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Prom o canape

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Je n’aime pas les injustices. J’étais revenu relativement glorieux de mes vacances. Le soleil, la mer et le sexe tout avait été au rendez-vous. Flanqué de madame et des bambins je n’en avais pas moins baisé de-ci de-là. Un club vacances offre impunément de ces opportunités et madame n’était pas en reste qui jouait sous mon regard indulgent à la couguar invétérée. Vieux couple acquis à la sagesse nous avions compris que nous avions besoin de ce ciment qu’est le plaisir pour affermir et pérenniser notre relation. Aussi perpétuais-je cette noble philosophie jusqu’en mon bureau.

Mon regard fut le premier jour de mon retour émoustillé par la présence d’une stagiaire qu’on avait installé dans un bureau d’en face. Beau bouton de rose, elle respirait la fraîcheur et la jeunesse. Cela devait avoir à peine vingt ans. Je sus plus tard qu’elle était d’origine serbe native de Belgrade ce que trahissait un infime mais charmant accent. Elle avait fait d’emblée unanimité chez les hommes et concomitamment suscité des jalousies chez les femmes. Il en résultât que sur ce dernier point Mme Goude qui régentait le service se refusât à lui rallonger d’un mois son contrat.

Il se trouvât que je pouvais arranger cela. Du moins un jeune collègue énamouré le lui avait fait entendre. Aussi dus-je à cela ce petit sourire timide qu’elle m’adressât dès le premier jour. Vieux, usé d’un physique banal je devais ce genre de gracieusetés à mon seul statut dont j’usais et abusais abondamment. La pauvre n’eût pas entendre longtemps que son zélé avocat vint m’enquérir de suite de son problème. La vieille Goude l’avait eu dans le nez dès le premier jour. Par la suite elle s’était plaint qu’une kyrielle de gueux venaient régulièrement draguer la petite. Cela nuisait au service.

Sur le fond la vieille avait raison mais en ce monde seul compte les formes. Je n’ai jamais conçu que la beauté fut futile ou inutile ici-bas. On a besoin de cela pour porter et supporter sa croix. Dieu pour peu qu’il existât n’a pas inventé pour rien une jolie fille. La sotte Mme Goude ne comprenait rien à cela. C’était une aigrie, une malheureuse se consolant en son seul métier. Je n’avais de cesse de lui rappeler que les cimetières étaient remplis de ces sortes gens qui s’étaient cru indispensables. Elle me rétorquait que j’étais par contre trop dans l’hédonisme et les plaisirs. Que cela me nuirait.

Là aussi elle n’avait pas tort. En attendant je trouvais injuste le sort fait à la petite et qu’on voulut m’en enlever le spectacle peu après que je sois revenu de vacances en cette fin août. Je répondis au jeune homme que j’allais réfléchir. Je lui dis que je ne voulais me fâcher avec miss Goude. Il ne m’en rappela pas moins que celle-ci ne s’était pas gênée il y a six mois pour me faire une vacherie. J’étais trop bon d’avoir passé l’éponge et de me laisser ainsi humilier. Mon jeune collègue du genre impertinent poussât fort le bouchon. Aussi lui répondis-je : »Alors elle te plaît la petite ? »

Il avait une gueule boutonneuse. Il avait peu de chance d’att****r la petite. Du moins s’attribuerait-il le mérite qu’elle fut reconduite ici un mois. Je pensais en mon for intérieur que cette gosse devait être secourue et que mon interlocuteur ici présent n’en était pas moins une canaille qui devait se répandre autant sur moi que sur Mme Goude. Bref j’escomptais manœuvrer à ma façon. Et pour commencer il était d’usage que je convoque la personne concernée pour décider de son sort. Ainsi lui dis-je un matin. « Comment se fait-il ?. On m’a parlé de votre souhait de rester ici un mois. »

« Vous ne connaissez pas les usages. Vous auriez du venir me voir de suite. On m’a dit beaucoup de bien de vous. Mme Goude est trop attaché aux économies. Moi j’estime qu’on doit toujours s’attacher un agent de valeur». Je vis qu’elle était impressionnée par moi plus que par mes discours. On avait du me peindre comme un Zeus tonnant faisant ici la pluie et le beau temps. Ma femme eût rit d’une telle réputation. Je voyais que la petite à l’instant était fort bien disposée à mon égard. Elle riait de bon cœur à tous mes calembours. Même les plus grossiers. Je jouais sur du velours.

