Histoires de sexe Histoires de sexe en français Histoires érotiques couples amateurs

Soirée BDSM avec mon mari

Soirée BDSM avec mon mari



Pratiquer le BDSM c’est un sentiment indescriptible que je partage avec Sofia et notre groupe de Maître où mon mari participe. J’y prends toujours plaisir et je sais sur ce plan m’adapter à tout type de situation.  Je suis née et excite pour être une femelle soumise aux mâles. J’ai un besoin viscéral de vivre des séances sadomasochistes, de me soumettre, d’être humiliée, dominée, baisée fermement. 
Je suis une bourgeoise BCBG dans la vie et comme le Docteur Jekyll, je me transforme sexuellement dans un épanouissement cérébrale total.en étant une chienne entièrement soumise aux volontés des hommes et aussi des femmes.
Tous les hommes que j’ai fréquenté depuis mon plus jeune âge m’ont formaté à penser ainsi. J’ai développé le sentiment de n’être bonne qu’à ça en favorisant mon âme de femelle soumise. Mes pensées sont si vicieuses que mon seul plaisir est d’être une femme objet. Je suis
un a****l soumis jusqu’à la moelle. 
Par la force des choses,  ma vie professionnelle, ma vie sexuelle, ma vie d’écriture, ma vie d’épouse, j’ai tout développé autour de la domination des mâles.
Lorsque j’ai rencontré Alain, c’était la toute première fois que dans le BDSM, quelqu’un me regardait avec des yeux amoureux. C’est quelqu’un de sentimentalement et pour qui je sus entièrement dévouée et disponible pour lui.
Il me désire moi tout entière corps et âme dans l’amour et la soumission. Il est nique à mes yeux. Il aime mes pratiques parce qu’elles font partie de moi. Il aime ma soumission parce que c’est ma façon d’être naturelle.  La seule chose qui guide ses pas dans le BDSM et mon asservissement, c’est l’amour qu’il me porte.
C’est un bon Maître qui voue un respect sans faille pour celle qui s’agenouille devant lui et le réveille tout les matin en le suçant. 
Je vis toutes mes humiliations les plus profondes grâce à l’amour qu’il me porte. Son amour me permet toutes les dérives. C’est ainsi que j’en suis arrivée à me soumettre à notre groupe d’amis avec Sofia.
Le lendemain de la dernière séance de dressage, alanguie dans mon bain à remous, je me détends en caressant doucement les stigmates encore bien visibles des coups de fouets de cette séance de dressage peut-être trop hard.  Mon époux vient me sortir de ma rêverie d’un baisé sur la bouche et d’une caresse sur mon coquillage. Il me glisse à l’oreille :
« Viens me rejoindre dans la chambre mon amour ! »
Je sors rapidement de mon bain pour ne pas le faire attendre et file le rejoindre. Il est assis au bord du lit, sa hampe fièrement dressé. Je me met à genoux devant lui et comme une chienne qui attend sa récompense, je patiente haletante son ordre.
Nous aimons énormément lui et moi, ces moments où je suis vulnérable et offerte, tendre et soumise. Il passe sa main dans mes cheveux comme on flatte son a****l de compagnie, en me disant :
«  Je t’aime à la folie ma chérie. »
Je retiens des larmes de tendresses. C’est le bonheur. Je sais que j’éveille en lui son instinct sauvage de mâle dont les hormones sont en ébullition. Il prend mes cheveux à pleine main et me dirige vers sons sexe flamboyant. C’est l’instant merveilleux où je le pompe de tout mon amour en lui pelotant les couilles. Notre instinct a****l et notre perversion qui sommeille latent en nous, monte crescendo. Je mouille comme une vrai chienne en chaleur qui n’attend que d’être saillie par son mâle dominant.
Sa main flatte mes fesses nues. Je me cambre un peu plus pour m’offrir totalement. Il se saisit de sa ceinture et me porte des coups mesurés au rythme de mon pompage.
C’est une sensation nouvelle, si grisante. Tout en me flattant doucement l’arrière train de sa ceinture, il me dit :
« J’ai envie que ce soir, soit une soirée forte en émotion pour toi. Tu es une bonne pompeuse de bite ma chérie et de voir ton cul ainsi offert et cambré, donne envie de baiser pour te faire crier ta jouissance. »
Il enlève sa verge de ma bouche, laissant un filet de bave relier son gland à ma bouche, et
me demande :
« Pourquoi m’aime-tu  et pourquoi me pompe-tu si bien ? »
« Parceque je suis ton épouse aimante et que je suis ta femelle soumise corps et âme. Fais de moi ce que tu veux. »
Me replongeant son dard dans la bouche, il me dit :
«  Tu veux donc me servir comme une bonne chienne et pas seulement dans la soumission, mais aussi dans le châtiment et les punitions. C’est bien ce que tu veux ? »
Il se retire à nouveau pour me laisser répondre.
« Oui mon chéri, je le veux. Je suis à toi. Je suis ta chose. »
