Comme tous les ans, je passe les vacances de février en famille. Nous louons un appartement pour que tout le monde puisse se réunir. Cette fois-ci cela sera au Grand Bornant, belle appartement, spacieux, mais le plus c’est le sauna et la piscine… Le seul hic c’est qu’il faut sortir de l’immeuble, marcher quelques mètres le long de la route principale et entrer par une petite porte pour accéder à l’annexe de l’immeuble principal avec une belle petite piscine et d’un sauna ouvert 24h/24h.
Personne dans ma famille ne semblait très convaincu par la piscine et le sauna après une premiere journée passée sur les pistes. C’est donc tout seul que je me décide à enfiler mon maillot de bain et ma serviette. A ce moment, je me suis dit que ca serait marrant de sortir en maillot de bain, la serviette sur l’épaule et en tongs alors que la température extérieur ne dépasse pas zéro degrès et que tout le monde est habillé en tenue de ski. Très fier de ma connerie, je descend les escaliers et arrive dans le hall. La porte s’ouvre et je sens l’air glaciale sur ma peau, je frissonne mais continue. Cinq trentenaire entrent et les uns après les autres, ils me dévisagent, ce qui est compréhensible. Les deux mecs rigolent et ricanent dans mon dos, je remarque les trois femmes qui les accompagnent, qui me regarde avec un regard amusé mais aussi un petit regard appréciant mon corps nu dans ce monde de doudoune. Je sors cette fois dans la rue et tente de faire bonne figure malgré le froid, une fois dans l’annexe, je met en route le sauna et me précipite dans la piscine pour me réchauffer, je fais quelques longueurs tout seul avant qu’un pere et sa toute petite fille viennent aussi dans la piscine. Je file donc au sauna qui doit être chaud à présent. Je reste quelques minutes, dans ce petit compartiment en bois où la température monte 80°. Mon corps est en sueur mais faut avouer que c’est agréable dans un sauna…
Je sors du sauna et constate que la piscine s’est rempli, il y a toujours le père et sa fille mais il y a également les trois femmes croisaient dans le hall… L’une attira mon attention très rapidement, une peau assez bronzé surement d’origine méditerranéenne, des yeux marrons clairs avec les yeux en amandes (le genre de regard qui me fait fondre), ses cheveux châtains clairs étaient attachés en queue de cheval mais à vrai dire, c’était plus son corps qui attira mon regard. De très belles jambes fines, un ventre plat et un maillot de bain mettant bien en avant sa poitrine, ses seins étant serrés l’un contre l’autre et le bas un peu échancré laisser apercevoir un fessier parfaitement ferme…. Bref le genre de femme qui me laisse pas indifférent. Une autre à ses cotés entrain de barboter, ses longs cheveux roux flottent autour d’elle. Sa peau très blanche paraissait encore plus blanche dans l’eau et sa maigreur n’arrangeait pas vraiment son aspect fragile et fatigué. Elle porte un maillot une pièce qui cache la plupart de son corps. La troisième est très souriante, avec un regard pétillant de joie de vivre, une poitrine frôlant l’impudeur… Le père de famille l’a lui aussi remarqué au vue des petits regards qu’il lance sur cette poitrine généreuse… Et lorsqu’elles sortent toutes les trois de la piscine, elle possède aussi les formes de certaines femmes africaines ou des Antilles. Un bassin plutôt large mais notamment des fesses parfaitement rondes et rebondis.
Elles sortent de la piscine et se dirigent vers le sauna, c’est alors que la rousse se met à lire les recommandations du sauna
« Vivement déconseillé pour les femmes enceinte » – « Bon bah c’est mort pour moi, je vais remonter. A toute à l’heure les filles. »
Ses deux amies lui disent au revoir et entrent dans le sauna. Le père et sa fille partent en même temps que la rousse, je profite donc de la piscine vide pour refaire quelques longueurs. C’est au moment où la femme noire quitta le sauna, que je savais l’autre femme seule que je me décida à tenter une approche sur celle qui avait retenu mon intention. Je sors de la piscine, la jeune femme noire me regarda avec un petit sourire en coin lorsque je m’approcha du sauna. J’ouvris la porte et demanda :
« Puis-je entrer ? »
« Fais ce que tu veux mais ferme la porte, voyons ! »
Je rentre avec hésitation et m’assois timidement, sa réaction assez brutale a un peu ébranler la confiance du moment, me mettant même assez mal à l’aise. Je réalisa à ce moment qu’il s’agissait quand même d’une femme plus âgé que moi et qu’il y avait seulement une chance sur trois qu’elle soit célibataire. Très rapidement, la jeune femme commença la discussion.