Il semblât qu’elle ne fut pas offusquée de mes regards trop appuyés sur ses jambes si magnifiques. Celles-ci étaient à peine hâlées alors que la période eût voulu tout le contraire. Preuve qu’elle avait peu profité et n’eût vraisemblablement pas pris de vacances. On eût dit une Cendrillon vierge et abandonnée. A défaut d’être prince charmant je voulais la secourir. Être du moins son bon génie. L’innocente n’en trahit pas moins un geste coquet. Elle croisa ses cuisses fort haut. Sa robe courte en laissant paraître toute la plénitude. Ajoutons à cela de jolis pieds dans des mules charmantes.

J’étais aux anges. A ma grande honte je bandais. J’eus crainte qu’elle le devinât. Il ne me vint pas l’idée qu’elle fut une rouée au fait des séductions. Le geste suivant eût pu m’alerter. En effet elle commença à balancer au bout de son pied mignon une mule laquelle bientôt exerça sur moi comme une hypnose. Ainsi le fakir envoûte le serpent. L’autre pied fiché tout droit dans le sol était cambré et témoignait d’une nerveuse sensualité. Ressort ne demandant qu’à se détendre. J’imaginais volontiers dans ce corps ici offert des réserves inouïes de jouissance. Je dansais sur ce volcan.

Elle n’avait guère besoin de parler. Son corps était expressif pour cela. Je compris qu’elle était à peu près prête à tout pour me complaire. Je crus bon de clore l’entretien par ces mots : « Si je parviens à vous maintenir, j’aurais l’honneur de vous voir en voisine chaque jour. » Elle sourit. Nous étions par accord tacite sur une même longueur d’onde. Elle devait être heureuse et soulagée que la revêche Mme Goude eût été remplacé par un cochon tel que moi. Elle quitta le bureau imprimant à sa hanche un ondoiement imperceptible. Ceci sûrement pour parfaire mon érection déjà aux faites.

L’après-midi elle n’eut de cesse de m’adresser de loin de beaux sourires que je lui rendais. A présent elle croisait souvent ses cuisses. Elle avait su me subjuguer par ce biais. En même temps elle pouvait un temps demeurer cuisses ouvertes face à moi affectant de consulter dubitativement son ordinateur. Ainsi pouvais-je voir dans tout le détail sa culotte qu’elle avait rose chair et que je crus de loin transparente. Je me serais volontiers approché pour en avoir le cœur net. Plus tard après qu’une feuille chut, elle se baissa pour la ramasser. Le fil ténu du string séparait ses nobles fesses.

Enfin me convainquis-je que cette môme était une garce. Que j’étais son jouet comme les autres. Je ne devais pas me contenter de l’aider mais d’obtenir rétribution. Elle ne ferait pas tant de manières. Ses regards ne mentaient pas. Un matin après qu’elle m’eut présenté son dossier d’embauche, elle demeura tout à côté de moi. Je perçus en plein son parfum de chair. Nous nous frôlâmes. Je n’aurais eu qu’un geste à faire. Glisser ma main sur la cuisse et dessous sa courte jupe. Il n’est pas sûr qu’elle se fut offusquée et me réprimandât. Je me contins cependant. Nous étions au bureau.

J’enlevais sans difficulté la manche. Son contrat fut renouvelé. L’autre imbécile vint m’en louer comme si tout le mérite dut lui en revenir. Je tachais du même coup de prévenir ma jolie serbe contre ce coquin. Elle perçut à l’instant toute mon hostilité et ma jalousie à l’égard de celui-ci. Elle me rassurât qu’elle serait sur ses gardes n’en manifestant pas moins sa joie que je réussis à mon projet que je la conservas ici. Je crus même qu’elle allait me sauter au cou comme on fait à son vieux papa. Ledit papa répliquant par un : »Ne me remerciez pas. Acceptez qu’on dîne ensemble. »

Elle protesta que ce devait être elle qui devait le faire. J’écartais cette hypothèse d’une chiquenaude. « Gardez vos sous pour vous. Honorez par contre le vieux Schnok que je suis en acceptant cette invitation. » Nous rîmes. Elle protesta encore que je n’étais pas si vieux et avait un charme indéniable. Je lui sus gré de mentir avec tant d’aplomb. J’observais qu’elle avait une robe encore plus courte que l’autre fois et était maquillée davantage ce qui ne laissait d’attirer plus tous les vautours autour d’elle. Cela me chagrinait. Mme Goude avait raison. Cela nuisait au service.

