Ça y est mon mari est parti… il a été tellement distant avec moi ces derniers jours que je n’ai plus aucun scrupule à retourner au club seule sans qu’il le sache.
En écho à notre tension maritale, je suis dans une excitation sexuelle insoutenable. C’est toujours l’effet que me font la tristesse et la nervosité. J’ai besoin que mon corps exulte, qu’il décharge ses fluides, de n’être qu’une poupée de chair avec des trous à remplir, sans aucune modération.
J’ai envoyé un mail au patron du club pour le prévenir que je venais ce soir et que je voulais du trash, du bien crade.
Il m’a juste répondu
« Ok, je te prépare ça »
J’ai mis des porte jarretelles, sans culotte, des grandes bottes noires à talons de douze, des couettes, un maquillage outrancier avec les yeux charbonneux et la bouche rouge vif. J’ai même mis du rouge à lèvres sur mon trou du cul, pour faire comme une bouche.
J’ai réussi à écrire « servez-vous » au marqueur sur le bas de mon dos en m’appliquant bien face au miroir.
Et surtout je ne me suis pas branlée depuis une semaine au moins pour garder toute mon énergie pour ce soir. Ce n’est pas l’envie qui m’a manqué mais j’ai réussi à résister à la tentation pour être une vraie cocotte minute le jour j.
Et le jour j, c’est dans 1 heure maintenant….j’en bave, je joue avec ma salive, la faisant dégouliner sur mes lèvres en rêvant à du sperme. Je me suis même gavée de noix de cajou salées et de chips pour avoir la pépie toute la nuit et me désaltérer à ma source préférée : des gros glands qui jutent.
Je mets un grand manteau d’hiver et attends le taxi que j’ai appelé. Je n’ai pas envie de prendre la voiture, d’avoir quoi que ce soit à contrôler. Je veux juste me laisser conduire, partir en voyage avec des hommes rudes qui me violent de partout et me remplissent le corps de leur belle purée blanche. Je veux m’empaler sur une montagne de bites, que la neige éternelle des hauts sommets se transforme en torrent de foutre dans lequel j’épanche ma soif.
Le trajet me parait long, infini. Je suis en apnée sur la banquette arrière, fébrile, je bascule la tête en arrière sur le siège, envahie d’images et d’odeurs de sexes qui jouissent.
Le chauffeur me demande même si je vais bien, si je ne suis pas malade.
Je réponds, agressive
« Pourquoi, tu veux me prendre la température ? »
Il se tait définitivement.
Je sens mes muqueuses qui s’ouvrent de partout, se remplissent de jus, se préparent à leur démolition à coups de bulldozer.
J’arrive au club tête droite. Le videur me reconnait. Je lui caresse la braguette pendant qu’il me fait la bise.
Le boss est devant le vestiaire.
« Bonsoir Louise »
J’enlève mon manteau et lui tends. Je suis déjà à poil quand nous traversons ensemble la grande salle avec le bar, la piste de danse et l’écran vidéo géant. Tout le monde se retourne sur nous en sifflant.
Il m’emmène dans son bureau. Nous sommes seuls. Il me désigne le canapé et va s’assoir sur une chaise de l’autre coté de la table basse.
Je m’installe jambes écartées sur le sofa pour aérer un peu ma chatte.
« Il y a un bus qui va arriver.»
« ? »
« L équipe de basket universitaire du Maroc. Avec les entraineurs et les remplaçants. Pour toi toute seule…»
« Merci…Ils arrivent quand ? »
« Je te préviendrai. Tiens, goute moi ça… »
Et il me tend une paille et prépare un rail de cocaïne.
J’en ai déjà pris il y a longtemps et même si je ne suis pas portée sur les drogues plus que ça, j’avais adoré l’énergie et l’extrême sensibilité que cette poudre m’avait apportée.
Je snife. L’opiacée fait instantanément son effet jubilatoire, dilate mes pupilles et tout le reste.
« Tu veux boire quelque chose ? »
« Du sperme »
Il me regarde avec un petit sourire et envoie un sms. Un grand black arrive 30 secondes plus tard.
