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Chapitre 12: Sodome & Gomorrhe

Chapitre 12: Sodome & Gomorrhe



Les lèvres de P. embrassaient tendrement la peau frissonnante des fesses de son amie. Puis ses baisers se firent plus appuyés et la jeune femme sentit à nouveau une douce chaleur monter en elle lorsque celui-ci saisit ses hanches pour déposer sa bouche sur l’endroit sensible ou les fessiers se rejoignent. Elle se cambra un peu pour lui offrir davantage sa croupe alors P. pressa de ses mains les rondeurs blanches si féminines. Il s’appliqua à lécher par endroits cette peau douce guettant les tressaillements de plaisir de la jeune nouvelle. L’inconnu dévorait des yeux la charmante scène et sentit que son désir revenait déjà. Il regrettait d’avoir été si bref, de ne pas avoir prit le temps de savourer davantage son offrande. Les mains posées sur le capot, la jeune femme penchait légèrement la tête en arrière laissant ses longs cheveux caresser son dos. Elle sentait des frissonnements de volupté remonter du bas de ses reins. P. massait à pleines mains les fesses fermes et dans le mouvement, il aventura un doigt autour du petit orifice. Il le caressa délicatement en faisant de petits tours afin qu’il se détende. Puis il écarta les rondeurs charnues de la jeune nouvelle et avec une infinie sensualité, il introduisit un doigt. Elle se laissa faire et semblait, à en juger par les mouvements subtil de son bassin, vouloir goûter encore un peu de cette volupté. Alors P. retira son doigt et, de sa langue experte, courtisa longuement l’auréole sensible. L’inconnu sentait sa verge durcir peu à peu et retrouver toute sa vigueur. P. introduisit à nouveau un doigt et commença de délicats aller-retour qui firent frisonner la jeune femme. La voyant réceptive, il glissa son autre main vers sa vulve et entreprit de caresser ses lèvres entre-ouvertes. Puis il décida d’ajouter un deuxième doigt afin de détendre davantage son amie. Elle ferma les yeux et ressentit tout ces effleurements avec délice. L’inconnu ne put résister à l’envie de prendre sa verge en main et il commença, les yeux fixés sur cette scène d’un érotisme absolu, à se caresser lentement. P. sentit que son amie était prête et, se redressant sur ses jambes, il posa sa main sur le dos de la jeune femme afin qu’elle se penche jusqu’à poser son visage sur le capot. En regardant avec désir la croupe offerte de la jeune nouvelle, il sortit son sexe dressé et le plaqua contre le sillon fessier. Il fit d’enivrants va et viens entre ces délicieuses fesses et sa verge se tendit encore plus. Alors, la respiration impatiente, il posa l’extrémité de son sexe entre les fesses blanches et pénétra doucement la jeune femme. Elle sentit cette tête chaude s’engouffrer petit à petit en elle puis s’arrêter. P. avait remarqué que sa partenaire n’était pas assez détendue et encore trop serrée. Alors, dans un moment d’impétuosité, il plaqua fermement la jeune femme contre le capot et donna un vigoureux coup de rein. La douleur fit cambrer la jeune nouvelle et comme elle tentait de se retourner, il l’appuya de nouveau contre la tôle de la voiture. Elle poussa un gémissement aiguë de protestation mais P. s’engouffra encore plus loin jusqu’à ce que ses hanches se plaquent contre les fesses de son amante. Elle ressentit une vive brulure mais le plaisir n’en était pas tout à fait absent. Une découverte inédite pour elle: souffrance et volupté mélangés. Elle ne détestait pas cette rudesse qui allait et venait à présent en elle. Cette zone inexplorée de son corps semblait se réveiller pour la première fois et lui envoyait des sensations inconnues, surprenantes de plaisirs. Pourtant la douleur était vive, déchirante et faisait grimacer la jeune femme. L’inconnu se caressait maintenant sans retenue, le regard rivé sur cette scène bestiale presque tribale. P. se pencha sur le dos de la jeune femme et glissa une main sur ses seins tandis que l’autre s’agrippait à sa hanche. Les deux corps n’en formaient plus qu’un et P. continua ses coup de reins qui faisaient onduler par saccades la longue chevelure noire. Il embrassait sauvagement le cou et la nuque de son amie en haletant. Puis il se redressa, plaça ses mains pour tenir fermement les hanches de la jeune nouvelle et repartit à l’assaut. Ses sensations étaient décuplées par l’étroitesse de l’ouverture dans laquelle il s’engouffrait puissamment. Il contemplait le dos arrondit de son amie et se délectait de voir sa nuque baissée. Puis il remarqua les mains agrippées au capot et entendit les gémissements plaintifs de la nouvelle. Cette vision déchaina son désir et il accéléra encore ses estocades. Enfin, n’y tenant plus, il jouit en elle , ses mains agrippées à son corps, en expirant longuement par à coups. La jeune femme sentit la verge se tendre en elle et se libérer de plaisir. Elle entendit son ami P. jouir violemment et sentit son souffle d’extase sur la peau de son dos. Elle regarda l’inconnu de la rue éjaculer à son tour le long de sa main en un abondant jaillissement de semence. Alors, comme si leurs désirs faisaient exploser sa tête, elle ressentit une première violente contraction au fond de son ventre. Puis son périnée se contracta brusquement en une multitudes de secousses délicieuses. Comme pour retenir encore cette verge en elle, la nouvelle serra ses fesses et alors, brutale, implacable, une houle de plaisir jaillit soudain si fort que la jeune femme cria sa jouissance extatique jusqu’au fond de la nuit. Le ciel commençait à blanchir, aux premières lueurs du matin d’été. Jamais la jeune femme n’avait vécu une soirée aussi intense, aussi surprenante. Elle en restera transformée à jamais, comme marquée au fer rouge sur sa peau et dans son âme.

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