Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe en français

La jupe d’écolière 8 Final

La jupe d’écolière 8 Final



Grosse panique de lendemain de veille

5 h 30 am

Wais, ben grosse panique. Pourquoi? Parce que je viens de me réveiller dans mon futon, poser à même le sol, avec le mal de tête du siècle et sans doute le plus gros trou noir de l’histoire de l’humanité dans une cervelle blonde. Le lendemain de veille total, je me sent vraiment mal. Je suis toute nue sous un drap, entre ma sœur et une fille que je ne reconnais pas et les deux me tournent le dos comme si elles étaient fâchées. Je baisse le drap jusqu’à mon nombril, elles sont nues aussi et la fille aux longs cheveux noire a l’air d’avoir 14 ans. Seigneur! Ma sœur se retourne sur le dos en me donnant un coup de coude au front.. Outch! J’ai l’impression que ma tête va éclater en repoussant son bras sur son ventre. Maintenant, elle ronfle comme un moteur de vieux camion diesel périmé. Pas encore réveiller je fixe sa belle grosse poitrine et ses mamelons percer sans y croire qu’on a dormis ensemble et nue. Oups! Tout doucement je soulève le drap pour regarder si Mimi porte un slip. Non! Je vois la toison noire de ma sœur qui forme un ovale parfait, je n’y crois pas. Merde! Je n’ai même pas mon téléphone pour filmer ça en douce et je ne bande même pas tellement je me sens mal. J’ai baisé avec une mineure et ma sœur, enfin j’imagine et… rien n’a faire, je ne me souviens de rien? Juste qu’on est allé chez le gros Bob à un sexe-party après être revenus ici en taxi des danseuses nues. Pas cool, oh non, pas cool du tout! Ouf… ma tête et même pas d’érection matinale comme d’hab et le jour se lèves. Des pigeons roucoulent sur le rebord de mes fenêtres industriel, eux aussi se réveillent et baisent les salauds. J’ai beau me caresser la bite sous le drap, je ne bande toujours pas, même en me réveillant nue dans mon lit avec ma sœur et une autre fille. Wais, ça va mal. Tylenol ultra forte et café au plus vite et… Oh non… je vais vomir.

6 h 10 am

Je déteste boire parce que je déteste les lendemains et là, je suis en plein lendemain de veille classique à 6 h du matin; pâle comme un drap, nausée, mal de tête, des cheveux de sorcière et trou noire. Ah oui, mon petit trou m’élance comme si Hulk m’aurait sodomisé. Seigneur Dieu! Mais qu’est-ce qui s’est passé chez Bob? Ça, c’est toujours stressant ne pas se rappeler de la veille. Ça vous est sûrement déjà arrivé, non? En attendant le café assis sur mon sofa je regarde mon iPhone rose pour voir ce que j’ai pu filmer chez Bob; Je vois d’abord le film avec Carole qui me fait une pipe au bar de danseuse nue, puis une photo de moi et Mimi dans un taxi, photo de moi et de la petite habillée en gothique et super cute, photo d’elle et de ma sœur et elle a la main sur un sein de Mimi, Wow! Un film de moi qui baise la petite contre un mur, seins a l’air toutes les deux, devant plein de monde qui nous tripote tout partout, sans doute filmer par Mimi, j’hallucine… moi qui filme un gangbang et… oh… seigneur… moi qui suis filmer entièrement nue à donner un coup de Taser sur la bite d’un gars devant une foule qui rigole… whooo!

Bon, je vous reviens là-dessus, là, je me sens pas trop bien. A

8 h 20 am

OK, après ben des tylenol et cinq cafés et m’être endormie assise sur mon sofa comme une idiote, sans avoir renversé mon café heureusement, la mémoire me revient peut a peut. Enfin… pas tout, je me rappelle toujours pas ce qui c’est passé ici en revenant de chez Bob, mais pour le reste ça va, plus ou moins, de vagues souvenirs et quelques trous noirs. Des scènes de sexe délirantes me tournent en boucle dans la tête, j’en suis étourdie. Ça dort toujours dans ma chambre. Je ne peux m’empêcher d’y retourner sur la pointe des pieds avec mon iPhone pour filmer en douce les seins de ma sœur et ceux de la petite qui s’est un peu découverte en roulant sur le dos tantôt. Mais là, je découvre qu’elle dort la tête et une main sur les seins de Mimi qui ronfle toujours et qui n’as pas bougé d’un poil. Seigneur! Elles sont toujours sous le drap jusqu’au nombril, malheureusement, de vrai cadavre. Je filme ça et retourne au sofa, encore étourdi, toujours nu, et toujours pas d’érection. La, je stresse grave à cause du photographe que je dois rencontrer a 10 h ce matin et qui pose des shemales. Une shemale qui ne bande pas, c’est pas vendeur. Je transfère films et photos dans mon ordi et en fait des tonnes de copies, pas question que je perde ça. Oh que non! Je suis blanche comme un drap, j’ai toujours la nausée et mal au cul, mais bon, je vais survivre et je filme ma face aussi, histoire de me rappeler de ne plus jamais trop boire. WAIS! Je me fais la grimace en me traitant d’idiote.

Bon! Premièrement, bonne nouvelle, la gamine a 16 ans dans un corps de 14, preuve à l’appui, j’ai fouillé dans son sac et elle veut sortir avec moi et paraître dans mes BD. Cool! Pour le reste, c’est pas trop la honte, mais… seigneur, qu’elle soirée. Bon, je vous raconte ce dont je me souviens… oh non, je vais vomir encore. Je reviens…

