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Vieille salope et jeune puceau

Vieille salope et jeune puceau



« Oui, approche vite, donne-moi ta belle queue ! Viens me la fourrer au fond de la bouche, j’aime quand tu me remplis avec ton gros gland tout rouge. Je vais bien te pomper, tu verras, n’aies pas peur. »

Le jeune cochon s’avance fébrilement. C’est un copain de mon fils cadet. Je fantasme sur lui depuis si longtemps. Maintenant qu’il a 18 ans je ne risque plus rien et je peux enfin le sucer sans crainte. Oh, si vous saviez combien j’ai attendu ce jour-là ! Combien de fois je me suis branlée en imaginant son chibre entre mes lèvres, son gros nœud sous ma langue. Parfois, je me touchais même l’entrejambe pendant que mon mari dormait à côté de moi. Ou alors, au travail, je quittais précipitamment mon bureau pour aller me doigter la foune aux toilettes. Je revenais essoufflée mais les sens apaisés pour quelques heures.

Ca y est, il pousse sur mes lèvres. Son vit force le passage. Il n’a pas à pousser beaucoup, J’ouvre ma gueule avide de sa queue pour le prendre. Mes babines luisent de salive et sont gorgées de désir. Je n’ai pas eu à le prier longtemps. Quand il est arrivé, j’étais presque à poil. Je savais que ça l’exciterait. Il est encore puceau, mon fils me l’a dit. Voir une vieille garce comme moi dans la tenue que je portais ne pouvait pas le laisser indifférent. Dès que j’ai mis ma main entre ses cuisses, j’ai senti la bosse qui déformait son pantalon. Ca m’a fait mouiller instantanément. Je lui ai fait comprendre qu’il devait quitter son froc et c’est moi qui lui ai enlevé son slip avant d’aller m’asseoir sur le fauteuil pour lui offrir ma bouche à baiser.

Il est en moi et mon sexe coule de bonheur. Mes lèvres distendues se font enveloppantes pour mieux le serrer. Je bouge la langue, la passe vicieusement sur son gros champignon qui coule lui aussi. Son liquide lubrifiant, à peine salé, se mêle à ma salive de vieille cochonne en chaleur. C’est bon et chaud. Dire que bientôt il va aussi me donner son jeune foutre tout frais. J’en frissonne d’avance. J’ai tellement rêvé de ce moment-là.

D’une main vicieuse, je lui caresse les couilles. Elles sont bien pleines, je le sens. Qu’est-ce qu’il va me mettre ! A peine velues, elles sont bien moins ridées que celles de mon mari. Mon fils doit avoir les mêmes. J’ai un peu honte de penser ça. Je les fais rouler entre mes doigts tandis que ma langue lui titille le bout sans discontinuer. Il s’agite, commence à faire bouger son bassin comme pour me piner la bouche. Ca doit le changer de ses petites branlettes solitaires de tout jeune adulte. Ma bouche est bien plus chaude que son poing.

Mon autre main n’est pas inactive. Sans m’en rendre compte, je l’ai laissée descendre entre mes cuisses. Mes doigts y rencontrent un flot de mouille ininterrompu. C’est pire que ce que je pensais. J’écarte mes lèvres avec mon index, remonte tout en haut et dégage mon gros clitoris qui bande, tendu à l’extrême. Je le masse du bout des doigts et ça me fait frémir de bonheur.

Mon jeune amant s’enhardit encore. Il a posé ses paumes sur ma tête. Il ne tient plus debout, s’assied sur la table basse et m’entraîne ver lui. Je me retrouve à genoux entre ses jambes, une main s’activant toujours au milieu de mes cuisses. Le puceau guide ma tête sur la hampe de son zizi. Ma bouche coulisse sur la tige raide comme un barreau de fer qui me fouille de plus en plus vite. Mes joues sont distendues par le gland toujours plus gonflé. Je pointe la langue sur le trou sensible qui se trouve à l’extrémité. Mon camarade de jeu gémit de plaisir à chaque fois un peu plus fort. Ses testicules sont tendus à éclater.

Je me suis fourrée deux doigts dans la chatte. Ils coulissent à l’intérieur de mon trou au même rythme, à la même cadence que la bite turgide du jeune vicieux. J’entends le clapotis que font mes doigts dans mon trou dégoulinant de jus de femme. Mêlé aux gémissements que nous poussons tous les deux, ça forme un bruit de fond terriblement excitant. Même l’odeur qui flotte dans le salon est troublante, mélange de senteurs amers de sueur et de fragrances de foutre.

Ma tête bouge toujours plus rapidement sur le mandrin qui me perfore. En bonne suceuse aguerrie, je tête goulûment le biberon humain. Il va falloir que ça se termine car je vais jouir. Je ne tiendrai plus longtemps. Je sens que le plaisir est imminent au plus profond de mon ventre. J’accélère ma succion, je lape carrément le bout de mon jeune salaud. Ses couilles se tendent encore un peu, se serrent sous mes doigts. Subitement, il se met à dégorger. Des spasmes secouent ses burnes dures comme du roc. Je prends tout son sirop au fond de la gorge. Pour une fois, je suis heureuse d’avaler le sperme qui vient s’éclater sur mes muqueuses. Je donne ce cadeau à mon compagnon, Je bois son foutre, jusqu’à la dernière goutte, en finissant par jouir moi aussi.

Je m’affale à même le sol. Il me rejoint dans ma chute. Je me termine en me barattant la vulve à grands coups, avec trois doigts réunis. Je veux l’exciter encore, lui montrer comme il m’a fait du bien en me donnant son cadeau. La soirée n’est pas finie, il va encore me servir. Ce n’était qu’un avant-goût, une mise en bouche avant le plat de résistance. Maintenant que j’ai purgé ses couilles trop pressées d’être vidées, maintenant que je l’ai bien vidangé, il sera plus endurant. Je vais lui donner ma chatte, il va me prendre comme un Dieu et, juste après, je lui offrirai mon cul de vieille traînée à remplir. Rien que d’y penser, je recommence à couler. Je suis une garce mais j’aime ça plus que tout.

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