Ebats amoureux
C’est notre premier rendez-vous ensemble. Ma belle-mère (Béatrice, âgée de 70 ans) et moi nous retrouvons dans un hôtel de banlieue, elle prétextant être invitée à un thé par une copine et moi sensé être au bureau. A peine dans la chambre, nous nous déshabillons et faisons l’amour. Je n’en reviens pas d’avoir ma belle-mère dans mes bras et encore moins de la désirer autant. Lorsque je suis au-dessus d’elle, je vois son ventre trembler sous mes coups de rein et ses seins ballotter de bas en haut, comme de la gelée contenue dans une enveloppe lâche. Cela me trouble énormément. Elle est relativement plus petite que moi et plutôt menue et bien conservée. Je bande très dur tandis que je réalise que je tombe éperdument amoureux d’elle. La situation exceptionnelle de notre couple totalement improbable ajoute à mon vertige. Je la vois en manque d’amour, d’affection, de caresses et de pénétration. Elle me dit combien elle aime être désirée et qu’elle tombe déjà follement amoureuse de moi. Alors que c’est une femme de fort caractère et sûre d’elle, je sens une fragilité chez elle, la peur de ne pas me plaire et celle d’être abandonnée de moi sans préavis. J’adore son corps imparfait, ses rides et ses plis et je ne cesse de l’embrasser et de la rassurer. Nous continuons par la suite à nous voir tous les jours et la passion réciproque grandit en même temps que notre relation évolue. Je lui ai dit que j’admirais son fort caractère, que je me sentais bien en homme voulant lui plaire par tous les moyens et qu’elle pouvait me demander n’importe quoi pour tester mon amour d’elle.
Ma 1ère épreuve
«- Chéri, c’est une épreuve que je veux te proposer. Tu peux refuser. Je veux voir jusqu’où va ta libido, ainsi que la passion que tu me déclares et me montres. Où vas-tu accepter d’aller dans des preuves d’amour ? Je vois bien que tu adores lécher ma vieille chatte et mon anus. Je te demande de lécher ce que je vais te présenter, et de te laisser faire, tout simplement. Je crois que j’aime jouer avec toi et tes fantasmes ».
Elle me noue les mains dans le dos avec son foulard et pince mes tétons. Je suis ébahie par ce geste mais fais bonne figure. Elle poursuit:
« Dis-moi si tu acceptes une épreuve. Alors, allons-y. Mais avant, je veux que tu te souviennes, quels que soient nos jeux, que je t’aime et que je te veux entièrement pour moi. Mets toi à quatre pattes sur le lit, la tête posée».
Je la vois prendre sa culotte blanche et haute en coton. Elle me regarde un instant, assise sur le lit, puis att**** mes cheveux, m’enjoint de soulever ma tête, positionne l’entrejambe intérieur de sa grosse culotte sous mon visage. Sa requête me revient à l’esprit : elle m’a demandé de lécher ce qu’elle me présenterait et je comprends que je dois m’exécuter avec ce que j’ai sous le visage. Je suis totalement surpris: quelle imagination, quel esprit de transgression: lécher le gousset de la culotte de ma belle-mère, je n’en reviens pas. Vais-je trouver en moi les ressorts qui me feront trouver du plaisir dans cette demande ? ou vais-je faire cela comme un devoir sordide dont je ne retire aucun caractère érotique ? Soulevant ma tête à quelques centimètres au-dessus de sa culotte, dans une position inconfortable, je regarde un instant l’intérieur de cet entrejambe tâché d’urine et de liquide intime, avec quelques poils gris, qu’elle me présente. Sa culotte n’est pas sexy. Je sens le parfum de sa chatte, ou devrais-je dire l’odeur acre de sa fente qui domine toutes les sensations. J’essaye de retenir ma respiration, en vain. Je pense à sa vulve, puis au reste de son corps. J’essaye de lui demander pourquoi elle me propose cela, mais elle se rebiffe et reste sèche. J’insiste le plus délicatement possible :
«- Béatrice, mon amour, c’est difficile de trouver quelque chose d’agréable dans ce geste. Ce n’est pas très sensuel. Auriez-vous un autre vêtement à me proposer ? j’aimerais plutôt vous embrasser».
Une Femme à poigne
Elle me regarde un instant, silencieuse. Soudain, elle se lève, et m’invite à me relever. Je suis devant elle, les mains restées attachées dans le dos. Son bras se lève, et je sens dans la seconde la morsure cuisante d’une gifle qui claque sur ma joue gauche. J’exprime ma surprise, décontenancé par l’impossibilité que j’ai de me protéger.
«- Si tu m’aimes, j’attends que tu me remercies de ce cadeau et de la confiance que je te fais».
A peine ai-je balbutié un « Merci ma chérie » qu’elle répond par une seconde gifle donnée de sa main droite toute aussi puissante qui vient brûler mon autre joue. Elle ne sourit pas du tout. Ses yeux sombres plongent dans les miens et je devine qu’elle est prête à tout pour me tester. Nous restons ainsi l’un en face de l’autre. Je suis interloqué, et après un nouveau remerciement, je décide de ne plus dire un mot. Pour une épreuve, je suis servi. Nous nous regardons une minute sans mot dire, jaugeant qui de nous deux a le plus de volonté. Je vois en face de moi un bloc de volonté, décidé, froid, presque inconnu. La scène me déstabilise, me projette dans un monde où je perds pied. Sans un mot, je me remets en position sur le lit, le buste courbé au-dessus de tes ballerines. Avant de commencer l’épreuve, les joues en feu, le nez dans ses odeurs de culotte, je lui dis longuement, sans la regarder, combien je l’aime.
« – Béatrice, je vous promets de vous aimer totalement. Je suis fou de vous et m’engage à vous plaire et vous obéir ». Je suis très troublé par cette épreuve, et son audace décuple mon amour pour elle dans un sens qui n’est pas du désir sexuel, mais une reconnaissance de sa capacité à nous engager dans des jeux passionnels. J’ai souvent beaucoup d’imagination, mais dans cet instant je l’admire tant elle me surprend. Elle m’écoute sans un mot, sans un sourire, de glace. Alors, je commence à lécher l’intérieur de sa culotte. Je suis un peu écoeuré et je me demande combien de bactéries j’absorbe à ce moment-là. Pour lutter contre des pensées raisonnables qui me dégoutent, je m’efforce de sublimer ses odeurs, le gout de sa pisse et de ses pertes vaginales. Ma langue continue de lécher cet étoffe marquée par son intimité. Petit à petit, je m’habitue à l’effluve puissant et elle entend que ma respiration profonde par le nez est un autre signe de ce qui peut désormais s’appeler ma soumission.
Première humiliation
Je la perds de vue, la devine derrière moi. Comme pour m’encourager ou me récompenser, je sens sa main parcourir mes fesses et mon dos. Elle vient caresser puis pétrir et étirer mes testicules. Bien que je me sente humilié, ou bien parce que je suis humilié, mon excitation commence à monter. Comme je réalise que je n’ai pas la maîtrise de cette situation, je finis par me détendre. Son autre main a saisi mon pénis et le branle de haut en bas. Je suis comme une vache dont la fermière trairait le pis. Je me sens bien, entre ses mains, soumis à sa volonté audacieuse qui m’a amené dans des territoires nouveaux de volupté. Un territoire inconnu, étrange et troublant.
Elle me relève et m’entraine sur le lit où je m’allonge sur le dos, dans une position inconfortable, ayant toujours les mains attachées. Elle tire les rideaux puis dans la pénombre, elle sort de notre chambre quelques instants. Quand elle revient, nue, elle vient s’accroupir sur mon visage. Elle sait combien j’adore cette position et je me réjouis qu’elle me fasse ce cadeau : gouter son intimité chérie. Je vois cela comme la récompense de ma bonne volonté. Mes joues sont encore sensibles mais les gifles sont pardonnées, l’odeur pénible de tes chaussures qui restera marquée dans ma mémoire vaut le geste intime qu’elle m’offre. Elle ne dit pas un mot et j’interprète cela comme sa concentration sur les sensations que je m’efforce de lui donner. Je sens qu’elle revient des toilettes car sa vulve est mouillée et cela renforce mon excitation. Je la sens retenir son souffle, puis soupirer de plaisir pendant quelques secondes, en plusieurs séries.
Une vieille salope adorée
Elle se penche sur mon sexe qu’elle avale de sa bouche aimée. Je me sens bien. Je la sens jouir et mouiller abondamment. Cela m’encourage et m’excite d’avantage. Je devine qu’elle veut avaler ma semence. Elle serre ses cuisses autour de mon visage, j’étouffe un peu, alors ma jouissance explose en sa bouche et je sens qu’elle avale mes jets de sperme. Elle me veut et ne me lâche pas. Nous restons quelques instants imbriqués, repus, nos sexes encore collés à nos bouches. Puis elle me parle dans cette position.
«- Jean, j’ai adoré. Mais je dois te dire qu’en fait j’ai fait pipi avant que tu me lèches. J’espère que tu ne m’en voudras pas : cela fait partie de l’épreuve que tu as remportée avec succès. Je maintiens ton adoption ferme et définitive : je suis si bien avec toi, tu me rends heureuse, je t’aime. Maintenant, il va falloir aller te nettoyer le visage, car il doit y en avoir partout. Allez, zou, dégage ! » dit-elle de sa voix aigue et sans appel.
Mes sentiments sont au paroxysme de leur trouble : mon désir d’elle est retombé et il ne reste que les faits, objectivement répugnants, qui se percutent avec l’orgasme extraordinaire qu’elle vient de me donner. Je file me laver, perdu dans mes pensées, amoureux d’elle, dégoûté et surpris par elle. Après notre douche, nous nous embrassons tendrement. Je n’imagine pas encore l’intensité à venir de ma soumission.
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