Chez le gros Bob

Voilà deux bombes qui marche rapidement dans le cartier st-Henry a Montréal. L’un des cartier les plus pauvres de la ville, un genre de petit village enclaver par le chemin de fer, des autoroutes sures élevées et le canal Lachine. Je porte toujours ma jupe d’écolière noir et blanche sans bas nylon et mes bottes punk et une petite camisole noire sans soutif. Ma sœur porte juste une bande élastique ultra moulante par-dessus ses gros seins et une mini-jupe noire ultra courte et mes bas nylons gris foncé a motif de crâne sur la bande élastique bien visible, bandante à mort. Avec nos beaux bijoux de nombril a l’air en plus, nos piercings et nos tatouages, pas besoin de vous dire qu’on se faisait klaxonner et siffler par des tas crétins qui passait en voiture. Une belle blonde mince et sexy style gothique et une brunette ronde à seins ballon avec des jambes d’enfer, en plus de nos boules qui sursautaient méchamment, on courait quasiment après le viol. Je voyais bien que Mimi était nerveuse, surtout à cause d’un gang de jeunes black qui nous observait d’un parc en se pognant le paquet en nous criant des obscénités. Moi j’en avais l’habitude depuis ma transformation en fille, mais, elle, elle venait de débarqué de Chicoutimi ce matin, alors, elle était nerveuse ma petite sœur, pas habituer à la grande ville. Les blacks avaient le mérite de lui faire oublier un peut que je venais de lui apprendre qu’elle était la vedette de mes BD de cul qui se vendait pas mal, même beaucoup. J’avais stupidement pris ma sœur comme modèle et surnommer mon personnage, Mimi la bombe, trop bandante ma petite sœur par adoption, j’avais pas pu résister. Elle l’avait un peut mal prit, j’avais eu droit a quelques bons coups de sacoche derrière la tête, bien mériter faut dire. J’étais justement en train de me frotter le derrière de ma tête de blonde quand elle dit :

-Seigneur Christine, on te voit un mamelon!

Je regarder ma minuscule camisole que je portais souvent en spectacle avec une face de zombie grimaçant dessus et effectivement, mes mamelons gauches se montraient le bout du nez par une déchirure, comme prévu. Je souris, car j’avais fait exprès de la déchirer à grands coups d’exacto, ça rendait mes fans complètement fou de me voir un téton ou parfois, quand j’étais un peut saoule, carrément les boules quand j’enlevais la camisole vers la fin d’un spectacle. Chanté seins nus c’était… wow! J’en étais si fier de mes nouveaux petits seins. C’est la première fois que j’avais fait ça que les gars de mon groupe avaient un peu perdu la tête après le spectacle et c’était cette fois-là qu’ils avaient voulu me prendre en gangbang. C’est aussi là qu’ils avaient appris que j’étais une Shemale. Oups! Déçut le vrai gars pas amateur de bites, par contre ils aimaient bien que je les suce. Ainsi va la vie parfois.

-Pis, on s’en fout. Répondis-je amuser.
-On va se faire violé.
-Mais non, on est déjà arrivé.
-Son belle tes bottes punk, j’en veux.

Les filles sont comme ça, elles changent de sujet en un clin d’œil.

-Demain, journée boutique branchée Mimi la bombe, surplus militaire, genre et marché aux puces et armée du salut, après ma séance de photos.
-Recommence pas avec ton histoire de Mimi la bombe, genre, je commence juste a le digérer. Un autre petit coup de sacoche la blonde?
-Non, ça va. T’as quoi là-dedans une brique, genre?
-WAIS! Pour décourager les violeurs, genre.
-Bon, pourquoi tu stresses?

Cramper de rire les bombes puis je lui montrer du menton une vieille maison à logement carré en brique peinte en noir, taguer et couverte de graffitis ou d’illustration bizarroïde sur trois étages qui avait tout du bunker urbain de motard sur l’acide. Pas le moindre escalier extérieur et pas le moindre balcon. Isoler au bout d’une rue étroite, tout près du chemin de fer, toutes les fenêtres en était obstruer par des panneau de fer et même la porte en bas était en métal recouvert de toute sorte de tags et de vielles affiches déchirer avec un judas. Juste au-dessus une enseigne au néon mauve luisait dans la nuit.

-Studio d’enregistrement du gros Bob, lut mimi, c’est quoi ça?
-Un studio d’enregistrement, nonote.

J’évitai de justesse un autre coup de sacoche en me penchant judicieusement au bon moment tout en riant.

-C’est la qu’on va enregistrer notre premier cd, dis-je en sonnant et en frappant du poing a la porte. C’est aussi la qu’habite Bob, le proprio qui comme tu le devines, est gros. C’est, un vrai labyrinthe le dedans et c’est flippant.
-Ça l’air désert, y as personne on dirait, on n’entend même pas de musique. Y as même pas de voiture de stationner dans le coin, juste des vélos de montagne. Toutes les maisons de la rue ont l’air abandonnées. T’es certaine que les gars de ton band nous on pas tendu un piège, genre?
-Genre, nous attirer la pour nous baiser. Wow! Ce serait terrible Mimi. De beaux gars tatouer avec de cockring, mais sans cervelle. L’enfer! On s’en remettrait jamais, hein?

Oups! J’eus droit à de gros gros yeux méchants.

-T’es tellement drôle Pierre des fois. Ça t’a marqué on dirait les cockring.

Elle riait de sa remarque en regardant tout au tour, pas rassurer par le cartier et la rue sans aucun lampadaire pendant que je riais aussi.

-C’est parce que c’est entièrement insonoriser Mimi qu’on n’entend rien, relax, et le genre de monde qui vient ici n’ont pas tous des voitures comme chez nous a Chicoutimi, c’est Montréal ici. Les jeunes prennent le métro ou leurs vélos.

Je sonner et frapper encore, mais avec le pied cette fois, à grand coup de botte, ce qui souleva ma mini et montra mon slip noir semi-transparent dévoilant ma bite et mes couilles ce qui la fit rire. Elle me montra une grosse caméra de sécurité braquer sur nous. Oups! J’allais prendre mon téléphone pour appeler Mike pour qu’on vienne nous ouvrir quand le judas glissa sur le côté.

-Vous êtes invité? demanda une fille.

Je ne vis que de jolis yeux bleu ciel cercler de noir à la gothique en rajustant ma jupe d’écolière. J’allais répondre quand elle s’exclama :

-T’es Christine, la chanteuse de Yog? Je capote!
-WAIS! Fit-je tout sourire en regardant fièrement ma sœur qui leva les yeux au ciel en prenant un air décourager.
-Wow! T’es mon idole, trop cool, fit la fille en commençant à déverrouiller la porte.
-Tu vois Mimi, ta sœur est une vedette.
-Désenfle ta petite tête de blonde toi, fit-elle en riant. Yog, c’est débile comme non de groupe, on dirait un nom de grenouille dans un film de Walt Disney.
-C’est mieux que Christine et ses vikings, à cockring. Et toi, n’oublie pas de m’appeler Christine, Mimi la bombe et remonte ton top on te voit les piercings de tétons.

