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Un « sommeil » agité (2)

Un « sommeil » agité (2)



Après cette incroyable après-midi durant laquelle mes trois jeunes amants avaient pris soin de me besogner comme il le fallait, je m’étais rendue compte que j’avais vraiment besoin de m’épanouir sexuellement.
Je n’avais jamais connu de double pénétration avant ce jour là et je dois admettre que c’est une sensation exquise que de se sentir complètement offerte et complètement prise par la fougue de jeunes hommes.

Des mes trois amants, j’avais la conviction que seul Eric, le jeune du village, désirerait continuer notre « relation ». Mon mari ne me touchant plus, je m’investissais entièrement dans cette aventure.

Je savais qu’Eric allait souvent courir à travers la campagne, et je connaissais son parcours. Aussi, je me suis mis de mon côté à faire des marches dans la nature, en prenant bien évidemment soin de prendre un parcours identique au sien.
Septembre avait commencé et le temps était clément, un soleil sans grosse chaleur. Pour mon troisième jour de marche, je rencontrait enfin Eric sur le chemin.
A sa seule vue, j’avoue avoir senti mon sexe tressaillir… Il faut dire que je me caressais quotidiennement en pensant à cette partie fine à trois.

Eric était détendu, si je n’avais pas été la victime de leurs attouchements, j’aurais pu croire que ceci ne fut qu’un rêve. Mais moi j’avais envie de remettre ça, et je ne savais pas comment le lui dire.
Nous avons parlé un moment de la rentrée, de la famille, du temps qu’il faisait, quand il me dit de l’excuser une seconde, car il avait envie de pisser.
Je sautais sur l’occasion!!
Prétextant une envie identique, je l’ai rejoint près du fossé ou il avait sorti son sexe et commencer à uriner. Sans me démonter, je baissais mon pantalon, bien dans son champ de vision tout en continuant à lui parler.
Bien qu’il eut fini il ne rentra pas son sexe qui resta quasiment sous mon nez et surtout à hauteur de ma bouche.

Son regard ne quittait pas mon entre jambe, d’où sortait un jet doré qui semblait l’hypnotiser. Il me dit d’arrêter de pisser je contractais donc un peu ma vessie et le jet cessa.
Il me regarda dans les yeux :
-« ça t’a plu on dirait chienne que tu es! »
J’étais accroupie les fesses à l’air, le minou ouvert en train d’inciter un gamin de 18 ans à me prendre…
-« oui… ça ma plu » balbutiais-je
A peine j’avais ouvert la bouche qu’Eric se mit à ma hauteur, à genoux face à moi et qu’il plongea sa main en direction de mon sexe.
Je senti ses doigts fouiller mon intimité « fini de pisser » me dit-il.
Je m’exécutais sans poser de question, alors que je prenais timidement son pénis dans ma main.
Je voyais mon urine mouiller sa main alors qu’il mettait déjà quatre doigts dans mon vagin.
Je ne voyais pas où il voulait en venir en me masturbant ainsi, alors que moi je voulait sentir son membre entre mes lèvres. Mais petit à petit je sentais ma chatte se dilater laissant le passage aux doigts de mon amant.

Soudain, il décida de rentrer la main complète en moi.
Le choc me fit tomber sur les fesses sur le sol, à l’endroit où j’avais uriné. Je sentais sa main entière entrer et sortir de moi et mon intimité se faisait de plus en plus accueillante.
Nous étions là, assis sur le bord d’un sentier perdus dans la campagne, j’avais une main entière fouillant ma chatte. J’essayais de caresser Eric, mais le plaisir que je ressentais était trop violent. Lui était dur, mais ma jouissance m’empêchait de m’occuper de lui. Je sentais un orgasme comme jamais dans ma vie je n’en avais connus, et tout à coup de long jets de mouille sont sortis de mon sexe, aspergeant le visage d’Eric. J’étais comme tétanisée par le plaisir, contractée de toute part.
Je me sentais plus salope que jamais et j’aimais ça. Sans plus aucun complexe que je lui demandais de m’enculer.

Eric pris alors un peu de mouille sur mon sexe, commença à lubrifier mon petit trou mais je lui fit savoir que j’étais déjà prête à me faire saillir. Il m’enfila juste en forçant un peu pour rentrer. Pour mon plaisir, je me masturbais en essayant de rentrer ma propre main en moi pendant que mon amant me donnait par derrière.

Mon minou était béant, je sentais le membre d’Eric qui s’enfonçait toujours plus profondément en moi, il ne me ménageait pas, sa bite me défonçait littéralement. Que c’était bon!!
Je sentais son membre dur au possible, passer dans mon anus, et j’atteignis l’orgasme lorsqu’il me dit qu’il allait jouir. Ma main était à sa place dans mon minou, sa queue dans mon cul, et je senti ses énormes saccades de spermes chauds provocant une sensation délicieuse, celle d’être comblée. Comme lors de nos premiers rapports, Eric sorti sa semence chaude de mon corps avec son sexe pour me la faire déguster, ce que je fit sans me faire prier.
Une fois propre, Eric remonta son pantalon et garda ma culotte humide de pisse et de mouille « afin de conserver mon odeur » me dit-il.

Il espérait me revoir, et je le voulais certainement plus que lui, alors nous nous retrouvions tous les jours sur ce chemin afin de pouvoir assouvir nos besoins mutuels.

J’aurais du me douter que mes nouvelles « marches » soulèveraient quelques attentions, mais je n’aurais jamais imaginé qu’elles viendraient de mon amie Pascale, la cousine de mon mari.
Le fait est que je passais à chaque fois devant chez elle afin d’atteindre le point de rendez-vous avec Eric… Elle aussi connaissait Eric depuis gamin, ella a mon âge, car nous sommes de la même année.

Un jour que j’attendais Eric au point de rendez-vous, ce dernier arrivait un peu en retard…
« pas trop tôt » lui avais-je dit, « je te signale que tu as une chatte à bourrer »
Il sourit devant tant de provocation, j’étais moi-même surprise de tant d’assurance de ma part.
Il quitta son tee shirt et me dit « ferme les yeux, j’ai une surprise pour toi » il me banda les yeux avec son tee shirt.
Je n’aimais pas l’idée, car j’entendais quelqu’un approcher sans savoir qui c’était.

Eric avait prie l’habitude de baisser mon pantalon et mon string sans rien me demander, alors que je ne portais plus de soutien-gorge. Il passa derrière moi, et me fit mettre à genoux, alors que l’autre personne était à côté. Je pensais que c’était un ami d’Eric, qui était venu pour ma plus grande joie, l’accompagner dans la perversité dont il faisait preuve pour son âge.
« Regarde un peu ses nibards »
« uhmm » acquiesca la personne… d’une voix de femme.
Il soupesa mes seins, fit rouler me tétons qui déjà durcissaient entre ses doigts.
La personne s’approcha et je sentis le contact doux d’une peau de femme sur la mienne.
J’allais donc ressentir pour la première fois les jouissances de plaisirs lesbiens.

Elle posa sa main sur les lèvres enflées de mon sexe en feu, et Eric lui raconta comment nous avons « baisé » pour reprendre ses propres termes la première fois que nous nous sommes rencontrés ici.
Je reconnu la voix de Pascale à sa réponse :
« alors elle aime les jeux humides cette garce? »
Mon excitation fut décuplée, Pascale était une femme un peu grosse, pas très belle. Elle avait une poitrine énorme, qui tombait un peu.
Elle commençait à me masturber alors que notre amant lui mangeait le minou.
« Attend » lui dit-elle, « moi aussi j’aime les jeux humides… »

Eric m’allongea sur le dos, la tête calée sur ces cuisses, je sentais l’odeur de son sexe tout proche, sur le coté de mon visage. Je ne voyait rien, mais je devinais les fesses de Pascale, sans trop savoir ce qu’elle voulait faire.

Eric enfonça un peu son vier dans ma bouche, et Pascale, sans rien dire commença à uriner sur le sexe d’Eric, et fatalement, tout finissait dans ma bouche.
L’odeur était forte, et je protestais que cela était dégueulasse, mais Eric me maintint ainsi alors que Pascale m’arrosait abondamment « tiens-toi tranquille ma salope, laisse la se soulager sur ta gueule »
Entendre sa voix, me sentir humiliée ainsi, m’a complètement desinhibée!! Non seulement je ne bougeais pas mais en plus j’ouvrais la bouche afin de recevoir le plus possible dans ma bouche, sans pour autant l’avaler.

La bite d’Eric était trempée par l’urine de Pascale, et il ne put se retenir, il éjacula dans ma bouche, et je du manger tout se foutre, tout en nettoyant son sexe.

« Je crois qu’on va continuer un peu entre filles Céline!! » me dit Pascale en enlevant mon bandeau.
JE lui souris, et elle s’asseya sur mon visage, sa chatte bien ouverte et son clitoris gluant contre mon menton. Son goût était fort, et plus j’enfonçais ma langue en elle, plus je sentais le goût de son jus envahir ma bouche.
De son côté, elle avait entamer un masturbation avec le poing.
Elle avait une étrange technique, car si Eric, lui avait commencé avec ses doigts, elle me donna comme de petits coups de poings. Toutefois, le résultat fut le même, elle entra en moi alors que je léchais sa fente et son petit trou avec un voracité incroyable.

Eric, devant ce spectacle avait déjà retrouver sa vivacité. Que c’est beau un jeune homme en érection!!
De mon côté, Pascale me branlait tellement bien, et j’étais tellement excitée de voir ses gros seins bouger au rythme de ses coups dans ma chatte que je la prévins que j’allais jouir à grands jet, et à mon grand étonnement, au lieu de se reculer, elle colla sa bouche à ma vulve et aspira tout ce qui sorti de mon vagin. Je tremblais tant ma jouissance fut intense. Elle en avait plein la bouche et elle avala absolument tout bien qu’une partie ai atterri sur ses cheveux blonds.

Pour la récompenser de mon orgasme Eric la prit pas le vagin alors que moi j’aspirais son clitoris le plus fort possible. Elle était douce et j’adorais sentir frotter nos deux poitrines même si Eric jouait volontiers avec ses seins.
Elle avait l’orgasme facile et c’est pour cela qu’elle avait voulu me faire jouir avant, car au bout de quelque minutes à peine, elle sentait monter le plaisir. Elle même mouillait beaucoup, c’est pour cela que notre homme prenait le jus de cette fente et l’étalait sur le corps de notre nouvelle compagne afin de me le faire lécher. Ainsi j’ai léché ses seins et son anus alors que lui c’était remis à la pénétration. Pascale joui très fort quand Eric inonda sa vulve, et lorsqu’il ce dégagea, je vis le sexe de Pascale déborder et comme elle m’y invitait, elle s’assit face à moi les jambes écartées pour que je puisse venir prendre le foutre à l’intérieur même de son minou.

Nous restions allongés nus un moment à discuter avant de nous rhabiller et de retourner à nos occupations.
Nous étions et sommes encore enchantés de nos ébats à trois. Nous nous revoyons, soit avec Pascale, soit avec Eric, soit tous les trois ensembles.

Depuis ce jour irréel, je ne pense plus avoir aucune limite quant à ma libido et la réalisation de mes fantasmes.

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