A la demande implicite du public …. 😉
Ce n’est plus une mégère vindicative qui s’allonge tandis que je me penche sur elle, mais une femme délaissée, en détresse qui me fait durcir instantanément.
Je n’en reste pas moins insolent :
– « Je suppose que depuis ton mariage, aucun autre homme que ton mari ne t’as touchée, surtout pas un nègre ! Comme je ne suis pas une bête, je veux au moins savoir ton prénom. »
Détournant le regard, alors qu’une de ses mains cherche mon sexe, elle répond dans un demi sanglot :
– « J’ai tellement honte de ce que j’ai envie de faire… Appelle moi salope, c’est tout ce je mérite… je ne suis pas mieux que ma lopette de mari ! »
Je reste figé un court instant à la regarder, à l’évidence, la baiser comme une brute ne lui fera moralement que du mal.
Je retire mes doigts de son intimité, sa main a trouvé ma verge et la caresse ; en douceur, je viens poser mon gland à la commissure de ses grandes lèvres, juste sous le mont de Vénus. D’elle même, elle commence un léger va et vient, de bas en haut, accompagné de mouvements de bassin qui accentuent la pression progressivement. Son sexe est tellement humide que les effluves de son excitation emplissent l’habitacle de la voiture. Je la sens qui se crispe, rejetant la tête en arrière avant qu’une plainte rauque ne lui échappe.
Cette masturbation improvisée semble lui avoir ouvert l’appétit, cette première émotion passée, elle me maintient contre son abricot fendu, s’introduisant mon gland petit a petit par ses ondulations. Je me recule légèrement, lui glissant à l’oreille : « je n’ai pas de préservatifs sur moi, ni dans la voiture et je ne garantis pas de me retirer a temps, il va falloir calmer le bête. »
Sans mot dire, elle croise les chevilles dans mon dos et d’un seul coup de hanche, enfile le membre entier en elle. Ses mains m’agrippent aux épaules et dans un rodéo inversé, se met à danser en force sous moi. Je la laisse diriger la manoeuvre quelques instants, lui prenant les fesses à pleines mains pour enfoncer un doigt dans son anus qui ne résiste même pas, elle serre même les fesses pour le maintenir en place.
Accélérant la cadence, elle accompagne la montée de son plaisir de grognements et de râles, elle est sur le point de jouir lorsque subitement je me dégage de son étreinte. Bouche bée, sidérée, elle me demande :
– « Pourquoi tu t’arrêtes ? Je suis si nulle que ça ? Pourtant tu bandes encore, qu’est ce qui ne te plais pas ? »
Impassible, je lui lance :
– « Ici, c’est moi qui te baise ! Ne crois pas te servir de moi comme d’un gode ! Tu veux voir un black a l’oeuvre, je vais te montrer la différence avec ce que tu connais. Passe derrière que je te fasses ta fête ! ».
Chassez le naturel, le macho revient au galop.
Elle rampe à quatre pattes vers la banquette arrière, m’offrant une vue imprenable de son postérieur étroit, sur lequel la jupe est intégralement remontée, découvrant son string ridiculement poussé de coté. Je la bloque à mi-parcours, son minou enflé et luisant est trop tentant. Jambes serrées, elle réagit au premier coup de langue qui l’entrebâille par un profond soupir. Indifférente à l’indécente posture qu’elle prend, elle me tend ses fesses afin que je la déguste à loisir.
Je pourrais aisément la fouiller par devant et par derrière simultanément, mais je préfère décalotter son clito et le masser de la langue, tandis que je malaxe ses seins. Moins de cinq minutes de ce traitement suffisent à déclencher de nouveaux spasmes, son anus baille ostensiblement, alors qu’elle étouffe la manifestation de son plaisir dans l’assise de la banquette arrière.
Enivré par ce succès, je lui ôte l’inutile sous vêtement qui finira en trophée dans ma boite à gants et la bascule complètement avant de relever le dossier du siège passager que j’avance au maximum.
Je quitte l’habitacle pour la rejoindre, en passant par l’extérieur, elle se jette immédiatement sur le tableau de bord et verrouille la condamnation centrale.
– « C’est ton tour de m’obéir ! » Crie-t-elle à travers la vitre.
Sexe au vent, excité au plus haut point et enfermé hors de mon propre véhicule par une emmerdeuse, je sens la colère m’envahir. Je palpe rapidement mes poches et souris l’air mauvais. ‘Salope’ va gouter au revers de la technologie sans contact.
– « Ouvre, sinon ça va barder pour ton cul ! » Ma menace sans équivoque la fait se recroqueviller contre la porte opposée.
Puisque la clé est dans ma poche, la fée électronique me dispense de la sortir pour utiliser ma voiture à ma guise. J’ouvre la portière à la volée et plonge sur mon insupportable passagère tétanisée, je la saisis aux chevilles et tire d’un coup sec en me redressant. Elle se retrouve étalée de tout son long, les fesses pratiquement dans le vide, je la retourne instantanément et assène une énorme claque sur ce cul qui l’aurait moins sentie passer s’il avait été rembourré.
Elle n’a même pas commencé à protester et s’indigner que je m’introduis fermement et profondément, elle n’émet qu’un râle rauque et guttural en se cambrant.
Il n’est plus question de la contenter respectueusement, je la bourre littéralement de coups de reins qu’elle encaisse en criant, loin de lui déplaire, elle en réclame encore et encore à chaque baisse de rythme.
Que le plaisir soit anal, vaginal, sexuel, manuel ou buccal, rien ne calme ses ardeurs. Tout ce qui lui déclenche un orgasme est bon à prendre.
Je passerais volontiers la nuit à la rendre folle, mais j’ai des obligations qui m’attendent.
Le temps a passé sans nous attendre, je décrète donc qu’il est l’heure de repartir. Ma passagère échevelée ne l’entend pas de cette oreille, elle tient absolument à ce que je lui laisse un moyen de me recontacter, ce n’est que le premier round selon elle car elle veut tout expérimenter puisqu’elle a été délaissée trop longtemps et qu’il n’est pas juste que son mari soit seul à jouir dans les bras d’un black.
Je note mon pseudo et l’adresse d’un site Internet pour libertin sur lequel me recontacter, elle le loge dans son décolleté avec une moue coquine, puis je reprends la route.
Fin ?
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