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Un Rebeu à biberonner

Un Rebeu à biberonner



Voilà douze ans que je suis en couple avec le même mec et notre vie sexuelle est devenue assez planplan… pour autant qu’elle ait jamais été vraiment palpitante !

Il y a de cela trois ans, mon compagnon m’a trompé et je lui en ai beaucoup voulu. D’abord parce qu’il a brisé la confiance que j’avais en lui. Ensuite parce que je n’appartenais qu’à lui et que je me rendais compte que l’inverse n’était pas vrai. Enfin -et j’éprouve une certaine honte à le reconnaître-, parce qu’il ne s’est jamais risqué, avec moi, à des jeux aussi excitants qu’avec ses amants, et je crois que j’en ai été vraiment jaloux, même si, au début je ne l’aurais jamais reconnu…

Ayant des horaires de boulot assez peu contraignants, contrairement à mon mec qui travaille de 8h à 20h, je suis souvent seul à la maison. Et je dois avouer que la solitude me pèse de plus en plus. Pendant longtemps, je l’ai comblée en matant des pornos ou en lisant des histoires sur xhamster. Mais, il y a quelques mois, j’ai commencé à avoir envie de plus… Il y a trois jours, j’ai finalement décidé de m’inscrire sur une sorte de site de rencontre, spécialisé dans les plans suce. Pour être honnête, je ne pensais pas que ça donnerait quoi que ce soit car j’habite une petite ville de province et que je me disais que ce genre de site ne marche que lorsqu’on est un éphèbe à la peau duveteuse.

Moi, je suis de taille moyenne et j’ai dix bons kilos en trop. En plus d’avoir du bide et des poignets d’amour, j’ai le crâne dégarni, je suis barbu et aussi relativement poilu. Bref, je m’apparente à ce que les homos appellent un « bear »… Il paraît que je ne suis pas laid. Cependant, mon look est loin de correspondre aux canons de beauté de la majorité… Pour aggraver le tout, je suis une sorte de « passif contrarié ». Ayant un tempérament angoissé, j’ai beaucoup de mal à m’ouvrir à la sodomie. Du coup, je suis obligé d’être actif dans mon couple, ce que je trouve particulièrement frustrant. De fait, les rares fois où je suis parvenu à me faire prendre, j’ai pris un pied incroyable ! Bien plus grand que lorsque je suis actif…

Je me suis donc inscrit sur le site et me suis amusé à regarder les profils des autres utilisateurs. Il y en avait beaucoup. En tout cas beaucoup plus que je ne l’aurais imaginé. Certains mecs y affichaient leur bite. Quelques-uns leur visage. Mais la plupart des comptes semblaient inactifs depuis longtemps. J’ai aussi constaté qu’une grande partie des mecs inscrits étaient des « biberonneurs » plutôt que des « biberonnés ». Or, moi, j’avais envie de m’offrir à quelqu’un, et pas l’inverse. Pendant deux jours, j’ai papillonné sur le site pendant mon temps libre et ai vu quelques personnes connectées. Malheureusement, personne n’a pris la peine de me contacter. Cela ne m’a pas surpris et donc pas vraiment déçu.

Les choses se sont passées différemment cet après-midi. Vers 15h, un jeune homme de 34 ans me contacte. Son profil ne dit pas grand-chose. A part son âge, il explique que l’utilisateur se déplace et qu’il se fait sucer uniquement. Son pseudo est « Bon21 », ce qui pourrait sembler prometteur. Cela dit, la photo du site présente un organe qui paraît davantage dans la moyenne et je ne suis donc pas convaincu de la signification du chiffre. La peau du mec semble mate et le gland est décalotté, ou peut-être circoncis. Difficile de se faire une idée. Le gars me parle… Avec un maximum de fautes de français comme il est d’usage sur ce genre de site… Et il me demande si je suis disponible pour le biberonner. Dans un premier temps, je me montre peu enthousiaste. Aujourd’hui, il pleut des cordes et je n’ai pas envie de bouger. Je refuse donc le plan extérieur, qui me fait peur, de toute façon. Je lui dis aussi que je ne peux pas recevoir… En réalité, je pourrais car il n’y a aucun risque que mon mec rentre. Néanmoins, je n’ai aucune envie d’inviter chez moi un parfait inconnu. La conversation est donc sur le point de s’arrêter quand il m’envoie une autre photo de sa queue. Et là, je comprends !
– Tu es rebeu ? lui demandais-je en constatant qu’il est bel et bien circoncis.
– Oui, répond-il sobrement.

