Après de longues années de vie commune, quand on a fait le tour de tous les recoins de nos corps, de toutes les positions, de tous les endroits, on commence par se blaser et la libido est de moins en moins forte !
Il y a plusieurs moyens de casser cette routine, la plus courante chez les gens en général est la tromperie, nombre d’hommes mais également de femmes trompent leur conjoint après ces périodes d’intensité.
Et cela ne se voit même pas au sein du couple des fois et peut durer longtemps !
Pour nous, nous ne voulions pas de tromperie et c’est donc en se disant et se montrant tout que nous sommes parvenus à trouver un équilibre entre notre amour incontestable et nos pulsations « a****les » qui sont ancrées dans le genre humain.
On est donc devenus libertins puis candaulistes !
Quand je matte ma femme se faire baiser, c’est pour mon excitation, aussi bien que pour la sienne et cela ne nous empêche nullement, heureusement, d’avoir toujours de très belles parties de jambes en l’air ensemble !
Les relations candaulistes que nous pouvons avoir doivent représenter moins de 5% de nos relations conjugales.
Je vous souhaite à tous, un jour, de vivre cette immense excitation, de rencontrer un inconnu dans une chambre d’hôtel, chez lui ou dans d’autres lieux…Tu vois ce mec que tu ne connais pas et qui est là pour dévoiler toute son intimité devant ta femme qui elle,, devant lui, le regarde timidement !
Puis les premiers attouchements arrivent, maladroits, il l’effleure et elle est petite devant lui.
Certains parlent et demandent à ma femme Nadia ce qu’ils veulent d’emblée, d’autres lui font comprendre sans rien dire !
Tu vas ensuite voir cet homme le découvrir au fur et à mesure que ta femme le déshabille, tu découvres, en même temps qu’elle, son torse, ses muscles, s’il porte un slip, boxer ou caleçon et surtout, tu vas voir sa bite !
On peut être étonné par sa longueur, sa grosseur, sa forme, sa couleur, sa beauté !
Les bites sont si différentes, le gland : petit ou gros, large corolle ou pas, bleu, violet, rouge ou rose, avec ou sans prépuce…
La hampe longue ou courte, grosse ou fine, veinée plus ou moins, blanche, bronzée ou noire, douce ou rugueuse…
Les couilles pendantes ou rentrées, grosses ou petites, poilues ou imberbes, ovales ou rondes…
Ces proportions peuvent se combiner à l’infini !
Quand tu vois ta femme descendre la braguette et baisser le sous-vêtement pour prendre en bouche cette bite qui n’est pas la tienne, tu vois ce partenaire d’un instant se régaler, se raidir et bander comme un âne pour ta princesse ! C’est fou comme cela est excitant !
Ses lèvres glissent sur sa colonne de marbre et sucent le sommet du gland, sa langue titille le méat et descend le long de la tige pour lécher ses testicules qui roulent sous ses doigts ! Elle bave d’excitation et sa bite est devenue brillante !
Puis, Il la relève et prend ensuite ta femme dans ses bras, l’embrasse, lui pelote les seins, les fesses, le ventre, il comprend qu’il peut aller plus loin et que l’affaire est dans la poche, il s’enhardit bien plus et très vite, lui touche sa chatte à travers la culotte et fait rentrer ses doigts dans la fente en écartant le tissu !
Il est heureux de constater que ta femme mouille pour lui, heureux de savoir qu’il l’excite très fort !
Ses doigts la fouillent de plus en plus loin, ils sont gluants de cyprine, un deuxième a rejoint le premier et un troisième essaye également de pénétrer ce sexe volontaire et accueillant !
Tu le vois ensuite ôter son soutif puis se baisser pour enlever sa petite culotte. Vient le moment des choses sérieuses : il la retourne et la plaque pour admirer ses fesses, il tâtonne ses chairs, il prend ensuite sa bite en main pour la caresser avec, lui faire sentir que son bel objet est fin prêt !
Il glisse le gland dans la fente baveuse et se branle pour étaler la cyprine tout le long de sa longue tige ! L’outil, bien que très gros et volumineux va pouvoir pourfendre ce sexe encore inconnu pour lui ! Le gland se positionne donc devant l’entrée. Puis, avec une force constante, il va s’enfoncer au plus profond de son vagin, son braquemart tendu et bien dur écarte les parois encore serrées, il investit chaque centimètre et dans un ultime effort, il cogne le fond !
Commence ensuite un va et viens torride ! La vulve semble se déformer sous les assauts, la bite est luisante, le gland ressort rouge écarlate, gonflé à bloc. Il replonge sans cesse avec de plus en plus de facilité car le vagin s’accommode du volume excessif auquel il est soumis et la chatte, ouverte et dégoulinante, se laisse visiter.
Ta femme le reçoit en faisant une grimace de peur, de surprise, (surtout si la bite est très épaisse), d’excitation et de bonheur !
Il l’envoie ensuite au 7ème ciel, en la bourrinant comme un dingue pendant de longues minutes interminables et tu entends les cris de ton épouse qui vibre pour sa grosse verge, plus grosse, plus longue que la tienne ! Elle la sent vibrer et se sent remplie entièrement, elle ressent, sous la pression du gland, une sensation si profonde dans ses entrailles !
Il s’amuse avec elle, devant toi, il est fier de la faire jouir, de la faire crier fort, de lui donner des ordres, de la bousculer ou de la brusquer parfois !
Il aime être le mal dominant devant le mari soumis ! Il a ce sentiment de puissance et de pouvoir supérieur !
Elle, ta femme chérie, n’est plus la même, elle se laisse faire comme une poupée de chiffon, elle s’étale devant lui, elle écarte ses cuisses pour lui montrer sa chatte, son cul, sans plus aucune retenue ! Elle n’a plus aucune pudeur !
Elle le guide en elle, elle le retient, elle lui demande d’aller encore plus profondément dans son sexe et n’a plus aucune honte ni peur !
Elle regarde le monstre qui glisse entre ses lèvres et lui procure des orgasmes profonds et intenses ! Elle, qui habituellement ne parle pas trop, s’entend dire des choses exubérantes ! Elle lui clame que sa bite est volumineuse, chaude, qu’elle est monstrueuse parfois et que ses couilles sont tellement grosses et pleines, qu’elle aime les malaxer !
Puis l’apothéose se produit, lui va donner ses derniers coups, très violents, dans des râles ressemblant à la brame du cerf, il explose sa liqueur fécondante au plus profond d’elle comme s’il voulait la clouer !
Ses jets de sperme sont nombreux, ils s’écrasent contre l’utérus dilaté et viennent éteindre l’incendie que l’homme avait pu allumer.
Quand tu vois ensuite cette grosse verge, demi-molle, se retirer, le sexe de ta femme est béant, le vide est sombre et les filets de foutre, épais et blanchâtres, sortent de l’antre, coulent sur la fente et dégoulinent au sol !
Les poils de sa chatte sont souillés, ses lèvres sont boursouflées, le clitoris est enflé : ce tableau est magnifique !
Oui franchement, c’est à vivre au moins une fois dans ta vie et quand tu l’auras vécu, tu voudras le recommencer !
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