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Bonjour,

je suis Irina et je publie habituellement toutes mes histoires érotiques sur le site www.nouvelles-erotiques.fr.

Je passe vous faire un petit coucou et vous dire que j’ai créé avec un auteur talentueux un recueil de 7 nouvelles dont vous êtes le héros. Vous indiquez votre prénom, celui de votre partenaire et vous voici au coeur de 7 aventures érotiques et délicieusement pornopraphiques.

Pour en savoir plus, je vous invite ici : http://www.nouvelles-erotiques.fr/histoires/votre-livre-de-nouvelles-erotiques-personnalisees-pour-noel

Un extrait pour commencer :

Ils continuèrent à bavarder puis montèrent dans la rame qui se présentait et s’assirent l’un en face de l’autre. Ils avaient toute la place qu’ils voulaient : dans le wagon, ils ne virent qu’un vieil homme à moitié endormi dans son imperméable gris et un jeune gars barbu qui se tenait debout près d’une des portières. Comme la robe de Jeanne était un peu remontée sur ses jolies jambes, Jérôme lui dit en riant :
– Je vois ta culotte !
– Et moi, je vois…
Elle arrondit les lèvres, et s’exclama :
– Mais tu bandes !
Jérôme sursauta et, en se tournant à moitié, il fit signe à sa femme de parler moins fort ! Visiblement, le jeune barbu n’avait rien entendu. Alors Jeanne pouffa et répéta :
– Mais oui, Jérôme ! Tu bandes ?
Il riait, écarta les mains et répondit :
– On ne peut rien te cacher…
Alors Jeanne, finaude, demanda :
– Qu’est-ce qui te fait bander ? Ma robe ? Ma culotte ? L’idée de ce que Denis aurait pu me vouloir ?
– Bah ! quelle importance ? Un peu tout à la fois. C’est toi qui m’excites, c’est tout…
– Ah oui ? Je t’excite ? Comme ça, dans un métro ?
– Mais oui. Tu m’excites parfois dans la rue, dans un restaurant, ou quand je t’imagine au boulot. Tu m’excites quand on va au théâtre, quand tu sors boire un verre avec Irina, quand tu…
– Montre.
– Te montrer quoi, Jeanne ?
– Montre à quel point je t’excite. Montre-moi ta queue.
Jérôme ne répondit rien. Il regardait Jeanne en s’efforçant de comprendre si elle parlait sérieusement puis, sans un mot, il ouvrit son pantalon et, après un deuxième mouvement de la tête pour s’assurer que le jeune homme barbu ne les regardait pas, il sortit une bite magnifique, tendue à l’extrême. Jeanne s’émerveilla mais le métro ralentissait, entrait à Saint-Placide, et ils eurent le même regard vers le quai pour vérifier que personne ne monterait auprès d’eux. Lorsque le métro repartit, Jeanne avança le doigt vers la queue de Jérôme et lui dit :
– Je l’adore. Je l’ai toujours trouvée très belle.
Puis elle se pencha et, sans rien ajouter, elle ouvrit la bouche et absorba le sexe de son mari. Celui-ci ne put réprimer un gémissement de surprise et de bonheur, mais il se laissa faire avec délice. Jusqu’à ce que, à nouveau, le métro ralentisse et entre à Montparnasse-Bienvenüe. Jeanne se redressa et exprima un grognement :
– Pourquoi est-ce qu’ils ont construit les stations aussi près l’une de l’autre ? On n’a pas le temps de sucer correctement, dans ce métro !
Jérôme rit mais se rajusta aussitôt car un jeune couple était monté et s’était assis sur la banquette la plus proche de la leur. Jérôme et Jeanne se regardèrent en riant et, d’une mimique malicieuse, la jeune femme sembla demander à son mari s’il voulait qu’elle continue, en dépit de la présence de l’autre couple. C’était un jeu, un jeu délicieux qui les unissait, qui resserrait encore les joyeux liens qu’ils avaient créés depuis des années.
Arrivés à Denfert-Rochereau, ils durent descendre et, dans le long couloir qui les emmenait vers la ligne 6, Jérôme dit soudain :