J’eus droit à une grimace quand elle eu regarder ses seins pour ce rendre compte que je l’avais mené en bateau. La porte s’ouvrit et une odeur de bière rance et de cigarette nous monta au nez et de loin en entendait un son assourdit de trash métal. On entra et la fille referma, je pus la détailler. Seigneur! Elle semblait avoir 13 ou 14 ans, mais je devinais que c’était cause de son maquillage et elle devait lever la tête pour me regarder dans les yeux. Jeune, mais si mignonne; une gothique style famille Adams au visage ovale blanchi, aux lèvres rouge vif très pulpeuse, aux cheveux épais et noir corbeau; piercings, tatouages, et tout de noir vêtu; mini-jupe et bas filet déchirer avec des grosses bottes noir et top gothique, bracelets, collier et de petits seins. Bandante a mort et je savais que tout le monde là-dedans allait être dans le même style ou punk ou grunge comme ceux qui vienne nous voir en show. Trop cool!

Entrez, dit-elle en me dévorant des yeux et j’aimais drôlement ça, mais pas question de baiser une mineur.

Je me sentais fébrile et surexciter en passant la porte, car j’avais déjà vue des sexes-party sur internet et le sexe en public, c’est ce qui me fait bander le plus. J’ai toujours été un voyeur fini et maintenant j’étais une voyeuse finie et avec ma petite sœur par adoption en plus qui m’avait montré ses seins et la pipe par la danseuse, la, je ne pensais qu’au sexe, surtout avec 5 ou 6 bières dans le corps. Sacrée journée aujourd’hui.

On entre et elle referme, on se retrouve coincer devant une nouvelle porte dans un hall éclairer par une lumière rouge aux murs recouverts d’affiche de band heavy, dead, ou trash métal et de graffiti. Un vrai festival de majeur tendu et de tirage de langue vive la civilisation! J’étais déjà venu visiter une fois et je savais que c’était partout comme ça, dans chaque pièce, enfin celle que j’avais vue. La gothique me dévorait des yeux avant d’ouvrir l’autre porte et vit mon mamelon à l’air et ça sembla lui plaire drôlement. WAIS! Ma bite se réveillait déjà.

-Je vais à tous vos show Christine quand vous jouer a Montréal ou a Laval, t’es trop hot.
-Merci, dis-je en louchant vers son décolleter plongeant, et toi aussi t’es trop hot ma belle.

J’eus beau essayer de me souvenir d’elle, mais, rien n’a faire.

-t’es sa copine, demande t-elle a Mimi comme si elle me pensait lesbienne, dieu seul sait pourquoi.
-Non, ça sœur. Je t’ai vue sur les vidéos du groupe de Christine.
-WAIS, c’est sur, fit-elle en louchant vers les seins de ma demie-sœur, t’as une sœur super Christine, mais… eh…

Là, elle fixe Mimi un moment.

-Je t’ai déjà vue quelque part.
-Pas possible ma belle, j’arrive de Chicoutimi aujourd’hui, viens tu de la toi aussi?
-Non, mais… Merde! C’est toi? C’est elle? me dit-elle en pointant ma sœur du doigt.

Tous ses ongles étaient peints en noir comme les miens, une gothique pure et dure comme je les aime.

-Elle qui? Fis-je un peut perdu trop obséder par son beau petit cul et le reste.
-Mimi la bombe.

Me v’là morte de rire en acquiesçant et Mimi grimace en soupirant ben fort en fixant le plafond.

-Trop cool! fait la jolie Goth. J’aimerais bien me retrouver dans une de tes BD Christine. J’ai toute la collection.
-Pas de problème. Laisse-moi ton numéro, dis-je en lui donnant mon iPhone. Tu viendras poser à mon loft!

Tu parles qui n’y avait pas de problème. J’espérais juste qu’elle ne soit pas une lesbienne pure et dure et qu’elle n’a pas 14 ou 15 ans.

-Cool, fit-elle en tapant à toute vitesse son numéro avec ses ongles. On se pose?

Je donne l’appareil a Mimi et moi et la Goth on se prend par la taille, se colle, je dois plier un peut les genoux pour plaquer mon visage contre le sien, gros sourire et… Flash. Trop hot la petite, elle m’excite vraiment, mineur ou pas, la, je m’en fous vraiment finalement. Puis elle me fait la posé avec Mimi juste après, et y mets la main sur un sein et sourit et Mimi ouvre la bouche de surprise et… Flash. Seigneur, trop drôle, et bandant à mort. Mimi la bombe est déjà tout rouge et ma bite elle, visiblement a l’air d’apprécier ça soirée hallucinante elle aussi.

-Wow, fait la petite surexciter, on va peut-être baiser ensemble en BD, Mimi, C’est trop hot, genre. Tu m’enverras les photos Christine pour mon blogue. C’est moi (La petite souris) qui discute avec toi sur ton blogue de BD.
-Ah oui, cool. Pas de problème ma belle.
-J’en reviens pas, fait la petite en fixant encore Mimi.

Là, je suis un peu jalouse.

Ma sœur ouvre la bouche pour dire quelque chose, mais finalement se contente d’un sourire et moi je les imagine déjà poser pour moi en baisant dans mon atelier, genre. On est comme ça nous les bédéistes on a ben de l’imagination.

Une fois l’autre porte ouverte la musique nous submergea (Nightwich – Élan, leur nouveau tube) et on vit un long couloir sombre éclairer au néon vers et orange avec de nombreuses portes ouvertes et remplies de monde qui discutait et circulait en buvant. Une faune bizarroïde, un mélange de punk, de gothique, de grunge, etc. Le royaume du tatouage et du piercing, des vêtements noirs et du décolleté plongeant, des seins a l’air et des marginaux de toutes les espèces. Y a même des gars qui se promène bite a l’air en se branlant. J’hallucine grave, trop hot. Me v’là déjà a saliver comme une mendiante devant la fenêtre d’un buffet chinois. Je vis sans y croire un gars les culottes aux genoux qui se faisait sucer par une blonde au milieu d’un groupe qui semblait trouver ça des plus banal dans une pièce sur la droite. Plusieurs filmaient ou prenaient des photos en riant. Wow! Le gars avait une sacrée belle bite, longues grosses et courber vers le haut. Les couilles épilées en plus, ça me fit saliver et penser au copain de ma mère. Seigneur! Une belle petite Asiatique lui palpait les fesses l’autre main sous sa jupe et se branlait. Celle-là était vraiment bandante. Les teeny asiatiques m’allument complètement.

Moi et Mimi on se regarda genre; trop hot. Wais, vraiment hot!

Une fois la porte refermer, je veux aller filmer la pipe, mais surtout l’asiatique, mais la Gothique me plaque contre le mur avec force pour s’accrocher à mon cou en se hissant sur la pointe de ses bottes pour que son visage d’ange se retrouve face au mien et écrasa ses lèvres rouges sur les miennes pour enfoncer aussitôt sa langue percée dans ma bouche tout en me pinçant mes fameux mamelons qui prenant l’air. Ouf! Mimi regardait ça tout sourire, mais sur l’écran de son téléphone. Je lui fis un clin d’œil. Elle est bi comme moi, comme je l’avais appris ce soir et devais m’envier pas mal, la pauvre. Cette fois, ma bite durcit complètement dans ma petite culotte et pas a peut près, mais mon sac a main c’était retrouvé coincer entre nous, la fille ne pouvait la sentir. Je devais avoir une belle bosse sur ma jupe d’écolière et j’espérais encore de tout cœur que cette fille-là ne soit pas lesbienne, elle était trop bandante. J’en avais le tournis en jouant avec sa petite langue pointue. Je lui pogner le cul à deux mains pour les glisser sous sa mini sans détour en la soulevant, ma sœur filma ça. Trop hot! J’eus l’impression de presser des fesses de gamine de douze ans tout en sentant sous mes doigts un slip de coton léger. Des petites fesses très dures à faire perdre la tête et c’est ce qui m’arriva. J’étais déjà folle de désir pour elle m’imaginant la culbuter quelque part, les yeux fermer, la sentant me presser un sein. Puis je sentis que Mimi me tapait sur l’épaule. J’ouvris à peine les yeux pour la voir approcher son visage du mien comme si elle voulait m’embrasser elle aussi, mon cœur bondit, mais ce fut plutôt pour me crier à l’oreille à cause de la musique trop forte :

-Je vais nous trouver de la bière la blonde, continue à t’ennuyai.
-Hum hum! Fis-je occuper a jouer de la langue et a tripoté le cul si doux. C’était trop bon, je planais et on nous regardait en plus, mais pas trop, car on n’était pas les seules filles à se frencher ou à se tripoter. Ça, c’était vraiment cool! Ses lèvres goûtaient la cerise et mon rouge la réglisse, curieux mélange.

Mais la Goth recula la tête pour lécher ses lèvres rouge sang comme un vilaine petite vampire et accrocha ma sœur par le cou pendant quelle arrêtait l’enregistrement sur son iPhone et avant qu’elle ait pu partir elle plaqua ses lèvres sur sa bouche et la frencha un moment elle aussi juste sous mes yeux, car elle me tenait toujours par le cou moi aussi. Amuser, je vis Mimi écarquiller les yeux, puis les fermer pour mieux savourer son french. Ça, c’était vraiment bandant et je le filmer en riant, une main toujours sur les fesses de la petite. Puis la fille recula la tête a nouveau lui dit en lui tapotant d’une main ses gros seins comme si c’était des petits ballons de basket et comme s’il n’y avait personne aux alentours se qui fit sursauter ma queue :

-Wow, sont trop hot des grosses boules Mimi. Presque aussi grosses qu’en BD. C’est des vrais?
-Wais, ma belle, des vrais de vrais. Lâcha ma sœur visiblement excitée autant que moi par cette jolie gothique.
-Cool! On peut voir?

Mimi, quelque peut embarrasser avec les deux mamelons au garde a vous, loucha vers mon téléphone et se contenta de sourire en faisant non puis en partant, se faufilant à travers la foule bigarrer et, justement ses gros seins ballons attiraient déjà les regards autant des gars que des filles. J’avais filmé tout ça et la je filmait la petite.

-Elle est juste un peut timide ma sœur. Expliquai-je a son oreille à cause de la musique qui devait pété des records de décibel en lâchant ses fesses
-C’est cool, Christine.
-Comme ça c’est toi – la petite souris – criai-je en caressant ses longs cheveux noirs en admirant ses yeux bleus de chatte en chaleur à demi fermer.

Elle me faisait un peu pensé a Carole Laure, mais en plus jeune évidemment. Vraiment sexy la petite et visiblement, elle en pinçait vraiment pour moi et Mimi.

-Hum… plus fan que moi tu meurs. Je flippe vraiment sur toi depuis longtemps. Je me masturbe souvent en pensant à toit en regardant les films que je prends pendant tes show et des photos, des fois je me branle même pendant tes spectacles. Je me caresse la plote sous la table et je jouis à tout coup. T’ont petit côté garçon manquer me rend dingue et tes belles jambes et ton talent pour le dessin. J’ai voulu te parler souvent, mais tu te sauves après les spectacles. Là, je capote ben raide Christine.

Wow! Si je l’imaginais se masturber en me regardant pendant que je chante? Oh oui et c’était bandant a mort. Vraiment vicieuse la petite, mais peut être lesbienne, ça se serait chiant.

-Oh! Avoir su ma belle… mais je suis un peu timide moi aussi.

Finalement elle se laissa retomber sur ses talons sans cesse de me fixer les yeux brillants pour me caresser les seins en disant :

-Ça faisait trop longtemps que j’en rêvais de frencher la belle Christine et de toucher ça.