» Tu es pas très fute-fute… Entre sortir en maillot alors qu’il fait froid et laisser la porte du sauna ouverte »
Elle tourne le visage vers moi et me sourit amicalement, elle a vraiment un visage agréable, très doux, très harmonieux.
» Non… Je voulais juste voir la tête des gens en me voyant ainsi et que je vous ai croiser, ca m’a bien fait rire. »
» C’est vrai que c’était plutôt amuser de voir quelqu’un en maillot dans une station de ski.
» Ça n’avait pas l’air de faire rire vos copains. »
Elle me fixe avec ses yeux, je le soutiens avec un petit sourire en coin.
» C’est la mari de Clémentine, la rousse et le copain de Maéva, celle qui nage dans la piscine. »
» Et toi, tu es seule donc ? »
» Mon copain devait venir mais on a rompu, y a deux semaines donc heu… voilà »
Petite pause dans le récit… Vous voyez l’effet que cela fait quand une femme avance ses épaules et les rapproche l’une de l’autre, ce qui comprime bien les seins et qui les rend irrésistible. Je dois avouer que ce fut très difficile de ne pas voir que mes yeux ne regardaient pas sa poitrine à ce moment et elle me remarqua d’ailleurs… Et me le fit comprendre en rigolant.
» C’est agréable de savoir que je n’ai pas besoin de les refaire pour encore plaire aux hommes »
» Heu… oui… mais en fait… Non, je voulais pas… Enfin… Bref, je suis désolé…
» Non, c’est pas grave, c’est moi qui ai choisi ce maillot de bain… Et puis c’est marrant et maintenant je peux m’amuser.
A ce moment, dans ma tête cela à fait « TILT ! ».
Elle se leva doucement en se cambrant, son corps parfaitement sculpté, scintillant à cause du sauna me fit frissonner.
» Bon, ça fait longtemps que je suis là, je vais sortir et puis je vais monter, il se fait tard… Peut-être à demain »
Le petit clin d’œil me fit comprendre ses intentions… Forcément, j’étais très pressé d’être le lendemain. J’avoue que pendant toute la journée, sur les pistes j’espérais reconnaître le groupe, surtout la jeune femme au châtain clair dont je ne connaissais pas encore le prénom mais en vain… Faut avouer que dans un monde de doudoune qui se ressemblent toutes. Je profite de la belle journée mais une fois fini, je me précipite pour aller à la piscine.
Je récidive mon exploit d’affronter le froid en maillot de bain et j’entre dans l’annexe. Encore une fois il n’y a que les filles, la rousse et l’autre femme sont entrain de nager tranquillement, je compte les serviettes et devine que la troisième est dans le sauna. Je souris et plonge dans l’eau un coup pour entrer dans le sauna. J’ouvre la porte sans rien dire et je m’assois à ses cotés. Elle est à la même position que la veille, les jambes croisés penchés en arrière en appui sur ses avant bras
» Salut, bien skié aujourd’hui » – me dit elle en souriant.
» Parfait et toi ? «
» Très pressée de me retrouver ici «
Je souris et ne peux m’empêcher d’à nouveau admirer son corps.
« C’est vrai que c’est agréable un sauna… Même si là c’est pas un vrai sauna ! »
« Comment ça ? »
« Et bien, normalement il faut être nu… Mais bon
Elle réfléchit quelques instants…
« Cela change beaucoup de choses ? » – Son sourire est très charmeur, et la situation commence déjà à m’exciter.
« Bah ça a été crée comme ça… Ça serait comme monter dans une Ferrari pour faire un tour mais qu’il n’y aurait pas de roues »
Elle rigole et me félicite pour l’argument totalement foireux, elle se lèche la lèvre inférieur et évite pendant quelques secondes mon regard posé sur elle. Elle hésite et se reprend à plusieurs fois avant de me dire.