– Donne-moi ta culotte, chérie.
Il avait parlé d’une voix calme, tranquille, mais sur un ton qui n’attendait pas de réponse. Il n’avait pas posé la question, il avait simplement affirmé que Jeanne lui donnerait sa culotte. Elle comprit les choses de cette façon et, remontant sa robe, elle passa les mains autour de ses hanches et fit glisser le long de ses cuisses une jolie pièce de lingerie en dentelle blanche qu’elle déposa dans la main tendue de son mari. Lui, d’un air blasé, jouant l’indifférence, n’eut que trois mots :
– C’est très bien.
Ils reprirent leur marche vers le quai de la ligne 6, direction Nation, et Jérôme ne put s’empêcher de remonter le bas de la robe de Jeanne et de lui découvrir les très jolies fesses qui se trouvaient nues à présent. Elle fit semblant de se fâcher :
– Arrête ! Je mouille !
– Salope !
– Moi ? Une salope ? Oh ! Alors que tu as épousé une petite femme sage et tranquille, et honnête et sérieuse, tu oses me traiter de salope ? Espèce de… espèce de cornichon !
– Cornichon ? Tu exagères, vraiment ! Cornichon ! Je ne vais jamais m’en remettre…
En s’amusant, ils parvinrent au quai et n’eurent que deux minutes à attendre avant qu’arrive la rame. Sans doute devaient-ils penser à la même chose car, spontanément, ils se déplacèrent de quelques mètres lorsqu’ils virent que trois personnes occupaient le wagon qui s’était immobilisé devant eux. Dans celui où ils montèrent, il n’y avait qu’un grand type, un Antillais qui portait un cartable en cuir sous le bras, et ils s’assirent à distance en veillant à ce que l’homme leur tourne le dos. Sans qu’ils aient eu besoin d’échanger un mot, Jérôme sortit à nouveau sa queue de son pantalon et, comme il s’était remis à bander, Jeanne avança la main et se mit à le branler doucement, amoureusement. A la station Glacière, l’Antillais se leva, quitta la voiture, et personne n’y monta. Aussi Jérôme se mit-il debout. Jeanne le suivit des yeux, se leva à son tour, et Jérôme prit sa femme par la main : il la conduisit dans le fond du wagon, face à la paroi, lui remonta la robe sur le bassin et, d’un coup, il lui enfonça la queue entre les fesses. Jeanne se cambra, poussa son cul vers l’arrière pour aider son mari, et celui-ci glissa son dard incroyablement dur dans la chatte de Jeanne. Elle n’avait pas menti : elle mouillait. Et ils firent l’amour pendant une dizaine de secondes, secoués par les mouvements de la rame. Puis le métro ralentit : on arrivait à Corvisart. Ils eurent une audace : ils ne bougèrent pas et tournèrent les yeux vers le quai pour voir si quelqu’un se présenterait. Prêts à se désunir, à se rajuster si cela devenait nécessaire… Ils étaient en pleine lumière. Si un homme était survenu à ce moment, il n’est pas certain que les deux amants auraient eu le temps de retrouver une attitude correcte. Mais personne ne vint, et le métro repartit.
Ils baisèrent de cette façon durant une minute encore puis finirent leur petit jeu, car on arrivait à la Place d’Italie, où ils devaient descendre.

Arrivés à la surface, ils avaient encore faim. Ils se dirigèrent vers la rue Bobillot et, sans un mot, trouvèrent une porte cochère que n’éclairait aucun lampadaire. Là, ils finirent ce qu’ils avaient commencé et, au bout d’une minute à peine, Jérôme jouit d’un grand coup de rein. Il ne quitta pas Jeanne tout de suite, il resta en elle un instant, pour savourer l’extraordinaire excitation de ce qu’ils venaient de partager. Puis enfin, ayant repris son souffle et ses esprits, doucement, il fit émerger sa queue, encore tendue, de la chatte de Jeanne. Et ils se regardèrent.

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