Ses petites mains me pelotant les seins m’allumèrent complètement, surtout en public comme ça, ça me chatouillait tellement. Je sentis un désir violent m’envahir et ma bite sursauter. Surexciter qu’elle me les prennent devant tout le monde je donner mon téléphone a un jeune gars aussi tatouer qu’un Yakusa qui nous reluquait en buvant sa bière en lui disant de filmer. Il ne demandait pas mieux, évidemment, à voir la bosse à son entre-jambe, et je rendis la politesse a la fille en pelotant ses seins pomme. Pas de soutif elle non plus et ses petits seins, tout de même un peut plus gros que les miens, semblait pas mal ferme. C’était trop hot et ça ne faisait même pas 2 minutes qu’on était là. Et tout ce monde qui nous regardait plus ou moins en jasant et buvant, c’était… wow!

-T’es bandante à mort ma belle. Lui dis-je a l’oreille en lui pinçant délicatement les mamelons par dessus son top gothique comme elle me le faisait et ça chatouillait en tabarnouche, surtout celui qui prenait l’air. De gros frissons me parcouraient l’échine jusque dans la bite qui pulsait au rythme de mon cœur.
-Je te plais, hum? T’es juste aux filles ou aux gars aussi Christine?
-Les deux.
-Cool! J’aimerais tellement sortir avec toi.
-OK, mais t’as quel âge au juste? Je ne voudrais pas qu’on m’accuse de détournement de mineur.
-16 ans, c’est OK?
-C’est OK ma belle.

Moi qui étais en manque de fille depuis ma transformation, en fille justement. Elle était trop cute et trop bandante pour que je refuse, mais je me devais de lui apprendre la bonne nouvelle avant, ou la mauvaise tout dépendant de son orientation sexuelle. Mais avec cette musique je dus lui crier à l’oreille :

-Mais faut que je te dise que je suis, enfin j’étais un garçon. Mais j’ai gardé mon équipement.

Elle plisse les yeux en me fixant intensément pendant que je lui fais mon plus beau sourire, visiblement elle ne le croit pas, alors… je ramène mon sac à main dans mon dos et lève ma jupe juste un instant. Ma bite bander dur soulevait mon slip de dentelle un peut transparent à le faire éclater tandis qu’elle regardait les yeux tout ronds de surprise et je vit que d’autres tout près avaient profité du spectacle tout aussi surprit, surtout celui qui nous filmait appuyer au mur.

La bouche et les yeux ronds de la gothique figée et du gars, c’était trop drôle.

-Woooow! Fait-elle finalement toute exciter, c’est encore mieux Christine. Trop cool. C’est pas croyable.
-Pas trop déçu?
-Té malade, pantoute! C’est fool hot. Baise-moi, chut toute mouillée, crit-elle en se plaçant face au mur en bombant le cul.

Là, j’hallucine grave en fixant son beau petit derrière. Apparemment; soit elle était défoncée à quelque chose, soit elle était plus habituée que moi à ce genre de soirée open-sexe.

-Quoi, icitte?

Elle rit en soulevant sa jupe étroite sur ses reins et descendant sa petite culotte noire en coton aux cuisses. En voyant sa vulve gonfler et ouverte avec de belles grandes lèvres roses et luisantes d’humidité quelle se caresse un doigt en avant à la vue de tout le monde, de son petit anus brun et plissé et de ses fesses vertes et orange à cause des néons, si petites, et si serrer, je perds la tête. Je la désire tellement que j’en ressens comme un coup de poing au ventre, surtout qu’elle s’exhibe comme ça en public. Bon Dieu que ma bite raidit… ouf! Je ne peux m’empêcher de caresser ses fesses si douces et si fermes et sa vulve avec elle que je sens bien effectivement mouillée.

Je regarde un peu l’attroupement qu’il commence à y avoir autour de nous et ça me gêne un peu, mais d’un autre côté cela m’excite encore plus, surtout qu’on nous filme de partout maintenant comme si on était des stars.

Sans hésiter plus longtemps je soulever ma jupe, baisser mon slip sur mes longues cuisses blanches, me prit la bite hyper dur, trop heureuse de m’exhiber à mon tour, tellement que j’en avais le frisson. Oh oui, ça, c’était le pied total de montrer ma queue à tout ce monde en train de me filmer avec leur téléphone. Trop cool! Et, à la vue de ma bite sa jase pas mal autour de nous, ça, je peux le comprendre. Maintenant, tout le monde allait savoir que la belle blonde bandante, la chanteuse de Yog est une shemale et au fond, j’en suis bien contente, soulager. Après l’avoir appris à ma mère aujourd’hui, à ma sœur par adoption, aujourd’hui, maintenant la planète. Super!

À cause de la musique je n’entends pas leurs commentaires, mais plusieurs filles on les yeux petits en tabarnouche et les voir, même du coin de l’œil me regarder la bite, me fait bander encore plus dure. Quant au Yakusa, lui, il semblait trop heureux de filmer ça en buvant sa bière une épaule appuyer contre le mur. Je me cracher dans la main pour me lubrifier le gland rougi et elle m’agrippa la queue en écartant les cuisses un peut et frotta mon gland sur sa fente jusqu’à l’entré du vagin. Je pousser doucement en serrant les fesses sentant trop bien mon gland se faufiler dans le vagin humide et étroit en pliant les genoux un peut une main sur son épaule et je m’y enfoncer jusqu’aux couilles en quelques coups. Je déglutis en sentant ma bite bien au chaud dans le con bien serrer et bien mouillé. Quelle sensation fantastique devant tout ce monde, cela décuplait mon plaisir par 10. Je commencer à la besogner lentement en la tenant par les hanches si étroites que mes doigts se rejoignaient quasiment sur son ventre à l’air. Ça faisait si longtemps que j’avais pas fourré une fille que j’avais oublié à quel point c’était agréable un vagin bien mouillé. Folle de désir je mit à faire rebondir les petites fesses en soupirant tandis que de plus en plus de gens s’approchaient pour profiter du spectacle téléphone en main. Le spectacle d’une shemale blonde baisait une jolie gothique qui semblait avoir 12 ans de dos comme ça. Ça, c’était vraiment flippant, excitant au possible, trop hot! Je soupirai en sentant mes couilles lourdes et sans poil se balancer sous ma jupe que quelqu’un soulève tout à coup.

