La réunion des associations est prévue à 18h, j’arrive 5 minutes avant. Il est là assis avec deux personnes comme l’autre jour. Juste un regard furtif. Cela fais plusieurs jours que je pense a ce moment. Depuis l’aventure avec ce jeune homme, je n’arrête pas d’y penser. Bien ou mal ? Ce n’est pas cela. Je n’avais rien demandé, ni essayé, c’était lui qui m’a provoqué. Mais depuis, sa jolie bite toute fine hante mon esprit. Ses yeux doux et excité. Sa force et son envie de jouir, d’apprendre, de baiser, lécher, avaler, mais aussi de donner du plaisir. Et il est là en face de moi. Quelques collègues que je me parle, mais je m’en fou…
La réunion avance, chacun propose, décide… Ok on va faire un forum des associations. La date ? Dans trois mois, et il y aura deux autres réunions. Toujours d’accord. J’ai envie d’en finir. Nos regards ce croisent souvent, ses sourires aussi. Lors de la présentation des personnes, il s’est montré assez timide. Il fait partie d’un club de musique ou plutôt d’une chorale. Ca mère y chante aussi. 20h la réunion se termine. Sandrine, la quarantaine, me demande si je peux la ramener. Merde, merde, merde…
– Oui bien sur Sandrine.
– Tu m’attends, j’arrive, juste encore un truc a voir avec l’adjoint.
– Ok
Sandrine est plus que jolie, toujours en mini. Elle est mariée, toujours aimable, mais je ne pense pas qu’elle trompe son mari. Je regarde vers mon jeune homme, il s’avance vers moi et me demande si je peux le déposer. Sandrine arrive et entends la demande.
– Et bien en voilà du covoiturage. Tu me déposes en premier Mic, ou notre jeune ami ?
– Heu, ben…
– Oh j’ai le temps, mes parents ne rentrent pas avant 23h, ils sont au ciné avec ma grande sœur.
Voilà c’est clair. On embarque. Sandrine à mes cotés. Le mini retroussé sur ses cuisses me chauffe déjà. 5 minutes ont suffit pour déposer la fille. On repart sous les salut de Sandrine. Il est derrière sur la banquette.
– Vous savez, je me suis branlé tout les jours en pensant a vous.
– Il ne faut pas penser a moi comme cela, c’était une aventure agréable, mais il faut relativiser. Je suis marié, vieux et toi jeune. Tu dois avoir des copines et des copains.
– J’ai, mais ce n’est pas pareil avec eux… C’est plus vicieux avec toi, plus excitant. Hier Magalie au lycée, nous à sucé dans les wc avec mes trois potes, mais c’était pas pareil, elle fait ça, comme ça, elle suce… C’est tout.
– Elle a sucé les trois… comme ça ?
– Ben oui, elle le fait souvent… Mais elle recrache. Magalie, elle à de très gros nichons, c’est ça qui nous excite chez elle. Elle relève son pull, nous les montres et nous suce.
– Les autres savent pour notre aventure ?
– Non, je dis rien. C’est notre secret.
– Et voilà… Tu es arrivé chez toi.
– Vous montez ?
– Heu, non c’est risqué de ce faire voir.
– Il n’y a personne et j’habite en bas. Allez, venez.
Il passe sa main sur ma braguette. Je sort, il fait nuit, personne. C’est vrai que c’est un endroit calme, désert. Il part le premier, je lui suit le pas des qu’il est entré. Six escaliers, personne sur le palier. La porte droite s’ouvre, il est là. Un regard circulaire, je suis entré. Dans l’entrée, il me colle a la porte et m’embrasse goulûment. Je sens sa main défaire ma ceinture. Le garnement devient audacieux et rapide. Rapide… non… très rapide. Mon pantalon tombe à mes pieds, sa main glisse sous mon slip, saisit ma bite molle et la branle fort. Je remonte son pull, le retire, puis son tee shirt. Je lui suce les tétons, les mords, il gémis. Je baisse son pantalon de jogging, sa bite est là, sans slip, déjà très raide, dressée, fier. Il s’agenouille et me prends en bouche par les boules, remonte sa langue, puis enfourne et suce goulûment, enfoncant ma bite au fond de sa gorge. Il ne tête pas. Il sait sucer. Souvent j’ai rencontré des femmes qui ne savent que téter la bite. Lui est jeune, mais sait sucer. Ma queue gonfle, enfle. C’est bon. Ses mains agrippées à mes fesses, je m’enfonce dans sa bouche chaude. Je regarde autours de moi. Quelques photos sur une commode dans l’entrée. Sur l’une d’elle, une photos de lui et probablement sa sœur, la vingtaine. Pas très jolie, mais avec un quelque chose. Sur une autre, une femme, assez grosse, pas encore la cinquantaine, bonne mère de famille, les cheveux mi long semble me regarder à coté d’un homme, petit, maigre, au visage poupin. Il à vu mes regards. Il se relève, s’essuie la bouche.
– Mes parents et ma sœur. Venez dans ma chambre.
Je le suis. Il est presque nu. Ecarte des livres sur une étagère et prends un bout de tissu. Il me le tend.
– La culotte de ma mère.
Une culotte bleu ciel, avec de la dentelle. Vu la mère sur la photo, la culotte doit lui rentrer dans le cul et la chatte. Elle est rêche.
– Je me branle souvent dedans en pensant à votre sexe.
– Ah bon, mais, il faudra la laver de temps en temps.
– Je l’ai déjà fait, quand je la mets pour aller au lycée.
– Tu mets la culotte de ta mère ?
– Oui je lui en ai piquée deux et un string à ma sœur. Je les planque derrière les livres. Ma sœur ma surpris dans la salle de bain hier soir. Elle est partie sans rien dire, mais je crois qu’elle a vu que j’avais son string et que je me branlais devant la glace.
Cela m’excita encore plus. Je lui dis d’enfiler le string de sa sœur et que j’allais le sucer avec. Il le fit. La tête de sa bite sortait du string. Je passais ma langue dessus. Un filet sortit. Je le pris en bouche et il éclata de suite.
– Donnez moi mon sperme.
Je me redressais et ouvrit ma bouche contre la sienne. Il entra sa langue, aspira est avala tout ce qu’il trouva. Je m’allonge sur son lit, le pantalon défait, il me suce de nouveau. Nous sommes en 69. Sa bite dressée contre mon visage. Il suce bien la salope. Je caresse ses fesses. Commence a le sucer de nouveau. J’ai envie de jouir dans sa bouche. Je me tend. Je lui mets un doigt sur son anus et pousse doucement. Ca rentre et sous l’effet on se joui chacun ensemble dans nos bouches. Il se retourne rapidement et la bouche encore pleine de mon foutre, il aspire le sien dans la mienne.
Je reste cinq minutes sur le dos, il me regarde.
– Si vous voulez on recommence, c’était bon.
– Heu moi j’ai 69 ans, je suis moins rapide, mais une autre fois, si tu veux.
Déçu, il se relève. Renfile son jogging sur le string de sa soeur et son tee shirt. Il regarde le réveil.
– Ils vont bientôt rentrer du ciné. Dommage.
Je l’embrasse. Sur le parking, une voiture arrive, je me cache derrière un bosquet. Deux femmes descendent et un homme… Il était temps.
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