De moi même, je me remets à le sucer. Ma langue est active sur sa hampe et son gland. Mes vas-et-viens deviennent plus profond et sa main me maintient la tête pour m’enfoncer plus profondément sa verge jusqu’à m’étouffer pour bien me rappeler que je suis sa putain à son service. Avant de me relâcher pour que je reprenne un peu d’air, une fessée avec sa ceinture de plus en plus lourde sur mon cul qui rougie rapidement. Je me cambre plus, il relâche l’emprise de sa main sur ma tête et je peux crier pour son plaisir sous les coups.
« Compte chienne ! »
« 4, 5, 6,7…….11…..15. »
Je continue de le masturber et peloter ses couilles tout en comptant et en criant.
Puis en me prenant par les cheveux, il me relève et m’embrasse tendrement et me demande de lui dire à nouveau qui je suis pour lui.
« Je suis ta chienne, ton vide couilles. »
J’ai honte de le dire ainsi nue devant lui, le cul en feu, la chatte dégoulinante de cyprine. Mais c’est si bon de se sentir aimé ainsi et si désirable. Puis il me saisit doucement les tétons et se met à serrer de plus en plus fort.
« Tu me dis « stop quand tu veux. »
En grimaçant je lui dit :
« Oui mon amour. »
Il serre de plus en plus fort. Je me tords de douleur mais ne veux pas le décevoir et résiste. Des larme coulent sur mes joue mais je ne cède pas. La douleur devient trop fort et je hurle ;
« STOOOOOOOPPPPPE !!!!! »
Il relâche aussitôt la douloureuse étreinte et me récompense d’une tape sur la joue. Il me met alors un collier et une laisse pour me faire faire un tour dans le jardin. La fraîcheur nocturne me fait frisonner et mes tétons maltraités se dressent fièrement.
A quatre patte comme une bonne chienne, il m’ordonne de me branler, tandis qu’il me fourre la bouche. Il sort sa queue de ma bouche et me demande de relever mon cul en me prosternant devant lui. Le cul largement offert par la cambrure de mes reins et ma poitrine touchant le sol humide, il me regarde quelques secondes et me donne une fessée à la main sur mon cul encore bouillant. D’un ton sec, il me dit :
« Je n’entend rien ? Ne devrais-tu pas me remercier ? »
« Merci mon chère et tendre époux. Je suis ton esclave, ta putain, ta chienne ! »
« Mmmh parfait ma belle ! »
Dans ma position, je m’attends à ce qu’il me saillisse. Mais il me demande de pisser contre un arbre comme un bon toutou. Je suis presque dans un état de transe et j’ai tant envie d’être défoncer par sa grosse queue. Mais je suis une chienne et en bonne chienne je léve la patte et me met à pisser contre l’arbre.
Ensuite nous rentrons au chaud. Une fois à l’intérieur, il me demande :
« Es-tu prête pour la suite ? »
« Oui mon bon Maître. »
Il m’enfile une cagoule où juste un trou me permet de respirer. Je n’y vois rien. Une morsure sur mes tétons et sur les lèvres de ma chatte me font vite comprendre qu’il me pose des pinces. Je serre les dents pour ne pas crier et sans que je le sache, Alain prépare un mélange huileux pour m’administrer un lavement. Mes tétons et mes grandes lèvres souffrent sous la morsure des pinces. Il se colle à moi et profite de mon excitation et de ma docilité pour enfin me pénétrer la chatte douloureuse et si offerte. Je pousse un gémissement de plaisir lors de cette bienfaisante pénétration. Il se met à me baiser comme la pute que je suis. Sous ses coups de boutoirs, les pinces douloureuses, maintenant décuples mon plaisir. Mais il se retire avant que je ne jouisse. Je suis frustrée et j’ai envie qu’il me fasse n’importe quoi pour exploser dans cette orgasme sous-jacent qui me torture. Je me demande ce qu’il fait lorsque j’entends comme un bruit de liquide. Il écarte mes fesses et je me dis qu’il se prépare à me sodomiser. Il introduit un truc dans ma rosette et je sens un liquide qui commence à me remplir. Mes intestins se remplissent de produit et mon ventre gonfle comme une femelle enceinte. Pus il enlève cette canule et me dit
« Lâche tout grosse vache ! »
Je me libère dans un bruit humiliant et en gémissant. A peine vidée, il m’encule violemment et se met par de brusque ruades à me baiser tel un a****l en rut. Il se lâche dans mon fondement dans un grognement bestial et me dit :
« Tu peux jouir maintenant. Termine toi à la main ! »
Dans un élan extatique, je hurle mon orgasme trop longtemps contenu. Il place une assiette entre mes cuisse pour récolté le fruit de sa jouissance et ma cyprine qui coule en long filet visqueux.
Il enlève ma cagoule et me met le nez devant le mélange infâme.
« Lèche ma chienne ! C’est ta récompense ! »
Docile mais un peu écœurée, je lèche la mixture encore tiède de nos ébats. Il détache mon collier et me murmure à l’oreille :
« Je t’aime tellement mon amour, je suis fier de toi. Tu es parfaite, merci. »

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire