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Post-divorce – épisode 3

Post-divorce – épisode 3



Après l’épisode de Bertrand et celui de monsieur Jacques, j’oscille entre l’envie d’aller plus loin et celle d’y mettre un terme avant que je n’ai franchi le point de non-retour mais rapidement, l’envie est plus forte. Comme pour me punir de ma lâcheté, je décide de retourne un soir dans le ciné sordide sans pour autant prévenir monsieur Jacques mais en espérant le recroiser et en payer le prix.

A l’intérieur, à peine la porte à double-battants passée, l’odeur de sperme et de sueur prend à la gorge, bien plus que lors de ma première incursion du midi. Visiblement, après une journée complète, les petites fêtes n’ont pas lieu que dans les toilettes. Je mets quelques secondes à ce que mes yeux s’habituent à la pénombre. Il y a peu de monde, moins d’une dizaine de personnes. Juste à ma droite, un type se branle en me regardant sans se cacher le moins du monde. J’avance dans la travée. L’endroit est vraiment glauque. Je s’assois au milieu d’une rangée vide et fixe mon attention sur l’écran. C’est un film d’action qui date des années 80 et que j’ai déjà vu. Après quelques minutes, un mec s’assoit à côté de moi. C’est un arabe d’une quarantaine d’année qui porte un costume et une cravate. Il a une grosse moustache. Il me sourit. Je ne réagis pas et reporte mon attention sur le film. L’arabe ouvre sa braguette en me regardant de biais et sort son sexe puis se masturbe en silence.

Du coin de l’œil, je vois sa main monter et descendre sur sa grosse verge aux veines saillantes puis je sens sa main sur ma braguette. Je bande comme un fou. Je manque de jouir pratiquement rien qu’en constatant ma passivité écœurante quand mon voisin extrait mon sexe dressé. Il me branle doucement tout en se caressant lui-même de l’autre main. Je suis tétanisé par mon comportement et n’ose plus faire un geste. Je me méprise. Lorsque le type se baisse et me prend en bouche, j’ai un geste de refus mais les lèvres de l’autre sur mon sexe sont délicieuses et je manque d’éjaculer. C’est la première fois qu’un type me suce et je trouve ça aussi excitant que dégueulasse. Je vois sa tête monter et descendre sur mon bas-ventre. Il me caresse les testicules et glisse un doigt entre mes fesses.

– Pas ça, je murmure.
– Laisse-toi faire, tu vas aimer, ma chérie, murmure-t-il.

Fermement, il me gratte l’anus de l’ongle et, à ma propre surprise, je lève le bassin pour accentuer le toucher anale. Le doigt de l’homme pénètre lentement dans mon anus et je lance un long souffle de satisfaction. L’arabe fait glisser mon pantalon puis se met à genoux entre mes jambes. Il me regarde tout en continuant à faire aller et venir son doigt profondément dans mes entrailles puis replonge entre mes jambes pour reprendre la fellation. Il place mes mollets sur ses épaules pour mieux découvrir mes fesses et retire son doigt de mon anus. Il relève à nouveau les yeux vers moi, écarte mes fesses des deux mains au maximum et, sans me quitter des yeux, plonge sa langue dans mon rectum. Je gémis. Il a repris ma petite verge dressée en main et me branle adroitement. Je sens mes sphincters s’ouvrirent de plus en plus sous sa langue qui écrase la corolle. Je proteste mollement lorsqu’il enfonce deux doigts profondément entre mes fesses mais mon bassin s’écrase sur sa main pour accentuer la pénétration. Je sais qu’il va me sodomiser. Bien que j’ai honte comme jamais, je m’ouvre encore plus sous les doigts qui coulissent maintenant sans efforts. Discrètement, il se redresse entre mes jambes et se positionne jusqu’à ce que je sente son gland butter sur ma pastille.

– Tu n’as jamais fait, hein ?

Je fais non de la tête, la bouche ouverte, haletant.

– Je vais aller doucement, murmure t’il. Au début. Après je te le ferai fort.

C’est alors qu’un autre type, lui aussi arabe mais plus jeune et sapé racaille, se rapproche de nous, excité par la scène. Il sort une grosse bite molle qu’il présente devant ma bouche en m’attrapant par la nuque. Je me débats et l’arabe entre mes jambes se met à engueuler le nouvel arrivant en arabe. Le charme est rompu d’un coup et je prends pleinement conscience de ma situation. Brutalement, je repousse les deux hommes et remet mon pantalon. Le premier arabe toujours à genoux tente de me saisir par la main mais je me dégage. Encore sous le choc, je titube jusqu’à la sortie. Je suis dans la rue, abasourdie, lorsque l’arabe en costume me ratt**** et me prend fermement le bras. Je ne le regarde pas mais grogne les dents serrées :

– Foutez-moi la paix !
– Je te laisse tranquille, je comprends, ma chérie : l’autre n’avait pas à faire ça. Tiens je te donne ma carte : tu appelles et on se retrouve. Je te baiserai bien ton cul.

Pendant qu’il s’éloigne, je regarde sa carte. Elle ne comporte qu’un numéro de portable. Je repense à ses paroles et m’avoue, écœuré, que tout le problème vient précisément du fait que ce qui m’a le plus excité c’est que le second type se soit imposé et m’ait traité comme une paillasse. Pendant une semaine, les pulsions vont en s’exacerbant. Je m’imagine dans le cinéma et me masturbe en imaginant le moustachu me défonçant pendant que je suce la bite de l’autre homme. Je jouis, conscient que le côté sale et dégradant et l’environnement terriblement glauque du cinéma porno m’excitent au moins autant que l’acte lui-même.
Pleinement conscient de mes pulsions et des risques afférents si je ne m’impose pas un minimum de contrôle, je décide de poursuivre mon chemin sur la dépravation mais en y allant graduellement.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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