« Emmène Louise se rafraichir s’il te plait, moi je reste ici j’attends un Skype… »
Le videur passe devant moi et nous parcourons un petit couloir sombre parsemé de cabines où des hommes doivent se branler en regardant du porno, comme dans les sex shops. Il y en a qui tournent en rond, attendant qu’une se libère. Au bout du couloir scintille une enseigne rouge qui me fait saliver.
« Le glory est plein pour l’instant, mais tu peux attendre ici… »
C’est le coin des célibataires qui n’ont pas encore trouvé une femme pour se satisfaire. Il faut dire qu’il y a surtout des hommes, l’ouverture récente du glory hole a fait venir en masse des mâles de tous âges au club. Le patron les a laissé rentrer ce soir.
Quelle délicate attention….
Mon arrivée dans le couloir ne passe pas inaperçue…il y a trois hommes qui attendent pour une cabine ou un trou.
Ma chaleur corporelle envahit l’espace, mes hormones débordent, irradient les mâles en rut qui m’entourent maintenant, défaisant leurs braguettes l’un après l’autre.
Je vais leur faire plaisir, ils ne seront pas venus pour rien….
J’en fais allonger un premier dont la bite est déjà bien grosse, bien dure, pour le sucer comme une pute, sans autre préliminaire. Son gland est tout humide, quand je le décalotte il est recouvert d’une fine mousse blanche que je nettoie aussitôt.
Je me mets à quatre pattes, en libre service, jambes bien écartées, que mon « servez-vous » leur monte aux narines et que mon cul offre son rouge à lèvres baveux.
J’ai besoin de foutre, je le suce comme une acharnée, pompe sur sa tige, caresse ses grosses couilles bien pleines, je me régale à lui tailler une pipe d’enfer pour le faire décharger dans ma bouche au plus vite.
Il souffle fort, en me traitant de pute, j’ai envie de jouir en même temps que lui, je commence à me caresser le bouton, puis je fourre deux doigts dans ma chatte qui dégouline de mouille. Profitant de mon humidité je remonte les doigts vers mon anus écarquillé pour le pénétrer sans hésiter. Je branle mon petit trou nerveusement en attaquant une gorge profonde qui m’offre aussitôt ma première gorgée de foutre de la soirée. Je cale son gland au fond de ma bouche pour m’offrir un premier orgasme, une main sur la chatte et deux doigts bien au fond de mon cul.
Ma fontaine jaillit en suivant, inondant la moquette.
L’action s’est déroulée en un temps record, c’est seulement maintenant, entre deux insultes, qu’une première paire de mains se pose avec vigueur sur mes hanches.
Je me retourne. C’est un homme d’un certain âge, avec un chapeau texan, le pantalon aux chevilles, le visage rougi par l’excitation, une petite queue épaisse à la main.
J’ouvre ma bouche pleine de foutre pour lui montrer et je déglutis en le regardant bien droit dans les yeux. Je m’essuie la bouche d’un revers de main, façon western
« Mets ta p’tite bite dans mon cul, baby…je vais te faire cracher la sauce… »
Je l’ai mis en colère, il s’énerve…c’est ce que je voulais…
« Connasse !! Tu vas voir… Tiens ! Prends ça »
Et il m’enfile cul sec de toutes ses forces, pour me bourrer comme un chien en rut. Sa queue est bonne, son diamètre est parfait pour me dilater l’anus et le préparer à ma nuit de vice, il me fait décoller en 30 secondes, par sa brutalité, par sa rage. J’aime les hommes qui me baisent comme des bêtes. Je le provoque encore.
« Plus fort cowboy ! Je sens rien… »
Il devient dingue, att**** mes cheveux violemment et me casse le dos en deux pour se soulager dans mon fion en gueulant comme un porcelet. Il sort sa bite pour me l’étaler sur le visage. Elle est pleine de rouge à lèvres et de sperme, je la prends en bouche pour lui nettoyer et surtout gouter sa purée. Pour lui montrer aussi que je ne l’ai pas agressé personnellement, juste par jeu.
Entre deux coups de langue, je le rassure.
« Mmmm… elle est bonne ta queue….bien épaisse….Mmmm….tu m’as bien fait jouir le cul mon cowboy….»
