Aussitôt sortie de la douche, je fonce téléphoner à Sofia pour lui raconter mon aventure sans lui dire ce que j’ai proposé à Paul. Elle en est si excité, qu’elle se caresse et en joui au téléphone. Je lui propose de venir le lendemain pour une après-midi coquine ensemble. Bien entendu, elle accepte aussitôt.
Le lendemain, la matinée me semble une éternité. Je me met devant le PC et regarde des vidéos coquines en pensant à Sofia. Elle occupe tant mon esprit que je ma masturbe machinalement et joui devant les scènes érotiques qui se déroule sous mes yeux. Je m’imagine déjà entrain de nous caresser devant Paul qui ayant pris des pilules bleu, bande comme un âne prêt à nous saillir.
Quinze heures, la sonnette retentit, c’est Sofia c’est certain et j’accoure pour lui ouvrir. Nous nous sautons dans les bras. Je pense qu’elle était aussi impatiente que que moi et nous nous embrassons langoureusement en nous déshabillant à la hâte.
« J’ai trop envie de toi ma chérie. » Me dit-elle.
« Moi aussi. Regarde comme je mouille pour toi. »
je prends sa main et la mets sur mon coquillage trempé.
Je la plaque contre le mur et je l’embrasse à pleine bouche. Nous échangeons des baiser fougueux. Nous sommes maintenant totalement nues et nos mains parcourent fébrilement nos corps.
Je la prends par la main et la conduis sur sur la terrasse baignée de soleil, pour continuer nos caresses. Je jette un coup d’œil furtif pour vérifié que Paul est bien au rendez-vous pour mater nos ébats. Je la pousse sur la table de jardin et plonge ma tête entre ses cuisses pour lui bouffer la chatte comme une affamée.
Dans la position où je me trouve, Paul et au première loge et ne peut manque de voir mon cul et ma chatte bien exposés ainsi que la nudité de Sofia qui se tortille sous mon cunnilingus gourmand. Je l’amène trop rapidement au bord de l’orgasme et j’arrête à temps pour qu’elle n’explose pas, la laissant frustrée. Elle me fait mettre à quatre pattes et je me place pour que Paul en profite aux maximum. Je ne sais pas à ce moment si elle a remarqué le vieux voyeur.
Je me cambre pour être la plus offerte possible. Sofia écarte mes fesses et commence à passer sa langue sur ma rosette. La feuille de rose qu’elle me prodigue est merveilleusement agréable.
Je gémis sous ses coups de langue. Elle sait y faire et ma rosette palpitante s’ouvre à la pénétration de sa langue dans mon cul. Je couine, gémis, feule comme une chatte en manque de matou.
Tout en me massant le clito, elle me pénètre deux doigts dans ma chatte baveuse en continuant de me lécher le cul. Je ne veux pas jouir maintenant car je sais que le voisin n’attend que mon signe pour venir s’occuper de nous.
Je lui dis :
« Attends, j’ai une surprise. Je crois que mon voisin n’attend qu’un signe de notre part pour venir participer. »
Sofia me sourit, complice. Sans me répondre, elle me pelote vigoureusement les seins en m’embrassant avec gourmandise. Je fais un petit signe au voisin qui s’empresse de passer la clôture pour nous rejoindre. Il est déjà à poil et tient en main un mandrin qui me semble encore plus gros et raide que la veille.
Sofia en le voyant s’approcher, se met à me doigter avec une ferveur démoniaque. Je suis excitée à mort. Je mouille comme une folle. Soudain mon corps se cabre et un petit jet de cyprine gicle sur la main de mon amie. Paul, les yeux écarquillés, n’en revient pas. Je le regarde en souriant.
Il écarte Sofia et plonge entre mes cuisses pour me boire et étancher sa soif avec ma mouille. Sofia se place derrière lui et le masturbe en pressant ses couilles. Le vieille homme gémit en me bouffant le minou. Il a le visage luisant de mon jus de femme. Il pince mon clitoris dur et sensible. Une deuxième vague de plaisir m’envahit. Sofia maintenant pompe vigoureusement Paul qui accélère le mouvement en me pelotant durement les seins. Il ne prend pas de gant désormais. Il sait qu’il peut faire ce qu’il veut avec deux salopes comme nous et il en profite le salop. Je cris comme une damnée quand il mord mon clito et qu’il éjacule dans la bouche de Sofia. Il va sassoir dans un fauteuil pour reprendre ses esprit en nous disant :
« Vous êtes deux sacré chiennes en chaleur mes salopes ! Gouinez-vous devant moi le temps que je reprenne des force et que je vous baise toutes les deux. La pompeuse va partager mon sperme avec Michèle ! »
Il n’a pas besoin d’insister. Sofia m’embrasse à plein bouche me faisant en même temps partager la liqueur de notre vieille amant voyeur. On commence devant lui une séance saphique d’enfer. J’ouvre un tiroir et je sors un double dong que j’introduis dans la chatte de Sofia qui couine son plaisir et l’autre bout dans la mienne. Dans nos des va-et-vient, nos chattes et nos clitos se touchent. Chacune s’agite à son rythme. Paul rebande comme à sa prime jeunesse. Je me retire, mets Sofia en position de levrette et fais signe à Paul de venir. Je prends sa bites dure comme du bois et la place sur la rosette de mon ami. En un coup de rein, il la pourfend lui faisant pousser un feulement. Malgré la brutale pénétration, elle prend plaisir à le sentir au fond d’elle. Il se met à la limer vigoureusement pendant que je lui suce les seins qui ballottent sous elle sous les coups de boutoirs de Paul . Elle gémit de plus en plus fort. Ses petits cris deviennent de plus en plus déchirant. Paul la défonce furieusement. Elle est belle quand elle jouit. Je me place devant elle pour lui faire bouffer ma chatte pendant qu’elle se fait démonter le cul par le vieux. Nous ne sommes plus que des femelles en chaleur au service de notre plaisir et de celui de mon voisin.