« Mais si quelqu’un venait nous rejoindre sans qu’on le voie… »
« Pour quelqu’un qui veut s’amuser, tu prends la tête… »
Je me venge de sa première phrase très franche, je la met un peu au pied du mur mais cela semble marcher… Elle passe ses mains dans son dos et tire sur le nœud de son haut. Je commence à apercevoir les douces courbes de sa poitrine, puis elle ferme les yeux avant de passer le haut au dessus de sa tête et de me dévoiler ses seins… Ils sont parfaitement ronds et fermes, je ne pense pas qu’ils sont si gros que cela mais son corps fin doit les rendre plus charnus. Ses tétons sont déjà un peu tendus. Je ne sais pas non plus si c’est la chaleur ou la situation mais ses joues sont devenues un peu rouge.
Elle regarde sans dire un mot mon short, je souris tout en passant mes doigts sous mon short en commence à le baisser. Elle a une vue direct sur cette partie intime de mon corps qui commence déjà à se durcir. Elle m’imite en se levant, mettant ses fesses sous mon nez, elle joue avec l’étroitesse du sauna qui ne fait pas plus de 4m². Je savoure ce moment, le bout de tissu qui glisse sur son corps et qui descend le long de ses jambes, tendant ainsi ses fesses vers moi. Elle n’est pas très pudique… Elle assume même totalement son corps… Me donnant une vue imprenable sur son intimité, je vois parfaitement la forme de son intimité, de ses lèvres qui sont fines…
Elle se rassis, repassant une mèche rebelle derrière son oreille. Sa poitrine fièrement exposée finit de m’exciter et elle ne peut pas ne pas le remarquer… Mon regard se pose sur son bas-ventre, taillé avec précision en une fine bande, tout le reste semble parfaite lisse, plus aucun doute, je la désire, je la veux. Elle sourit en se léchant encore une fois la lèvre inférieur.
« C’est marrant, tu es le premier mec dont je vois d’abord le sexe, avant de connaitre son prénom. »
« Je m’appelle Evano et toi ? »
« Nathalie… C’est aussi la première fois que je donne mon prénom en étant nue »
« Comme quoi, on peut avoir des premières fois quand on a… heu »
« Ça te gène que je sois plus vieille ? »
Je la regarde, elle me regarde, je regarde ses seins, elle regarde mon sexe, je regarde ses seins, elle me regarde un grand sourire au lèvres (oui… je sais petite référence ^^)
« Non, ça n’a pas l’air de me gêné… Je suis même excité. »
« Et tu penses que moi, je suis excitée ? »
Comment lui dire en toute poésie qu’à ce moment, son regard pétille de désir, qu’elle vient de se tourner vers moi, posant une cuisse sur le bord, ouvrant ses cuisses et son intimité à ma vue, que ses petits tétons pointus ne peuvent rien cacher de son désir.
« Je ne sais pas… Difficile à dire, il faudrait que je vérifie… ! »
« Vas y ! » – tout en chuchotant.
Je m’approche d’elle sur le banc, nos jambes se touchent et ma main se dirige vers son entre-jambe. Elle ne bouge pas d’un pouce et me fixe du regard… Mes doigts se posent délicatement sur la peau de son bas ventre, nos regards profondément plantés l’un dans l’autres, figeant cette instant où ma main descend très doucement. La chaleur du sauna rendant nos peaux humides, mes doigts descendent toujours, effleurant les quelques poils parfaitement taillés… Le reste de son bas ventre et de son intimité est lisse, mes doigts découvrant ainsi son intimité qu’elle m’offre mais nos yeux restent plongés l’un dans l’autre.
Je remarque chaque détail de son visage… Ses pupilles dilatées… Ses petites mèches qui descendent sur son visage… Quelques gouttes d’eau ou de sueur perlant sur ses joues… Sa bouche entrouverte… Qu’elle glisse de temps en temps dans sa bouche pour la lécher et se la mordre… Sa respiration qui s’accélère… Son petit sourire en coin. Malgré la chaleur du sauna qui doit atteindre les 85°, je sens du bout de mes doigts la chaleur qui l’habite… j’explore cette zone que je meurs d’envie de regarder mais le fait de ne pas le faire est plutôt excitant car j’imagine Linda résister à la même envie. Elle sait que mon sexe est en pleine érection sous ses yeux mais pour l’instant elle ne le touche pas, ni ne le regarde.
C’est tout délicatement que je glisse un doigt en elle… Elle ferme les yeux une fraction de seconde plus longue que d’habitude mais suffisamment pour que je le regarde et que cela trahisse son plaisir. Je tourne la paume de ma main pour la plaquer à son corps, appuyer par la même occasion sur un clitoris bien gonflé et facile à trouver… Mon doigt ne s’enfonce que d’une ou deux phalanges mais elle se met à gémir et à fermer de plus en plus les yeux… Surement que je suis proche d’un fameux point si mystérieux…
« J’ai très envie que tu fasses la même chose »
Voilà ce que allais dire si j’avais eu quelques secondes de plus, malheureusement ses copines ont rompus le silence qui régnait dans la piscine… Encore une fois le père et sa petite fille arrivent dans l’annexe mais Nathalie décide s’est déjà précipitée sur son maillot pour le remettre. Je fais de même à contre-coeur, mais l’injustice entre les hommes et les femmes frappe encore ! Malgré mon short de bain, je ne peux sortir. Mon érection est encore visible ce qui fait rire Nathalie
« Viens ce soir, après 23h… On continuera car je crois que tu es as besoin. »
Je vois Nathalie sortir du sauna et rejoindre ses amis en rigolant. Je tente de me calmer et de faire baisse la tension sexuelle qui m’habite, mais pas facile dans un sauna à 85° ! Du haut de mes dix-huit ans, cela me semblait invraisemblable qu’une femme soit excitée par moi, en plus qu’elle soit d’une beauté fatale… un teint bronzée, des yeux marrons et amande, un ventre plat mais de belles formes parfaitement proportionnés… De quoi me faire bander une journée entière, mais je devais me calmer.
Je rejoins l’appartement avec toute ma famille et tente de me sortir de la tête cette fameuse Nathalie, mais en vain. La vision de son maillot de bain descendant le long de ses jambes juste sous mes yeux m’obsède. Jamais une fille de mon age n’avait été aussi direct, aussi sure d’elle… Et j’avais rendez vous avec cette femme à 23h… Mais comment sortir de l’appartement alors que je suis avec toute ma famille ?! Finalement tout le monde s’endort plus ou moins et je remets mon maillot de bain pas être sec avant de me rhabiller pour sortir et aller dans l’annexe où se situe la piscine et le sauna.
Toute l’annexe est en verre transparent dans laquelle on peut voir les gens nager depuis certains appartement mais en raison de la piscine chauffée, le verre est couvert de buée. Je suis seul dans le noir, la piscine est éclairé par les lumières sous-marines. Le sauna est éteint, je l’allume en me disant qu’elle voudra sûrement retourné dedans. Il est 23h05 et elle est en retard… Cela fait déjà dix minutes que j’attends.
La porte s’ouvre soudainement, je me retourne un grand sourire avant de déchanter… Il s’agit d’une vieille femme à l’air aigrit.
« Qu’est-ce que tu fais là à cette heure ? »
Surement la gardienne en réalité.
« Heu… J’attends que le sauna chauffe avant de nager un peu… »
Elle me regarde de longues secondes avant de grimacer et de s’en aller.
« Tu couperas bien le sauna sinon ça va barder pour ton matricule ! »
Elle repart en me laissant seule… Je commence à penser que Nathalie a voulu me faire une blague et ne viendra pas. Je commence donc à nager en l’attendant et au bout de deux longueurs, je l’entends et ressort la tête de l’eau.
« Je suis content que tu sois venu, Maëva pensait que tu ne viendrais pas. »
« Tu leurs as dit ? – Je suis légèrement surpris et ça me met un peu la pression, après tous elle a sûrement plus d’expérience.
« Oui… »
Elle commence à se déshabiller, retirant son manteau puis son gros pull colle roulé et bonne surprise, elle ne porte rien en dessous… Ses seins fermes et parfaitement ronds, le doute qu’ils soient refais me traverse l’esprit mais je m’en fous, ils sont tellement beaux. Puis elle ouvre son pantalon, ouvrant sa braguette au maximum, j’aperçois le sommet de son épilation en ticket… Aucun sous-vêtements… Elle me plait cette femme.
« Je crois que tu peux retirer ton maillot, moi je n’en ai pas. »
je souris et m’exécute, le jetant sur le bord.
« Tu peux venir… »
« Qui te dit que je veux me baigner ? »
Elle lâche son pantalon qui tombe d’un coup à ses pieds… Elle s’avance et se pose sur le bord de la piscine en croisant ses longues jambes avec une extrême sensualité. Mon sexe est déjà bien dur alors que je nage doucement vers elle, ses pieds effleurant la surface de l’eau. Elle se mord la lèvre en me voyant me rapprocher. Je pose mes mains sur son mollet et commencer à le lui caresser, tout en lui déposant quelques baisers. Délicatement, elle décroise ses jambes devant moi comme si elle m’ouvrait les portes de son intimité. Son ticket de métro parfaitement taillé sur le dessus, ses lèvres fines et lisses s’ouvrent en même temps que ses jambes qu’elle écarte en grand. Ses lèvres ainsi ouvertes me donnent une vue imprenable sur son clitoris et l’entrée de son antre… Que j’aime cela !
Je continue de me rapprocher, mais j’ai envie de jouer avec elle car je sens que sous ces airs de « je veux prendre mon temps », elle n’attends qu’une chose. Je pose mes lèvres à l’intérieur de ses cuisses, me rapprochant lentement de cette zone de plaisir, puis le sommet de son sexe avant de tendre ma langue pour la faire glisser le long de sa fente. Elle laisse échapper un léger gémissement, je remonte ma langue pour tourner sur son petit bouton et tourne lentement dessus. Je le sens rouler sur ma langue et je ressens tout le plaisir que cela lui fait. Petit détail mais ça me reste encore aujourd’hui, elle avait du prendre une douche juste avant et se shampouiner le sexe car il avait un très bon goût de vanille depuis ce parfum me fait toujours penser à ce moment.
Nathalie s’était laissé tomber en arrière, cambrant son dos pour ne pas toucher le carrelage froid du bord de la piscine ou alors pour bien aligner son sexe avec ma bouche. Ses seins pointaient au sommet de son buste, fièrement, dont un des deux était empoigné par une de ses mains. L’autre main caressait ses propres cheveux. J’étais terriblement excité, aucun cunni n’avait été aussi bon. Elle se trémousse sur ma langue tendue ! Elle remonte ses genoux et garde les jambes ouvertes en l’air ! Mes doigts écartent au maximum ses lèvres pour que je viennes appuyer de tout le long de ma langue sur son clito.
Cela fait de longues minutes que je la lèche et je commence à avoir mal à la langue et elle doit le ressentir car ses gémissements se sont calmés, elle reprend peu à peu sa respiration. Elle se redresse et se décale sensuellement pour se retourner à quatre pattes, ses petites fesses bombés, ses lèvres serrés mais humide juste sous mes yeux mais elle avance vers son sac ainsi, en prenant soin de faire rouler son cul… Je veux la prendre !
Elle fouille dans son sac et en sors un préservatif. Je sors de l’eau et marche vers elle, mon sexe en érection. Elle se retourne, se mettant à genoux juste à hauteur de mon long sexe en érection. Elle ouvre délicatement l’emballage. Ses doigts se referment sur ma verge et me branle doucement mais pas besoin je bande déjà comme un taureau… Elle place le préservatif sur le bout de mon et le déroule avec ses doigts le long de ma verge. Sa bouche à quelques centimètres de mon sexe…
Elle se retourne à nouveau, se mettant à nouveau à quatre pattes, en se cambrant parfaitement, les muscles de son dos qui apparaissent, ses cuisses ouvertes… Une réelle invitation à une magnifique levrette. Je me mets à son niveau, mais avant que je ne guide mon sexe, Nathalie la saisit et le fait glisser dans sa fente, entre ses lèvres, sur son clito… jusqu’à l’entrée de son sexe…
Linda tient délicatement ma verge et fais lentement glisser mon gland entre ses lèvres, recouvrant le plastique nous séparant, de sa cyprine. Malgré cette fine membrane, je sentais ses lèvres frotter sur mon gland, son petit bouton roulant sur le bout de mon sexe. Je n’ose pas poser mes mains sur ses fesses déjà bien ouvertes, je saisis donc ses hanches délicatement, c’est pour elle le signe de placer mon gland en elle. Je sens son sexe s’ouvrir et mon gland gonflé entrer en elle.