Je jette un coup d’œil pour apercevoir une fille très sexy avec un sourire d’enfer, en camisole et mini qui me tape les fesses en me souriant puis prend même les couilles. Seigneur, j’en soupire de plaisir en plissant les yeux et elle me les presse tendrement son pouce touchant mon anus moite de sueur en me disant a l’oreille :

-Wow! T’es un trans Christine… trop cool. Je l’aurais jamais deviné. J’aimerais te baiser moi aussi plus tard, j’ai jamais essayé ça.

Je me contenter de lui sourire tellement je ressentais du plaisir a baiser l’autre pendant qu’elle me tripotait.

WAIS! Cool, drôlement cool! Ça, c’est sûr. Surtout que quelqu’un d’autre me palpait les fesses à présent. Ma peau se couvrit de chair de poule à me sentir tripoter comme ça, surtout les couilles en fourrant la Gothique et devant tout le monde et tous ses téléphones qui leur éclairaient le visage. Pas croyable, et l’on venait à peine d’arriver. Et v’là le Yakusa qui pose sont verre de bière par terre sans cesser de filmer pour de sa main libre, caresser les seins de la gamine ou les miens. Seigneur Dieu! Tous ces attouchements en baisant me rendait presque folle, je planais, soupirais, grimaçais en essayant de ne pas jouir trop vite et la foule appréciait le spectacle apparemment et la petite aussi. La joue toujours contre le mur elle semblait en pâmoison, les yeux quasi révulser en se masturbant avec force, je le sentais bien par ma hampe. Je regarde ma bite de presque 8 pouces aller et venir déjà recouverte de déjection blanche en me disant que c’était la baise de ma vie jusqu’à présent. Oh oui!

Pas croyable tout ça.

Et tant qu’à faire, je stoppe un moment pour me débarrasser de ma camisole, là, ça crie et applaudit et il y a tout à coup plus de mains qui se tendent pour me presser les seins. Comme si j’étais devenue une statue bouddhiste et que ce la portait chance de me toucher. Wow, oh wow! Je recommence à baiser la petite qui semble planer ben haut elle aussi, même visiter carrément le nirvana. Malgré son maquillage je vois bien qu’elle rougit. Peut-être un orgasme, elle qui avait tant fantasmé sur moi.

Ouf, toutes ses mains qui me touchent me rendent presque folle, ça me chatouille tellement, surtout quand on me pince les tétons ou me presse les couilles, c’est fantastique. Maintenant j’entends du – Blackmore nights – qui joue à fond la caisse. J’adore la voix de cette fille, je chante tout les hits de ce groupe. Je plane en me demandant si Mimi est là, si elle me regarde baiser cette fille elle aussi, en filmant.

Mais c’est trop excitant pour que la baise s’éternise, je sens déjà mon scrotum se resserrer dans la main de la fille et mes couilles qui veulent rentrer par en dedans. En plus, mes mamelons sont si durs et si sensibles qu’ils me font grimacer et soupirer en me chatouillant avec toutes ses mains de gars ou de fille qui me les malaxe. Seigneur, ça me coupe le souffle, mais c’est si bon, le trip de ma jeune vie de shemale, oh oui, ça, c’est sur. Et ma sœur, elle est où? Les gémissements de la Goth se mélangent aux miens tandis que je fixe ses fesses si petites et si dures que je caresse avec d’autres. Je me lèche le pouce et lui agace l’anus, elle gémit plus fort en arrondissant ses jolies lèvres. Elle baisse son top tout à coup, me prend les mains pour les placé sur ses petits seins chauds, très durs et si doux que le Yakusa et d’autres s’empressent de prendre aussi. Tripoter des seins à plusieurs c’est bandant à mort. Un autre gars s’approche sur notre gauche, il se branle en buvant une bière. Pas mal cute à part ça le gars, torse nu, tatoué, juste la bite sortit de son jean. Vraiment un beau mec très mignon avec de belles épaules et qui se rince l’œil. Je le regarde les yeux vitreux, puis regarde sa belle queue comme d’autres filles et j’en ai des chaleurs. Trop de choses se passent, je me sens si bien, ma queue est si sensible, c’est trop bon. Surtout comme me tripotent aussi les cuisses maintenant. Seigneur!

Trop exciter, j’accélère le mouvement en m’accrochant à ses épaules, la Goth soupire, les yeux vitreux, et soudain, je vois Mimi du coin de l’œil se faufiler tant bien que mal au travers de la foule et s’arrêter près de moi avec trois bières dans les mains, les yeux tout petits et brillants. Elle sourit en me faisant un clin d’œil, boit et regarde comme les autres ma bite et le cul de la petite et mes seins tripoter de tout côté comme mes belles petites fesses si blanches, et la, un bout de doigt me chatouille l’anus. Seigneur! Un long frisson me traverse la colonne et mon gland devient encore plus sensible et ça, ça me fait presque venir finalement. Je grimace de plaisir en sentant mon sperme, grimper dans ma hampe et si accumulé. Sans condom, je ne prends pas de chance et, le cœur battant à toute allure, je sors ma queue glissante de sécrétion vaginale et je me branle devant tout le monde en fixant le petit cul tandis que le gars à gauche se lâche la bite pour la branlé en lui rentrant un doigt dans le vagin. Je me masturbe de plus en plus fort en geignant et grimaçant, me mordillant les lèvres tellement je suis près de jouir en sentant la main qui me presse toujours les couilles et toutes ses autres mains qui me caresse. Là, c’est trop le fun, flippant à mort.