Nous arrêtâmes notre rendez-vous à jeudi soir. Je savais de source sûre que ma femme s’offrait les jeudis soir à un amant. Je trouvais de bon goût de pouvoir lui rendre la pareille. J’avais repéré un charmant restaurant donnant en terrasse sur la Seine et peu loin du Bois de Boulogne. Je promis à la belle Cendrillon de pouvoir la ramener avant minuit chez une tante qui l’hébergeait. Les jours précédents elle croisa ses cuisses plus et même effrontément en mon bureau s’abaissât pour ramasser une feuille. J’eus alors son cul magnifique à quelques centimètres et presque sur le nez.

Vint le grand jour ou plutôt le grand soir. Il fut convenu que je viendrais la récupérer au bout de la rue où habitait sa tante. Je fus un peu stupéfait de sa mise. Elle arborait une minijupe et des talons fort hauts. Je trouvais cela compromettant. On eût dit une pute. Elle ne déparait pas au bois de Boulogne où nous nous dirigions. Je m’étonnais que la tante ne s’en fut offusquée. Elle me répondit que la tante s’endormait souvent devant la télé et ne l’avait vu ainsi partir. Nous rîmes de bon cœur. Nous semblions jouer un bon tour à la terre entière. J’étais flatté d’avoir à mes côtés cette jolie fille.

Par jeu je crus devoir faire un détour vers le trop fameux bois de Boulogne. Je prenais souvent cette fantaisie avec une nouvelle conquête afin de susciter un émoi feint ou sincère. Là ma jolie serbe demeura indifférente à un tel spectacle. Je fus étonné de son défaut d’étonnement. Je lui en marquais la surprise. Je lui dis ayant pris parti maintenant de la tutoyer : « As-tu vu ce conglomérat de filles plus dénudées les unes que les autres ? » Avec le dernier sérieux et affectant un haussement d’épaule, elle répondit ; « Dans mon pays c’est coutumier. Un gagne-pain comme un autre. »

Je fus soufflé de ce cynisme en une pareille âme. L’expérience de la vie l’avait déjà corrompu et moi en bourgeois français je faisais figure ici d’un jouvenceau. Je la regardais à présent autrement. C’est elle qui indéniablement menait le jeu. Peut-être ne l’avais-je impressionné en rien. Se ravisant un peu tard qu’elle avait trahi une part d’ombre de sa personne, elle ajouta : « C’est dégueulasse ce qu on impose à ces pauvres filles. » Il n’était pas difficile de voir qu’elle ne pensait pas une once de qu’elle disait. » Elle avait un cœur dur et mort. Tout était joué. Je trimbalais une actrice dépravée.

J’en fus ainsi mortifié. Elle dut percevoir un peu qu’elle avait abîmé l’ambiance. Aussi reçus-je sa première caresse. Elle passât sa main dans mes cheveux. D’un ton espiègle, elle dit : « J’aime bien votre tête. Vous avez une tête d’ours. » J’eus un sourire forcé. Je gambergeais déjà. Elle renchérit comme pour me provoquer. « Je ne veux pas que vous rentriez trop tard. Je me mets à la place de votre femme. » Le propos était pervers. Elle me jetait le marché en main. Je ne parvins qu’à bredouiller une réponse : « Ma femme est en province. » J’étais agacé contre moi-même.

Heureusement apparût un bandeau de la Seine puis le restaurant. Un puis deux hommes se retournèrent sur elle après que nous les eûmes croisé. C’est vrai qu’elle était jolie. Je pouvais être fier de l’avoir ce soir à mon bras. Je revins du coup à ma réputation ou prétention de libertin. L’après-midi pris d’un soudain scrupule, j’avais examiné son dossier pour considérer l’âge et qu’elle ne fut mineure. Elle avait eu dix-huit ans au début de l’année. Je me faisais l’effet d’un de ces porcs en quête de chair fraîche et qui écument l’Asie. N’était-elle pas plus jeune que mes deux filles ?

Elle avait pris mon bras avant que nous passions le seuil du restaurant. Elle voulait effacer les nuages qui s’étaient amoncelés sur notre soleil. Même me fit-elle un baiser câlin dans le cou. J’en marquais la surprise. Manifestement elle voulait qu’on nous vit comme amants. A cet égard nombre de regards convergèrent vers nous. Il y avait ceux de curiosité et ceux d’une franche réprobation. Ces derniers haïssaient qu’un vieux cochon put s’afficher avec une aussi jeune fille. Je pris cela pour un préjugé bourgeois. En cave je me rebiffais et vins à la caresser devant tout le monde.