Elle se cambre. Elle penche la tête en arrière, les yeux fermés. Ses fesses se rapprochant de mon ventre. Mon sexe disparaissant dans une zone d’une grande chaleur. Son cul tendu finit par s’écraser contre moi. Je sens mon gland appuyer bien au fond. Je ferme les yeux et tente de me calmer en respirant lentement, je me détends.
Soudain, je sens comme une contraction, ce qui compresse ma verge. Sous la surprise, j’ouvre les yeux. Nathalie a tourné la tête pour me regarder avec ses yeux de félins.
« Tu n’es pas précoce, j’espère ! Je serais très déçue. »
« Non… non… non ».
Tu parles ! Le gamin que j’étais de 18 ans avait bien du mal à se contrôler surtout avec une telle femme, j’étais totalement à sa merci… Et elle l’a bien senti vu que c’est elle qui commence les va et vient, faisait glisser son corps sur tout le long de ma longue verge bien dressée. Je ne peux décrocher mon regard de ses fesses totalement ouvertes… C’est d’ailleurs la première fois qu’un anus m’a excité ! Puis je voyais ses lèvres entouré mon sexe avant qu’elle ne s’empale à nouveau dessus… A chaque fois, elle ondule son bassin, mon sexe frotte bien en elle, je le ressens et c’est tellement différent…
« Calmes toi ! Calmes toi… Penses à quelque chose de mou… » – Je me répétais cela en tête alors que mes yeux lui dévorait les fesses
« Tu peux mettre tes mains sur mes fesses » – Me dit elle en voyant mon désir.
Je ne me fit pas attendre, mes mains se posèrent sur ses fesses fermes, quel plaisir… Je ne pouvais plus retenir mes gémissements de plus en plus rapide, ni mon bassin d’accompagner son mouvement. Mon gland tape un peu plus au fond à chaque coup. Elle gémit également, se mordant les lèvres et fermant les yeux.
Je vois sa cyprine recouvre le préservatif à chaque coup, j’aurais tellement préféré sentir la chaleur de son sexe directement sur le mien mais putain que c’est bon. J’ai totalement perdu la notion des minutes… Mon sexe disparaît en elle de plus en plus vite… Aucun de nous deux ne retient ses gémissements… Elle s’est cambrée au maximum, ses seins s’écrasant contre le sol froid…
Malheureusement mais genoux sur le sol commencent à me faire très mal, suffisamment mal pour arrêter. Elle se retourne l’air inquiète ?
« Pas déjà ? »
« Nooooooon ! Ça me tue les genoux ! »
« Allonges toi, je vais te montrer quelque chose… »
Je m’allonges donc un grand sourire aux lèvres, le sol froid m’électrise le corps. Mon sexe empaqueté reste fièrement dressé. Elle se place au dessus et descend son sexe en pliant les genoux… Elle prend ma verge pour l’aligner avec l’entrée de son sexe… Linda est sur moi, ses jambes de part et d’autres de mon bassin, bien en appui sur ses pieds, les jambes pliés. En relevant la tête, je vois ses lèvres ruisselantes de cyprine bien ouvertes, sa main guide lentement mon gland pour qu’il retrouve le chemin du plaisir…
Je sens la chaleur de son sexe malgré la fine couche de préservatif, cette position offre énormément de sensation. Je sens son corps s’empaler sur moi. Elle aussi savoure la présence de mon sexe en elle, en se penchant sur moi, son visage se retrouve à quelques centimètres de moi. Je sens son souffle chaud sur ma peau transpirante. Ses cheveux effleurant mon torse. Ses seins sautillants à chaque coup. Y a pas de doute, elle sait y faire… Son cul s’enfonce entièrement sur mon engin dressé, ses fesses claquant à chaque coup, mon gland tapant au fond. Mes mains se posent sur ses fesses, elles sont fermes et bien tendus, mes mains les lui écartent au plus possible. Mes doigts se plantent dans ses fesses, je le savoure. Un tel fessier ne peut être qu’admirer et je pense qu’elle l’a sentie car Nathalie se repositionne. Elle tourne sur mon sexe, se retournant dos à moi, se penchant vers mes pieds.