La gothique aussi grimace et soupire en se branlant avec le doigt de l’autre qui s’agite toujours en elle et elle me regarde et regarde ma queue, elle veut me voir jouir. Je gémis de plus en plus encourager par la foule coincer dans ce couloir étroit, mon gland dégoûte, du sperme en sort pour s’étirer en long filament et tomber sur mes bottes, mes genoux fléchissent, je tremble en sentant le plaisir grandir et soudain j’explose droit sur les fesses. Un jet très puissant de sperme qui lui éclabousse le cul et le con. La foule cris, les téléphones se rapprochent tandis que je regarde mon sperme clair arroser le petit cul et l’anus et la vulve tout en voyant du coin de l’œil Mimi qui se rince toujours l’œil comme les autres. Jamais elle n’allait oublier sa première journée a Montréal ma petite sœur, ça, c’est sur. Ses flippants de décharger encore devant elle, comme tout à l’heure aux danseuses et surtout devant les autres qui filme mon orgasme comme une gagne de paparazzi enrager pendant qu’on me presse toujours les couilles et les seins. Le cœur veut me sortir de la poitrine et je me lamante comme une gamine. WAIS! Sacrée belle journée. 7 ou 8 jets de sperme plus tard, ses déjà finis, essoufflé je me la presse sur les fesses en me sentant si soulager, vaseuse, pendant que les gens se dispersent déjà, satisfait de leur trip de voyeur sans doute et le doigt sort du vagin de la petite qui semble avoir joui, ses joues sont toutes rouges tandis que je me secoue toujours la queue. La petite ne fait ni une ni deux, elle se frotte les fesses pour y étaler mon sperme et remonte son slip par dessus, se retourne, se lèche les mains et m’embrasse et dit en remontant son top par-dessus ses petits seins magnifiques :

-Hum, je veux garder ton sperme sur moi Christine.

J’avais déjà vu plusieurs de mes ex-copines faire ça, quand je leur jouissais sur les seins surtout. Ça doit les exciter, j’imagine. Ah, les filles!

-T’es trop hot ma belle, c’est quoi ton nom? Que je lui demande en remettant ma bite rester dur et trop sensible sous ma petite culotte en grimaçant.
-Nancy. T’as vraiment une belle bite, c’est vraiment cool de se faire fourrer par une Shemale. Des seins et une bite. Wow! J’aime trop ça Christine.
-Pis, vous prenez vos bières les amoureuses ou je les garde pour moi. Demande Mimi, les mamelons plus gros et plus durs que jamais et les yeux luisants tandis que le Yakusa me redonnait mon téléphone et ma camisole en nous hurlant que c’était trop hot, avant d’aller reluquer ailleurs. Je le remercier en le frenchant et ça sembla lui plaire.

On boit un coup et Mimi rajoute :

-On va se rincer l’œil un peut les filles? Ça baise partout icitte chut déjà toutes mouillé.
-C’est vrai ça? Fait Nancy les yeux petits en glissant une main sous la jupe de mini qui se crispe un peut, puis soupire fort et grimace, les yeux presque fermer, la main ressort et la fille se lèche le majeur et dit : WAIS! C’est vrai, ben mouillé la belle Mimi.

Ça, c’était bandant à mort et j’ai pas filmé ça. Merde!

Mimi me regarde les yeux vitreux, je prends ma bière, mon téléphone et ma camisole dans la même main et je ne peux m’empêcher moi aussi de rentrer l’autre sous la jupe de Mimi tellement elle m’excite et depuis longtemps. Tout ce qui se passe aujourd’hui m’a comme fait perdre la tête, un petit peut. J’ai trop envie de tripoter ma petite sœur et depuis toujours, alors je me dis que c’est le moment ou jamais. Elle arrondit les yeux de surprise en me fixant et je lui souris. Je touche ses cuisses juste au-dessus de la bande décorative des bas, sa peau est douce et chaude puis je remonte la main et palpe sa vulve bombée par-dessus son slip un doigt en avant, elle ne proteste pas, même qu’elle me sourit. J’écarte le slip puis glisse mon majeur délicatement surs ça fente, entre ses grandes lèvres, trouve l’entré du vagin bien humide et y pousse doucement mon doigt au complet et l’agite, la sentant effectivement très mouillé et le ressort pour le tendre a Nancy qui le suce aussitôt tout sourire. Pauvre Mimi qui rougit en soupirant ben fort, visiblement très excité. Toujours bander dure, je me retiens pour ne pas l’accoter au mur elle aussi.

– Faut pas vous gêner toutes les deux. Dit-elle finalement avant de soupirer encore en replaçant son slip comme il faut.
– Je voulais juste être sur Mimi que t’étais vraiment contente d’être ici. Lui dis-je tout sourire.
– On baise quand tu veux ma belle Mimi, cris Nancy sans détour, tous les trois ce serait hot.
– Bon, un autre fait Mimi décourager. Allons plus loin, j’ai trop chaud.
– C’est quoi ce numéro sur tes seins Christine? Me demande Nancy.

Mimi répond.

-Une autre fille qui veut baiser avec nous deux.
-Trop cool, fait la Goth. On pourrait se faire une soirée de fille chez moi.
-Bonne idée, dis-je déjà exciter juste a imaginé.
-Quoi! cris Nancy.
-Bonne idée!!! Hurlai-je.

Elle me pend par le bras comme si elle aurait peur de me perdre ou par fierté et me tire si fort que j’ai pas le choix de suivre en fendant la foule et Mimi nous emboîte le pas avec ses grosses boules qui frotte sur tout le monde. J’arrive pas à croire que j’ai trouvé le courage de passer un doigt dans la plote de ma petite sœur. Wow! Et que j’ai encore tous mes plombages et que là, je me promène les seins a l’air, vu qu’on ne m’a pas laissé le temps de remettre ma camisole. Ça, c’est vachement hot, mais y as plein de filles les seins a l’air tout partout, alors, pourquoi pas. C’est trop génial!

Il y a tellement de monde que ce n’est pas évident de se déplacer, on doit parfois se mettre de côté pour réussir à avancer en se frottant contre de beaux gars ou des filles ultras bandantes. Trop cool! Plusieurs me reconnaissent et me salut et en profite pour me prendre les fesses au passage ou les seins, gars ou fille, apparemment j’allume tout le monde et j’aime ça, mes seins frottent aussi sur d’autres seins parfois et moi aussi j’en profite pour avoir les mains baladeuses. Ouf! Pas mal de gars se promènent couille et bite a l’air ou se font sucer en me dévorant des yeux surtout Mimi qui elle aussi se fait reconnaître et tripoter. Elle se rince l’œil elle également et semble bien aimer sa soirée ma petite sœur. Des filles font des pipes ou se font baiser, on regarde un peut comme les autres, on filme et on va plus loin.