A présent elle tomba le masque en quelque sorte devant moi. Ou du moins m’offrit-elle ce soir-là un de ses multiples avatars. Encore aujourd’hui je ne suis pas sûre de la personne que j’eus en face de moi. Heureusement le champagne _ car je décidais que celui-ci nous tiendrait lieu de boisson tout le repas _ remplit nos verres et allumât les feux d’une première ivresse dans nos yeux. Là aussi je ne parvins pas à ce qu’elle fut plus saoul que moi. Elle avait vraisemblablement appris à boire dans son pays. Elle maîtrisait tout à la perfection. Son joli pied vint caresser le mien sous la table.

Pour les autres il était par trop évident que c’était une putain ou autre escort-girl que j’avais débauché dans un hôtel. Elle me chauffait impunément. Il y avait loin de la petite secrétaire timide qui de son bureau en face m’adressait de petits sourires par en dessous. J’avais affaire à une professionnelle tout en dextérité. Je comprenais maintenant son sang froid de tout à l’heure tandis que nous traversions le bois empli de prostituées. J’eus le soupçon qu’elle avait un temps fait ce métier. Je n’avais à me faire du souci pour tout à l’heure. Elle n’était ni niaise ni pucelle.

En effet je ne fus pas déçu. Avec quelque soulagement on nous vit quitter le restaurant. Décidément nous faisions trop mauvais genre. La qualité de nos relations avait été affiché avec ostentation. Je fus désagréable tandis que je payais et signifiais au serveur que je ne remettrais jamais plus les pieds ici. Je dis tout haut : « Je hais tous les Tartufes ! » Ma jolie serbe ignorant Molière m’en demanda l’explication. Elle rit. Elle considérait que les trois quarts de l’humanité méritait le terme. Elle avait bien raison. Dans la voiture je n’eus de peine à l’embrasser et à la caresser.

Sa main se glissa à mon pantalon. Elle me branlât au travers. Puis après elle suça. Elle refusa que nous quittâmes le parking du restaurant. J’aurais volontiers fuit celui-ci. Avec un air de défi elle tint à faire ce qu’ils avaient soupçonné. Une putain ne pouvait se comporter autrement . Tout au départ gêné je fus emporté, subjugué par son talent. Où cette petite avait apprit cela ? Des femmes plus garces et expérimentées ne suçaient mieux. Je fondais dans sa bouche. Avec ses doigts elle excitait à ravir toutes mes couilles. Je crus plus d’une fois défaillir. Enfin nous quittâmes le parking.

Elle-même me proposa d’aller au bois. Façon peut-être d’y aller rejoindre ses sœurs. Je ne trouvais pas l’idée si saugrenue. Maintes fois j’y avais sauté des garces dont quelques collègues. Cela grouillait d’impénitents voyeurs et cela m’excitait. Ma chienne de ce soir m’invitât à cet égard à la prendre non dans l’auto mais dehors contre un arbre. Point trop difficile de lever une jupe par trop minimale. Le fil du string à peine écartée, elle fut illico introduite et bourrée. Elle répondit à mes ruades par d’analogues contorsions du cul et du bassin. Je baisais assurément une sublime salope.

Cette nuit-là nous écumâmes plusieurs lieux du bois. Jamais je ne fus tant sollicité. J’y crus y ruiner ma santé. Assez valeureux en l’exercice, cela outrepassait ici mes forces. J’eus idée qu’elle avait décidé à vider les couilles d’un vieux cochon et à le vouloir mettre à l’épreuve jusqu’à l’écœurer. En sorte elle me payait en une seule fois de ce que j’avais été bon et efficace pour elle. Elle voulait montrer aussi que je n’étais de taille à être son amant. Que je devrais passer mon chemin. Je parvins à la même conclusion. Je conçus en effet que cette créature était trop dangereuse pour moi.

En effet le mois durant nous demeurâmes amants en certaines occasions. C ‘est elle qui me relançait. Elle poussait même la hardiesse à me sucer dans les toilettes au su des autres. Je trouvais limite ce genre d’audace. Elle voulut par le détail savoir la répartition du pouvoir dans les services. Bientôt lui lâchais-je que tel ou tel pourraient la faire parvenir très haut. J’eus idée ainsi de me débarrasser d’elle. Mon plan réussit que trop. Elle finit son stage auprès d’un directeur, débauché notoire. Elle devint sa mairesse, obtint d ‘être titularisée. Son reste de parcours relevant du livre des records.

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