Quel vue !
Encore mieux que la levrette… Ses fesses toujours plus ouverte Son sexe avalant le mien dans une cascade de cyprine Mes mains sur son fessier, dévorant cette vue irremplaçable. Elle recommence à onduler, faisant entrer et sortir mon sexe, je sens tout son corps presser ma verge mais je vois également ce trou de l’inconnu, qui est tellement beau, tellement excitant que j’en oublie sa fonction primaire. Mon pouce vient doucement et délicatement se placer dessus.
« Houuuu, tu comptes faire quoi avec ton pouce ? » – Sa voix saccadée est tellement sensuelle
Elle me regarde par-dessus son épaule, son regard humide et remplis d’excitation.
Je… Enfin si tu veux pas… C’est juste que… » – Je n’arrive pas à trouver les mots.
Nathalie ne répond pas et reprends ses va et vient sur ma queue, en remuant ses fesses, les ouvrant sur ma verge avant de se cambrer dessus. Mon pouce appuie de plus en plus sur son anus, je le sens s’ouvrir jusqu’à ce qu’il entre en elle. Il s’enfonce entièrement avec une grande facilité, je le sens contre ma verge. Appuyant encore plus dessus. La sensation est vraiment étrange mais tellement agréable, sentir mon pouce appuyer sur ma verge d’un trou à l’autre. Je plie légèrement mon pouce pour bien appuyer dessus.
Nathalie se met à crier, elle ne se retient plus non plus…. Je sens que ça monte doucement, je n’arrive plus à penser à quelque chose de mou. Voir mon sexe disparaître ainsi en elle, mon pouce enfoncé dans son petit trou comme si je la tenais.
« Arrêtes ! Je vais jouir ! » – Lui dis je soudainement
Mais Linda ne s’arrête pas, elle continue de s’empaler avec force sur moi. Sa petite chatte vibre sur ma verge, je la sens et je comprend que je ne dois pas arrêter. Mais je ne peux empêcher cette vague de plaisir qui commence à me submerger. Involontairement, je lui claque brutalement les fesses avec mon autre main, mes doigts se plantant dans sa chair. Mes bourses se contractent, ma verge grossit encore et mon gland laisse sortir ma semence avec force. Malgré le préservatif, elle le ressent… Elle aussi se mets à jouir, un véritable orgasme. Le premier que je ressens avec certitude. Tout son corps se contracte, elle ne crie plus, entièrement crispé, je sens ses jambes trembler ainsi que son sexe compresser le mien, faisant durer mon moment de plaisir.
Elle se penche vers mes pieds encore plus, faisant sortir mon sexe de son antre. Mais elle se pose dessus, ma verge appuyant sur son clito… me donnant une vue que je n’avais jamais eu avant… Celle d’un vagin bien ouvert et ruisselant de cyprine… Tellement beau… Je me décrispe et me rend compte que lors de mon orgasme, lorsque ma main ai venu lui claque les fesses, j’y suis allé fort vu que je pouvais voir la marque de mes doigts sur sa fesse.
Chacun de nous reprend sa respiration, je n’arrive plus à décrocher mon regard de son sexe encore frémissant de plaisir… J’en veux plus, je ne veux pas m’arrêter là mais les lois de la nature sont cruelles et mon sexe dégonfle à vue d’œil et nous sommes épuisés…
Dommage que je parte demain matin. Me dit elle alors qu’elle se relève avant de plonger dans la piscine.
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