Le troisième est finalement parti, il a du me prendre pour une folle…
J’essaye d’ouvrir une cabine. Elle est fermée. Une autre. Verrouillée aussi. Je cogne à la porte de la troisième.
Je pose ma bouche dans l’encadrure de la porte et j’utilise ma voix la plus sensuelle possible pour le faire ouvrir.
« Hey ! Ouvre-moi…j’ai un cadeau pour toi…allez….tu vas pas le regretter…. »
J’entends le verrou. Il ouvre. La cabine est tellement petite qu’il peut ouvrir en restant assis dans le fauteuil en cuir installé à 50 centimètres de l’écran. Il a la soixantaine avec des cheveux gris mi-longs, une tronche un peu à la Gainsbarre.
« Tu regardes quoi ? »
« Heu… »
La télé diffuse une compilation de pipes et d’éjaculations buccales, en très gros plan.
« Tu veux que je te suce en vrai ? »
« …heu…oui…si vous voulez…. »
Il avait déjà le kleenex à la main… je prends le petit mouchoir pour lui essuyer le front qui perle et m’installe entre le fauteuil et l’écran pour lui administrer une bonne pipe bien baveuse. Ses yeux passent alors frénétiquement de l’écran à mon visage pour ne pas en perdre une miette. Son sexe est très courbé, assez volumineux, son gland caresse mon palais, suintant du délicieux liquide séminal. Je veux qu’il jouisse. Je relève la tête, avec des yeux de folle et je lui murmure en imitant comme je peux la voix de Jane Birkin :
« Branle toi dans ma bouche mon bébé… »
J’ouvre la bouche en grand, en lui montrant avec un doigt entre les lèvres où se trouve la cible si jamais il pouvait la rater.
« Là… »
Je tire la langue à fond et en trente secondes d’une branlette énergique il me repeint le visage et la langue de son sperme chaud que je gobe jusqu’à la dernière goutte, jouant avec son foutre que j’étale bien sur mes joues.
Je me relève, copieusement maquillée, pour lui faire un petit baiser sur le front avant de partir.
« Merci, Serge… »
J’arrive au glory hole le visage dégoulinant de foutre, le rouge à lèvre débordant de partout, en bottes et porte jarretelles de pute. La cocaïne m’a rendue tarée ce soir, si je ne l’étais pas déjà assez comme ça…J’ai envie d’être dans un personnage et d’en changer à chaque nouvelle baise, comme une actrice qui jouerait plusieurs rôles dans un film. Je visualise mon prochain personnage. Harley Quinn, la femme du Joker dans Suicide Squad. J’ai déjà les couettes, il ne me manque plus que la batte de base-ball.
Une femme attend son tour devant la petite cabine à trous. Quand elle me voit elle fait un pas de coté, je passe devant elle et pousse la porte. Elle s’ouvre. Une femme est à genoux en train de mastiquer un gros pénis noir, tout habillée. Elle se retourne étonnée de mon intrusion. Comme si j’avais enfreint la loi.
« Allez va t’en, t’as assez picolé pour ce soir »
« …mais…c’est seulement la deuxième… »
Elle sent la bourgeoise catho bien élevée qui se dévergonde, j’en profite.
« Dégage ! »
Mon envie est plus forte que la sienne, elle me laisse la place aussitôt en marmonnant comme quelqu’un qui laisse passer une personne âgée devant elle à la caisse du supermarché.
Je m’agenouille et je saute sur le beau mastard d’ébène couvert de salive et l’astique à 200 à l’heure. Je meurs de soif, je veux le faire dégorger en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Je sens sa grosse queue qui se tend au max, j’enlève mes mains pour me caresser et j’enfonce ma tête dessus en gorge ouverte. Je l’entends couiner de l’autre coté du trou, son gland enserré par ma gorge le rend fou, il défonce presque la paroi pour faire des allers retours dans ma bouche et balance son foutre en giclées épaisses. Je referme les lèvres sur sa queue qui coule, le laissant finir en déglutissant au fur et à mesure.