Alors que Paul est prête à jouir pour la deuxième foi, il ressort du cul d’ Sofia et nous nous plaçons toute les deux devant lui pour recevoir sa bénédiction spermatique. Dans un grognement sourd, il nous balance par saccade son jus en pleine figure. Puis nous lui nettoyons la bite en partageant l’excès de semence à notre disposition. A ce moment, mes filles arrivent sur la terrasse.
Paul est atterré que mes filles puisse voir ce moment de folie érotique. Presque en s’excusant, il leur dit :
« Je.. Je suis désolée mais…heu… Désolé… Je vais rentrer chez moi. »
Elles se mettent à rigoler et rétorquant :
« Mais non continuez… On est pas choquées au contraire. Vous êtes magnifique tout les trois et on adore voir maman dans ces situations quand elle se fait mettre par des femmes et des hommes. Si ça peut vous rassurer, nous aussi on aime le sexe et avec n’importe qui. Donc pas de blême continuez.»
« Merci les filles d’être si compréhensives. Mais peut-être alors voulez vous goûter à ma bite ? »
Ouvertes d’esprit, elles se précipitent sur la verge de mon voisin et termine le travaille que nous avions commencé. Du coup, grâce aux fameuses pilule le voilà raide et prêt à honorer mes filles.
Alors qu’il passe d’une bouche à l’autre, Sofia et moi nous câlinons dans notre coin. L’ambiance sur la terrasse relève plus du lupanar que d’un cadre champêtre.
Nous jouissons ensemble et mes filles avalent avec une gourmandise qui surprend Paul, sa généreuse liqueur. Après de tels ébats, comme si c’était nécessaire, je lui présente mes deux filles, Séverine et Isabelle ainsi que Sofia. Dans cette ambiance ubuesque, on éclate tous de rire. Je sers à tout le monde du champagne pour fêter l’événement. Paul est dans un état pas possible et vu son grand âge, je ne voudrais pas qu’il nous claque entre les doigts. Les filles s’en inquiètes aussi en remarquant :
« Mais il ne débande pas ? Il reste aussi raide que tout à l’heure ? C’est pas dangereux pour vous Monsieur Paul ? »
Il ne leur répond quand pelotant leurs seins et en les embrassant avec gourmandise. Paul en me regardant me dit :
« Putain ! Telle mère telles filles ! Elle sont chaudes comme c’est pas permis tes deux petites salopes ! »
Je lui souris satisfaite d’avoir bien élevé mes deux filles qui adore le cul autant que moi.
Il pénétre Isa qui se pâme aussitôt. Séverine passe derrire notre voisin et lui gobe les couilles en lui mettant un doigt dans le cul. J’ai vraiment peur pour Paul qui est rouge comme un poivron en défonçant la chatte d’Isa. Mes filles sont partageuses et Séverine prend la place d’Isa en demandant à Paul de l’enculer. Ces Isa qui guide la queue du vieille homme vers l’antre étroite de sa sœur. Après un bourrage en règle, Séverine part dans un orgasme digne des miens. L’ancien lui lance :
« J’vais pas tarder à jouir ! »
Aussitôt les filles lui demande :
« Jouissez dans nos s’il vous plaît Monsieur. »
Devant une telle supplique Paul ne peut qu’accéder à leurs désirs. Il sort du cul de Séverine et explose tout son foutre dans leurs bouches. Sofia et nous nous empressons de les rejoindre et de partager sa semence gluante. Sofia ensuite repousse mes filles pour consciencieusement lui nettoyer la queue à grand coups de langue comme le ferait une chienne à son Maître. Mes filles rigolent de cet engouement et files sous la douche en nous laissant avec Paul qui est à bout de force cette foi.
Mais Sofia et moi n’en avons pas assez et nous nous mettons face à face, en ciseaux pour nous frotter les chattes l’une contre l’autre. Paul cette foi n’a plus la ressource pour s’occuper de nous mais apprécie à sa juste valeur le spectacle en dégustant une coupe de champagne. »Oui bandes de femelles en chaleur, j’veux vous entendre crier grosses salopes ! »
Il vient vers Sofia avec la bouteille de champagne et lui enfile profond dans le cul. En lui écrasant un seins d’une main ferme. Dans un cri de douleur, et de plaisir, nous hurlons ensemble et un orgasme libérateur nous fait nous écrouler dans les bras l’une de l’autre.
Paul nous verse du champagne dessus et se met à laper le royal liquide.
« Putain que vous êtes bonnes les filles. Allez à plus, je vous laisse. »
Il repart guilleret chez lui et en nous soutenant l’une et l’autre, les jambes flageolantes, nous allons prendre une bonne douche.
Sofia me remercie de sa journée fructueuse en émotion et repart à son tour chez elle.
Mes filles arrivent derrière moi en me glissant à l’oreille :
« Putain que c’était bon. Le vieux est d’enfer ! Merci Maman ! »
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