Il faut l’avouer, prendre les choses en main au lit, ce n’est pas forcément mon fort. Aurélie non plus. Du coup, il lui est arrivé de regretter un peu ma passivité. Nous avons des pratiques très variées, mais les directives sont rarement très fermes.
Quelle meilleure manière de régler ça qu’avec notre nouvel ami ?
Pour le moment, notre expérience du candaulisme se résume à Jules. Si vous avez raté les épisodes précédents, c’est un beau black musclé et bien monté. Nous sommes en confiance avec lui, alors nous continuons à découvrir de nouveaux plaisir. Évidemment, lorsque nous lui avons proposé de dominer Aurélie, il n’a pas réfléchi longtemps avant de nous fixer un rendez-vous.
Ce sera chez nous. Nous devons l’accueillir un samedi soir. Nous avons déjà discuté avec lui de nos pratiques. Pas de v******e ou de BDSM, mais Aurélie aimerait être « prise en main. » Première consigne : elle devra seulement porter une robe et des bas. Pas de sous-vêtements.
Comme d’habitude, les minutes précédant son arrivée sont une joyeuse torture. Au fil des rendez-vous, nous sommes tout de même plus détendus. Le voilà ! Pour une fois, nous prenons même le temps de finir notre apéro.
« Je crois qu’il est temps pour madame de s’occuper de moi », finit par lancer Jules. « Viens ici. »
Alors qu’elle était avec moi sur le canapé, ma superbe femme se lève et va vers le fauteuil voisin. La voilà droite devant lui. Elle se retourne pour me lancer un petit regard, avec un sourire un peu tendu, mêlant l’excitation et une petite appréhension.
« À genoux », lui ordonne Jules en ouvrant sa ceinture. « Suce moi. »
Je vois alors Aurélie mettre ses genoux au sol et commencer à embrasser le sexe déjà raide de notre invité.
« Crache. »
Elle s’exécute, puis commence à l’avaler. Il lui tient les cheveux et appuie légèrement sur sa tête pour accompagner le mouvement. J’ai une vue imprenable sur ses superbes fesses, bien moulées dans sa robe.
« Je vais bien te défoncer devant ton mec. Je vais te baiser comme une petite salope. Et toi ? Ça t’excite de la voir sucer sur demande ? »
Je ne m’attendais pas à ce qu’il s’adresse à moi. Je suis un peu surpris, mais l’excitation reprend vite le dessus.
« Oui. Vas-y, baise la bien. »
Jules prend le temps d’apprécier le travail de la langue de ma femme, avant de passer à la suite.
« Allez viens, j’ai besoin d’un matelas. »
Il pousse le visage de ma femme de sa queue. Elle se relève. Lui aussi. Direction la chambre. Je prends mon fauteuil habituel dans le coin de la pièce.
« Retires ta robe et met toi à quatre pattes. »
Aurélie continue de suivre les consignes sans dire un mot. Jules enfile une capote et plonge la tête dans les fesses de ma compagne. Il crache sur sa chatte, la lèche, lui met un doigt, puis deux. Il place rapidement son gland à l’entrée de son vagin et s’enfonce doucement. Premiers cris de plaisir de ma douce.
« – Tu veux que je te baise plus fort ?
– Oui. Oh oui baise moi. »
La scène devient presque bestiale. Jules accélère et ses hanches frappent de plus en plus fort sur le cul d’Aurélie. Il saisit ses cheveux et les tire en arrière. La température est vite montée !
Elle se cabre sous ses coups de boutoir. Je vois ses mains s’agripper aux draps. Elle hurle et jouit sur l’énorme bite qui la défonce.
Jules se retire net et la retourne. Elle est sur le dos.
« Tu aimes ça te faire défoncer ? »
Elle hoche la tête.
« Quoi ? Répond moi. Tu aimes ça te faire défoncer ?
– Oui, j’aime ça.
– Tu en veux encore ? Tu veux que je te baise encore devant ton mari ?
– Oui, baise moi.
– Tu es une salope ?
– Oui, je suis une salope. »
Il enfonce son sexe en elle aussi sec. Elle lâche un nouveau râle de plaisir. Mais il se retire rapidement et s’allonge sur le dos.
« Viens là petite chienne. Embrasse moi partout sur le corps, sans toucher à ma bite. »
Elle commence sur le torse, puis remonte pour l’embrasser à pleine bouche. Voir leurs langues se mélanger m’excite toujours autant. Puis ses bras, son torse, son ventre, ses jambes. Il se fait plaisir en faisant redescendre un peu la pression.
« Monte sur ma queue. »
Elle s’empale sur lui et commence à onduler.
« Alors comme ça tu aimes bien te faire enculer ? »
Nouveau hochement de tête.
C’est vrai qu’Aurélie aime la sodomie, mais nous ne la pratiquons que très rarement. Peut-être une ou deux fois par an. Il faut que toutes les conditions soient réunies pour qu’elle se sente à l’aise avec cette pratique.
