a****ls.
Je vais libérer la bête, je vais de plus en plus vite, je la sens couler sur mon bras dans un tourbillon de sensations, elle commence à crier, se chambrer, sa main caresse furieusement son clito puis tente de repousser ma main, c’est le signal, je retire ma main dans un petit cri de soulagement mais reviens à charge avec un doigt que j’agite en pressant fermement sa muqueuse.
Ca vient, elle n’en peut plus, le clapotis est maintenant furieux, un cri monte en elle, le soulagement est proche, je la branle de plus belle, approchant mon visage juste à temps pour recevoir sa toute première jouissance totale, une rivière échappée de son intimité qui inonde ma bouche et me fais instantanément jouir de nouveau sans même me toucher.
C’est le calme après la tempête, je me laisse tomber au sol et la regarde effondrée sur sa chaise, haletante.
Je souris, ma main plonge sur mon sexe, je suis brûlante et trempée.
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