Plus en avance dans le dédale de pièces plus ça baise partout et on monte au deuxième tant bien que mal en essayant de ne pas renverser nos bières tellement y as de monde.

Nacy nous fait rentrer dans un genre de grand salon au deuxième étage, ou une fille se fait prendre en gangbang étendu sur le dos sur une table basse au milieu d’une foule. On s’installe derrière et on regarde le spectacle hallucinant en buvant. J’ai toujours pas vu les gars du band, mais l’endroit est si grand que ça ne m’étonne pas et il y a deux autres étages plus haut. Nancy et moi on se tient par la taille comme des amoureuses et visiblement elle en est fière. Mimi me prend par la taille aussi en me regardant les yeux tout petits, et me dit a l’oreille;

-J’arrive pas a croire que ton doigt a visité mon vagin. T’as pas honte, je suis ta sœur?
-Oups! Mais non, pas honte du tout. Pas aimer, Mimi la bombe?

Elle me tire la langue en souriant puis regarde à nouveau la scène incroyablement bandante. La fille, plutôt jolie est prise par le vagin et la bouche tandis que tout le monde lui tripote les seins. De beaux petits seins tout plats semblables aux miens. Et la, en entend par des hauts-parleur situé quelque part au plafond dans les couloirs :

– « Et, gagne de pervers, de dégénérer, de sale trou du cul, d’obsédés. Devinez qui viens d’arriver, Christine, la chanteuse super bandante du groupe Yog et accompagner par nul autre que la belle Mimi la bombe en chaire et en os, son personnage de BD. La BD de cul la plus hot en ville. Wais, miss grosses boules en personne est la les amis. Oublier pas le lancement du nouveau numéro au Fouf dimanche soir a 7 heures, les débiles, pour la première fois Mimi la bombe y sera. Baiser, buvez, jouissez, mais pisser pas partout gagne de trou de cul et chier pas dans mes plantes. »

Je regarde Mimi qui semble figer, bouche ouverte tandis que plein de monde commence à nous regarder, on me reconnaît pas mal tout à coup et j’aime ça, surtout les boules a l’air. Puis elle me regarde et je soulève les épaules en lui faisant un sourire niais. Seigneur! Nancy nous regarde l’une et l’autre amuser. C’est le gros Bob en personne qui vient de faire cette annonce et apparemment il a décidé que Mimi serait là dimanche. Oups! Et elle me crie à l’oreille :

-Bon, première nouvelle pour le lancement de ta BD, me cache tu autre chose la blonde.
-J’ai pas encore eu le temps de t’en parler. Faut dire que tes coups de sacoche mon décourager un petit peut.

Elle part à rire. Ouf! Merci mon gros Bob.

Je sors mon téléphone et commence à filmer le gangbang comme tout le monde en le tenant en l’air tandis que ma sœur réalise qu’elle est une sorte de vedette du porno. Seigneur!

J’ai joui deux fois depuis le début de cette étrange soirée et comme on dit : jamais deux sans trois. Et j’espère que la troisième fois ce sera avec ma sœur. Je me sens assez saoule pour ça et à voir Mimi me regarder parfois, je pense qu’elle en a envie aussi. J’invite Nancy a dormir chez moi, folle de joie la gamine et moi don. Puis, je me tourne vers Mimi et approche mon visage du sien. Elle me regarde les yeux tout petits tandis que je ne pense qu’à une chose, l’embrasser. J’avance la tête, elle aussi, nos lèvres se touchent, on ferme les yeux et c’est la totale a grand coup de langue. J’aime trop! Malheureusement c’est la que mon baseman débarque, le salaud. Y me regarde à peine les seins et dévore ma petite sœur des yeux, lui parle a l’oreille et elle rit. Puis, Mimi nous fait bye bye et il part avec elle et apparemment elle ne demande pas mieux. Et ben! Un nono pareil! Mais il a une belle bite avec un anneau au gland. Si seulement je pouvais filer ma soeur en train de lui faire une pipe, ça, ce serait trop hot! Mais pour l’instant je me concentre sur le gangbang en buvant avec apparemment ma nouvelle petite amie qui s’accroche à moi comme une fille s’accroche à sa mère.

Quelques bières plus tard, j’ai un blanc, désolé. Je me rappelle vaguement avoir signé un autographe sur une belle paire de seins… puis avoir pris une autre bière dans une autre pièce ou une belle Asiatique ligoter se faisait sodomiser pendant qu’une fille aux cheveux rouge me suçait… Moi en train de faire une pipe a un gars dans une toilette avec Nancy… moi enculer par le gros Bob dans son studio en baisant quelqu’un… Je ne me rappelle que d’un beau cul bien rond, peut être celui de Mimi, difficile a dire, en tous cas, la fille lèche la vulve de Nancy assise dans un grand fauteuil pendant qu’elle filme, mais pas avec mon téléphone… seigneur… et… moi donnant un coup de taser sur la bite d’un gars complètement débile tatouer des pieds a la tête et, je me rappelle que ça la fait tomber et jouir, enfin, je crois… Seigneur!

C’est là que ça devient un peu flou… Même pas mal.

Un grand trou noir en fait, désolé.

Bon! J’arrête là. Mais ça va me revenir, sûrement… Et ça ronfle toujours dans ma chambre et dans deux heures je dois me préparer pour aller rencontrer le photographe. Merde! Je me sens trop mal et je me sens laide, je vais l’appeler et remettre ça…

Quoi? Arrêtez de râler les vicieux! J’ai mal aux doigts moi à force de taper et je suis en plein lendemain de veille rappelez-vous, alors… je prends une pause; café et tylenol encore… et je vais aller m’étendre un peu. Qui sait, en plaçant ma bite entre les fesses de la petite je vais bien finir par bander aujourd’hui… et par savoir tout ce qui c’est passé hier si elles se lèvent un jour… À trois, on devrait y arriver et probablement en baisant.

A

Peut-être…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire