Le lendemain de la demande de Sylvie à être sa pute, Pascal dans l’après midi envoya un message à Sylvie, lui indiquant qu’il viendrait le lundi soir, en retour Sylvie lui répondit que ce n’était pas possible à cause de la visite de sa fille, qu’elles dîneraient ensemble, que c’était bien dommage, car, elle ne travaillait ce jour là, qu’elle devait uniquement se rendre chez ses parents, partis en vacances pour plusieurs mois dans le sud de la France, pour relever le courrier.
Pascal lui répondit qu’il ne travaillait pas. Rendez vous fût pris pour qu’ensemble ils se rendent chez les parents.
Pascal avait, pour tester Sylvie, imposé une tenue vestimentaire, qu’elle vienne uniquement vêtue de bas résille et nue sous un imper, aucune précision sur les chaussures.
A l’heure convenue, il vit son amie, elle portait comme demandé un imper, le col était relevé, des bas résille et des talons hauts, Pascal la félicita pour son exactitude ainsi que pour le choix des chaussures, bras dessus, bras dessous ils se mirent en route.
Les parents de Sylvie habitaient un appartement dans le centre ville de la même commune, Pascal entraina Sylvie dans une rue peu fréquentée, celle du gymnase, il lui demanda d’ouvrir son imper, elle desserra la ceinture, déboutonna les boutons, elle était nue.
Pascal pris son visage à deux mains, déposa un baiser sur ses lèvres puis lui demanda sa langue se qu’elle fît pour un long et profond baiser puis ses mains prirent possession des seins, ses doigts roulèrent et pincèrent les tétons déjà irigés et une main descendit lentement le long du buste, Sylvie frissonna quand la main passa sur ses hanches, s’insinua dans l’aine pour venir caresser son sexe.
_ Ta chatte est déjà ouverte et humide, excitée peut-être?
_ Oui….C’est la première fois que je suis nue et caressée dans la rue.
_ Et tu aimes être si impudiquement exhibée.
_ Oui
Pascal noua unique la ceinture de l’imper, laissant une échancrure si grande qu’on pouvait voir le début de sa poitrine, chaque pas dévoilait le haut des bas et la blancheur de la peau au dessus de ceux ci.
Sylvie marchait tête baissée ne voulant pas voir le regard des personnes croisées, Pascal lui demanda de se redresser, de marcher fièrement en regardant droit devant elle, de supporter le regard des passants et d’assumer de passer pour une salope, chose qu’elle avait pourtant assumée la veille dans le hall d’entrée de son immeuble.
Arrivés devant l’immeuble, Sylvie composa le code et ils pénétrèrent dans le hall, au niveau des escaliers, face à la porte d’entrée, Pascal plaqua Sylvie au mur, dénoua la ceinture, sa main droite se dirigea aussitôt sur le sexe et il constata qu’il était bien ouvert, complète trempé, il insinua un doigt puis un deuxième, pour facilité la chose et le ressenti, Sylvie tenait Pascal par la nuque des deux mains et posait de légers baisers sur les joues, le cou, elle avait levé sa cuisse gauche au niveau de la cuisse droite de son homme, son pied exerçant une pression derrière celle-ci.
Les yeux fermés Sylvie appréciait l’instant.
_ J’ai envie de toi, viens.
Dans l’appartement elle le mena à sa chambre de jeune fille, se débarrassa de son imper et entreprit de déshabiller Pascal, à genoux elle mit le sexe dressé dans sa bouche, sa langue parcourue la hampe sur toute sa longueur par petites et douces caresses, goba les couilles, Pascal était aux anges mais étonné par tant de savoir faire.
Il allongea Sylvie et se plaça entre ses jambes pour déguster cet abricot si lisse et délicieusement juteux, passant des lèvres au clito avec une infinie douceur, Sylvie les yeux clos savourait cet instant, qu’elle avait si rarement connu avec son mari.
Pascal s’allongea, sur le dos, plaça Sylvie sur lui, lui écarta les jambes et la pénétra avec douceur, son sexe jusqu’à la garde entièrement en elle. Sylvie émit des gémissement de plaisir, les mains de son amant parcouraient son corps, passaient de l’intérieur des cuisses, aux seins, descendaient sur le ventre, une caressait le clito gonflé tandis que l’autre roulait et pinçait les tétons.
Le membre masculin alternait les vas et viens vigoureux avec d’autres plus calmes et comme le pratiquait Pascal avec son épouse, faisait pénétrer sa queue de quelques centimètres dans l’antre et demandait
_ Tu préfères comme cela
La réponse était la même
_ Non je la veux le plus profond possible, c’est trop bon.
Les multiples coups de reins puissants, la mains droite passant rapidement sur le clito, la gauche pinçant les tétons, Sylvie fût prise de tremblements, son souffle s’accéléra, une vague de plaisir déferla, des jets de cyprine trempèrent les bourses de Pascal, inondèrent le drap, son corps entier s’arc bouta et elle émis un oui sonore et profond.
Elle retomba inerte, reprenant son souffle mais aussi ses esprits.
_ J’ai jamais connu une chose pareille, c’était fantastique. Merci pour toutes ces découvertes. Mais toi as tu pris du plaisir, as tu jouies?
_ Non, je suis résistant mais l’après midi n’est pas fini, nous avons encore du temps.
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