Femme de ménage 1
J’étais comme une conne, bloquée dans mon appart. Nous étions au mois d’août, un mois d’août étouffant comme seule la ville de Paris en connaît.
Dans mon immeuble, toutes les fenêtres des appartements des gens qui comme moi n’avaient pas les moyens ou pas la possibilité de partir en vacances, étaient ouvertes.
Non pas que cela change grand chose dans ces immeubles étriqués et fabriqués à l’emporte pièce: on entendait déjà tout ce qu’il se passait chez les voisins en temps normal. Maintenant, évidemment, c’était pire…
Je m’étais cassé la jambe à la fin juin et j’étais donc forcée de rester là, abandonnée, à regarder la télé et Netflix…
En plus mes voisins, un jeune couple, étaient partis: je n’aurai donc pas, comme souvent la joie de les entendre baiser…, leurs cris de plaisirs, tout ça. Ça dérangeait mes autres voisins mais personnellement j’avais toujours adoré cela.
À la place une dame approchant la soixantaine s’était installée: elle était voluptueuse, voire plantureuse et j’entendais ses mouvements lourds dans l’appartement. Elle ne faisait guère de bruit et ne faisait que regarder la télé ou lire, ou repasser, enfin ce que font les dames de cet âge là…
J’étais donc dégoûté jusqu’à ce qu’arrive sa femme de ménage. C’était aussi une femme plantureuse, d’origine maghrébine et je décelais assez vite son jeu de séduction… je voyais les gestes qu’elle avait à l’endroit de sa patronne, gestes qui souvent n’avaient rien d’innocents…
Cela m’émoustillait pas mal…
Je la vis même un jour, alors qu’elle était dans la chambre de sa cliente, renifler et caresser les dessous amples de celle-ci…
Elle me vit d’ailleurs par la fenêtre et, provocante jusqu’au bout, porta une culotte en dentelle blanche jusque son nez et la renifla en me regardant.
Seuls quelques mètres nous séparaient et je voyais très bien sur ses traits un peu lourds la jouissance qu’elle retirait de son action…
Personnellement, j’en tirai également une satisfaction toute personnelle tandis que je me caressai…
Les deux femmes finissaient souvent l’après midi de travail de la maghrébine en buvant un thé. C’est ainsi que j’appris que celle-ci s’appelait Zineb tandis que sa patronne avait pour nom Sidonie…
J’entendais toutes leurs discussions, restant dans la pénombre de ma fenêtre, espionnant ce couple un peu inédit. Celles-ci tournaient souvent autour de l’actualité, des difficultés de la vie, de tout ça. Parfois, les deux femmes parlaient des hommes et je décelais souvent chez Sidonie le manque qu’ils représentaient.
Zineb en profitait souvent pour se rapprocher de sa patronne et lui prenait la main, la caressant doucement. Sidonie ne se rendait compte de rien, jusqu’à ce que son employée la prit dans ses bras et l’embrasse…
Je vis les boucles châtain de Sidonie se mélanger aux boucles noires de Zineb qui en profita pour malaxer les parties du corps de sa patronne auxquelles elle avait accès…
-Mais Zineb, que me faites-vous?
La voix de Sidonie était plus plaintive que craintive et La fille arabe aux yeux de feu s’approcha encore plus d’elle. Elle la fit se lever et commença à lui écarter le haut de sa robe… un sein ample et lâche en sortit que Zineb se mit à téter doucement, caressant le large fondement de celle qui devenait ainsi son amante…
Celle-ci soupirait à l’unisson de sa maghrébine qui trouva enfin le chemin de sa chatte en soulevant la robe et en glissant la main dans la culotte de la femme.
Elle sentit les poils du pubis et embrassant derechef son amie qui devint à son tour entreprenante…
Serrées l’une contre l’autre, elles allèrent jusque dans la chambre où, excitées elles se déshabillèrent, s’arrachant leurs vêtements avec entrain.
Je bougeai mon fauteuil roulant dans la pièce qui faisait face à cette chambre et j’admirai ce spectacle excitant. Je me caressai doucement le vagin, mettant un doigt autour de mon clitoris et sentant mon jus sortir doucement tandis que Zineb retirait enfin le culotte de sa maîtresse…
Elle enfouit la tête entre les jambes grasses et j’entendais Sidonie gémir de palisse avec retenue au début puis avec un plaisir évident. Heureusement que l’immeuble était vide à cette heure car il y aurait eu des plaintes à l’écoute de ces cris de plaisirs qui dérangèrent même mon chat Dudule qui pourtant dormait bien…
Les deux femmes grasses se faisaient plaisir l’une l’autre et de mon fauteuil j’avais ainsi accés à un spectacle porno de la plus haute qualité…
Sidonie prit la place de Zineb et lui donna à son tour du plaisir… celle-ci gémit à son tour et poussa des cris de jouissance retenue. Je voyai d’où j’étais que son pubis était complétement rasé et qu’il y avait même, oui, c’est bien cela, une boucle d’argent qui perçait l’une de ses grandes lèvres…
Je jouis.
Surtout que Zineb me regardait directement: cette femme m’avait vue et je compris que ma présence faisait partie du scénario qu’elle avait imaginée…
Enfin les deux femmes, gorgées de stupre et de plaisir s’abandonnèrent à un repos bien mérité…
Une fois sa compagne bien endormie, ses ronflements sonores en faisant fois, Zineb se leva et alla chercher quelque chose dans son sac.
Je la vis revenir se lover contre sa grosse maîtresse qui accepta de bouger pour lui laisser la place.
Je vis alors ce que la Zineb avait mis.
C’était un énorme gode ceinture qu’elle huilait avec soin en faisant se retourner Sidonie avec douceur.
Une fois celle ci sur le côté Zineb approcha le gode de la fente des fesses de sa maîtresse. Celle-ci voulu alors se dégager des bras de son amante mais celle-ci, la tenant solidement, l’en empêcha.
Je vis le solide coup de rein de Zineb faire pénétrer le gode dans le cul de Sidonie qui, cette fois-ci, cria de douleur… elle pleurait à chaque coup de gourdin que Zineb lui donnait. Personnellement, j’étais complètement trempée et je jouissais en continu devant ce viol parfaitement orchestré. Enfin, Zineb se retira, abandonnant sa victime qui se replia en position fœtale, sanglotante… je voyais un mince filet de sang sortir du cul de la grosse femme tandis que Zineb se caressait à côté d’elle…
A présent, à chaque fois que la femme de ménage vient, j’ai le droit à mon porno, en direct…
Je ne dis rien,
J’apprécie…
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