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Veronica, épouse et employée mod&egr

Veronica, épouse et employée mod&egr



Le jeudi, Veronica alla au bureau en bus. Elle était magnifique en tailleur beige, chemisier noir ouvert sur sa poitrine opulente avec une jupe mi cuisse gainées de bas couleur chaire. Elle était débout et se remémora la scène de la veille et revoyait avec excitation le sperme jaillir du sexe de son mari. Elle s’étonna de sa réaction au sperme.
Évidemment au guichet, beaucoup de clients lorgnait sur le décolleté magnifique de Veronica laissant entrevoir deux beaux seins généreux prêts à sortir du soutien gorge.
Certains laissèrent même leurs numéros de téléphone. Au bureau tous les mâles étaient en rut et se retournaient pour voir les belles et longues jambes de Veronica. Elle s’en amusait et s’en excitait également. Pendant plus d’un mois, Veronica allumait ses collègues et se disait :
– Vivement ce soir que je retrouve Greg, j’ai envie de sexe et qu’il m’arrose comme l’autre soir
Effectivement, Greg s’en occupait parfaitement. La sodomie, la levrette, tout le kamasoutra y passait. Mais Veronica prenait un plaisir fou à recevoir le sperme de son homme sur son corps. Greg n’en revenait pas, de la femme prude et mal habillée, elle devenait une bombe sexuelle avide de sexe.
Souvent après une partie de sexe, elle se retrouvait dans la salle de bain, seule, à se regarder dans la glace avec du sperme maculant son visage et ses gros seins. Tout en se regardant, elle se pelotait les seins et se masturbait en se laissant divaguer sur des scénarios lubriques au bureau, dans le bus, dans un parc, sur un chantier :
– je suis devenu une salope, une pute qui aime le sperme… Je veux du sperme sur moi … partout … C’est bon… Giclez sur moi bande de salops…
Un soir, après avoir excité tous les mâles sur son passage avec un tailleur noir et chemisier blanc mettant en évidence sa plastique superbe, Veronica rentre toute excitée et prête à offrir son corps à son mari mais hélas… Personne. Seulement une lettre et un CD. Veronica, étonnée et déçue ouvre la lettre :
Ma chérie, je suis en déplacement pour la semaine, je te laisse avec tristesse car ta bouche, tes seins, ton cul vont me manquer. Je suis heureux avec toi et je suis sur que l’on peut encore progresser dans le plaisir. Regarde ce film, j’espère qu’il te plaira…
Très déçue, Veronica commence à paniquer de ne pas avoir sa dose.
Par dépit elle insère le CD dans le lecteur et se love dans le canapé.
A l’image, une bourgeoise sexy en tailleur, bas et collier de perle se promène sur un chantier, rapidement elle se fait brancher par les ouvriers d’origine maghrébine qui commencent par l’entourer et à la peloter. Veronica se met à se masturber violemment prise d’excitation par ce groupe d’homme qui vont s’occuper de la bourgeoise. Après quelques protestations, voila la bourge triturée, pelotées et ses gros seins à l’air. Deux minutes après, elle avait deux queues en bouche, une dans le cul et une dans la chatte. Veronica n’en revenait pas et trouvait cela très excitant. Elle fini par se faire jouir quand la dizaine d’ouvriers couvrirent la bourge de sperme qui attendait la douche, allongée par terre en se pelotant ses gros seins.
Tous les jours, après le boulot elle regardait le CD …
– Allo chérie, c’est Greg … Ça va ? tu as regardé mon film ?
– Oh Greg, merci il est super excitant
– C’est un peu hard peut être
– C’est hard mais c’est bon, je l’ai regardé en boucle. Tu en as d’autres
– Oui dans l’armoire dans le tiroir de gauche, mais je t’en ramène d’autres
– Merci mon chéri, tu es un amour mais tu me manques, ton sexe me manque
– Surtout mon sperme petite salope, tu aurais aimé être à la place de l’actrice non ?
– Oui heu Non heu je sais pas, je suis avec toi donc heu…
– Allons éclates toi. Ce n’est pas parce qu’on est marié que l’on ne peut pas avoir du sexe tant que les sentiments sont là