En lisant son message, je sens mon sexe gonfler immédiatement. Cela fait des années que je fantasme sur les Maghrébins. Je n’en ai jamais connu mais, comme beaucoup d’homos, je suis fasciné par leur image de mâle dominant. Malgré tout, je ne veux pas m’emballer. Je sais que mon physique peut rebuter. Je sais aussi qu’il n’est pas question de faire rentrer un « plan » chez moi à la première rencontre.
– Je suis barbu. Ça te dérange ? le questionnais-je, déjà défaitiste.
– Pas si t’es un bon suceur endurant, me dit-il.
– Je ne peux pas t’accueillir chez moi, mais j’ai une cave, qui a de la lumière et qui n’est pas trop glauque. Ça te va ? lui demandais-je.
– C’est cool, répond-il.

Après quelques échanges supplémentaires, nous convenons de nous retrouver à 15h30 devant ma résidence. Il me demande de la discrétion. Je fais de même.

En attendant le rendez-vous, je me rafraîchis un peu. Contrairement à ce que j’aurais pensé, je ne me sens nullement coupable. J’éprouve juste un peu d’appréhension en me demandant comment va se passer la rencontre. Je sors de chez moi le cœur battant et j’attends devant l’entrée, en espérant ne croiser aucun voisin.

Une ou deux minutes plus tard un Arabe arrive. C’est une vraie caricature de racaille hétéro ! Il est vêtu d’un jogging Adidas et porte une casquette à l’envers. Son teint est mat et ses traits sont typiques des Africains du Nord. Il porte une petite moustache et une barbe courte. Il est souriant mais a l’air un peu timide. Je suis aux anges, je vais défaillir ! Nous nous saluons et je le fais entrer dans la résidence avant de le conduire dans ma cave. En voyant la pièce, qui est davantage un débarras qu’une vraie cave, il me dit : « c’est cool ; c’est tranquille ici ». Puis il ajoute, en enlevant sa veste de jogging : « Tu veux te mettre comment ? ». Au même moment, je m’agenouille devant lui, ce qui le fait sourire. « Déjà prosterné devant moi ? J’adore ! ».

Il sort ensuite sa queue de son jogging… Mon Dieu ! Les photos ne lui faisaient pas du tout honneur ! A demi-molle, sa bite est déjà aussi grosse que la mienne (15 cm). Je la gobe avec gourmandise et la prend tout entière en bouche, ce qui fait lâcher à mon Rebeu son premier râle de plaisir. Je le suce ensuite pendant plusieurs minutes, et je sens sa bite s’allonger sous mes coups de langue. Elle grossit aussi sensiblement. Pourtant, je continue mes allers-retours le long de sa hampe. Son chibre épouse parfaitement la paroi de ma gorge et je ne suis dérangé par aucun haut-le-cœur. Eprouvant le besoin de reprendre mon souffle, je libère finalement la queue et la contemple un instant. Je suis alors époustouflé ! Elle doit en effet mesurer le « bon 21 » cm promis sur le site !

Fasciné par cette vision, je décide de m’occuper des couilles de mon Rebeu. Elles sont rasées et pendent bien. Je les gobe l’une après l’autre, après les avoir généreusement suçotées. Pendant ce temps, l’étalon arabe plaque sa queue contre mon visage pour signifier que je ne suis qu’un présentoir, laissé à sa disposition le temps de notre rencontre. Après quelques minutes, durant lesquelles j’entends son souffle s’accélérer et je vois son visage se crisper de plaisir, je libère ses bourses pour pomper à nouveau sa queue. Je m’occupe d’abord de son gland, sur lequel j’effectue force mouvements de langue. Puis j’avale sa hampe, tout en lui agrippant les fesses pour faire rentrer son chibre tout au fond de ma gorge. Ce faisant, je prends un double plaisir. D’abord parce que sa bite épouse une nouvelle fois ma bouche. Ensuite parce qu’il a des fesses merveilleusement musclées, qu’il est fascinant d’empoigner.

Après plusieurs secondes ainsi, je lâche mon étreinte pour reprendre mon souffle. Le Rebeu me dit alors que je suis « une bonne pute » et que j’ai « une bonne bouche de suceuse ». Puis, il commence à me donner des bifles avec sa queue. C’est la première fois qu’un mec me fait ça et c’est tout simplement divin ! Je reçois ainsi cinq ou six coups de bite, avant qu’il empoigne ma tête et alterne gorges profondes rapides et nouvelles bifles.

Après ce petit rituel, le Rebeu me demande de m’occuper à nouveau de ses couilles et commence à se branler. Je lui fais un sourire et lui dis : « ok, mais tu ne dois pas jouir trop vite car je veux vraiment profiter de ta queue ». Ma remarque le fait sourire. Il a l’air flatté. Et peut-être aussi heureux d’avoir enfin rencontré un partenaire qui ne se lasse pas de sa queue après 5 minutes ! Le visage illuminé, il me répond : « d’accord, petite pute ! ».

Plusieurs minutes se passent, durant lesquelles je joue goulument avec ses bourses et caresses ses fesses et ses cuisses musclées. Puis, il me demande de lâcher ses couilles et d’ouvrir la bouche. Pendant un instant, je crois avec déception qu’il va décharger. En réalité, il approche son visage du mien et me crache dans la bouche. Un long jet de salive passe de ses lèvres à ma gorge. C’est la première fois que je vis cette expérience et jamais je n’aurais cru qu’elle m’exciterait ! J’avais déjà vu ce genre de scène dans des pornos et elles ne m’avaient pas fait envie, même si je ne les avais pas non plus trouvées dégoutantes. Mais là, je suis complètement fasciné. Sa salive a un fort goût de tabac, qu’il a dû fumer avant de débarquer chez moi. Et je déteste le tabac ! Mais là, il s’agit du plus délicieux des nectars ! Il me jette un regard dominateur, mais semble surpris quand je lui demande : « encore, s’il-te-plaît ! ». Suivent alors 3 autres crachats, durant lesquels le visage de mon Rebeu s’approche imperceptiblement du mien.

Après ce moment magique, je reprends sa queue énorme dans ma bouche et je l’entends me dire : « tu peux me caresser le cul si tu veux, petite pute ». Je dégage alors son chibre de mes lèvres et lui demande : « tu veux que je te lèche le cul ? ». Il a l’air gêné et je me dis que je n’aurais peut-être pas dû poser cette question. J’ajoute donc : « C’est pas une obligation, c’est uniquement si t’as envie ». Ce à quoi, il me répond : « si tu aimes, vas-y ! ».

Je l’invite donc à se retourner et vois pour la première fois ses belles petites fesses musclées. J’approche ma tête de son cul et écrase ma bouche contre son anus. Il n’est pas complètement propre mais ce n’est pas grave : je suis trop excité. Ma langue effectue des vas-et-viens sur sa raie, au niveau de son anus puis pénètre son petit trou. J’écarte ensuite ses fesses pour faciliter le travail. Mon Rebeu est ravi. Je l’entends prononcer plusieurs petits râles. Puis il dit : « Oui, c’est bon ! Nettoie-moi bien le cul, petite pute ! ». Je continue encore à jouer avec son anus durant plusieurs minutes avant de lui dire que je veux encore sa queue.

Il se retourne et je vois dans ses yeux que quelque-chose a changé. Il a compris que je lui appartiens et qu’il peut faire ce qu’il veut avec moi. Ce n’est pas un regard malsain ou pervers. Simplement, il a compris que je ne suis pas un fantasmeur comme il en a peut-être rencontré des dizaines. Je suis une chienne, qui a besoin d’un mâle pour la satisfaire.

Le Rebeu recommence alors à me donner des bifles, mais plus fort que la première fois. C’est encore meilleur ! Ça ne fait pas du tout mal, c’est juste une autre façon de m’imprégner de sa virilité. Puis, il me demande d’ouvrir à nouveau la bouche et me crache dans la gorge. Je vois ses filets blancs partir de ses lèvres et tomber entre les miennes. Tout ça me fait bander comme un cochon mais mon Rebeu ne s’intéresse pas le moins du monde à mon entre-jambe, pourtant sous tension ! Je vois toutefois sa bouche se rapprocher de la mienne. Je suis très excité et je tente un rapprochement avec sa langue. Nos deux organes se frôlent et je m’attends à un recul de la part de mon beau mâle. Toutefois, il n’en est rien ! Je m’approche donc un peu plus et tente un baiser, qu’il accepte avant que nous nous embrassions à pleine bouche pendant plusieurs minutes ! Encore une fois, je suis aux anges car je ne m’attendais pas à ce geste de tendresse passionnée !

Après ça, il me remet à genoux et écrase sa queue contre mon visage et mon nez « pour que [je] continue à sentir [sa] queue après [son] départ ». Puis, il me demande de m’occuper de ses couilles pendant qu’il se branle. Ce manège dure encore plusieurs minutes. Finalement, l’étalon arabe me dit qu’il va venir. J’enfourne alors sa queue dans ma bouche et le suce jusqu’à ce qu’il jouisse. Son jus n’est pas très abondant -ce sera la seule déception de notre rencontre- mais il a bon goût. Je le nettoie entièrement avant qu’il ne range son braquemart et se rhabille. Je renfile alors mes vêtements mais mes gestes sont maladroits, ce qui le fait rire. « Tu as l’air complètement dans les nuages » me dit-il, et c’est vrai !

Avant de sortir de la cave, il me dit qu’il est content d’avoir fait ma connaissance. Je lui dis que j’espère le revoir, ce à quoi il me répond qu’il restera sur le site. Je le raccompagne jusqu’à l’entrée de la résidence et lui sert la main. Je bande encore comme un cochon et, une fois la porte refermée, je courre à la maison me branler.

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