Quand il se retire, je plaque ma bouche ouverte dans le trou à bites, tirant bien la langue pour exciter les hommes qui sont derrière. J’en veux encore…
« J’ai soif les gars…donnez moi du foutre ! »
Ça ne tarde pas, une première queue décharge sa purée dans ma bouche, sans même me pénétrer, me faisant jouir aussitôt, alors qu’une autre, énorme, s’installe en suivant au fond de ma gorge et me viole la bouche en force. Il entre si profondément en moi que ses poils pubiens viennent me chatouiller le nez. J’en suis à retenir un éternuement quand j’entends des hommes entrer dans la cabine.
« C’est elle la salope qui m’a virée !!! »
L’autre petite pute est allée chercher ses copains pour me punir. Je reste dans ma position, la bouche directement à la source et leur écarte mes fesses avec les mains.
« Tu vas voir, salope ! T’es pas chez toi ici, y’a des règles ! »
Et il me met un coup de ceinture sur la croupe, par surprise. J’ai failli en lâcher la queue qui me défonce la gorge, mais je m’accroche pendant qu’il continue de me fouetter.
« Tiens ! Prends ça ! Tu jouis, hein ?! Salope !! »
On me tire violemment par les couettes, m’obligeant à me cambrer en arrière et à lâcher la belle queue qui me baise la bouche.
Ils sont deux. Hyper baraqués, genre rugbymen. Je suis toujours à genoux devant eux quand un premier saisit mes mains pour les plaquer violemment dans mon dos et me tenir attachée.
« Tu vas voir ce qu’on en fait ici des putes comme toi… »
Il dégrafe son pantalon et sort une bite hors du commun, énorme, aussi grosse que celle de John Leslie, et pourtant il ne bande qu’à moitié.
« Bouffe moi ça la grognasse !! T’as pas intérêt à mettre les dents !!»
Et il me la fourre dans la bouche en appuyant de toutes ses forces sur ma tête, pour me faire avaler son manche jusqu’au bout. Je respire à fond par le nez pour me détendre et laisser ma gorge s’ouvrir. Il est tellement gros que j’ai l’impression que mes lèvres saignent aux commissures, qu’il me déchire la bouche.
« Prépare lui le cul !! »
Pendant que son braquemard grossit encore dans ma bouche et qu’il fait glisser de force ma tête dessus, je sens des doigts entrer sans sommation dans mon anus, fouiller aussi loin qu’ils peuvent jusqu’à ce que je ressente un électrochoc, une douleur intense qui me paralyse. Il est en train de me fister le cul, ouvrant mes entrailles comme jamais. Je pousse à fond pour qu’il passe le sphincter et je sens sa main s’installer dans mon anus, prenant toute la place, je deviens folle quand il commence à me branler le fion avec son poing, le faisant entrer et sortir en me déchirant, j’ai l’impression d’accoucher, d’être écartelée sur la place publique, j’en oublie presque le rôti de boeuf qui me défonce la bouche.
Je repense au petit écriteau du vestiaire… « hygiène et respect » pendant qu’ils me fourrent comme une dinde, m’arrachant les entrailles et la gorge, je ne les entends même plus m’insulter, cherchant par un genre d’instinct de survie à trouver du plaisir dans mon viol.
Le miracle se fait. Mon anus est tellement détendu qu’il est devenu insensible à la douleur, j’ai même davantage mal aux bras qu’il me tient serrés dans le dos comme dans une prise de judo.
J’ai l’impression que je vais chier mon quatre heure quand l’orgasme me surprend, imparable, surhumain, sans que j’ai pu le contrôler ou même le sentir monter. C’est l’explosion. Le tsunami dans mon ventre se met en mouvement et me secoue de spasmes, par vagues, pendant que ma fontaine jaillit à grandes eaux, j’inonde le pantalon du connard qui me fiste. Il a été surpris par la v******e du jet, il en a même pris dans la gueule, j’aurais pu lui dire « Avale tout salope ! » si je n’avais pas peur de me faire cogner. Au moins il a retiré sa main de mon anus.
Le videur entre tout a coup, certainement alerté par les hommes qui matent aux trous du glory.
« Hey, on va se calmer ici, c’est pas une décharge publique ! »
Il dégage le poney de ma bouche et vire les deux vengeurs qui m’ont agressée.
Il m’aide à me relever
« Ça va ? »
« …ça va….rien de cassé à part mon cul… »
« Je vais t’emmener prendre une douche, le bus est arrivé… »
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