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Un sexologue pervers (2)

Un sexologue pervers (2)



— Allongez-vous, Mademoiselle.

Elle s’allongea sur le dos.

— Pas comme ça : à plat-ventre !
— Oh, excusez-moi.
— Voilà, très bien. À présent, cambrez votre bassin vers l’arrière pour bien faire ressortir votre c… (submergé par une vague d’excitation, il avait failli dire « cul » mais il se contrôla, et après une brève hésitation il reprit) … votre fessier. Oui, comme ça.

Le sexologue était sidéré par cette croupe sublime qui s’offrait à ses yeux. La peau café au lait présentait un grain extrêmement fin, et une faible marque à l’emplacement du string indiquait que l’adolescente ne pratiquait pas le bronzage intégral ; mais comme Sarah était naturellement bronzée, la différence était infime.
Il avait discrètement fait glisser le zip de sa braguette pour donner de l’espace à sa verge bandée ; elle était cependant masquée par sa blouse blanche que l’érection déformait. Il se demanda si Sarah avait remarqué son geste.

Allongée sur le ventre, complètement nue, ne pouvant plus canaliser son excitation, elle ne désirait qu’une seule chose : offrir à ce médecin pervers une vue imprenable sur son corps. Elle se cambra encore plus afin de se montrer sous son plus bel aspect et tourna légèrement la tête pour voir la réaction du praticien. « Oh, mon Dieu… Tu as bien réussi ton coup, ma fille : il bande comme un cheval ! »

— Je vais devoir pratiquer un toucher rectal, Mademoiselle ; ne vous inquiétez pas, ce n’est pas douloureux.

En disant cela, il avait enfilé un gant en latex et étalé une noisette de lubrifiant sur son index. Il l’approcha du petit cratère situé entre les deux hémisphères de ces fesses rebondies et bronzées qui semblaient le narguer, et commença à enduire le pourtour du petit œilleton plissé. Un léger soupir sortit de la bouche de Sarah. « Pourvu qu’il ne m’ait pas entendue… »

Le sexologue se mit à masser le petit muscle froncé, faisant pénétrer peu à peu la pointe de son index dans la corolle qui s’ouvrait sous la caresse habile ; en effet, il s’agissait plus d’une caresse que d’un acte strictement médical. Lorsqu’il inséra son index, la respiration de Sarah s’accéléra : il lui était impossible de gérer ces sensations nouvelles pour elle.

— Docteur ?
— Oui, Mademoiselle ? C’est douloureux ? Désirez-vous que j’arrête mon examen ?
— Non, non, surtout pas… Je tenais juste à vous dire que vous êtes très délicat.
— C’est normal, après toutes ces années de pratique. Voyez-vous, je suis un spécialiste.

C’est volontairement qu’il avait prononcé ces paroles à double sens tout en faisant pénétrer son index de plus en plus profondément dans le fondement de la jeune fille. Il se mit à effectuer de délicats va-et-vient dans le rectum de Sarah, les accentuant insensiblement. Là, il était carrément en train de lui doigter le cul, à cette gourde qui ne s’apercevait de rien !
« C’est évident : ce toubib est aussi excité que moi, vu l’intérêt qu’il porte à mon cul ! » constata-t-elle.

— Tiens… On dirait quelque chose, là. Ce gant m’empêche de faire un diagnostic correct ; je vais l’enlever.

Ceci fait, il se badigeonna le doigt d’une bonne dose de lubrifiant et l’enfila progressivement – mais d’une seule poussée – le plus loin qu’il put dans le rectum de Sarah et se mit à effectuer des mouvements de rotation, comme s’il cherchait quelque chose de précis. La jeune fille ressentit une intense tension sexuelle ; son corps se mit à vibrer de plaisir.

— Oui, c’est bien ça : il y a quelque chose de particulier, à cet endroit-là. Pour m’en assurer, je vais devoir ajouter un doigt.
— C’est vous le docteur ; faites ce qui vous semble le mieux pour moi.

Le médecin ne put s’empêcher de prendre la balle au bond :

— Ce qu’il y a de mieux pour vous, Mademoiselle ? Mais comment donc…

Il introduisit délicatement son index et son majeur dans l’ouverture qui n’opposa aucune résistance et se mit à masser l’intérieur du conduit qui s’élargissait de plus en plus sous ses caresses profondes.

— Oui, voilà, c’est là !

Et c’est sans scrupule qu’il se mit à masser la zone G à travers la fine paroi séparant le rectum du vagin de l’adolescente. L’effet ne se fit pas attendre : un filet de cyprine se mit à sourdre des petites lèvres violines et engorgées qui dépassaient à présent largement de la vulve de Sarah. Le liquide visqueux coulait sans retenue le long de sa cuisse…

— Hmmm… Ooooh, Docteur…

L’excitation était trop forte : Sarah ne pouvait plus se contenir et soupirait de plus en plus fort, se laissant doigter avec complaisance. Le corps dominé par le plaisir, elle se laissait branler par ce docteur âgé qu’elle ne connaissait que depuis quelques minutes, et elle trouvait cela délicieux !

