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Audrey

Audrey



Il faisait très beau cet après-midi là et j’avais décidé de me prélasser dans le jacuzzi…j’avais installé une bouteille de vin blanc dans un seau à glaçon et je rêvassais …j’entendis des pas…le jacuzzi était invisible des voisins et du coup, je m’étais « mis à l’aise »…Quelle ne fut pas ma surprise de voir Audrey, ma voisine arriver…Visiblement elle avait un peu bu et cette petite blonde ne tenait pas bien « la marée »…
– ah tu es là? Je voulais t’inviter à venir prendre l’apéro…Ludovic n’est pas là…ses courses de voitures tu sais…
– c’est gentil, mais si tu veux, j’ai un p’tit coup de Quincy, tu m’en dira des nouvelles…par contre je n’ai qu’un verre…
– c’est égal, je pourrai lire dans tes pensées…
Elle se servit un verre généreux qu’elle avala quasimment d’une traite…
– il est bon dit elle…je peux profiter du jacuzzi moi aussi?
– C’est à dire…je n’ai pas de maillot…
– ben… moi non plus…
Joignant le geste à la parole elle entreprit d’oter sa robe.
Rapidement elle se retrouva en soutien-gorge et shorty devant moi. C’était un ensemble en belle dentelle blanche et cela lui allait à ravir…
– je voudrais pas les abimer
– oui, il y a du chlore en effet
D’un geste rapide elle retira le haut puis plus lascivement, me regardant droit dans les yeux, elle fit glisser le bas.
– tu me trouves comment?
Elle était plantée devant moi, les poings sur les hanches, les jambes légèrement écartées. J’avais une vue imprenable sur sa chatte complètement épilée hormis une petite touffe loin au dessus du clitoris prouvant qu’elle était une vraie blonde. Ses seins retombaient un peu, mais étaient encore jolis quoique petits…
– magnifique arrivais je à articuler
– fais moi une place
loin de se mettre à l’opposé de moi dans le bain, elle vint à mes cotés
– c’est marrant ces bulles, j’ai un jet juste sous mes fesses, c’est…excitant
sa main avait glissé sur ma cuisse et me caressait le sexe qui avait réagi au quart de tour…
– tu n’es pas comme mon mari, je ne te laisse pas indifférent
– tu veux dire?
– qu’il ne m’a plus touché depuis des mois
– quel con!
– Tu crois que tu pourrais…
je ne dis rien, mais glissais ma main jusque sur sa chatte que je me mis à caresser doucement
– pourtant je fais des efforts, je m’épile, je m’habille bien… rien n’y fait!
– ben tant mieux pour moi alors…
elle se leva assez brusquement, sa jambe droite passa par dessus mon bassin et elle s’assit sur le haut de mes cuisses. Puis elle m’embrassa langoureusement. Son sexe qui touchait le mien me faisait un effet mostre et j’avais une trique d’enfer.
– Baises moi!
– On serait peut etre mieux sur la terrasse
Je me levai, mon sexe était à la hauteur de ses lèvres…Elle déposa un baiser délicat dessus puis se leva aussi. Nos lèvres s’unirent à nouveau puis nous glissames au sol. Mes lèvres descendirent titiller ses seins. Ils durcirent rapidement et elle se mit à soupirer d’aise. Je m’enhardis alors et je vint effleurer son clitoris. Il ne réagit pas tout de suite, engourdi sans doute par tant d’abstinence…je me mis alors à lècher ses lèvres, puis m’insinuais plus profondément dans son intimité…était-ce l’eau du jaccuzzi? J’avais l’impression que son liquide du plaisir perlait déjà…j’insistais donc un peu…
– donnes moi ton sexe, je veux te sucer moi aussi
nous nous sommes retrouvé en position de 69
– je vais peut etre etre maladroite, Ludovic n’aime pas ça…j’ai pas trop d’expérience du coup…
– fais comme tu le sens…
en fait elle se débrouillait bien, alternant les longues incursions de mon sexe jusqu’à sa gorge et les peits coups de langue sur le méat…c’était divin. De mon coté, j’avais entrepris de stimuler de nouveau son clitoris. De mes mains je lui avais écarté les lèvres et avec ma langue, je remontais tout son abricot avant de lui titiller le clitoris, puis je redescendais jusqu’à son anus, le stimulant parfois…Elle aimait cela, je le sentais car par moment elle arrêtait de me pomper pour concentrer son attention sur son plaisir. Soudain dans un grand râle, mais sans que rien ne l’ai laissé présager, elle m’aspergea de son nectar de plaisir, et s’effondra sur le coté, secoué de soubresauts…
– pardon, je ne sais pas ce qu’il m’est arrivé…
– ben tu as joui…goutes, c’est ton nectar…
je l’embrassais goulument
– maintenant, baises moi…
je la positionnai en levrette et la pénétrai vigoureusement. Elle se cambra au départ puis rapidement ses fesses poussèrent vers l’arrière comme pour faciliter la pénétration. Mes mains sur ses hanches, j’imprimais mon rythme. Elle couinait doucement et de doux gargouillis s’élevaient de son vagin liquéfié…
– Encules moi
j’étais un peu surpris, d’habitude les femmes accèdent à cette requète si leur compagnon le demande, mais il est rare qu’elle le demande d’elle-même…
Je me retirais donc de son vagin poisseux et y récoltais suffisament de sécrétions pour faciliter le passage de mon sexe dans l’étroite intimité…
Puis je positionnai mon gland à l’entrée de son cul et poussai en douceur …je l’entendis gémir, ses ongles raclèrent le bois de la terrasse puis d’un seul coup, le passage se fit…Elle poussa un cri…Encore heureux que les autres voisins sont partis en week-end…Je continuai alors à pousser…mon sexe entier colonisa son rectum. Elle était toujours poings crispés, mais son visage avait l’air apaisé…j’entamais alors un doux va et vient et je la vit se détendre rapidement.Une de ses mains glissa entre ses jambes et je compris qu’elle se caressait. J’accélérai mon mouvement et ses petits cris de plaisir recommencèrent. Mes couilles battaient contre ses fesses et je sentais que je ne tarderai pas à éjaculer…elle le comprit et encore une fois elle me surprit:
– vides toi en moi s’il te plait
Sa voix, ou ce qu’elle me demandait eurent raison de ma volonté et je laissai échapper ma semence dans ses entrailles…Elle s’effondra de nouveau frappée par un orgasme…Je me retirai délicatement puis admirai mon sperme coulant doucement de son anus encore dilaté…
– tu as aimé? Me demanda t elle
– il faudrait etre difficile…
– tu sais c’était la première fois pour moi par…le cul…j’ai du te paraitre vulgaire
– mais non, j’ai adoré…je l’embrassai à pleine bouche. J’en profitai pour lui titiller les seins
– j’aime bien ce que tu fais…quand tu les pinces, ça irradie jusqu’en bas…c’est bon…
Elle avait entrepris de me caresser les couilles et rapidement je fus de nouveau « en forme »
– ben dis donc, Ludovic, lui il s’endormait sitot le coup tiré…et c’était pas de ce niveau…
– tu veux recommencer?
– Oui mais dans un lit, c’est un peu rude, la terrasse…
Elle me devança dans la chambre, j’en profitai pour admirer son petit cul, d’ou coulait encore de temps à autre une goutte de sperme….

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