Pauline m’avisant de revenir au lendemain comme je le souhaitais. Me laissant partir le corps souillé vers mon chez moi sentant l’odeur de chatte à plein nez. Revenant samedi vers 19 heures comme elle me l’avait demandée. M’accueillant toujours seule cette fois ci habillée d’un veston orange brodé de motifs noirs aux allures de tigresse royale puis d’un pantalon blanc. Montant vers sa chambre elle avait préparée le souper ayant concoctée une fondue chinoise avec des tomates fraîches, du brocoli et de la viande rouge émincée de choix. Accompagné d’une bouteille de champagne et d’un vin blanc français très dispendieux. Du prosciutto, du fromage de qualité et de la musique classique envoûtante imprégné d’une lumière tamisée. Discutant de tout et de rien la madame voulant se faire charmer. Portant un parfum sublime ses conversations toujours ultras songées C’était son tour et elle avait bel et bien envie d’en profiter. Me montrant quelques photos d’elle étant jeune en me regardant avec intention. Elle mangeait tout en délicatesse en me regardant sensuellement. Apportant quelques fraises avec de la crème le repas terminé la tension augmentant réellement entre nous deux. Voulant se changer me laissant seul un instant apposant d’autres photos sur la table de cuisine. M’indiquant que c’était Jocelyne et Sophie qui avaient prisent les clichés après mon départ. Observant une madame Marois complètement nue affublée d’un foulard vert chartreux autour de son cou. Dans cette même chambre les deux cuisses bien ouvertes assise dans le fauteuil ou bien allongée sur le lit. Faisant pénétrer le godemiché de verre dans son antre chaud sur certaines. Ou bien chevauchant deux oreillers empilés un sur l’autres la madame de 68 ans semblant y prendre vraiment plaisir. Observant ses petits seins moyens difformes et flasques bouger durant les poses.
Revenant habillée d’une nuisette noire assortie de plumes. Dévoilant ses sous vêtements roses pâles m’indiquant de l’index que le lit était dans cette direction voulant à présent faire l’amour et non baiser. Discutant avec elle humectant une odeur de femme exprimant la classe et le bon goût. J’étais en sous vêtement bleu marin mon coeur battant la chamade embrasant mon aura de phéromones mâles. La madame s’ayant fait chemin faisant un cosmopolitain de luxe exprimant fort probablement la couleur de sa chatte rosée. Conversant pendant une bonne demi heure Pauline semblant beaucoup plus chaude qu’au début enlevant et déposant sa nuisette sur le sol. Puis sa brassière m’indiquant de venir l’étreindre dans la position de la cuillère. Elle bouillait littéralement contre mon flanc attendant ses directives. La madame un peu plus petite que moi me caressant l’avant bras puis la fesse droite. Dirigeant ma main tout près vers son mont de Vénus au pubis taillé court. M’indiquant d’y aller lentement sans précipitation. Enlevant mon caleçon puis elle sa petite culotte venant me la porter au nez. Elle sentait bon faisant durcir ma tige comme du granite à présent. Attouchant son clitoris en érection tout doucement entendant son respire s’accélérer. Elle mouillait bien et j’avais juste hâte d’y goûter. Pauline apposant sa main droite sur ma tige la caressant. Relevant sa cuisse me demandant de venir la pénétrer en me tendant une protection. Continuant mes gestes rotatifs envers celle ci de mes doigts. Mon ancienne première ministre étant chaude comme de la braise humectant l’odeur de son cou et de ses cheveux blonds. Mon pinceau mouillé la pénétrant comme dans un pain tout juste sorti du four. Du beurre coulant sur celui ci me remémorant son goût onctueux et salé. La musique classique jouant toujours me donnant un rythme lancinant. Voulant changer de position me proposant celle de la brouette un peu modifiée.
Me plaçant debout à côté du lit la madame à quatre pattes devant me demandant de venir la pénétrer en apposant mes mains sur sa poitrine. Entourant ses deux jambes autour de ma taille me demandant de l’assouvir à présent. Une position compliquée ne pouvant la soutenir que pendant un court moment. La madame revenant toujours à cette même position m’encourageant à la prendre plus fortement. Suant à torrent la technique exigeant beaucoup de force physique. Elle avait l’air d’aimer çà quelques filaments de mouilles coulant sur le sol. Une position réputée pour pouvoir toucher le point G directement. Déposant ses deux pieds sur le sol elle voulait à présent se faire prendre sauvagement debout en levrette. Extirpant quelques râles de sa part attouchant son gros cul flasque et ses hanches tel un tigre. Venant dans sa belle vulve chaude en saccade la madame y allant de quelques Aaaahhhh Aaaaaaahhhhh Aaaaahhhhhh. Affalant mon corps contre le siens me retirant. Pauline me suggérant d’aller me doucher.
Voulant recommencer aussitôt que ma tige sera dressé. Prêt à tirer un autre coup dans son antre chaud et mouillé.
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