La vue de cette vulve suintante rendit le praticien fou de désir. Perdant toute retenue, il retira ses doigts du rectum, les remplaça par son pouce, et sans vergogne les enfila dans le vagin détrempé de la jeune fille. Il se mit à exercer de douces pressions dans le ventre brûlant, utilisant sa main comme une tendre pince.

Ne pouvant résister plus longtemps, il avait sorti sa verge et se branlait maintenant ouvertement devant la croupe somptueuse de la jeune fille ; il n’avait qu’une crainte (ou peut-être était-ce ce qu’il espérait, il ne le savait pas lui-même…) : c’est qu’elle tourne la tête et le voie en train de s’astiquer le manche. Comment réagirait-elle ? Il continua néanmoins ses va-et-vient obscènes. Sentant le plaisir monter le long de ses reins, il s’apprêtait à se répandre sur ce cul admirable ; ce n’était plus qu’une question de secondes…

Sarah n’en pouvait plus de plaisir ; ce médecin la rendait folle : elle n’avait jamais pris autant de plaisir. La tentation était trop forte : il fallait qu’elle le regarde la doigter, elle avait besoin de poser son regard sur lui.
C’est lorsqu’elle se retourna qu’elle l’aperçut en train de se branler. C’était choquant, mais elle ne pouvait s’empêcher de regarder sa bite.

— Oh, mon Dieu ! Docteur !
— Je… je suis désolé, Mademoiselle ; c’est plus fort que moi, vous êtes tellement belle…Vous m’avez rendu fou d’excitation !

Elle planta son regard dans le sien. Il tenta maladroitement de se justifier :

— Je ne pouvais pas continuer sereinement cet examen sans évacuer ce trop-plein de désir qui me perturbait…
— Docteur, laissez-moi vous dire une chose…

Il craignit le pire : une dénonciation au Conseil de l’Ordre. Mais tout en continuant à le regarder avec insistance, elle lui avoua :

— Vos mains sont extraordinaires.

Confus, le médecin proposa :

— Bon, arrêtons-nous là. D’après ce que j’ai pu constater, tout va bien au niveau corporel. Je pense que vous faites un blocage qui vous empêche de vous libérer totalement ; cela provient certainement d’une éducation trop rigide ou d’interdits religieux. Ce qu’il vous faut, c’est un partenaire autoritaire devant lequel vous devez abdiquer toute forme de volonté propre. Vous avez besoin de l’autorité d’une personne qui assume la responsabilité de ses actes, et surtout des vôtres ; mais il me semble que votre partenaire habituel est pour l’instant incapable de remplir ce rôle.

Cela sembla plausible à Sarah. Elle attendit sa décision avec appréhension, mais également avec l’espoir de pouvoir bénéficier une nouvelle fois des caresses savantes de l’habile médecin. Elle était frustrée qu’il ne l’ait pas amenée jusqu’à l’orgasme extraordinaire qu’elle sentait pourtant tout proche, et c’est pourquoi elle était bien décidée à ce que, dans un proche avenir, il la fasse défaillir d’une jouissance inconnue.

Il poursuivit :

— Je pourrais vous aider – à condition que vous le vouliez tous deux, lui et vous – en vous guidant sur cette voie ; je dispose de… d’instruments qui pourraient vous aider. Pensez-vous pouvoir convaincre votre ami d’accepter mon aide ?
— Euh, c’est délicat ; mon compagnon est du genre macho : il ne supporte pas que l’on mette en doute sa virilité ou son côté dominateur. Je ne sais pas si je pourrai le persuader, mais j’essaierai avec la plus grande volonté. Dans tous les cas, j’accepte votre aide avec grand plaisir…
— Pourtant, s’il désire pratiquer la sodomie avec vous, il lui faudra accepter mon aide. Vous me tiendrez au courant de sa décision. Bon, vous pouvez vous rhabiller, Mademoiselle ; je vous fais cadeau du montant de cette consultation.

Il se saisit de son string et ajouta :

— Ah oui, je vais devoir conserver votre sous-vêtement pour analyser vos sécrétions ; simple mesure de précaution.
— Alors prenez-le. J’espère que les analyses seront bonnes, Doc ! lui fit-elle avec un clin d’œil.

À peine Sarah s’était-elle rhabillée – la cyprine coulant encore le long de ses cuisses – et avait franchi la porte du cabinet qu’il se précipita sur le string détrempé, le huma profondément et se mit à lécher le petit triangle de dentelle imprégné d’une substance gluante et odorante. De son autre main, il n’eut que quelques allers-retours à faire sur son membre violacé pour envoyer de longs jets de sperme s’écraser sur le parquet.

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