– Que veux tu dire, que je peux avoir des relations à part toi ?
– Si c’est simplement du sexe pour du sexe pourquoi pas, mais si tu le fais je veux tout savoir dans les moindres détails Ok ?
– Ben mon patron me harcèle et n’arrête pas de me mater. Il a même essayé de me prendre dans son bureau. Je me suis défendue mais il m’a quand même peloter mes nichons le salaud. Il voulait que je le suce et que je le branle avec mes gros seins. Tu te rend compte ? il m’a promis une promotion et de faire du relationnel client si je le faisait…
– Ba, après tout si tu peux prendre plaisir et gagner plus de fric… C’est tout bon
– Tu crois ?
– Bien sur, cela te permettrait de t’acheter plus de tenues et des sous vêtements et du coup j’en profiterais
Si tôt dit sitôt fait. Le lundi suivant Veronica fut convoqué dans le bureau du directeur comme tous les lundis. C’est un petit gros pervers qui n’arrête pas de mater ses collaboratrices. Veronica était en tailleur noir, chemisier blanc ouvert avec des bas noirs et des chaussures à talons.
– Asseyez vous, Veronica, vous embellissez de jour en jour.
– Merci, ce sont les regards des autres qui vous font sentir belle
– Belle et désirable … Vous êtes un canon, vous êtes faites pour faire l’amour
– Et je le fais bien … répondit Veronica avec une moue d’allumeuse.
– Votre mari est un sacré chanceux, j’espère qu’il vous comble.
– Oui mais il s’est absenté et n’est pas jaloux
– Ah bon ? mais quoi… vous êtes libertins ?
– Si l’on veut
– Je m’en doutais … vous êtes trop bonne pour être fidèle… regardez ces jambes magnifiques, ce sont des bas que vous portez ?
– Oui, je me sens bien avec des bas soit des dim up ou des bas avec porte jarretelles
– Et vos seins. Quelle poitrine… il doit se branler entre vos seins hein dis moi Veronica ? peut être qu’il jute sur vos seins. Moi c’est ce que je ferais, je juterais des litres de sperme après une bonne branlette espagnole… Hein tu aimes ca petite salope.
A ces mots Veronica fut prise d’excitation et les images de Greg jouissant sur elle et du film ou les ouvriers jutaient sur la bourge…
– allez Veronica, je t’augmente si tu baises avec moi, tiens regardes mon sexe, il est gros et mes couilles giclent beaucoup… tout en montrant son sexe tendu, il s’approcha de Veronica assise dans un fauteuil.
– Vous ne me baiserez pas, je suis mariée quand même…
– C’est ça… Ouvres ton chemisier que je vois tes seins petite salope, je ne vais pas te toucher mais laisse moi au moins me branler sur toi ?
– D’accord. Veronica ouvre son chemisier découvrant une paire de seins lourds et bronzés soutenus par ou soutif noir.
– oh la salope, que tu est bonnasse, relève ta jupe que je vois tes bas … le patron s’astiquait le manche et devient de plus en plus rouge. Veronica s’exécute et croise ses longues jambes en matant son patron se masturber énergiquement à hauteur de visage de son visage.
– Touches toi les seins sale pute et regardes moi comme une pute je vais te balancer ton mon jus sur toi
Veronica était toute excitée et se malaxait les seins et faisait rouler sa langue sur ses lèvres
– Allez viens gros cochon gicle ton foutre sur moi
– T’es qu’une pute, sacrement gaulée, tu seras ma salope hein… Tiens prends ca……
De longs jets de foutres viennent s’écraser sur le visage de Veronica, une quantité importante se dirigea vers les gros seins de Veronica, cela n’en finissait pas, on aurait dis qu’il urinait tellement il y en avait. Veronica en avait partout, sur le visage et surtout les seins qu’elle se caressait en étalant le sperme.
– t’est trop bonne. Je sens qu’on va s’amuser avec toi. Branles toi maintenant salope et suces moi
Veronica s’exécuta et suça vigoureusement son patron qui ne tarda pas à jouir à nouveau en frottant son sexe sur la poitrine de Veronica. Puis il s’essuya sur ses bas.
– quand je t’appelle, tu raboules avec tes gros seins et tu me videras les couilles hein salope
– oui. C’est vous le patron

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