« – J’ai pas entendu. Tu aimes te faire enculer ?
– Oui, j’aime me faire enculer. »
Alors qu’elle finit sa phrase, la main de Jules glisse sur sa chatte. Il s’humidifie la main, qui glisse ensuite sur les fesses de ma femme. Il lui met d’abord une belle claque. Je la vois changer de rythme. Il vient de lui mettre un doigt dans le cul. Puis un deuxième !
« Je vais être bien serré dans le cul de ta femme. Tu dois pas lui mettre souvent », me lance-t-il. « Empale ton cul sur ma bite maintenant. »
Alors qu’elle retire sa bite de son vagin, il prend une seconde pour badigeonner sa capote de lubrifiant, puis la place devant le petit trou d’Aurelie, qui descend avec précaution. Elle a la bouche grande ouverte. Elle a du mal mais je vois la queue de Jules s’enfoncer centimètre par centimètre. Je suis jaloux. Cela faisait des mois que je lui demandais, et voilà qu’elle offre son cul à son amant. Le temps que la jalousie laisse place de nouveau l’excitation, la bite de Jules a disparu. Aurélie prend un instant pour laisser son anus s’habituer. Puis elle remonte et commence des va et vient de plus en plus rapide.
Elle hurle de plus en plus. Elle est très sensible dans cette zone.
Jules la fait basculer sur le côté et la retourne. Ils sont en cuillère, lui derrière elle. Il remet sa bite dans son cul. Mais il passe aussi sa main devant et commence à lui doigter la chatte, qui semble grande ouverte.
« Oui ! Oui ! Défonce moi le cul ! »
Je suis encore tiraillé entre la jalousie et l’excitation. Quel spectacle !
Aurélie hurle de plaisir, se contracte et est traversée par un orgasme.
Jules continue un peu puis se retire. Il va se placer au bout du lit. Les fesses au bord du lit, juste devant moi. Il arrache son préservatif.
« Remet toi à genou devant moi. On va montrer à ton mari quel genre de chienne tu es. »
Exténuée, un de ses bas descendu au niveau du genou, Aurélie se remet à sucer Jules. Il commence alors à poser ses pieds sur le lit pour remonter ses jambes. Je comprends ce qui va se passer mais je n’ose pas y croire.
« Bouffe moi le cul salope. Je veux sentir ta langue. »
Là encore, nous connaissons cette pratique, et nous l’avions précisé à Jules. Mais je ne pensais pas qu’il oserait si rapidement.
De toute façon, ma femme ne semble pas réfléchir autant que moi. Alors qu’elle est quasiment à mes pieds, à quelques dizaines de centimètres de moi, je la vois prendre le sexe d’un autre dans sa main droite pour le branler, poser sa langue sur ses couilles, puis descendre sur son scrotum, avant d’arriver sur son anus. J’ai l’impression que je vais jouir.
« Crache sur mon cul et bouffe le bien. Mieux que ça ! »
Elle suit les ordres, tout en accélérant la masturbation. J’aperçois parfois le bout de sa langue qui se balade sur le cul de son amant. Tout semble irréel. Il a l’air d’adorer. Ses jambes se relèvent de plus en plus. Son cul semble toujours plus s’avancer vers le bord.
« Vas-y ! Vas-y ! Je vais jouir ! »
Sa main vient trouver le haut du crane d’Aurélie, il att**** ses cheveux et tire vers lui, comme pour la plaquer encore plus dans son cul.
« Oh oui ! Salope ! Tu me fais jouir ! «
Je vois alors deux giclées de sperme venir s’écraser sur son ventre. Il se relâche et laisse Aurélie reculer.
« Tu as vu ce que tu m’a fait ? », lance-t-il après avoir repris ses esprits. « Maintenant vient nettoyer ça comme une bonne chienne. »
Ma compagne semble hypnotisée. Elle se relève doucement pour atteindre son bas ventre. Elle lèche le bout de son sexe, puis chaque trainée de son sperme gluant. C’est la première fois que je la vois toucher le sperme d’un autre.
« Avale bien tout ça. »
Et c’est ce qu’elle fait. Je n’en reviens pas.
« Maintenant viens t’asseoir à côté de moi. »
Il se relève. Les voilà tous les deux assis au bord du lit, face à moi.
« Regarde ton mari et dis lui que tu es une bonne salope soumise.
– Je suis une bonne salope soumise. »
Cette fois c’est son regard à elle qui m’hypnotise. Elle semble complètement planer, accro à ce qu’il vient de lui faire.
« – Dis lui que maintenant c’est moi qui vais te baiser comme je veux.
– C’est Jules qui va me baiser et me dominer comme il veut.
– C’est bien, maintenant va prendre ta douche. »
Alors qu’Aurélie part pour la salle de bain, Jules se rhabille. Mais il n’oublie pas quelques mots pour me rappeler mon nouveau rôle.
« Tu avais raison, elle avait besoin de quelqu’un pour la dominer. Maintenant tu sais que je suis là pour m’occuper de ça. »
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